Les Fantasme De Sandrine 2

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

02 L'agression 2

Je reprends mes esprits. Le chef m'aide à me relever. Instinctivement, je mets ma main en cuillère entre mes cuisses. Le sperme s'écoule de mon sexe. Je me permets une question :
• Est-ce que je peux aller aux toilettes ?
• Bien sûr! Tu ne crois pas que je vais rester ainsi moi aussi !! Guide-moi !
Je pars vers notre chambre. Une salle d'eau est attenante. J'entre et tente de fermer la porte derrière moi. L'homme m'en empêche :
• Tu ne vas pas rester seule…
Je lui demande :
• S'il vous plaît ?
• Non, je reste avec toi !
Je m'installe sur la cuvette des WC. Mon sexe se vide avec des bruits pas très agréables. Puis, je me force à uriner. Il est face à moi et me regarde avec des yeux rieurs.
• Je ne pensais pas t'en avoir mis autant !
Je ne dis rien. Je me dirige vers le bidet. Je m'installe face au mur. Aussitôt un ordre claque :
• Pas dans ce sens… fais-moi face !
• S'il vous plaît, respectez mon intimité….
Il me saisit par les cheveux et me prévient :
• Si tu te tournes, tu pourras nettoyer mon sexe avec de l'eau, sinon….
Je me pose une question et l'interroge :
• Sinon ?
• Sinon, tu vas me nettoyer avec ta bouche !
• Oh !…
J'avoue que je pratique relativement peu cette caresse, même sur mon mari. Pourtant, il me dit que je suce très bien, mais je n'y prends aucun plaisir.… Alors là, un étranger et de plus, sale de mes secrétions, il n'en est pas question !
• Tu fais comme tu veux… Tu as le choix…
J'hésite… mais s'il veut que je me tourne ou pas, il me le fera faire ! J'essaie de mettre toutes les chances de mon côté. Contrainte et e, je me retourne. Il arbore un sourire sarcastique :
• Tu vois, quand tu veux, tu peux !
Je me lave précautionneusement.

Mon sexe est un peu douloureux. Quelques instants plus tard je termine en me tamponnant avec la serviette éponge. C'est à ce moment que le chef me rappelle à l'ordre :
• Et moi ! Tu m'oublies ?
Je le regarde avec un regard suppliant…
• Ne fais pas ta mijaurée… Nettoie-moi!
Je me redresse et commence le nettoyage. Je me savonne bien les mains et commence à enduire le sexe de savon. Je lui prends la verge à pleine main et le savonne en la massant depuis la base jusqu'au gland. Il me tance :
• Vas-y doucement… C'est fragile cette chose… Et puis mets-toi à genoux… Je te préfère ainsi…
Je m'agenouille et continue mon travail avec plus de douceur. L'homme pose sa main sur ma nuque. Il défait tendrement mes cheveux. Son sexe réagit à ma toilette. Il gonfle dans ma main. Je comprends mieux pourquoi je l'ai senti passé tout à l'heure, dans la cuisine. Il est énorme. Sur le dessus, une grosse veine bleue serpente. Le gland, rubicond est lisse. Je le rince au-dessus de la cuvette. Je le caresse pour le débarrasser de la mousse. Mon autre main s'égare entre ses cuisses. Je lui triture gentiment les testicules.
• Doucement, doucement…
Il soupire, me caresse la joue avec le dos de ses doigts.
• Pas trop vite, j'ai envie de profiter de toi encore… de te connaître mieux….
Me connaître ? Jolie phrase pour un homme qui m'utilise comme une prostituée… Il pousse ses reins en avant. Son gland est tout près de ma bouche. Que m'arrive-t-il encore ? Cela m'excite encore et mon sexe s'humidifie de plaisir. Sa main sur ma nuque me tire vers lui. Son sexe est à portée de mes lèvres. Je me penche vers lui. Sa main ferme m'attire vers ce sexe brandi face à moi. Je pose mes lèvres sur son gland. Comme il est doux ! Je cherche à me soustraire à cette caresse. J'ai une hésitation. Sa main se perd dans mes cheveux. Elle me masse la nuque. Je comprends l'invitation. Mes lèvres s'écartent et laissent entrer son gland dans ma bouche chaude.

C'est délicieux ! Son érection reprend de plus belle. Je continue ma fellation. Je le repousse de la langue pour le happer dans l'instant suivant. Ma langue s'enroule autour de sa verge. Je sors son sexe et laisse mes lèvres sur la partie douce de son gland. Avec la pointe de ma langue, je lui titille la petite fente si sensible à son sommet. Alex m'a toujours dit que je savais très bien sucer. Il fut un temps où mon mari réclamait une gâterie quotidienne. Pour le satisfaire, je suis beaucoup entraînée. Mes vagues souvenirs reviennent. Le sexe de l'homme n'est plus du tout mou. Je l'avale sans plus attendre. Je suis à genoux devant lui dans notre salle de bains. J'ai bien conscience de me conduite comme une pute. Mais le simple fait d'être obligée sucer cet homme m'excite au plus haut point. Je pompe cette queue avec une envie non feinte, une rage qui me surprend. Je le sens venir, je le sens monter. Son sexe bat contre mon palais. Je redouble d'ardeur. Il me parle :
• Salope, tu pompe comme une reine… J'en peux plus… Je vais jouir…
Je reprends avec vigueur ma succion. Comme tous les hommes, il aime se faire sucer. Mais je suis surprise de mon attitude. Je trouve sa queue agréable à sucer. Sa queue est tellement bonne que j'y prends un réel plaisir. Je n'ai nul besoin de me forcer.
Il râle un grand coup. Son sexe puissant finit par exploser dans ma bouche. Je ne l'ai jamais fait. Jamais, Alex ne s'est vidé sur ma langue. J'ai un haut le cœur. La pression sur ma nuque se relâche. J'en profite pour reculer ma tête. Mais l'homme n'a pas fini de se vider. Les derniers jets arrivent sur mon visage. Il m'en met partout, j'en ai partout sur la figure, ça dégouline le long de mes joues. Il me tient les cheveux et grogne:
• Avale ce que tu as dans la bouche !
Je suis si heureuse d'avoir réussi ce que je n'avais jamais fait au paravent, que je me fais un devoir d'avaler ce qui tapisse ma langue et ma bouche. Je déglutis avec un plaisir malsain.
Pour lui rendre un plaisir, je prends sa verge entre mes seins. Tout en le massant entre mes globes charnus, je penche ma tête et mes lèvres l'effleurent. Je lui dépose un vrai baiser d'amour sur le bout de son gland. Il me dit :
• T'es une gourmande !
L'homme reprend ses esprits et se libère de ma poitrine. Satisfait de mes prestations, il me dit :
• Tu suces très bien… Ton mari doit être un heureux homme….Allez fait un peu le ménage dans ta tenue…
Je me relève péniblement. Je me regarde dans la glace. Face à moi, une femme, au visage maculé de sperme me regarde. Je ne me reconnais pas mais c'est bien moi qui viens de sucer un inconnu. Je n'en crois pas mes yeux. J'essuie le sperme sur mes joues.
• Allez, on descend… les autres vont s'impatienter !
Il ouvre la porte et me guide vers les escaliers. Il n'y a personne dans la cuisine. Les deux autres sont installés sur la terrasse. Ils sirotent un apéro. Le chef les charrie un peu :
• Et bien les copains, y'en a qui ne s'ennuient pas, pendant que les autres bossent !
Les deux autres s'esclaffent et Blanche Neige commente :
• Tu ne vas nous dire que tu n'as pas profité de la petite dame… Elle a des cernes sous ses jolis yeux verts et toi tu te balades avec des valises….
Le Balafré surenchérit :
• Elle en a les lèvres violettes tellement elle t'a sucé !
Je ne sais quoi dire. Je baisse la tête et regarde mes pieds. Blanche Neige continue tout en me regardant :
• Tu es une chaude, toi et une sacrée coquine ! Mais tu sais que tu es ravissante dans cette tenue sur ta terrasse…
Le Balafré lui coupe la parole :
• C'est bien beau les galipettes de Madame, mais cela ne nous remplit pas l'estomac ! Quand mange-t-on ?
Le chef intervient d'un ton sec :
• Cela suffit… on mange immédiatement…
Puis il se tourne vers moi et me lance un :
• Toi magne-toi le cul à nous donner à bouffer…
Je retourne dans la cuisine.
Je termine rapidement le maigre repas. J'apporte la salade et pose le saladier au milieu de la table sur la terrasse. Un petit vent frais me fait frissonner. Le chef me lance :
• Sers-nous !
Je prends le plat et m'approche du balafré. A peine ai-je commencé, qu'une main s'égare sur mes fesses. Je recule d'un coup sec et lance :
• Je ne vous ai pas autorisé certaines privautés… contentez-vous de manger !
Je n'ai pas fini ma remarque, qu'une claque violente me fait avancer d'un pas. Ma fesse me brûle. Le Balafré me lance :
• Écoute salope de petite bourgeoise, si je veux te peloter les fesses, je le ferai que tu le veuilles ou pas… Alors sers-moi et ne t'occupe pas de ce qui peut se passer sur ton cul !
Je m'adresse au chef :
• Monsieur, s'il vous plaît, dites-lui d'arrêter…
Le chef me regarde, hilare :
• Dis donc, tout à l'heure, tu aimais bien qu'il s'occupe de ta chatte, alors pourquoi fais-tu ta mijaurée maintenant ?
Je ne peux retenir mes larmes. L'autre continue. La main tâte ma fesse douloureuse. Je veux me déplacer pour servir Blanche Neige, mais il me garde en me serrant la cuisse et avec l'ordre :
• Sers Blanche Neige d'ici…
La main continue sa danse sur mon postérieur rebondi. Après avoir servi les trois hommes, je m'aperçois que rien n'a été prévu pour que je mange. Je m'en étonne, avec une phrase bien sentie :
• Bravo messieurs ! Quelle politesse ! Personne n'a pensé à moi !
C'est le Balafré qui me répond :
• C'est Blanche Neige qui va te donner de quoi te restaurer… après avoir mangé !
Je suis gelée par le vent qui souffle sur la terrasse. Je reste debout telle une soubrette sur le côté de la table à les regarder manger. Je me protège avec mes bras. Je pose mes bras sur ma poitrine et ma main sur mon pubis. Le chef me rappelle à l'ordre :
• Met tes mais dans dos et ne bouge plus ! Nous voulons pouvoir te regarder ! Ne cache pas ton sexe, tu es très excitante avec ta chatte toute nue !
Mes mains attnt mes avant-bras dans mon dos. J'attends. Le Balafré termine son assiette et éclate de rire…. En effet, Blanche Neige a lui aussi terminé. Il me fait signe de l'index de s'approcher de lui. Le Balafré m'encourage avec une tape amicale sur la fesse. Je fais le tour de la table. L’homme est affalé dans un profond fauteuil. Il me saisit la cuisse et m'attire vers lui :
• Tu veux manger ?… Je vais te donner ce que tu veux, …mais en liquide…
Je le regarde avec de grands yeux étonnés, puis regarde le chef. Ce dernier me signifie :
• Il faut bien qu'il ait sa part…
J'ai peur d'avoir compris… Ai-je le choix ? Il m'indique :
• Avance et reste bien droite sur tes jambes…
Puis il pose ses mains sur son pantalon. Ses doigts prestes font sauter les deniers boutons de la braguette. Il se soulève et d'un mouvement rapide, ses mains s'agrippent autour du jean, le descendent en même temps que le slip. Un sexe long, massif et noir d'encre se détend. Il est surmonté d'un gland énorme, d'un rouge sombre. Pour son confort, il sort ses deux couilles rondes et dodues recouvertes de poils drus. Il m'ordonne :
• A toi de jouer !
Le sexe se dresse dans l'ouverture de la braguette. D'une pression de ses doigts sur ma cuisse, il m'intime le début des hostilités. Debout, je surplombe l'engin.
Timidement, je pose deux doigts sur la colonne de chair. Doucement, je décalotte entièrement le gland. Il apparaît, rond, énorme. L'afflux de sang le colore en mauve sombre presque violet. Blanche Neige doit être très excité. Le dôme est luisant de liquide séminal. J'entame un mouvement de va et vient. Immédiatement je constate le durcissement rapide de la colonne noire. Elle se dresse fièrement. Le traitement que je lui inflige tire un grognement sourd de la bouche de Blanche Neige. Je saisis fermement le mandrin d'une main. Je me penche vers le centre de l'homme. J'avance mes lèvres que j'arrondis pour épouser la forme du gland. J'en aspire une petite partie. C'est une caresse je ne pensais jamais pouvoir faire à un homme. Mais aujourd'hui, il en est autrement. J'aime ce geste. Je poursuis le mouvement langoureux. Dès que la verge se contracte et se cabre, signe avant-coureur de l'imminence du plaisir, je cesse les va et vient. Blanche neige se tétanise. Ses jambes se mettent à trembler. Je ne peux retenir mon autre main. Je la passe entre ses cuisses et soupèse ses bourses chaudes. Je les fais rouler dans ma paume. Il me lance d'une voix rauque:
• Doucement ! c'est trop bon et je vais partir…
Il me caresse tendrement les cheveux. Plantée sur mes talons hauts, les jambes écartées pour m'assurer une position stable, je masturbe vigoureusement un braquemart raide. Il a pris des mensurations respectables. J'arrête ma masturbation. Accentuant ma cambrure, j'approche la bouche du mandrin dressé. Doucement, je gobe le gland. J'enroule ma langue autour du champignon violacé. Le chuintement émit par Blanche Neige m'indique son degré de satisfaction. J'avale la colonne tendue et chaude. Tenant d’une main le pénis énorme, de l’autre, je masse les couilles velues de l'homme. Face au plaisir grandissant du grand noir, l'envie de le vider de sa substance me vient. Enduisant massivement de salive le chibre, je mets plus d'ardeur à la tâche. Je veux lui vider les couilles. Tout en continuant mon travail de succion, je regarde le visage de l'homme. Ses yeux globuleux sont encore plus exorbités. Nos regards se croisent. Il me fixe. Sans cesser de baver sur le gland violacé, je lui lance un regard provocant. Une curieuse impression m'envahit. Le sexe de l’homme est pour moi comme une sucette entre mes lèvres pulpeuses. Les traces de liquide séminal, annonciatrices de la jouissance proche, maculent le pourtour de ma bouche. Je masse fermement les testicules. Je cesse un instant mon action. Je souffle mon haleine chaude sur le gland ultrasensible. Je rapproche mes lèvres de son pénis, et avant qu'il ne puisse réaliser ce qui se passe, j'enfonce le gland hyper sensible dans le paradis velouté et humide de ma bouche. Avant chaque pénétration de sexe dans ma bouche, je lance un regard incendiaire au noir. J'avale le sexe par de courts va et vient de plus en plus profonds et de plus en plus rapides. L'énorme pénis s'enfonce jusqu’au fond de ma gorge. Le gland butte contre ma luette à chaque poussée, me générant à chaque fois un haut le cœur. Je remonte le long du membre gonflé jusqu’à ne garder que son gland entre mes lèvres. Je prolonge cette caresse pendant quelques minutes. Puis, je le lèche délicatement. Pas un seul centimètre carré de sa queue ne reste vierge de mes attentions. Le membre frémit. La sève monte. Les contractions du corps de Blanche neige me signifie son explosion proche. Il ne peut résister et me félicite de mes prestations :
• Salope !!! Tu es d’une dextérité étonnante… S'il y avait un concours pour la meilleure suceuse, tu es assurée de la médaille d'or.
Flattée de ses compliments, je libère le sexe de l'emprise de mes lèvres. Je reprends mon souffle. Mais une soudaine intrusion entre mes cuisses me fait sursauter. Des doigts agiles trouvent l'entrée de ma grotte secrète. Les doigts se poissent de ma liqueur. Il faut dire que depuis que ces hommes me forcent, m'obligent à avoir des relations sexuelles, je ne suis plus moi-même. Je mouille comme une folle, je fuis, je ne suis plus étanche ! Les doigts exercent un doux frottement sur mon clitoris. Ce dernier est très sensible, trop sensible. Blanche Neige glisse sa main entre mes cuisses pour accéder plus librement à ma fente juteuse. Le doux va-et-vient continue entre mes jambes. Elles sont maintenant largement écartées pour laisser le libre passage de la main. Les doigts sont tendres et caressants et me provoquent des ondes de plaisir. Je n'en peux plus. J'ai du mal à retenir mes râles de plaisir. Mais le mâle ne cesse de me tripoter. Je ne peux résister au traitement et me mets à jouir violemment, secouée de spasmes que je ne peux contrôler. C'est divin… Je me cambre, je gémis. Blanche Neige se positionne pour pouvoir me caresser les seins avec son autre main. Elle se tend vers mes seins. Tétanisée par l'orgasme qui vient de me chavirer, je ne bouge pas. Sa main malaxe mon sein. La pointe se tend. En connaisseur, il la saisit entre le pouce et l'index. Elle roule entre les deux doigts. Une nouvelle excitation envahit mon bas ventre. Ce black me transcende. Jamais je n'ai connu cette sensation particulière, même avec mon mari. Tout mon corps le réclame, je ne suis plus moi-même. Mon corps tout entier est à lui, entièrement, totalement.
Ses deux mains se plaquent sur ma nuque pour bien me maintenir. Il ne peut se retenir et donne de violents coups de bassin. A son râle puissant, je sais qu'il va se vider. Sa verge sursaute dans ma bouche. Ma langue danse sur sa tige. J'alterne les courts et les longs va-et-vient. Je sens le plaisir monter dans cette colonne de chair. Il me prévient en écartant légèrement ma tête de son sexe :
• Je vais éjaculer dans ta bouche….
Je me retire et de mon plus grand sérieux et avec un grand sourire, je lui dis :
• Laisse-toi aller…
Je replonge vers la bite turgescente. Le fait de l'autoriser à éjaculer dans ma bouche le désinhiber. Je sens dans la paume de ma main, la montée des spasmes de sperme. C'est un volcan ! Il explose de plaisir en de longues saccades dans ma bouche. Le volume de son éjaculation et important et je dois avaler les flots qui se déversent sur ma langue. Je déglutis goulûment la semence. Je lèche avidement le sexe pour ne rien perdre du liquide précieux. Blanche Neige me bloque la tête. Son gland est devenu trop sensible. Il joue avec mes cheveux et me dit :
• Tu es une vraie amoureuse… Ton mari a de la chance d'avoir une salope comme toi… tu suces comme une reine… tu es très belle… et tu as un regard à faire sauter tout un régiment de braguettes…
Mon cœur bat la chamade à ces paroles, même si le compliment est grivois. Mais je ne regrette rien. Je reprends pied sur terre. Le chef qui n'a pas cessé de mater ma prestation me regarde en souriant :
• Bien, il faut nous reposer un peu. Les gars, vous pouvez monter dans les chambres du haut pour dormir… Je m'occupe de Madame…
Les deux acolytes suivent les ordres de leur chef. Ils gravissent les escaliers et rapidement disparaissent de notre vue. Le chef s'adresse à moi d'un ton sec :
• Bien fini la rigolade ! Tu ranges rapidement tout cela !
Il est passé à côté de moi et ponctue son ordre par une claque retentissante sur mes fesses. Je range rapidement la table, la vaisselle dans le lave-vaisselle. Le chef me suit. Il me prend par la main et m'amène vers le centre du salon. Il repousse la table basse vers la cheminée, libérant le tapis entre les trois canapés. Il m'ordonne de m'agenouiller. J'hésite, mais face à son regard dur, j'obéis. Il vient en face de moi.
• Écarte tes genoux !
Je m'appuie sur mes mains pour espacer mes genoux. Il me tance :
• Reste assise sur tes talons !
De la pointe de son pied, il me tapote l'intérieur des genoux pour me signifier que ceux-ci ne sont pas assez largement ouverts. Je cède à la pression insistante. Mes genoux sont écartés d'une bonne cinquantaine de centimètres. Les ordres pleuvent brusquement :
• Croise tes mains sur ta nuque !
Devant le ton autoritaire, je m'exécute aussitôt. Mon empressement me surprend, mais j'ai brusquement peur. Je prends la pose demandée. Les bras levés, les coudes tirés en arrière, font saillir mon buste et creusent mes reins. Mes seins dardent leurs pointes durcies devant moi. Il s'installe dans un fauteuil, face à moi. Je m'offre à son inspection visuelle. Il ne se prive pas de me mater, de me détailler. Devant cette situation troublante, je me sens rougir. Je ne peux pas maintenir le regard inquisiteur. Je baisse les yeux et fixe le motif moderne du tapis. Ma respiration se trouve modifiée.
• Tu es très belle quand tu es ainsi, offerte…
Je ne sais quoi dire… Je garde le silence …
• Vraiment, tu es magnifique dans cette tenue et dans cette position…
Puis, il se lève et tourne autour de moi. Sans un mot, l'homme m'admire longuement. Il passe lentement derrière moi, me saisit les seins et les pétrit à pleines mains. Je sursaute mais il me calme d'un ordre :
• Soit sage petite salope !
Je m'abandonne à la caresse. L'homme att délicatement entre le pouce et l'index de chaque main les tétons de mes seins. Il les roule, les doucement. Puis aussitôt, il les abandonne pour palper la totalité des globes de mes seins. Il les empaume tout entier dans ses mains larges, chaudes et puissantes. Il suit du bout de l'ongle le pourtour de l'aréole de l'un d'eux. Ma poitrine offerte avec mes tétons érigés augmente l'intensité de mon plaisir naissant. L'homme masse maintenant vigoureusement ma poitrine. Je tressaille et grimace quand la palpation se fait trop forte. Mais le plaisir est là de plus en plus présent. Je me cambre encore plus, offrant encore plus mes seins aux mains masculines. Et soudain, les mains s'arrêtent. Je reste là avec mon envie. L'homme revient face à moi. Il me contemple haletante, offerte et prête à tout.
• Ne bouge pas ! Je te laisse quelques instants, seule… S'il te venait l'envie de bouger, il t'en cuira… Compris ?
Je hoche la tête en signe d'approbation. Il s'éloigne. Je le suis du coin de l'œil. Il sort et monte à l'étage. Pendant une dizaine de minutes, je n'entends rien. Des pas légers résonnent sur l'escalier. Il revient. Il s'arrête derrière moi et me dit :
• Dis donc ! Tu en as de jolies choses dans tes placards…
Brutalement je rougis. Il a dû trouver le carton de nos folies, comme nous l'appelons avec Alex. Dans cette caisse se trouvent tous les artifices de nos jeux érotiques. Je frissonne. Une sensation curieuse autour du cou me surprend. Il me met le collier de cuir noir qu'Alex avait acheté quand il voulait me faire peur avec des relations sado-maso. Il le serre. Le cuir mord la chair tendre de mon cou. La peur me granite la peau. C'est encore pire quand la laisse métallique touche mon dos puis lorsqu'il la glisse entre mes deux seins. Je me recroqueville et resserre mes bras.
L'ordre est immédiat :
• Reste à genoux ! Garde les mains derrière la tête ! Bombe le torse ! Cambre-toi !
J'obéis, mettant ainsi ma poitrine en valeur. J'ai un peu peur. Puis devant mes yeux, un voile noir. Je comprends. Il me place un bandeau sur les yeux. Surprise, je lui demande :
• Pourquoi me bandez-vous les yeux ?
Il me répond :
• Pour que tu ne cherches pas à filer…
Un cliquetis me fait froid dans le dos. Je sais ce que c'est : les menottes… Il va me poser les menottes…
• Baisse tes mains dans ton dos !
Le froid du métal se referme sur mes poignets. Puis ce sont mes chevilles qui sont bloquées. Ensuite, je sens qu'il relie les menottes des poignets à celles des chevilles. Il m'est impossible de bouger. Il semble avoir prémédité son coup dans les moindres détails. Ensuite, une boule force ma bouche. Une sangle se referme sur ma nuque. Je suis immobilisée. J'attends avec inquiétude la suite. Je me sens rougir de confusion d’être à la disposition à cet homme. Honteuse et humiliée, je prends, malgré tout, un plaisir immense à cette situation. Obligée de me soumettre physiquement à l'homme m’excitait terriblement.
• Tu sais que tu es une salope vraiment irrésistible. S'ils ne dormaient pas, j'aimerai bien t'exhiber devant mes copains… On verra cela plus tard…
Je reste un très long moment, seule, nue. Ma chatte est trempée malgré qu'il ne m'ait pas touché le sexe. L'humiliation et la honte qui m'envahisse m'ont rendue folle d’excitation. J'entends l'homme. Il approche de moi. Je pense qu'il me regarde, m'admire. Je dois être très attirante. Je corrige ma position lui signifiant ainsi à quel point j'aime la situation dans laquelle il m'a mise. J'espère qu'il comprend que j'ai envie de me donner à lui complètement. Je le sens face à moi. Ses mains se posent sur ma poitrine. Il parcourt mes seins. Je crois qu'il aime passionnément mes seins, fermes et ronds. Sans cesser de me peloter, il me confie :
• Tes seins ont une peau d’une douceur rare… et pourtant des seins j'en ai connu…
Il m'annonce :
• Je vais me reposer une heure ou deux… A tout à l'heure…
J'entends les pas s'éloigner et gravir les marches. Il va dans nos chambres. Le silence envahit la maison. La position est douloureuse à la longue. Mais je sombre dans une douce torpeur qui annihile les douleurs de mes poignets, de mes chevilles et de ma colonne vertébrale.
Ce n'est que plusieurs heures après que j'entends des pas. Quelqu'un descend l'escalier. Ils sont plusieurs. Ils sont là près de moi. Je sens qu'ils m'entourent. Un commentaire fuse :
• Elle est ravissante comme cela… on n'en mangerait…
On me libère les poignets de mes chevilles. Les menottes sur mes pieds me sont retirées. On m'aide à me relever.
• Allez viens ! On retourne dans la grange…
On me tient par le bras. Je trébuche, mais la main est ferme. La cour est traversée et nous entrons dans la grange. Je suis conduite au centre de la pièce. La lumière traverse le bandeau. Ils ont allumé les spots. J'entends le chef parler :
• Blanche Neige va chercher son mec. Toujours attaché à sa chaise…
Quelques secondes plus tard, j'entends une chaise racler le sol carrelé. Le chef parle :
• Cher Monsieur… Nous n'allons pas rester longtemps chez vous… Juste le week-end…Dès lundi nous partirons… Vous allez nous prêtez votre voiture… Et un chauffeur… Votre femme…
J'entends Alex lui répondre :
• Ça ne va pas la tête ! Vous z de nous… Et surtout vous ne vous gênez pas de profiter de ma femme et vous…
Il ne va pas plus loin dans sa diatribe. Le bruit d'un coup lui coupe la parole. La voix du chef continue imperturbable :
• Vous trouvez que l'on profite de votre femme… Mais elle aussi en profite… Puisse qu'il en est ainsi, nous allons vraiment en profiter !
Il s'adresse à ses deux sbires :
• Bâillonnez-le !
Un court remue-ménage se déroule, agrémenté d'un :
• Laissez-le voir ce que nous allons faire …
La chaise est ripée sur le carrelage. Je viens de réaliser les propos du chef. Que vont-ils me faire subir ? Je n'ai pas trop le temps de me questionner que le chef reprend la parole :
• Tu vois, ta femme est à notre disposition… Nous allons nous amuser toute la nuit avec elle… Et tu seras le premier spectateur… Un vrai film porno en direct… Tu vas voir comme ta femme va être contente…
Un borborygme me prouve qu'Alex n'approuve pas vraiment le sort qui va m'être imposé…
Une petite tape sur une fesse me fait sursauter. Je me cambre, car cette tape pas très appuyée me fait frémir… Mais pas de peur mais de plaisir. Une autre arrive. Je ne dis rien, bien au contraire. Ces coups légers répétés m'excitent au plus haut point. Le chef ajoute une couche à ma honte :
• Regarde bien mec… Ta femme y prend goût…
Le rouge me monte aux joues. C'est vrai que j'aime être traitée comme une femme à soldats. Je le découvre maintenant. Le chef vient auprès de moi. Il me parle à l'oreille, assez fort pour qu'Alex écoute ce qui me dit:
• Cela t'a plu ce que nous t'avons fait subir dans la cuisine ?
• …
Une nouvelle claque sur la fesse m'oblige à répondre :
• …Oui !
Je suis très émue, très gênée, d'avouer devant mon mari que je me suis mal conduite et que j'y ai pris goût. Mon corps ne parvient pas totalement à dissimuler un léger tremblement.
• Souhaites-tu que cela recommence ?
Après quelques instants d’hésitation, je réponds dans un souffle :
• … Oui…
• Veux-tu nous appartenir, te donner à nous ?
Toujours aussi honteuse, je m'entends répondre :
• … Oui… Je le veux…
Le chef parle sans aucune amabilité, augmentant ainsi mon trouble, ma gêne… Ma principale humiliation est d'être exhibée ainsi, devant moi mari. Je me montre, nue et soumise. L’idée de m’exposer mon corps, ma féminité, mes désirs et mes pulsions me transcende. Un plaisir immonde me pénètre. Je suis très excitée. Une main me flatte les fesses. Un doigt glisse entre mes fesses et force le passage entre mes cuisses. Je les écarte pour faciliter l'avancée. Un deuxième doigt rejoint le premier. Ils n'ont aucune difficulté à s'introduire dans son sexe.
• Regarde ! Elle y prend goût, ta salope de femme… Elle aime cela…
J'ai honte, très honte. Mais le bandeau sur mes yeux m'empêche de voir, de croiser le regard d'Alex. Le chef demande au balafré :
• Va chercher de quoi immobiliser Madame…
Quelques instants plus tard, il revient…

Maintenant, je laisse la plume à Alex. Il a vu ce que j'ai vécu…

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