Les Fantasmes De Sandrine 1

-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS --


01 – L'AGRESSION 1

Sandrine est ma femme, depuis 10 ans. Elle entre dans la période de plénitude de la femme. Imaginez... Elle a juste 38 ans, un visage angélique, une longue chevelure, légèrement ondulée, de couleur châtain, avec de grands yeux vert, un petit nez et une bouche avec des lèvres des plus sensuelles... une chute de rein impeccable, une paire de fesses parfaitement dessinée et ferme, un ventre parfaitement plat, … Avec ses 175 cm, elle fait partie des grandes femmes, en plus, elle n'est pas grosse, seulement 64 kilos, admirablement répartis. Tout cet ensemble présente des formes arrondies, douces, sensuelles, des formes, des rondeurs que je ne me lasse pas de caresser, de câliner, d'exciter…
Pour simplifier la description, voici ses mensurations : un gros 90 C, un petit 65 de taille et un 89 de tour de hanches… Tout cela me trouble encore après 15 ans de vie commune.
Pour mon plus grand plaisir, Sandrine sait se mettre en valeur. Elle sait qu'elle plait aux hommes aussi, elle en profite pour les charmer. Elle ne se force guère ! Je lui ai à maintes reprises dit qu'elle se conduisait comme une aguicheuse et même comme une jolie salope. A ce mot, elle me fait les gros yeux ! Elle n'aime pas les grossièretés dans la vie de tous les jours. Mais dans l'intimité, elle accepte facilement les propos salaces. Je la taquine souvent en la traitant de bourgeoise BCBG… beau cul, belle gueule ! Elle se venge en me bourrant de coups de poings, mais je sais qu'elle est flattée de ces remarques. Elle est très souvent vêtue de robes ou tailleurs élégants et classes.
Mais je sais que, sous des parures très femmes du monde, se cachent des tenues beaucoup moins sages. Lorsque je la regarde, mes yeux savent repérer ses fesses sans marque d'élastique de culotte, sans la moindre trace de string, donc fesses nues libres de toute entrave, disponibles. Sur le haut des cuisses, je remarque les renflements des attaches du porte-jarretelles, au niveau de la cheville, le plissé des vrais bas.

Elle est toujours aussi jolie et je suis jalousé par un grand nombre de nos amis. Tout cela malgré deux grossesses, nous avons deux s, elle reste très séduisante.
Toutes les vacances scolaires, les grands-parents nous enlèvent les s. Le prétexte est simple : "pourquoi ils n'en profiteraient pas eux aussi ? Nous, nous les avons tout le reste de l'année…"
Depuis le début des vacances de Pâques, nous sommes seuls. Hier soir, vendredi nous étions un peu perdus, seuls dans notre maison à l'écart des sentiers battus, isolés dans notre coin de campagne nantaise. Nous nous sommes couchés très tôt. Nous nous sommes câlinés longuement et après avoir copieusement fait l'amour nous avons parlé, une nouvelle fois, de nos envies, de nos désirs. J'ai interrogé Sandrine :
• Depuis que nous sommes ensembles, as-tu encore quelques fantasmes ?
• Pourquoi me demandes-tu cela ?
• Comme cela !
• Non ! Enfin…
• Enfin quoi ?
• Bien comme toutes les femmes, je fantasme sur un viol collectif…
• Rien que cela ! J'en suis baba !
• Oui, mais cela n'est qu'un fantasme…
• Et si tu pouvais le réaliser ?
• Idiot !
• Merci !
• Mais non, je t'aime !
• Enfin tu aimerais bien te faire prendre par plusieurs hommes…
Elle me tire la langue et continue pour m'énerver :
• Oui bien sûr, les grands noirs avec des sexes énormes... des arabes montés comme des ânes….
• Rigole, imagine si cela t'arrivait !
• Je pense que j'essaierais de me défendre et si je ne peux pas, je ferai en sorte de souffrir le moins possible…
• Comment cela ?
• En participant…
• Salope !
• Tu aimes bien que je sois ainsi ! Cochon !
Puis nous nous endormons.
Le lendemain, Sandrine doit aller faire les courses. Je suis sur la terrasse. Elle dépose un bisou sur mes lèvres. Elle est ravissante avec son corsage blanc, sa longue jupe noire et sa courte veste de tailleur.
Je constate, que les deux boutons du haut ne sont pas fermés. Le décolleté offre ainsi une vue plongeante sur la vallée entre les seins ronds de ma femme. Apparemment, elle a omis de mettre un soutien-gorge. Elle monte dans notre Espace et s'en va tranquillement avec une phrase qui peut en dire long :
• Tu as beaucoup de travail… Bosse fort et peut-être, à mon retour, auras-tu une récompense…
En disant cela, juste avant de s'asseoir derrière le volant, elle relève sa jupe longue et me fait découvrir ses jambes gainées de bas en résille noire, d'un porte-jarretelles noir. Mais le plus excitant pour moi, c'est de voir sa chatte nue, sans la moindre parure et mais aussi, vraiment nue, sans aucun poil…
• Salope… il risque de t'arriver des ennuis si des mecs te trouvent ainsi vêtue…
• J'en profiterai !
Elle claque la portière en riant. L'espace franchit le portail automatique qui se ferme derrière.
La suite de l'histoire, je préfère laisser Sandrine vous la narrer.

Voilà, c'est à mon tour de vous raconter.
Alexandre, mon mari a beaucoup parlé de moi mais peu de lui. Je vous le présente : grand, 189 cm, bien bâti, 78 kilos, un peu dégarni à 42 ans et poivre et sel, les femmes se trouvent séduisant, des yeux vert qui savent déshabiller une femme qui les croisent… bref un bel homme…. Et de plus très bon amant… il cherche toujours à "me faire grimper aux rideaux" comme il dit avant de prendre son plaisir. Il m'a découverte presque vierge et pure… Je n'avais eu que quelques flirts et quelques séances de pelotages de seins. J'ai toujours refusé des mains chaudes, soit sur mes fesses, soit dans ma petite culotte…
J'ai donc fait mes courses ce samedi matin à la grande surface voisine. C'est vers 12h30 que je reviens à la maison. J'ouvre le grand portail automatique. J'entre dans la cour laissant le portail de fermer. J'arrive vers la maison. La porte est ouverte, mais Alex n'est pas là. Je klaxonne deux fois.
Pourtant pas d'Alex ! Le cochon, il ne va pas me laisser décharger les courses toute seule. J'entre dans la cuisine. Je n'ai pas fait deux pas dans la pièce que deux bras puissants m'enserrent, saisissent mes poignets et me les bloquent contre ma poitrine. Une main me fait avaler le cri que j'allais pousser. Je suis bâillonnée. Une voix puissante me commande :
• Tais-toi ! Si tu cries, tu passeras un sale quart d'heure comme ton mari !
Je tremble. La voix escamote les "R". Cet homme qui m'immobilise est un énorme noir. Il m'entraîne vers notre grange. Nous l'appelons ainsi car nous l'avons transformé en salle de jeux et de détente. J'essaie de ne pas trop résister, mais j'ai peur. Qu'est devenu Alex ? Il ouvre la porte. Le soleil inonde la pièce.
J'y suis introduite brutalement. L'homme noir me propulse au milieu de la pièce. Je m'affale par terre. Là deux autres hommes attendent. Je reste muette allongée sur le parquet. Un horrible tableau s'offre à mes yeux. Alex est là, assis sur une chaise. Ligoté au dossier, il a le visage tuméfié. Il est évanoui. J'ouvre la bouche pour crier, mais le conseil du gros noir me le bloque au fond de la gorge. Je m'empresse de me lever et veux m'approcher de mon homme. Mais l'un des hommes m'en empêche en me bloquant par le bras. Il me guide au milieu de la pièce et m'ordonne :
• Reste ici et ne bouge pas !
Aussitôt, de gros projecteurs m'aveuglent. Je suis au centre d'un halo lumineux très puissant. Je ne vois plus rien. Soudain la grosse voix du noir retentit :
• Bien, j'espère que tu vas être plus conciliante que ton mari… il n'a pas voulu nous dire où il cachait les clés de sa voiture, ni où il planquait son pognon…
Des larmes coulent sur mes joues…
• Faut pas être triste, madame, on va s'occuper de toi ! Pas vrai les copains ?
Les deux autres ricanent.
• Cela c'est sur… Et puis elle est gironde la dame…
Je serre la veste de mon tailleur contre moi.
Ce n'est qu'un fragile rempart. Le noir reprend :
• Bien, le balafré, commence !
L'un des hommes avance. Il se place devant moi. Je n'ai qu'une ombre chinoise devant moi. Il commence :
• Bien, vas-tu être têtue comme ton mari ? Dis-moi où sont les clés de ta voiture !
Je cherche dans ma poche de veste. La carte électronique est là. Je la tends :
• Tenez ! elle est dans la cour…
Il m'arrache les clés des mains et continue :
• Merci… et tu le caches où ton pognon ?
• Nous n'avons pas d'argent ici !
• Menteuse !
• Non c'est vrai ! … mais je peux vous donner ma carte bancaire…
• C'est cela comme cela la police nous suivra à la trace…
• Le plein de la voiture est fait et je reviens du supermarché…
• Non, on veut du fric !
Il s'adresse à son collègue :
• Blanche Neige au boulot !
Je devine le grand noir. Il se déplace vers Alex. Aussitôt j'entends les coups qui pleuvent sur mon mari. J'entends la douleur que dans son évanouissement, il encaisse. Je ne peux m'empêcher de crier :
• Arrêtez !
• A la bonne heure ! Alors, il est où ?
• Nous n'avons pas d'argent liquide ici, mais arrêtez de frapper mon mari, s'il vous plait ! Je ferai tout ce que vous voulez…
• Ok ! Ok ! Qu'en penses-tu, Blanche Neige ?
• Ok pour moi ! Et toi Jack ?
Le troisième personnage qui était resté muet, grogne un :
• Oui ! Oui ! Ok ! Mais que va-t-elle nous proposer, la grognasse ?
Je viens juste de réaliser la portée de ma réplique. Le Balafré avance vers moi, lentement. Il tourne autour de moi. Il passe dans mon dos. D'une voix douce, il me parle à l'oreille, assez fort pour que tout le monde entende, y compris mon mari :
• Voyons ce que tu vas nous proposer, jolie madame…
Une sensation glacée envahit tout mon être. Je serre mes bras contre moi. Un seul mot sort de ma bouche :
• Non ! Pas cela !
• Tu vois une autre solution ? Et puis cela incitera peut-être ton mari à plus d'éloquence !
Je ne vois rien et pourtant, dans ma tête, un défilé d'images, un film sombre se déroule. Un silence pesant s'est installé. Le temps s'écoule. Pas un bruit depuis la dernière remarque. J'essaie de distinguer les hommes qui nous séquestrent. Mais les spots ne me dévoilent que des ombres. L'homme derrière moi me saisit les poignets et écarte mes bras. Je me débats mais ne peux résister. Il est très fort. Il me dit :
• Inutile de te débattre, je suis plus fort que toi et si j'appelle mes amis, tu risques de passer un sale quart d'heure !
Je cesse de gigoter.
• A la bonne heure, tu comprends vite !
Puis, d'un ton plus autoritaire, claquant :
• Mets tes mains dans ton dos ! Immédiatement !
Je frissonne. Une sueur glacée coule dans mon dos. Moi qui fantasmais sur le viol collectif, je crois que ce ne sera plus un fantasme, mais une réalité ! Je ne suis pas surprise de l'ordre qui m'ait donné. Mais je n'ai vraiment pas le choix. J'obéis lentement. Mes mains dans le dos m'obligent à me cambrer. L'homme pose ses mains sur mes épaules, les pouces au niveau de ma colonne vertébrale. La pression m'impose de tirer les épaules en arrière et donc de faire gonfler ma poitrine. Pour une fois, j'ai honte de mes seins. Alex les apprécie beaucoup quand je pousse ma poitrine en avant, mais là, aujourd'hui, je suis mal à l'aise, très mal. Les mains me lâchent et un conseil m'arrive aux oreilles de derrière :
• Voilà, comme ça c'est beaucoup mieux... Reste ainsi, vu que ton mari fait sa forte tête, tu vas payer pour lui… Tu nous appartiens jusqu'à ce qu'il comprenne… Autrement dit, il vaut mieux que tu t'habitues tout de suite...
La voix du troisième lardon retentit dans la pièce :
• Pour l'instant, elle ne nous montre pas grand-chose…
La voix derrière moi me dit :
• Tu as entendu mon copain ? Alors que nous proposes-tu ?
Je ne dis rien. Des larmes emplissent mes yeux et roulent sur mes joues. La voix reprend :
• Allons, ne soit pas triste, tu vas profiter de l'instant présent… Après que tu nous seras passée dans les bras, tu trouveras ton mari insipide…
Je renifle mes larmes… Je viens de réaliser que je m'étais fait un plaisir de mettre une tenue très érotique pour mon retour et pour exciter Alex. Maintenant je le regrette. L'homme qui est derrière moi doit être le chef de la bande. Un nouvel ordre arrive :
• Retire ta veste, il fait chaud ici…
• Non, s'il vous plaît… je vous donnerais tout ce que vous voulez…
• Tu as de l'argent ?
• Non… mais si vous voulez, j'ai des bijoux…en or…
• Non cela ne nous intéresse pas, ce que l'on veut c'est de l'oseille, du blé… compris !
• Oui… oui... Mais nous n'en avons pas ici !
• Alors on va sa payer sur la bête… Qu'en pensez-vous les copains ?
Les deux comparses acquiescent. La voix ordonne encore :
• Retire ta veste !
Je n'ai pas le choix. Je pose ma veste. Je la tiens pliée sur mes bras devant moi. Un nouvel ordre :
• Donne-la à Jack !
Le dénommé Jack avance vers moi, en ombre. Il m'arrache des mains ma veste et la jette par terre à côté de moi. Un ordre fuse encore :
• Tes bras… dans ton dos !
J'obéis. Craintivement, je creuse ma poitrine, tentant de dissimuler mes gros seins libres sous le tissu diaphane. Encore un ordre :
• Écarte bien tes épaules !
J'obéis. Jack est en face de moi. Je ne peux voir son regard, mais je sais qu'il regarde ma poitrine. Le silence est pesant. Je baisse la tête. Un autre ordre :
• Regarde devant toi !
Je redresse la tête. L'ombre chinoise est toujours face à moi, proche, très proche. Soudain, deux mains se posent sur mes seins, saisissent les pointes et les font rouler entre pouce et index. Je pousse un cri et remonte par pur réflexe mes propres mains sur mes seins pour me protéger. Une main s'abat sur mes fesses brutalement avec comme commentaires :
• Laisse tes mains dans ton dos !
Contrainte, je passe mes bras dans mon dos. Les mains recommencent leur ballet. Elles reviennent à l'assaut de mes rondeurs et se posent sur ma poitrine. Je ne peux pas retenir un mouvement de recul pour me soustraire à l'odieuse caresse. Le sursaut arrière a collé mes fesses contre le bas-ventre du chef. Je ne peux pas aller plus loin. Je sens son sexe entre mes deux fesses. J'avance un peu pour rompre ce contact mais ainsi j'offre de nouveau, un peu plus mes seins à Jack. Il ricane. Il en profite pour me peloter les seins sans aucune douceur. Je ne suis pas habituée à cela, Alex me cajolant toujours avec beaucoup de douceur et de gentillesse. Mais les doigts se font plus calmes et plus tendres. Les pressions successives se font douces et tendres. Mes sens sont mis à rude épreuve, car la caresse de mes pointes de seins entre pouce et index m'a toujours mise en transes. Elles commencent à se développer, à poindre sous le tissu fin de mon corsage. Jack commente son action :
• Tu vois, tu commences à y prendre goût, petite madame…
Je me sens mal à l'aise. Je ne peux continuer à regarder devant moi l'ombre de mon tourmenteur. Je baisse la tête. Je constate avec honte, que mes bouts de seins sont tendus et déforment la toile fine. Jack continue les commentaires :
• Voilà, tu es beaucoup plus excitante ainsi… Qu'en penses-tu Blanche Neige ?
• Je ne vois pas tu me caches le paysage !
Jack se décale sur le côté. Le grand noir vient auprès de son compère :
• En effet, madame bande sérieusement…
Je sens le rouge me monter aux joues. Blanche Neige soupèse l'un de mes seins et le tâte comme il le ferait d'un fruit mûr.
• En plus, c'est très ferme !
Encore une fois, je recule. Mais cette fois, ce n'est pas le sexe du chef qui me touche les fesses. C'est une main qui se plaque sur mes rondeurs arrières. La main prend ses aises et me caresse les fesses. Le commentaire suit, dit à mon oreille :
• Tu as de jolies fesses rondes et fermes...
J'ai un hoquet de honte.
• Cela te choque, jolie bourgeoise ce que je te dise que tu as un joli petit cul !
Je ne réponds pas. Une tape sur la fesse est ponctuée de la remarque :
• Répond !
• Non… Monsieur !
• Alors, tu es contente que j'aime ton cul ?
• …
Une autre tape m'incite à répondre par l'affirmative.
• Ou...Oui Monsieur !
• A la bonne heure ! Ton mari s'en sert j'espère ?
• …
• Nous verrons cela plus tard. Cela me fera grand plaisir de l'utiliser tout à l'heure... Tu comprends ce que je veux dire par là ?
• … No...Non Monsieur !
• Je m'en doutais, c'est une bourgeoise, cul serré… Eh bien, je me ferai un grand plaisir de t'enculer, ou comme dit Blanche Neige, de te casser le cul ou de te casser les cabinets…
Blanche Neige part d'un grand éclat de rire auquel répond le ricanement de Jack. Face à cette évocation à plus ou moins court terme, je frémis. Le chef derrière moi, se rapproche. Il me saisit les cheveux et me tourne la tête vers lui. Il pose sa bouche sur la mienne et viole mes lèvres. Sa langue force mes lèvres serrées. Sa main empaume mon sein et le serre. Il me titille la pointe. Elle se déploie. Le plaisir honteux m'envahit. Je cherche ma respiration. J'ouvre grand ma bouche. Sa langue s'engouffre. Elle s'enroule autour de la mienne. Que m'arrive-t-il ? Mon fantasme revient-il à mon esprit ? Je réponds à ce baiser . Un frisson me submerge. Je cède sans résistance à cet homme qui me force. Devant mon mari, je me conduis comme la dernière des traînées. En tirant sur mes cheveux, il rompt ce contact charnel. Il plante ses yeux noirs dans les miens et me prévient :
• Mais ne t'inquiète pas… cela ne se fera pas tout de suite…
Il me repousse au centre de la pièce. Un autre ordre arrive :
• Bien cet intermède est terminé ! Déshabille-toi !
Je reste interloquée.
• Retire ce corsage et montre-nous ce que tu caches là dessous !
Complètement vaincue, tremblante, mes doigts tremblent en cherchant les boutons. Je les libère les uns après les autres. Le dernier libéré, j'hésite et attends un nouvel ordre.
• Allons ne t'arrête pas en si bon chemin ! Ou préfères-tu que Blanche Neige s'occupe de ton mari ?
• Non !
Je tire les pans de mon chemisier de la ceinture de ma jupe. Jack me regarde impatiemment. Les mains du chef passent mes épaules et se saisissent des pans du fragile rempart de tissu. Violemment écartés, ils offrent mon buste à la vue des deux acolytes. Mes bras sont immobilisés en arrière par le vêtement. Deux cris d’étonnement et d'admiration retentissent :
• Quelle salope ! Regardez-moi cela ! Sous ses grands airs de dame du monde, elle est vêtue comme la pire de salope !
Un sentiment de honte m'envahit. Je ne peux pas dire le contraire. Je m'étais vêtue d'un serre-taille avec porte-jarretelles et de bas résilles, le tout sans aucun rempart à mon abricot. Mes seins libres de toute entrave oscillent sous le nez de Jack. Il ne peut se retenir :
• Putain quelle paire de seins ! Et ils ne tombent pas !
Ses yeux lui sortent de la tête. Ils descendent, montent vont de droite à gauche. Ils découvrent mon ample poitrine, avec mes aréoles brunes et mes tétons dardés en leur centre. Ses deux mains sautent sur mes seins. Elles s'en emparent, les caressent avec douceur, puis l'instant d'après les agressent avec amour. Elles les pétrissent. Le chef vient en face de moi :
• Ça alors ! Ainsi tu es bien comme toutes les femmes ! Tu t'habilles en femme BCBG et en dessous tu as une tenue de salope de grand chemin. Sous tes apparences tu es une jolie petite salope, je me trompe ? ... En amour, es-tu tout aussi salope ?
Je ne dis rien. Je me contente de regarder le parquet. La voix dans mon dos ordonne :
• Alors petite salope, ne t'arrête pas en si bon chemin ! Continue de te déshabiller, tu ne nous laisse pas attendre ?
Je cherche au niveau de ma taille, dans mon dos, la fermeture éclair. Le zip résonne dans la pièce. Mes mains retiennent la jupe. Les deux mains du chef tirent sur le tissu. Il me dépouille de la dernière pièce de tissu qui me protège des regards lubriques des trois hommes. Ma jupe fait un petit tas autour de mes pieds. Un silence s'étend. Les hommes me détaillent. Je reste immobile, les mains cachant mon pubis. Blanche Neige les yeux exorbités, réussit à prononcer quelques mots :
• Montre-nous ce que tu caches sous tes mains !
Je ne bouge pas, ayant trop honte de ce qu'ils vont découvrir. J'imagine leur découverte : une femme nue, sanglée d'un serre-taille, la poitrine à l'air, le ventre nu, le pubis glabre encadré des jarretelles et les jambes gainées de bas résille, le tout noir et perchée sur des hauts talons noirs. Jack crie fort :
• Mets tes mains derrière ta nuque !
Le cri me fait sursauter. J'obéis lentement. Le mouvement me fait me cambrer. Mes seins sont projetés en avant et mon sexe est découvert. Des "Oh" de surprise et d'étonnement sortent des trois bouches. Ce matin avant de partir faire mes courses, je me suis débarrassée de mes poils superflus. C'est la première fois, c'était pour Alex, pour lui faire plaisir, pour le rendre fou d'amour. Mon abricot, comme il aime appeler mon sexe est offert à d'autres regards que le sien.
• Putain ! Plus un poil ! Comme les filles des revues pornos !
• Tu es une vraie salope, une vraie pute !
Les hommes tournent autour de moi. Ils me détaillent, m'observent, me dévorent des yeux. Je sens leurs regards lourds qui me matent. Cette situation provoque en moi une sorte de plaisir trouble et salace. Une bouffée de plaisir malsain me saisit le bas-ventre. Être regardée, être le centre convergent des regards mâles me fait me sentir salope… Ce que j'ai l'impression d'être en réalité, une authentique salope, qui sous ses airs de ne pas y toucher était obsédée par le sexe. Je prends plaisir à voir ces hommes me tourner autour, les sentir me mater, avec des yeux pleins de concupiscence, anticipant ce qu’ils allaient pouvoir me faire. Une chaleur honteuse humidifie mon sexe. J'ai honte, mais j'éprouve un instant de bonheur intense d'être admirée par d'autres hommes que mon mari chéri que j'adore. Jack se baisse et me demande :
• Lève tes pieds.
Il m'oblige à enjamber ma jupe. L'homme derrière moi me rappelle à l'ordre :
• Tire bien tes bras vers l'arrière !
J'obéis et me redresse, offrant tous mes trésors aux regards lubriques, envieux et également émerveillés... Je me conduis comme la dernière des traînées. Le chef m'ordonne :
• Écarte tes pieds !
En me basculant d'un pied sur l'autre, j'espace mes pieds d'une dizaine de centimètres. Blanche Neige me dit :
• Encore !
Je continue. Mais cela ne leur convient pas ! Jack me demande d'ouvrir encore plus. J'écarte mes pieds de la largeur de mon bassin. Une main se pose sur mon genou droit. Je ferme les yeux. J'essaie de ne pas regarder vers Alex. Les deux mains du chef, qui est revenu dans mon dos, empaument mes seins. Elles les prennent, en évaluent la masse, tâtent leur fermeté. J'ai la furieuse impression d'être sur une foire à bestiaux et d'être évaluée par un maquignon. Mes seins ronds comme des pamplemousses emplissent les deux mains étrangères. Le chef me titille les tétons. Ils s'allongent sous la manipulation expérimentée de l'homme. Maintenant, ils pointent, turgescents d'excitation. Je ne peux retenir un soupir, preuve du bien-être que me procure la caresse. Je me cambre pour mieux offrir ma poitrine. Alex est très fier de mes seins. Il m'a toujours dit que je pourrais faire des photos pour une pub sur les soutiens gorges. Mais aujourd'hui, ce ne sont pas ses mains qui profitent de mes rondeurs. Ces mains étrangères s'attardant sur mes seins volumineux provoquent un émoi voluptueux. J'ai toujours usé et parfois même abusé de ma généreuse poitrine. Son pouvoir sur les hommes est faramineux. Je ne suis pas surprise de l'attitude de l'homme derrière moi.
L'autre main se pose sur mon genou. La main crisse sur mon bas. Instinctivement, le compas de mes jambes s'ouvre comme un appel pour la main étrangère. Elle remonte lentement et doucement vers l'intérieur de ma cuisse. Elle franchit la bande élastique et découvre la partie douce de l'intérieur de ma cuisse. Elle arrive à la hauteur de mon sexe. Mon sexe est doux, je le sais. Je l'ai découvert ce matin, après que je me suis rasée. Les doigts passent avec lenteur sur mes lèvres intimes pour profiter de leur délicatesse.
• Écarte bien tes cuisses, jolie putain...
C'est le chef qui me demande cela à voix basse. J'obéis. Les doigts étrangers explorent mon intimité, celle que mon homme est le seul à avoir fouiller pour me donner du plaisir. Mais que m'arrive-t-il ? Mon sexe me trahit et trahit par la même occasion mon Alex de mari. Il a des petits mouvements instinctifs qui révèlent les émois générés par les doigts fureteurs. Jack annonce à tous :
• Ben ma salope ! T'es trempée comme si tu sortais de ton bain ! Tu aimes ça hein, ma salope ? Écarte encore plus les jambes...
J'écarte largement mes jambes. Je m'offre dans une position impudique. Jamais je n'aurais pu imaginer m'offrir ainsi un jour... Surtout à une autre personne que toi, Alex chéri… Les doigts envahissent mon entrejambe. Je mors mes lèvres. Je jubile. Mon fantasme se transforme-t-il en réalité ? Le chef me souffle à l'oreille à voix basse :
• Écarte les cuisses, jolie petite putain...
Sans réfléchir, j'obéis. Je laisse l'accès à mon abricot doré. Je garde les yeux fermés. Je suis à l'écoute de mon corps, de mon sexe. Les doigts se sont emparés de mon sexe. Ils se lancent dans une exploration précise de mes limbes. Maintenant, mes cuisses sont grandes ouvertes. J'autorise le passage des doigts, je leur permets de m'investir totalement. Ils découvrent mon intimité. Ma bouche s'entrouvre légèrement. Je ne peux pas retenir des soupirs langoureux. Je laisse parler mon corps et le plaisir l'envahir. Les doigts ne chôment pas. Je ne peux pas me retenir. Je pousse un feulement. Je viens de jouir sous les doigts de Jack. Le chef, qui n'a pas cessé de me peloter les seins, me soutient. La jouissance m'aurait fait tomber à genoux. Jack se redresse. Il arbore un sourire de satisfaction. Après m'avoir fait jouir, après avoir copieusement visité mon sexe, il retire ses doigts de mon ventre. Il passe sa main sous mon nez. Elle est imprégnée de mon odeur de femme, de femelle. J'ai honte d'avoir cédé à cet homme. Il présente les doigts poisseux à l'entrée de ma bouche. Il force doucement le rempart de mes lèvres. Malgré le dégoût qui me prend les tripes, mes lèvres cèdent. Les doigts souillés de mes secrétions s'enfoncent dans ma bouche. Jack n'a rien à me dire, rien à m'ordonner pour que je suce ses doigts, porteurs de la preuve de mon excitation, de ma jouissance, de ma déchéance... Je lèche ces doigts qui m'ont fait jouir, debout comme une pute. A mon cri de jouissance a succédé un silence de mort. C'est Blanche Neige qui l'a rompu avec un :
• J'ai faim… tu pourrais nous mitonner quelque chose ?
Jack a surenchéri en se tournant vers moi :
• Bonne idée ! Elle est où, ta cuisine ?
Je ne réponds pas immédiatement, perdue dans mes rêves et dans mes pensées honteuses. Le chef me claque doucement les fesses :
• Alors que nous proposes-tu ?
Je reviens sur terre.
• Je ne sais pas…
Le chef suggère:
• Bien, on va à la cuisine…
Je cherche mes vêtements. Ils sont en tas à quelques mètres de moi. Jack me précise :
• Inutile de t'habiller, comme cela se sera plus bandant…
Le chef annonce :
• Mettez vos masques !
Aussitôt, les trois hommes remontent des bas sur leurs visages. Il me prend par le bras et m'entraîne vers la porte. Je passe auprès d'Alex. Le sang a séché sur son visage. Il me regarde. Je ne peux pas soutenir ses yeux verts qui semblent me bannir. Nous traversons la cour. La fraîcheur de l'air couvre ma peau de chair de poule. Il demande à ses deux collègues de vider l'Espace des courses. En quelques minutes, tout est sur la table. Je range les denrées. Je leur demande :
• Que voulez-vous manger ?
C'est Blanche Neige qui me répond :
• Pourriez-vous nous faire une omelette?
• ….
• Avec du jambon et du gruyère ?
• Oui… pouvez-vous mettre le couvert ?
• Bien sûr !
Jack souhaite manger dehors. Je lui dis qu'il ne fait pas assez chaud. Mais il s'entête. Le chef n'est pas contre et dit à Jack :
• Aide Blanche Neige…
Je commence à cuisiner. Une salade d'endives pour commencer, une omelette, des yaourts et des fruits.
Le chef me suit comme mon ombre. Je commence à préparer la salade. Le chef se colle derrière moi. Je sens son sexe se caler entre mes fesses. Ses mains passent sur ma poitrine et me saisissent les seins :
• Comment trouves-tu ton soutien-gorge ?
Je ne sais quoi répondre. Il me parle au creux de l'oreille :
• J'aime bien te tenir ainsi. Tu as des seins superbes…
J'arrête de préparer les endives. Il me tance :
• Salope, dès qu'un homme pose ses mains sur toi, tu t'arrêtes de travailler… Continue…
Il ponctue sa phrase, en me pinçant fort, les tétons. Je baisse les bras pour bloquer ses mains. Ses doigts serrent encore plus fort. Mes tétons sont écrasés et s'injectent de sang.
• Arrête de gigoter ! Continue ton travail !
Je reprends. Il me parle d'une voix douce :
• Tu es belle, sensuelle, désirable. Tu me plais !
Je suis interloquée ! Il me fait une déclaration.
• Vous me forcez à faire des choses horribles, vous tabassez mon mari et vous me faites une déclaration ! Vous ne manquez pas de culot ! Qui vous dit que je suis d’accord ?
• Depuis que tu es arrivée, je te reluque. J’ai compris que tu es une femme, une femelle, prête à tout pour obtenir du plaisir…
Tout en parlant, il glisse sa main droite sous mon bras et commence un lent massage de mon sein. J'ai envie de l'envoyer paître, de l’engueuler ce type prétentieux… pour qui se prend-il ? Mais, il sait et je sais que je suis incapable de me défendre. Il lui suffit d'appeler ses deux compères et je ne suis pas de taille à résister. D’ailleurs en ai-je réellement envie ? Je découvre mon inclination pour le sexe. Jamais je n'avais atteint ce sommet, ces envies brutales de sexe. J'ai de nouveau envie de plaisir, envie que mon excitation monte encore. J'ai envie de me faire désirer, tripoter, malaxer, palucher, fouiller.
Sans que l'homme ne me demande quoi que ce soit, mes cuisses s’ouvrent un peu plus qu'il est nécessaire pour tenir mon équilibre. Je libère l'accès à la chair douce et soyeuse au-dessus des bas. L’homme, toujours derrière moi, a compris mes envies. Il a soulevé mon bras et passé la tête devant mon buste. Il commence à sucer l'un de mes tétons. En même temps, sa main remonte entre mes cuisses pour venir caresser ma vulve. Elle est gonflée et trempée. Deux doigts s’insinuent entre mes cuisses et glissent doucement entre mes lèvres jusqu'à mon clitoris. Je suis bien…
La lumière de la cour est brusquement atténuée. Les deux compères sont dans l'embrasure de la porte. Ils ne disent rien. Mais je devine le spectacle qu'ils découvrent, que je leur offre. Seulement vêtue de mon serre-taille et de mes bas, juchée sur mes talons hauts, j'imagine l’érotisme de la situation. Seins à l'air et pelotée, troussée comme une bourgeoise qui s’encanaille, je halète. Chaque fois que les doigts entrent dans mon ventre, un soupir de plaisir me submerge.
Je sens mon sexe se donner et mes muqueuses réagir en coulant comme une fontaine. Je suis une vraie salope, une pute. Je découvre avec surprise, étonnement et honte, que j'ai envie d'une bonne séance de baise ! En plus le chef sait comment faire pour me rendre folle ! C'est un pro, il sait s’y prendre, ce salaud ! Il me tête les seins, me fouille le vagin, me tripote le clitoris. Je sais plus où j'en suis, je suis prête à tout ! Je deviens, je suis une obsédée de sexe ! L’homme s'appuie de nouveau derrière moi. Son sexe est énorme. Il me pousse contre la paillasse de la cuisine. Il m'oblige à me pencher en avant. Je me cambre lui offrant ainsi mon cul. Je pose mes mains sur le bord de la paillasse. Le zip d'une fermeture déchire l'air. Je sens une pression entre mes fesses. C'est chaud, dur et rond. Il présente la chose entre les fesses puis glisse plus bas et passe entre mes cuisses. Il commence à me caresser les lèvres avec son gros nœud. Son sexe long et épais s’appuie entre mes fesses. Je me cambre encore plus. Je ne veux pas être pénétrée tout de suite, mais plutôt être caressée par ce gland qui vibre contre moi. Il va et vient entre les lèvres grasses de mon sexe. Très rapidement mon excitation franchit des limites que j'ignorais. N'en pouvant plus, je passe ma main entre mes cuisses, m'empare de ce sexe qui m'obsède et le guide à l’entrée de ma grotte. D'une voix grave et excitée, il me murmure à l'oreille :
• Je vais écarter les lèvres de ton sexe, m’enfoncer dans ta chatte dégoulinante, coulisser dans ce trou qui veut une queue…
• Ou...Oui… Fais-le !
• Que veux-tu que je fasse ?
• Entre dans mon ventre… Fourre-moi ton gros mandrin…
• Cela te plaît de te faire prendre comme une salope, debout dans ta cuisine… Tu n'as qu'une envie … Te faire posséder, bourrer, défoncer…
• C'est ça … Donne –moi ta queue... Remplis-moi, je veux être pleine de toi, de ta queue...
Comment cet homme qui ne m'avait jamais vu, connaît-il ce qui m'excite, ce qui me fait devenir chienne ? Il sait comment faire pour m’exciter. Son autre main gagne ma chatte. Elle la malaxe, triture mon clitoris. Son mandrin investit complètement ma grotte secrète. Le gland rond et gonflé entre dans mon ventre me faisant gémir d’aise. Il recule, revient. A chaque poussée il entre un peu plus loin en moi. Le pal trouve son chemin. Ça y est ! Je suis prise. Je sens la bite du mec dans ma chatte. C'est divin ! Mon ventre se dilate pour l'accueillir. C´est incroyable comme il me remplit. J'ai l'impression d´avoir un sexe de fillette tellement je me sens distendue par cet engin. Il doit être d´une grosseur phénoménale, en tous cas, plus gros que celui d'Alex ! Mon violeur, mais puis-je encore le nommer ainsi vu ma participation, achève de me pénétrer. Ses testicules viennent toucher mes lèvres intimes. Je savoure cet instant en fermant les yeux. Ses mains me tiennent par les fesses. Me sentant plus accueillante, il poursuit son va et vient. Le mouvement lent s'accélère. Je lui donne mon cul. Son sexe laboure ma chatte en feu. Je n'ai jamais été remplie ainsi ! Je ne pense plus qu´à ce sexe énorme qui me transperce. C´est doux, c´est chaud. A chaque avancée du sexe, il bute au fond de moi et augmente mon plaisir. Du fond de mon ventre, montent de nouvelles sensations. Mon sexe frémit. Les parois de mon vagin se contractent violemment, malaxant le mandrin qui le laboure. Je suis une salope en rut, une chienne qui aime se faire sauter. Mon corps explose de plaisir. Mon sexe est atteint de spasmophilie. Je jouis et l'homme ne cesse pas de besogner. Les orgasmes, comme des vagues successives, se suivent sans arrêt. Je jouis de nouveau. Le plaisir est tellement puissant que j'en pleure.
Une sensation de soumission m'assaille. J'éprouve un grand bonheur à être soumise aux envies de cet homme. Je crois que la folie me guette. Je jouis encore. Je m'écroule sur la paillasse. Son sexe reste profondément enfoui au fond de mes entrailles :
• Alors que penses-tu de cette séance ?
• C’est dingue ! Jamais je n'ai vécu cela ! Continue !
• Tu es insatiable !
Mes paroles d'encouragement le stimulent. Il reprend de plus belle à me besogner. Ses mains accrochées à mes hanches, accompagnent le mouvement de mon bassin. Je m'empale sur sa queue luisante de mes secrétions de femelle en rut. Je me colle à lui. Son souffle chaud inonde mon cou. Il me mordille la peau entre la colonne et l'omoplate. Je suis comme une chatte sous son mâle. Sa main se plaque doucement sur mes lèvres détrempées. Ses doigts attnt mon clitoris. Il est démesuré. Je le sens énorme. Ma respiration devient haletante. La copulation s'accélère. Je n'en peux plus me retenir. Une vague de plaisir m'inonde. Je hurle ma jouissance. Mon partenaire est infatigable mais surtout très attentif à mon plaisir. Je ne sais comment, mais il sait trouver mes faiblesses. Il m'amène à l'extase. J'oublie tout. Moi, la mère de famille sage, rangée, je suis devenue une femelle avide de plaisir. Je me fais prendre en levrette dans la cuisine avec une violence inouïe. Ses testicules heurtent mes fesses avec un clapotement indécent. Les sensations se font intenses. A chaque poussée, l'extrémité de son sexe cogne contre le col de mon utérus. Une sensation légèrement douloureuse me fait croire que mon vagin est trop petit pour le sexe qui me pilonne. Pour la première fois, je découvre que douleur et plaisir peuvent aller de pair. Je découvre des sensations inconnues. Jamais je n'aurais pu imaginer être défoncée, pilonnée par ce sexe aussi gros. Mon amant de ce jour accélère son mouvement. Mes seins ballottent en cadence. Un nouvel orgasme arrive, violent, brutal, phénoménal. C'est trop bon ! J'en veux encore ! Ses grandes mains se crispent sur mes fesses. L’orgasme monte peu à peu. Soudain c’est l’explosion le plaisir me submerge, cambre mon corps. Son sexe s'enfonce avec vigueur au fond de mes entrailles. Il enfle, me remplit de nouveau totalement. Il recommence son va et vient entre mes reins. Mes fesses s'épanouissent, lui permettant de s’enfoncer encore plus profondément en moi. Mon baiseur, les mains accrochées à mes cheveux, donne de grands coups de reins.
Un râle, sourd comme un rugissement, monte de la gorge de mon pourfendeur. D'une ultime poussée, qui me comble de bonheur, la liqueur chaude de mon amant inonde mon vagin. Les contractions de son sexe se répercutent dans mon ventre. L’homme reste bien planté dans mes reins. Quel membre ! 
Nous jouissons tous les deux bruyamment. Nous restons collés l'un à l'autre. L'homme me chuchote à l'oreille :
• Est-ce que cela t'as plu ?
Je ne réponds pas. Les yeux fermés, je me remémore les instants de plaisirs insensés que je viens de vivre. Cela fait des années que je n’ai pas joui ainsi ! Même avec mon mari, j’avais oublié comment c’était si intense ! Je n'ose pas le dire mais j'ai encore envie ! Je retrouve cette impression délicieuse, d’être tout simplement une femme. Comblée, mais à la fois honteuse, je reprends vie. Mon vagin est un peu douloureux d’avoir été tant malmené. Le sexe de l'homme diminue de volume. Il sort de moi. Sa semence déborde de mon intimité. Un petit filet coule le long de mes cuisses et souille le haut de mes bas...
Je n'en reviens pas… Comment cet homme a-t-il deviné mes envies latentes ? Dans le fond, je constate non sans crainte ni honte, que j'aime me faire prendre, que je suis faite pour ça. J'ai toujours caché à Alex que j'ai toujours aimé la queue. Depuis quelques temps, il me plaît de sentir les regards des hommes suivre ma croupe quand je marche dans la rue. Je ne me lasse pas, au bureau, d'aguicher des jeunes stagiaires. Honteux et rougissants, ils partent se masturber aux W.C. Combien de fois, j'ai raconté à mon mari, pour l’exciter pendant le coït, que je m'étais fait prendre par un inconnu, dans un recoin de parking, ma jupe troussée sur les hanches pour dégager mon cul, bien cambrée sur mes hauts talons, le string arraché pour permettre la pénétration de cette queue, grosse, dure, lourde, gonflée et longue, très longue… Cet inconnu soulevait mon pull, mettait ma poitrine à l'air, malaxait mes seins, triturait mes tétons jusqu'à la douleur. Je fantasmais en imaginant mon mari témoin de mon viol. Quel pied !

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