Les Fantasmes De Sandrine 20

• 20 – SOUMISE A ELLE

Voilà, cela arrive ! C'est le dernier jour ! JP s'envole en début d'après-midi pour l'Argentine. Il ne reviendra pas en France, en tout cas pas pour me revoir !
Je l'accompagne à Roissy. Mais je ne suis pas seule. Sylvie, ma nouvelle maîtresse est avec nous. Je laisse JP à l'entrée de la salle d'embarquement. Je ne peux retenir mes larmes qui coulent sans cesse depuis notre arrivée à l'aéroport. JP m'embrasse une dernière fois, puis il franchit la porte. C'est fini ! Notre histoire se termine là !
Sylvie comprend mon chagrin et mon désarroi. Elle me prend dans ses bras et me câline doucement. Puis elle m'entraine vers la sortie. Nous regagnons le Cayenne de JP. Je dois le reconduire lundi à la concession Porsche. Je prends le volant et conduis prudemment. La route est voilée par mes larmes. Sylvie me guide. Je ne connais pas la route pour aller à son domicile. Près d'une heure plus tard, nous entrons dans la vallée de Chevreuse. Quelques kilomètres et Sylvie m'indique de tourner à gauche puis l'entrée de la maison est à une centaine de mètres. Un grand portail métallique gris sombre s'ouvre automatiquement. Je n'ai pas remarqué que Sylvie avait joué avec son badge. Une voie pavée nous guide jusqu'à la maison. Elle est splendide, cachée dans la nature. Je me gare sous l'auvent à côté du coupé Alfa-Roméo de Sylvie. Je descends, prends mon sac de voyage dans le coffre et rejoins ma maîtresse sur le pas de la porte. Dès l'ouverture de la porte, un monstre noir lui saute au cou ! C'est un magnifique doberman ! Sylvie lui ordonne de s'asseoir. Il obéit instantanément. Il me regarde avec suspicion. Sylvie me rassure :
• Ne t'inquiète pas ! Je vais te le présenter !
Elle s'agenouille près de l'animal et lui parle :
• C'est Sandrine ! C'est une amie !
Malgré tout, le chien me regarde toujours d'un air féroce. Sylvie lui parle de nouveau :
• Ralph, sois sage ! Sandrine va habiter souvent ici ! C'est notre nouvelle amie !
Je suis surprise par le "notre" nouvelle amie.

Enfin nous entrons. Sylvie me guide jusqu'à ma chambre. Elle est juste en face de la sienne. Ralph nous a suivis. Il est juste derrière moi et me surveille. J'installe ma valise. Nous visitons la maison. Un grand salon qui donne sur la partie de la piscine intérieure. Je suis un peu soufflée par le luxe qui règne ici. Sylvie part d'un éclat de rire et me donne des renseignements :
• Ne sois pas étonnée ! Mon ex-mari était très aisé…
Nous partons pour diner face à la piscine. Je suis fatiguée et je demande à ma Maîtresse de m'autoriser à regagner ma chambre. Sylvie me l'accorde. Seulement c'est sans compter sur Ralph. Il gronde. Sylvie a beau le raisonner, il ne veut rien entendre. Je n'ai pas l'intention de me faire croquer un morceau de mollet. Sylvie me regarde et m'annonce :
• Ce n'est pas la première fois qu'il me fait le coup ! Il n'y a qu'une solution !
Je lui coupe la parole :
• Laquelle ?!
Sylvie me répond directement :
• Tu vas dormir avec lui dans la chaufferie !
Je me révolte :
• Il n'en est pas question !
Sylvie me regarde d'un air dur :
• Tu n'as pas le choix et tu obéis avant que je me fâche ! Compris !
Sylvie se lève se dirige vers sa chambre en me disant :
• Reste ici !
Elle revient quelques minutes plus tard avec un vêtement. C'est une sorte de grenouillère comme peuvent en porter les s en bas âge ! Je l'interpelle :
• Tu ne crois pas que je vais porter cela ?!
Sylvie rigole de bon cœur !
• Ah bon ! alors tu devras passer la nuit à te défendre des tentatives de Ralph !
Je l'interroge, légèrement inquiète :
• Quelles tentatives ?
Sylvie, avec un air malicieux me répond :
• Ralph a tendance à aimer les femmes comme les chiennes ! Je me suis fait bien comprendre !
Je ne réfléchis pas une seule seconde. Je n'ai nullement envie qu'un chien me saillisse !
• Ok !
Sylvie part devant moi.
Ralph nous suit. Dans ma chambre, Sylvie m'ordonne de me mettre entièrement nue. Je lui obéis en surveillant le chien du coin de l'œil. Dès que je suis nue, il hume l'air ambiant et se lèche les babines. Je le regarde et lui dis par la pensée :
" Mon vieux, n'imagine rien ! Même dans tes rêves, tu ne me grimperas pas dessus !"
J'enfile le vêtement. Je constate qu'il n'a pas de manche. Sylvie me réunit les bras dans le dos et me lie les poignets avec un lien plastique utilisé par les électriciens. Je ne risque pas de me libérer. Ensuite Sylvie relève la grenouillère jusqu'en haut et remonte la fermeture éclair dans mon dos jusqu'à ma nuque. Ensuite elle m'emmène dans la chaufferie. Là dans un coin, une très grande panière d'osier trône avec coussin. Sylvie m'annonce :
• Voilà ta chambre de ce soir ! Demain, Ralph t'auras adoptée !
Puis elle s'adresse au chien :
• Et toi, n'ennuie pas trop Sandrine ! De toute façon, tu ne pourras pas la sauter ! Et toi, Sandrine, je te souhaite une bonne nuit !
Elle sort et éteint la lumière. A tâtons, je cherche la panière. Je la trouve et m'installe aussi bien que je peux. Ralph vient lui aussi s'installer. Nous devons nous accorder pour dormir le moins mal possible. Au bout d'un grand moment, je réussis à trouver le sommeil. Ralph cherche continuellement à mettre sa truffe entre mes jambes et me réveille souvent. Je serre les genoux et le prive de mon odeur intime. La nuit se passe relativement calmement. Ralph et moi trouvons un terrain d'entente : chacun sa place et personne n'ennuie l'autre.
L'aube pointe enfin. Une lueur blafarde passe par la petite fenêtre. Il faut encore un grand moment pour que la porte s'ouvre, découvrant Sylvie radieuse :
• Alors les amoureux, vous avez bien dormi ??
Je ne réponds pas. Sylvie s'en inquiète :
• Tu boudes ? Je plaisante !
Elle s'approche de moi et m'aide à me relever. Elle donne à Ralph sa dose de croquettes et d'eau puis m'entraine dans la maison.
Elle se place devant moi et sans que je puisse deviner son intention, elle l’embrassa longuement. Cette agression fulgurante ne mérite qu'un commentaire : rapidité et manque d’originalité ! Je suis un peu déçue. Je la regarde. C'est une belle plante. Elle porte une robe légère d'un vert semblable à celui de ses yeux. Elle est très sexy : sa robe est évasée sous la ceinture. Ses cuisses sont découvertes à moitié. Le haut est tenu par deux bretelles très fines et un décolleté très large laisse, voir la naissance de sa poitrine opulente. On comprend aisément qu'elle ne porte pas de soutien-gorge. Elle me saisit le menton et plante ses yeux dans les miens :
• Je te trouve drôlement jolie !!
Je balbutie des mots sans grand sens puis enfin je lui lance :
• Merci, vous aussi.
Elle continue et me jette un :
• J'ai envie de toi !!
Je suis estomaquée. Comme cela, au saut du lit !
• Comment ça, envie de moi ?
Elle continue :
• J'ai envie que nous faisions l'amour ! C'est aussi simple que cela. Ne me dis pas que tu n'en as jamais eu envie ! Tu n'as jamais pensé à faire l'amour avec une autre fille ?
En effet au fond de moi-même, il y a longtemps qu'un fantasme me trotte dans la tête, mais de là à passer à l'acte, il y a un grand pas ! Je sais que JP aurait aimé que je le fasse. Je l'ai fait avec Morgane, mais ce n'était pas pareil. Sylvie continue :
• Je sais que tu en meures d'envie… Ne dis pas non !
Je me retrouve directement dans les bras de Sylvie. Sans attendre quoique ce soit, elle pose ses lèvres sur les miennes. Sa langue pénètre dans ma bouche. Je l'accepte sans réfléchir. Sylvie me tient par la taille. Je suis toujours prisonnière de ma camisole. Je ne peux rien faire. Le baiser dure longtemps. Les mains de Sylvie s'aventurent sur mon corps et commencent par une caresse lascive sur mes seins. Le baiser m'a complètement allumée. Mes tétons pointent à travers le tissu. Je ne peux prendre aucune initiative.
J'attends le bon vouloir de Sylvie. Sylvie descend une main sur mon ventre. Elle s'y attarde un moment. Mais la camisole la gêne. Alors elle me fait pivoter et dézippe le vêtement qui entrave nos découvertes. Le vêtement chute au sol. Sylvie n'hésite pas un instant. Un doigt passe sur mon entrejambe humide. Elle se baisse. Sylvie m'intime d'enjamber la camisole. Sa bouche se colle à mon bas ventre. Elle embrasse mon pubis. Ouahh ! Que c'est bon ! Sylvie est une experte. J'ai envie de sentir sa langue sur mon sexe. Sylvie est extra lucide. Sa langue commence par un tout petit léchage sur mon clitoris. J'écarte mes jambes. J'offre mon sexe à la langue experte. Le plaisir qui m'est donné me chavire. Insensiblement, je me recule. Le mur n'est pas loin. Je m'appuie contre. Mes jambes faiblissent. Je ne tiens plus sur mes pieds. Sylvie constate ma soumission à ses caresses. Largement ouverte, je dévoile entièrement mon sexe. Sylvie a une vue complète de mon clito, de ma grotte secrète et humide, de mes lèvres et de mon trou d'où dégouline ma mouille. Sylvie contemple mon sexe. Elle hésite un peu, ne sachant pas mes goûts. Elle attaque mon clito. Non pas là c'est trop sensible. La langue ne s'occupe pas de mes pensées. Sylvie lèche d'une façon remarquable. Puis elle descend sur mes lèvres qu'elle aspire. Soudain un pouce pénètre mon trou. C'est très bon. Je me retiens. Je ne veux pas jouir immédiatement une vulgaire chienne. Mais Sylvie ne s'arrête pas. Son majeur flatte mon anus. Je frémis, car j'adore cette caresse. JP m'a fait aimer la sodomie. Je pousse sur mon anus. Sylvie connaît ce genre de message. Elle presse doucement la pulpe de son doigt. Mon anus s'ouvre sans difficulté. Le doigt me pénètre jusqu'à la deuxième phalange. Les deux doigts bougent en cadence, l'un entre tandis que l'autre sort. Je sens venir mon plaisir. Une boule monte au creux de mon ventre. Je crie. Le plaisir fulgurant me fait fermer mes cuisses. J'emprisonne la tête de Sylvie et la bloque. Celle-ci ne s'arrête pas et continue son manège de va et vient tout en léchant mon sexe.
Soudain, Sylvie arrête ses caresses, et me laisse en attente et en manque ! Elle me pousse sur la table. Je m'allonge sur le dos. Sylvie m'embrasse sur la bouche, me caresse les seins, et met directement sa main sur ma fente. Elle me pelote la chatte mais rapidement le jeu cesse. La main de Sylvie passe par derrière, se loge entre les globes de mes fesses, plonge encore plus bas. Elle touche mon anus. Là, je crois que cela va se corser. Ma petite rondelle était habituée au chibre de JP, mais là c'est la main de Sylvie va me sodomiser, je le sens. Très lentement, un doigt entre dans mon boyau. Je pousse pour ne pas sentir de douleur. Une fois bien enfoncé, un deuxième arrive. C'est étonnant. J'ondule du bassin. Sylvie ne s'arrête pas en si bon chemin. Elle ajoute un troisième doigt. Je relâche mon anus de la même manière que lorsque JP m'enculait. Un quatrième doigt se joint aux autres. Je suis largement dilatée. Sylvie bouge ses doigts en moi pour me dilater, pour que mon cul soit plus large. Quelques minutes de répit me permettent de reprendre pied et mon souffle. Sans mot dire, les doigts se mettent en mouvement. La main se retire et entre en moi. Des douleurs surgissent vite effacées par une onde de plaisir pervers. J'accompagne les mouvements pour limiter l'envie de Sylvie de me défoncer. Soudain, la boule nait au creux de mes reins et remonte. Le plaisir me terrasse, violent, brutal. Sylvie me dit :
• Tu es une sacrée salope ! Tu aimes te faire manger la chatte par une fille… Et puis, juste deux doigts dans le cul et tu t'envoles au septième ciel !
Je jouis. Encore et encore, toujours de plus en plus fort! Les vagues de plaisir et de jouissance se succèdent telles celles de la mer. Je l'encourage :
• Continue, ne t'arrête pas ! Recommence, que je jouisse encore dans ta bouche de pute…
Sylvie est excitée par mes paroles licencieuses. Elle m'annonce:
• J'ai envie de me branler !
Je ne peux que l'encourager à avoir, elle aussi du plaisir :
• Vas-y, fais-toi plaisir, fais reluire ton coquillage, jouis aussi…
La respiration de Sylvie s'accélère. Contre ma cuisse, je sens son bras bouger de plus en plus rapidement. Elle me lèche de manière saccadée. Je sens sa jouissance arriver. Sylvie éclate de jouissance. Elle colle sa bouche contre mon sexe béant et dégoulinant de mes sécrétions. Elle hurle son bonheur dans ma chatte. Cette jouissance m'entraîne aussi dans le plaisir. Affalée contre mon entrejambe, Sylvie reprend son souffle. Puis elle me tire et me fait descendre de la table. Elle me libère les poignets et nous nous enlaçons. Nous restons un long moment dans les bras l'une de l'autre, savourant cet instant de bonheur partagé. Un grand moment, elles restent collées l'une à l'autre récupérant leur souffle. Puis doucement je commence à caresser Sylvie dans le dos en faisant courir mes ongles sur sa peau satinée. Sylvie ne peut se retenir et m'embrasse à pleine bouche. J'y ai pris goût et lui rend son baiser. Nous sommes sur le carrelage. C'est froid, mais ni l'une ni l'autre ne songeons à nous en plaindre. Je suis à plat dos. Sylvie m'enjambe. Je sais ce qu'elle souhaite et j'avoue ne pas y être opposée. Nous nous installons pour un 69 endiablé. J'écarte largement les cuisses. Sylvie dépose sa tête et ouvre à son tour largement son entrejambe. Nous nous suçons longtemps, amoureusement, cherchant à ce que l'autre atteigne le nirvana, plusieurs fois sans cesse.
Sylvie travaille de la langue, mon sexe de Julie, de l'autre main, elle me doigte. Je ne sais plus comme faire. Les orgasmes déferlent continuellement sans aucun répit. Quand enfin Sylvie s'arrête pour reprendre un peu de repos, je l'attaque sérieusement. Je fais tout ce que je peux pour faire jouir Sylvie. Elle explose enfin. Un cri déchire l'air de la pièce. Ralph se met à hurler à la mort, déclenchant un rire collectif. Après un long moment de répit, nous nous déplaçons vers la salle d'eau. Une douche s'impose tant nous dégageons un parfum de stupre et de fornication. Je passe un long moment dans la salle de bain. Sylvie est assoupie dans un des fauteuils du salon. Je me lave avec soin et délicatesse ma chatte tuméfiée par les caresses de Sylvie. Je vérifie mon épilation intégralement pour être totalement lisse, je me dirige vers la chambre pour m’habiller. Que vais-je bien pouvoir trouver pour que ma maitresse soit contente ? Je fouille dans ma valise. Je choisis une jupe à volants courte noire et un top assorti au décolleté généreux. Pour les chaussures j’optai pour des escarpins noirs à talon de 7cm. Pour les sous-vêtements, je ne sais pas si Sylvie aime ou non ! J’opte donc pour un string noir. Je reviens dans le salon. Il est vide. Sylvie est partie dans la salle d'eau. Je m'installe dans un fauteuil et attend le retour de ma maitresse. J’attends peu de temps. Sylvie arrive dans un peignoir d'éponge immaculé. Elle se plante devant moi et me pose une question :
• As-tu respecté les mêmes consignes qu'avec ton ancien maitre ?
Je sens le sang me monter aux joues. Sylvie comprend instantanément que j'ai pris des libertés avec ce que mon Maitre m'avait imposé !
• Non Sylvie !
Elle me rembarre immédiatement !
• C'est ainsi que tu m'appelles ? T'ai-je autorisée à m'appeler par mon prénom ?
Je bafouille devant le ton employé :
• Non madame !
• Bien, réponds à ma question !
• Non madame, je porte un string !
Son regard devient dur :
• Je me doutais que tu ne respecterais pas les consignes ! Que les choses soient claires, tu seras toujours sans sous-vêtements quand tu seras avec moi ! Compris ?
• Oui madame !
• Relève ta jupe et retire-moi cela !
Sans même décrocher un mot, je prends le bas de ma jupe et le relève à ma taille. Je glisse mes doigts sous l'élastique plat du chiffon de dentelle et le tire vers le bas. J'enjambe le fragile rempart. Sylvie m'ordonne :
• Donne !
Je lui tends mon string. Elle le met en boule et le met dans sa poche de peignoir. Elle me dit alors :
• Je suis fière de toi Sandrine ! Mais à l’avenir, tu devras obéir sans discuter du premier coup…
Je hoche la tête en signe d'acceptation des contraintes. Sans rien dire, Sylvie me laisse dans le salon et s'en va dans la chambre. Quelques minutes plus tard, elle revient. Je n'ai pas bougé d'un millimètre. Elle est vêtue d'une guêpière de dentelle noire, des bas Dim Up résille, de hauts talons. Elle est magnifique ainsi vêtue ! Mais elle passe devant moi sans un mot et se dirige vers la cuisine. Je me regarde dans le miroir installé au mur. L'image renvoyée me surprend. Je reconnais difficilement la salope soumise du reflet. Cependant j’adore me voir ainsi. Cela produit en moi une excitation forte et mes lèvres commencent à s'humidifier sérieusement. Je me dirige vers la cuisine pour retrouver Maitresse Sylvie. Elle prépare des pâtes au thon. En me voyant, elle s’exclame :
• Il te manque quelques accessoires… Va les chercher !
Je file au plus vite sur mes talons hauts vers la chambre. Je sais où sont "les accessoires" dont parle Sylvie. Je reviens avec mon collier de soumise et ma laisse. Je sais que ma maitresse sera exigeante et que je devrais lui obéir et la suivre partout où elle souhaitera m’amener. Après m’être équipée, je reviens. Sylvie est dans la cuisine. Elle prépare le repas. Elle saisit une assiette creuse, la remplit et la pose au sol avec ce commentaire :
• Ma belle, tu souhaites être ma soumise ?
• Oui maîtresse !
• Et bien chez moi les soumises mangent dans une gamelle à même le sol…
• Bien Maitresse !
A quatre pattes, je plonge mon nez dans les pâtes. Sylvie s'installe sur un tabouret haut. Elle me domine encore plus.
Une fois ma gamelle finie, Maitresse Sylvie me pose ma laisse. Elle tire sèchement et me conduit au salon. Elle veut m'indiquer le fonctionnement de notre relation.
• Nous sommes dimanche ! Tu pourras retourner chez toi en fin d'après-midi. Tu ne reviendras que vendredi en fin d'après-midi. En effet, je suis actuellement chef de bord sur la ligne régulière Paris CDG-Tokyo Narita. Je suis de retour le vendredi dans la nuit. Je te téléphonerai jeudi soir, et te donnerai mes directives ! Compris ?
Je l’écoute parler, et je sais déjà que je suis sa soumise.
• Viens je vais te montrer mes jouets !
Je la suis dans le couloir. Une porte, un escalier que nous empruntons. Nous arrivons dans une grande pièce en voute. Au fond, fixée au mur une croix de St-André, équipée de mousquetons à chaque extrémités. Elle me montre, accrochée au mur, sa collection de fouets, martinets et cravaches. Elle me prévient :
• Tu les testeras tous pour devenir ma soumise !
Elle ouvre le tiroir d'un meuble. Je découvre une très grande variété de sex-toys, de godemichés et des baillons boule.
• Voilà ce que tu vas connaître avec moi ! Cela te changera de ton Maître !!
Je suis abasourdie par le spectacle de son donjon. Mais Sylvie change du tout au tout. Elle si autoritaire quelques instants auparavant, devient douce, chatte, caressante. Elle vient alors me coller derrière moi, entourant mon corps de ses bras protecteurs. Ses lèvres couvrent mon cou de petits baisers tendres et chauds. Je gémis et frissonne à ces contacts. Elle se serre encore plus près de moi. Son corps épouse le mien. Je suis rassurée et je m'abandonne à ses caresses. Elle m'embrasse la nuque tout en dégageant mes mèches blondes. Elle descend le long de mon cou, embrassant chaque centimètre carré, jusqu’à mon épaule dénudée. Sa main a compris mon abandon et parcourt mon corps de la pointe des ongles, doucement, lentement. Elle parcourt le chemin en sens inverse. Ma peau frissonne, l’encourageant à continuer son manège. Elle vient maintenant titiller de sa bouche le lobe de mon oreille. Sa main continue d’explorer mon corps. Ses caresses ciblent à présent ton bas ventre et tes fesses. Sa main restée sur mon ventre reprend ses caresses avant de remonter le long de mon flanc. Je lui facilite le passage en ouvrant mes jambes. Ton sourire coquin et tes yeux pétillants m’en disent long et je comprends déjà qu’un feu ardent brûle en toi. Tes jambes s’enroulent autour de mes reins, tes bras m’enserrent, je deviens ta prisonnière. Ses mains ne sont pas en reste et viennent se placer sur mes fesses après être descendues lentement le long de ma colonne vertébrale, accompagnant le mouvement de mes reins. Ta tête est penchée en arrière et repose sur ton épaule. Elle continue de descendre dans mon cou non sans avoir auparavant joué avec le lobe de mes oreilles tout en me murmurant des mots tendres. Mes reins contre toi ont pris un rythme un peu plus cadencé. Elle me retourne. Sa bouche exécute la danse du plaisir et cible maintenant la vallée de mes seins qu'elle honore en dessinant des motifs imaginaires d'abord de la pointe de ma langue, puis avec des baisers et des caresses mouillées. Elle arrive à mes seins aux pointes déjà arrogantes et fières. Elle les embrasse, l'une après l'autre, avant de venir énerver la première de sa bouche et d'agacer la seconde entre son index et son pouce. La pointe de mon sein roule sous sa langue. Elle la mordille, la dévore ensuite... Mes nouveaux gémissements invitent ses mains à descendre plus bas. L'une se dirige vers l'antre de mon plaisir, qui attend avec impatience. Elle m'embrasse le ventre. Mon mont de Vénus s'offre enfin à elle. De nombreux baisers s'éparpillent sur ma peau lisse et imberbe, de l'aine, là où c'est si sensible et douce à la fois à l'intérieur de ma cuisse. Elle dévore l'intérieur de chacune de mes cuisses, remonte sur mon pubis. Ses lèvres glissent maintenant sur mon sexe déjà trempé par le désir et y déposent baiser sur baiser. Mon odeur enivrante du plaisir l'invite à jouer avec mon bouton magique qu'elle fait rouler d'abord sous ses lèvres, puis sous sa langue. Elle débusque délicatement mon petit bourgeon de sa cachette et le déguste goulument après l'avoir dardé de sa langue. Elle jongle avec, le fait rouler, dans un sens puis dans l'autre, tourne autour, l'aspire, le lâche pour mieux le gober ensuite. Mes reins ne se retiennent pas. Les mouvements s'accélèrent. J'ai envie d'aller plus loin.
Sylvie me retourne et la main sur la nuque, m'oblige à m'allonger sur le plateau. Elle m'écarte les pieds. Un ordre fuse :
• Ne bouge pas !
Je l'entends manœuvrer des objets. Puis elle s'approche de moi. Je regarde discrètement derrière moi. Sylvie s'est affublée d'un gode ceinture. Il est long d'environ 25 cm, d'une couleur rouge et translucide. La ceinture est en cuir noir. En plus du sexe principal, il y avait un autre sexe installé à l'opposé du premier. Ce sexe doit probablement être introduit dans le sexe de la femme qui porte la ceinture.
Je l'interroge :
• Tu ne vas pas t'en servir ?
Elle rit et me détrompe aussitôt !
• Pourquoi pas sur toi ?
Je suis stupéfaite. Je me sens rougir. Sylvie s'approche de moi et m'embrasse à pleine bouche.... Je suis pétrifiée et je ne bouge pas ! Le baiser de Sylvie dure un grand moment. C'est très agréable. Sylvie me caresse les seins. Elle descend et elle empaume mon sexe. Sa main me caresse le sexe Elle me doigte, me triture les lèvres. Je ne me contrôle plus. Quel plaisir, quel bonheur ! Ses seins caressent mon dos. Cela m'excite. Je suis toute mouillée, mes tétons sont durs. Je commence à la caresser. Elle aussi est toute mouillée. Ses seins pointent comme les miens. Sa peau est douce et ses gestes sont d'une tendresse étonnante. Sylvie resserre la ceinture autour de sa taille. Elle s'enfonce le sexe du gode dans son vagin. Sylvie manœuvre un petit boitier. Le gode ceinture vibre doucement.
Elle présente l'extrémité du gode à mon vagin. J'ai un peu de crainte. Elle enfonce lentement doucement le gode dans mon sexe. C'est avec surprise que je constate l'entrée très aisée du gode dans mon ventre. Je suis en effet très excitée. Il rentre très facilement. Elle me pénètre à fond. Je sens les vibrations dans mon vagin. Je deviens complètement folle et super excitée. Le gode bute contre le col de mon utérus et m'induit une légère douleur. Vu sa longueur, cela ne m'étonne qu'à moitié ! Elle accélère le mouvement tout en me tenant par les hanches. Je crie de plaisir mais aussi de douleur. Sylvie cogne au fond de moi. Je crie ! Mais Sylvie ne cesse pas pour autant. Elle me défonce comme une malade. Tout à coup, elle crie, hurle de plaisir. Elle me pilonne de toutes ses forces et cherche à entrer encore plus le gode en moi. Elle me prend en levrette. Elle jouit et elle s'écroule sur mon dos, vidée de toutes ses forces. Je n'ai pas joui car la douleur au fond de moi persiste. Les vibrations du gode dans mon vagin n'ont pas cessé. C'est après une bonne demi-heure que Sylvie libère mon sexe du gode vibrant. Elle me relève et me conduit à la salle de bains. La douche est la bienvenue.  
Après un grand moment de bien-être sous la pluie chaude de la douche nous nous retrouvons. Je constate que nous sommes complémentaires. Sylvie remplace JP, sans être un dominateur mâle. C'est une femme, une femelle ! Je constate qu’une femme dominatrice est différente d’un homme. L’homme joue sur sa puissance, la femme sur sa connaissance du corps féminin. Elle sait comment faire mal et comment faire du bien. Nous sommes allongées sur le flan. Nous nous faisons et nous caressons sans retenue. Sylvie s'attarde sur mes jambes longues et douces, pendant que je l'embrasse tendrement dans le cou. Nous nous embrassons comme deux amantes. Nous sommes emportées par notre fougue, transportées loin de toute autre préoccupation que le partage de plaisir inconditionnel. Nos corps se rencontrent se frôlent se découvrent. Nous sommes en communion complète et totale. Chaque parcelle de nos corps est choyée, adorée. Sylvie me bascule sur le dos. Ma tête repose sur l’oreiller. Des pensées lubriques ne cessent de se succéder dans mon esprit. Sylvie, s’installe à quatre pattes au-dessus de mon corps frémissant. Elle se penche et met ses seins à portée de ma bouche. Sans aucune hésitation, je suce son offrande. Je me régale de ses tétons, les lèche, les mordille, les aspire. Nos mains s’aventurent chacune vers le fruit défendu de l'autre. Nous nous masturbons sans retenue. Nous accentuons nos cajoleries sur nos clitoris et collaborons à l'humidification de nos deux orifices. La cyprine se répand, comme ma salive sur les melons exquis de Sylvie. Nous avons le souffle court. Sylvie modifie nos positions. Elle nous invite dans un 69 qui va devenir époustouflant. Positionnées l’une sur l’autre, nos mains attirant nos culs contre nos bouche, nous nous faisons des cunnilingus vertigineux. Nos sexes dégoulinent de notre plaisir. Sylvie accélère ses léchages et déclenchent un puissant orgasme accompagné d'un hurlement assourdissant comme j’en ai l’habitude. Je m'évertue à la faire jouir elle aussi. Ma langue passe de son vagin à son clito. Elle émet un cri étouffé, preuve que j’ai réussie. Sylvie n’en reste pas là. Elle me positionne en levrette sur le lit. Je me doute qu’elle va se servir de mon troisième et dernier orifice. Elle s'approche à tâtons de ma croupe et s'agenouille à distance. Elle m’écarte les cuisses pour s'offrir un libre accès à ma rondelle qu’elle désire. Elle enfonce trois doigts d'un seul coup dans mon sexe pour récupérer mon lubrifiant naturel. Elle s'incline et aventure sa langue sur ma rondelle fripée. Elle me pratique « une feuille de rose » Ses doigts ne restent pas inactifs dans mon sexe. Après avoir copieusement arrosé ma rondelle de sa salive et retiré ses doigts de mon vagin, Sylvie pose ses paumes sur mes globes fessiers. Elle les écarte au maximum s’ouvrant ainsi l'espace nécessaire pour immiscer sa langue dans mon anus. Elle ne cesse les va et vient de sa langue dans mon petit trou du cul. Puis, c’est un doigt qui m’investit. Il furète en moi, teste l'élasticité de ses parois. Un deuxième doigt entre en jeu et rejoint le premier. Sentant ma résistance à cette double pénétration, Sylvie retire ses doigts. Je tourne la tête et la vois se saisir d’un pot de lubrifiant. Elle m’en badigeonne le cul sans réserve. Ses doigts reviennent et entrent sans difficulté dans mon anus. Je me trouve alors sodomisée par ces doigts qui contribuent à ouvrir mon petit trou. Sylvie remue derrière moi. Elle s’harnache d’un god ceinture. Elle décide de remplacer ses doigts par l’olisbos. Ma rondelle cède doucement à la lente poussée de Sylvie. Mon cul absorbe sans trop de difficulté la pointe de sa dague. Sylvie se cramponne fermement à mes hanches. Elle pousse sans violence mais surement. Elle me perce progressivement l’anus. Le reste de son sexe factice entre en moi. Il prend sa place. L'étroitesse naturelle de mon cul est considérablement atténuée grâce à la lubrification. Mon ventre est plein, remplit de ce chibre plastique. J’ai envie d’être saillie avec frénésie par Sylvie. Mes entrailles sont envahies en profondeur pour le plus grand contentement de ma moitié. Je suis et me sens remplie, je brûle du désir inexprimé et irrépressible d'être saillie avec frénésie par mon compagnon. Je plonge mon visage dans les draps et ferme les yeux fermés, concentrée sur le plaisir naissant procuré par la sodomie. Sylvie ne bouge plus. Elle me sait impatiente et désireuse, d’être pourfendue. Le membre en bonne partie disparu dans mes entrailles, m’apporte un plaisir inattendu.
Sylvie commence ma sodomie, son pieu factice coulisse en moi. Le rythme est très modéré, dans l'objectif évident d'une réadaptation prudente de mon anus à la sodomie. Les fluctuations se révèlent donc mesurées et leur vitesse n'augmente qu'au fur et à mesure du bon vouloir de Sylvie. Puis, elle pose ses mains sur mes épaules et m’attire vers elle, m’empalant sur sa verge. Mon cul est investit d’une poussée dévastatrice. Sous la surprise, je crie mais je ne fuis pas la pénétration. Je reste à quatre pattes grâce à la pression des mains de Sylvie. La poussée brutale me coupe le souffle. Sachant que les cris ne révèlent que mon plaisir, Sylvie accélère brutalement l'allure. Elle me sodomise sans retenue. Mes cris sont répétés à chaque poussée. Des vagues de plaisir secouent mon corps perforé. Sylvie redresse ma croupe, accentue ma cambrure et se relève. Elle se met debout, les jambes fléchies, pour me pilonner. Ma main droite se faufile sur mon clitoris et le manipule avec entrain. L'action conjuguée sur mon clito et de la sodomie puissante me transporte. Les vagues de plaisir se transforment en un gigantesque raz-de-marée. Mon corps est secoué de spasmes, je hurle de jouissance. Je suis vidée, exténuée, presque à bout de forces. Sylvie extrait le gode ceinture d'entre mes fesses et s'extasie devant mon orifice béant, foré par un marteau-piqueur redoutable. Je me laisse choir sur le lit, m'allonge sur le dos, le bras gauche étendu contre mon corps, source de tant de ravissement. Sylvie me surplombe, débarrassée du phallus artificiel. Elle est transpire à grosses gouttes. Son souffle est court. Elle me prend dans ses bras. Nous restons enlacés ensemble l'espace de quelques instants. Notre souffle se calme. Nous nous positionnions sur le flanc, pour conclure ce rapport sexuel. Nous nous retrouvons étroitement imbriquées. Nos deux corps ne continuent à former qu'une seule entité. Je caresse de mes mains baladeuses tout le corps de ma maîtresse. Nous échangeons un baiser tendre et amoureux. Après que nos lèvres se soient séparées, je me blottis davantage encore contre Sylvie. Nous cédons toutes deux à la fatigue et nous endormons immédiatement.
Ce sont les aboiements que Ralf qui nous font ouvrir l’œil. Je me redresse. Il est 18h30. Je pousse Sylvie hors de la couette.
• Sylvie, te rends-tu compte de l’heure qu’il est ?
Sylvie grogne :
• Pas du tout et je m’en fous !
• Il est tard et j’ai 3 heures de route à faire !
Je gicle des bras de ma Maîtresse et pars à la course vers la salle d’eau. La douche me ravigote et je me décrasse des miasmes de cette après-midi houleux que nous venons de vivre. Je refais mon sac. Sylvie est levée. Elle s’est enroulée dans la couette.
Elle m’embrasse langoureusement. Ralf me fait la fête quand je sors. Le Cayenne de JP est là. Je rentre chez moi.

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