Les Fantasmes De Sandrine 21

• 21 – LA VIE SANS JP

Le lundi matin j’ai ramené le Porsche Cayenne de JP à la concession. Une surprise m’y attendait. JP m’a offert un spider Porsche, noir magnifique. Finie, ma vieille Alfa Roméo.
Je suis allé au travail, quelque peu bouleversée des changements qui viennent de se dérouler depuis ce week-end.
Tout se passe tranquillement. Je rentre le soir dans une maison vide. Personne ne m’attend. C’est très triste.
Mais maintenant, je ne vis que dans l’attente du vendredi soir, car je remonte sur Paris. Sylvie revient le jeudi soir et dort le vendredi pour récupérer du « jet-lag ».
C’est avec beaucoup de joie que je prends la route ce vendredi. Lorsque j’arrive, Sylvie m’accueille avec beaucoup de chaleur. Elle aussi est très heureuse de me revoir. Je décharge mon sac et nous nous retrouvons à papoter dans le salon. Sylvie m’offre un verre que je refuse. Elle se sert un Pineau des Charente. Sylvie me questionne sur ma semaine. Je ne lui réponds pas instantanément. Elle m’interroge :
• Tu réfléchis ?
• A quoi donc ?
• A ta condition de soumise !
• Eh alors ?
Je lui explique :
• Depuis que j’ai découvert le SM, je ne suis pas attirée par les femmes. Pourtant avec toi, tout a changé ! Je me laisse dominer et j'y prends un plaisir inouï. Même une domination un peu me fait jouir. Lorsque tu me fesses avec un martinet par exemple, pour me punir, tu cherches à me corriger à rougir la peau de mes fesses. J’adore être attachée sur le lit avec les yeux bandés. Puis lorsque tu me pénètres avec divers objets, des godes bien entendu, mais aussi des choses plus insolites, je suis à toi, je ne te refuse rien. Tu me pousses à faire ou à subir des choses perverses et à jouir plus fort.
Le désir mutuel d'explorer notre féminité a vite fait de taire nos bavardages habituels. Souriante, je me laisse tomber dans le fauteuil en cuir... Mes doigts impeccablement vernis défont les quatre premiers boutons de mon chemisier en soie écru, dévoilant un soutien-gorge également de soie, de couleur assortie.

J’aime ma poitrine généreuse. Je sors mon sein gauche de mon soutien-gorge. Prenant le téton durci entre le pouce et l'index, j’en pince la pointe, la faisant tourner entre mes doigts. L'autre main relève ma jupe. Je tâte mon sexe. J’aime la sensation de la soie sur ma bosse intime épilée. Ce strip-tease improvisé me met en émoi. Le regard de Sylve se voile. Je suis certaine que son sexe s’est humidifié. Sylvie pose le verre sur la table. Je me dénude complètement, me couche sur le canapé de cuir bleu marine. Sylvie s’approche de moi. Elle me masse les épaules. La caresse me détend immédiatement. Ses doigts agiles travaillent sur mon corps.
• Déshabille-toi Sylvie !
Sylvie ôte son peignoir blanc. Elle est en string blanc, la poitrine nue, malgré ses seins très pleins. Elle enlève la dentelle arachnéenne. Aussitôt, Sylvie m’enjambe. Nos sexes libres de toute pilosité entrent en contact. Sylvie s’empare de ma bouche. Sa langue force mes lèvres qui cèdent rapidement devant mon envie.
J’emprisonne les seins de Sylvie, assise à califourchon sur elle, et frotte son sexe mouillé contre celui de la jeune femme qui gémisse discrètement. Je prends les seins de ma maîtresse exigeante dans ma bouche, un à un, suçant les bouts durs comme du fer avec force. Rapidement, Sylvie, comme d'habitude, change de position. Elle m’impose un 69. Nos langues découvrent les puits de nos sexes. Il nous faut que quelques minutes pour parvenir à nos fins. Nous jouissons à l’unisson.
• Mmmmmm Sandrine, tu es toujours aussi efficace, murmura Sylvie.
Elle baise de nouveau ma bouche. Je me lève pour aller dans la salle d’eau, mais Sylvie l'attire contre le canapé et me renverse. Elle colle sa bouche contre mon sexe, encore dégoulinant de cyprine, et enfouit une langue dure dans mon sexe me faisant jouir une nouvelle fois. Une nouvelle fois nous nous retrouvons dans la douche. Sylvie me lave avec un soin méticuleux. Je lui pratique les mêmes caresses.
Nous nous installons pour le diner.
Saumon fumé, foie gras et toastes chauds, le tout arrosé d’un Sancerre blanc frais ! La discussion court sur nos jobs respectifs. Le dîner tirait vers sa fin.
Sylvie me dit :
• J’apprécie énormément ta compagnie et aussi ta culture.
Je porte une robe transparente, et Sylvie ne perd pas une goutte du spectacle offert.
• J'aime ta robe ! me murmure Sylvie !
Le vin aidant, elle pose sa main sur ma cuisse. Je prends cette main et contrairement à ce que crut Sylvie, je la guide vers mon sexe, sous la table. Sylvie, encouragée par cette invite, fouille entrejambe pour atteindre mon bouton d’amour. Je suis tout simplement inondée. Sylvie se lève. Elle me porte un verre aux lèvres, sa main palpant mes seins visibles sous ma robe, les bretelles de sa propre robe descendues sur ses épaules, laissant voir sa poitrine libre de soutien-gorge. Sylvie fit descendre sa robe complètement, se caressant les seins et se pinçant les tétons devant moi. Je ne résiste pas et colle mes lèvres sur les pointes des seins de Sylvie, les tétant avec volupté.
Sylvie palpe mes seins ronds et dégrafant ma robe dans mon dos, libère ma poitrine, la caressant, léchant mes mamelons clairs. Sylvie tombe à genoux, écartant ma culotte. Elle enfouit son visage dans mon sexe et commence à me lécher. Je l’encourage par mes gémissements, mes cris de plaisir et mes avancées de bassin. Sylvie me prend par la main et m’amène vers la chambre. Elle se dénude complètement. Sa bouche rejoint ma vulve et reprend sa stimulation. Mon sexe s’épanouit et déverse un flot de mouille épais et odorant. Sylvie guide ma tête vers son ventre. Elle prend ma tête entre ses mains et la pousse vers son sexe affamé. Instantanément, ma langue pointe vers le centre de plaisir de Sylvie. Je la lèche comme une folle. Sylvie ne résiste pas et lâche des gémissements de volupté. Je m'attaque à sa perle de plus en plus rapidement, happant sa vulve, sa suçant, sa mordillant. Sylvie se raidit, l'orgasme la surprend.
Elle jouit contre ma bouche. Sa liqueur dégouline sur ses cuisses et macule mes joues. Elles s’affalent su le lit et récupèrent doucement. Depuis mon arrivée chez Sylvie, je suis la plus heureuse des femmes et Sylvie est une parfaite amante. Nous somnolons un peu puis partons prendre notre douche séparément, de peur de partir encore dans des délires physiques. Sylvie descend préparer le diner. Je me change et décide d’allumer ma maîtresse. J’enfile un top très léger et très décolleté découvrant la naissance de mes seins, sans manches, ainsi que d’une jupe légère m’arrivant à mi-cuisses. Je chausse des escarpins fermés en pointe sur le devant et ouvert derrière, retenus par une boucle à l’arrière de la cheville. Les talons sont vertigineux. Sylvie ne dit rien lorsque j’apparais dans le salon. Mais je sais qu’elle mate mon décolleté. Il faut dire que je ne rate pas une occasion de me pencher sur la table pour des prétextes futiles. Nous dinons tranquillement. A la fin, Sylvie n’y tient plus. Elle attaque bille en tête sur le mode de la plaisanterie.
• Dis-moi au fait, t’as mis une culotte ce soir ?
• Devine ?
• Je suis sûre que oui !
• En effet, puis une belle en plus !
• Je peux la voir ?
• Je ne sais pas si tu as été suffisamment sage pour avoir une telle récompense !
Sylvie me fait les gros yeux comme pour me gronder. J’éclate de rire. Puis redevenant sérieuse, je jette un coup d’œil derrière moi, comme si quelqu’un pouvait me voir
Je me dégage de la table, me lève, la regarde fixement dans les yeux.
• C’est bien parce que c’est toi !
Je soulève alors ma jupe. Mes mains tremblent légèrement. Je remonte ma jupe jusque sur mon ventre, je découvre mes cuisses et une superbe culotte en dentelle beige totalement transparente laissant apercevoir mon sexe totalement imberbe. Sylvie avale difficilement sa salive et racle un peu sa gorge avant de me dire :
• Tu es belle, super sexy ! Merci ma chérie ! 
Le rouge me mont aux joues.
Je me rassois en baissant ma jupe et en croisant les jambes. Sylvie ne se gêne pas pour faire courir son regard sur mes cuisses dénudées. Je la fixe et me lance :
• Ça te plait ?
• Enormément ! JP avait vraiment beaucoup de chance !
• Mais maintenant, il n’est plus là … et c’est toi qui le remplace !
• Pour moi, tu es vraiment magnifique, très sensuelle, très sexy, j’adore tes jambes … et puis ta très jolie chatte me plait beaucoup !
Je rougis de plus belle.
• Je l’ai faite épilée hier !
• Tu sais, Sandrine, tu me fais bander !
Clouée par la réponse de Sylvie, je reste coite. Sylvie prépare le dessert, une poire belle-Hélène et me sert. Elle ne peut s’empêcher de passer sa main sur mon épaule et de descendre son mon sein. Je la tance :
• S’il vous plait, Madame pas de privautés pendant les repas !
Sylvie grince entre ses dents :
• Espèce de petite salope, tu vas voir comment je vais te mater !
Elle reprend place mais glisse sa chaise plus près de moi. Ne pouvant se retenir plus longtemps, elle glisse une main sur mon genou. Je joue mon rôle de salope. Je repousse sa main une première fois. A la deuxième, je me laisse caresser rapidement sa cuisse, écartant légèrement les jambes pour lui laisser le passage. Mais je resserre aussitôt les cuisses. Sylvie me regarde d’un air furibard. Mais j’arrête le supplice. Je me lève et remonte ma jupe devant elle. Debout, je baisse ma culotte jusqu’aux chevilles dévoilant ma chatte lisse. Je tiens ma jupe sur mon ventre. Je lui dis :
• Alors, ça te plait ?
Elle se lève et prend ma main, la passe sous sa jupe. Mes doigts entrent en contact avec son sexe. Il est trempé !
• Regarde si ça me plait !
Nous nous tenons debout face à face. Nous nous frottons puis elle malaxe mon entrejambe et m’embrasse goulument. Nous nous embrassons encore quelques secondes, puis rejoignons la table. Nous terminons notre diner. Nous gagnons le salon. La soirée se prolonge devant le feu de cheminée et avec un fonds musical. Dès qu’elle le peut, Sylvie sa main sur ma cuisse. Moi aussi je passe la main sur sa cuisse dès que l’envie se fait sentir.
Mais Sylvie ne peut rester ainsi sans action. Elle se lève et m’ordonne :
• Couche –toi sur le dos et masturbes-toi !
Brutalement, la maîtresse est là. Elle m’intime l’ordre de m’allonger sur le tapis devant la cheminée, cuisses largement ouvertes.
• Vas-y branle toi, écarte les lèvres de ta chatte de putain… Ça te plait ? 
Ma main frotte mon sexe comme pour le laver le récurer d’une saleté imaginaire.
• Oui ça me plait d’être ta soumise ! C’est bon !
Elle m’enfonce les doigts dans ma chatte et entame un va et vient furieux. Elle m’ordonne de nouveau :
• Branle-toi ! Caresse tes nichons ! Ne t’arrête pas !
Sylvie monte l’escalier quatre à quatre. J’attends dans le salon en me faisant reluire le mieux possible. Elle revient rapidement. Elle fait voler sa robe et apparait nue hormis ses bas noirs et ses talons hauts. Dans sa main dépasse un objet que je reconnais immédiatement. C’est son gode ceinture. Je l’agace :
• Je te plais, ça va ? Suis-je assez bien bandante, bien putain? 
Sylvie me regarde comme un regarde une pâtisserie !
• Oh oui ma salope, je vais te baiser !
Mon désir est violent :
• Baise moi je suis ta pute, ta soumise, ta chienne en rut…
Elle s’harnache. Elle s’approche de moi, me roule une pelle et m’intime de relever haut mes jambes. Elle me fourre un doigt dans la moule. Je suis béante. Elle s’agenouille entre mes cuisses largement écartées. Elle enfonce sans problème le gode dans ma chatte et commence à me limer sans ménagement. Je gémis :
• C’est bon ta queue en moi !
• Ça te plait soumise ?
• Oui, vas-y, baise-moi bien fort, c’est trop bon de se sentir salope !
Sylvie pour la première fois cde ce week-end se lâche complètement :
• Je vais t’enculer, tu t’es déjà fait enculer salope ? 
• Non! Jamais par une femme ! Vas- y, c’est toi qui mérite le plus mon cul je te l’offre, défonce moi comme tu veux! 
Elle sort le gode de ma chatte. Il lui de ma cyprine. Elle badigeonne mon anus étroit. Trouvant que je ne suis pas assez humide, elle bave sur ma rondelle et présente le nez du gode à mon anus. Elle enfonce le début dans mon cul. Surprise je pousse un petit cri de douleur.
• Aie aie vas-y doucement !
Elle pousse doucement tout en me fixant.
J’ai un peu peur. Sylvie le voit dans mes yeux, mais nous en avons envie toutes les deux. Je lui demande alors :
• Pousse !
Lentement, l’olisbos s’enfonce dans mon étroit conduit. Je suis serrée. Depuis plus d’un mois, personne n’a franchi ma rondelle fripée. Je me mords les lèvres. Sylvie commence des aller-retour dans mon cul dilaté. Elle me baise violemment par l’arrière.
• Alors tu aimes soumise ? 
• Oui maîtresse, ça fait mal mais c’est bon… Baisez-moi le cul, défoncez-moi !
Elle me sodomise sans ménagement. Le plaisir commence à m’envahir et me fait délirer. Je tiens des propos indécents :
• C’est bon d’avoir ton gode dans le cul, je suis une grosse salope qui se fait enculer !
Je ne me retiens pas de jouir plusieurs fois. Mon cul serré accepte la pénétration et multiplie ma jouissance. Soudain, elle se retire. Je ne bouge pas, reste en position. Sylvie a disparue de mon champ de vision. Un claquement et une douleur violente me rappelle à l’ordre. Sylvie a apporté une cravache et me cingle. Une première bordée de coups de cravaches tanne sur mon cul laiteux qui rougit instantanément. Sylvie m’explique :
• Tu ne mérites que ça, tu n’es qu’une chienne en rut et voilà comment je les punis salope 
Je lui réponds, heureuse de retrouver enfin une maîtresse :
• Oui je le mérite ! Ça fait mal !
Mais inconsciemment sous la douleur, je me mets à jouir encore. Sylvie s’en rend compte. Elle cesse immédiatement la manœuvre. Elle me regarde me tordre de douleur. Elle me présente le manche de sa cravache à ma bouche. Je le suce comme je le ferais d’une queue. Enduit de salive, elle m’enfonce le manche dans la chatte. J’accepte cette intromission brusque. Sylvie m’ordonne :
• A quatre pattes salope !
Je m’exécute. Elle me bloque les mâchoires avec une boule en cuir qu’elle me fixe avec une bande élastique. Elle me glisse un collier de chien autour du cou. Elle saisit la laisse et me fait faire le tour de la pièce et prenant soin de contourner chaque meuble. Nous revenons sur le tapis :
• Dépêche-toi, à genoux et suce-moi! 
Je ne me fais pas prier. J’enfourne la queue factice et taille une pipe de rêve. Mais Sylvie ne peut contenir son envie. Elle se débarrasse de son gode et me présente sa chatte baveuse. Je me délecte de son jus. Sylvie crispe ses mains sur ma chevelure m’imposant un appui fort de mon visage sur son sexe. Un hurlement retentit. Sylvie s’écroule à genoux et jouit bruyamment. Nous récupérons lentement de cet épisode d’une violence inouïe. La douche est la bienvenue et nous allons nous coucher dans le lit que nous avons refait depuis cet après-midi.
C’est un pâle rayon de soleil qui filtre à travers du volet qui me sort de mon sommeil. J’ai la sensation que quelqu’un me regarde. J’ouvre un œil, puis l’autre. Mon impression ne m’a ta trompée. Sylvie est installée sur un coude et me regarde. Ma main depuis un bon moment s’est nichée entre mes cuisses et je me caresse distraitement.
Sylvie constate mon action masturbatoire. Dès que j’ai vu qu’elle me regardait, je continue de me branler doucement. Elle se penche sur moi, je me suis doutée qu’elle avait des intentions assez claires.
• Bonjour Sandrine… As-tu bien dormi ?
• Oui ma maîtresse adorée… et vous ?
• Très bien ! Tu es belle, Sandrine, tu me fais envie.
Elle m’embrasse. Ses lèvres se posent sur les miennes et nos langues se jouent ensemble dans nos bouches. Je continue à laisser ma main sur ma chatte. Doucement, elle pose une main sur mon sein. Elle me pelote longuement, doucement. Tout ce qu’elle me fait en me caressant est toujours très doux sans doute à cause de sa peau douce dans les paumes. Je m’arrête de me donner du plaisir. Je prends une initiative brutale. Je passe une main dans une jambe de son short de nuit. La peau à l’intérieur de sa cuisse est douce. Je remonte très haut pour arriver sur sa chatte. Elle est mouillée. Je la branle un peu. Sylvie vient près de moi pour me caresser encore un peu. Cette fois mon sein ne suffisant pas, elle pose directement sa main sur mon sexe. Je sens la chaleur de sa main sur ma chatte. Elle appuie doucement par pressions successives. Aussitôt mon sexe s’humidifie. Moi je n’ose pas faire grand-chose d’excitant. Il faut dire qu’avec les jambes écartées je ne suis bonne qu’à me faire mettre. Alors je me laisse aller à ce qu’elle veut. Elle m’excite et me dit sans honte :
• Je veux te baiser mais commençons par un 69 !
J’adore cette caresse réciproque ! Elle m’enjambe au-dessus de moi. Ses genoux encadrent mon visage. Elle me monte son sexe. Son clitoris ressort de ses lèvres. Il est gonflé et tout rouge. Sa langue s’empare de ma chatte.
• Sylvie, lèche-moi !
Pendant un long moment, elle s’amuse avec mon sexe. Tout est léché aspiré : mon clitoris, mes lèvres sont nettoyées. Elle me fait jouir. C’est un orgasme complet ! Incroyable, une langue de femme qui me fait cet effet-là !
Sylvie ne s’arrête pas là ! Sa langue, de plus en plus gourmande découvre mon anus. Elle me lèche le cul comme elle me lèche le clitoris. Puis sa langue en pointe entre doucement dans mon fondement. Mais avant d’introduire sa langue j’ai encore une fois perdu pied et je jouis encore une fois. Je ne sais plus comment me mettre. Sylvie doit lire en moi et devance mes envies. Je souhaitais ton retour pour participer. Sa langue entre en moi. J’ai bien ouvert mon cul comme quand je me fais enculer. Le fait de savoir que c’est sa langue qui me pénètre, j’ai encore un orgasme. Nous basculons sur le côté. Je commence à la branler. Je la caresse entre les jambes. Je trouve vite son clitoris. Elle est drôlement mouillée. Je lèche son clitoris durci. Elle ne résiste pas longtemps. Je sens sa jouissance sous ma langue. Je sens les spasmes incontrôlés de son ventre. Elle jouit avec toujours le même gémissement plaintif. C’est alors que Sylvie me dit :
• Dit donc, c’est bon ce que tu me fais ! Recommence !
Je recommence. Je lui mets trois doigts dans son vagin. C’est comme une bite d’homme ! J’innove même en mettant un doigt dans son cul. Elle ne résiste pas plus. Elle explose en partant presque en syncope. Je la laisse reprendre ses esprits et lui prends un téton dans la bouche. Il était dur comme de la pierre. C’est alors que Sylvie me demande :
• Prend le gode ceinture et sodomise-moi !
Je m’installe avec cet attirail que je n’ai jamais utilisé. Puis Sylvie se positionne à genoux, le cul relevé. Elle prend ses fesses à pleines mains et les écarte. Je pointe le bout du gland factice et pousse. J’entre aisément dans le cul de Sylvie ma maîtresse. Mais je constate rapidement que sa main droite délaisse sa fesse et disparait sous son ventre. Je vois que Sylvie allie à l’enculage, une bonne masturbation !
Nous trainons un peu dans nos draps dévastés. Puis c’est le levé, agrémenté d’une bonne claque sur mes fesses de la part de ma maîtresse. Nous allumons la cheminée et déjeunons en face de ce feu. Mais chasser le naturel, il revient au galop ! Sylvie s’approche de moi et m’embrasse dans le cou.
• J’ai envie de toi ! 
Pour appuyer son affirmation elle vient très près de moi.
• Tu es insatiable !!
Elle pose ses lèvres sur les miennes. Je réponds au baiser. Je passe ma main sous sa chemise de nuit. Je lui caresse les seins. Elle me rend mes caresses. Je glisse une main par la jambe de son short de nuit et remontant vers sa chatte. Elle ouvre largement les cuisses et me permet de débusquer rapidement son clitoris entre les lèvres de son sexe. Je la branle. Je lui triture son bouton d’amour. Satisfaite de mes traitements, elle ouvre plus largement les cuisses et m’offre encore plus son sexe. J’enfonce deux doigts dans ce sexe avide de pénétration. Je continue de caresser son clitoris et la pistonne de mes doigts. Sylvie devait avoir une très grosse envie. Elle jouit en grognant et en propulsant son sexe contre ma main. C’est alors qu’elle cherche à s’occuper de men sexe. Elle veut me faire jouir à mon tour. Je ne refuse pas sa masturbation, bien au contraire. Je l'embrasse tant qu’elle me branle le sexe.
Puis elle m’interroge :
• Veux-tu que nous jouions avec le gode ?
• Si tu as envie de prendre du plaisir de cette manière, je suis d’accord !
Sylvie va chercher l’objet de nos convoitises dans la chambre. Elle revient avec un engin noir de taille impressionnante. Je la questionne !
• C’est le même matériel qu’hier soir ?
• Non, c’est celui que j’utilise personnellement !
Je réponds :
• Mais il est énorme ! Tu te le mets dans le sexe ou bien tu te sodomises avec ?
• Dans le con ou le cul, cela dépend de mes envies...
Voyant mon étonnement, je me dis :
• Je vais te montrer !
Elle commence tout d’abord par sucer le gland volumineux. Rapidement, il devient luisant de la salive de Sylvie. D’une main, elle écarte ses lèvres et de l’autre elle approche l’énormité noire. Elle le rentre lentement dans son sexe. Puis par de lentes impulsions, je vois le corps massif de gode entrer entre les lèvres purpurines de son vagin. Elle le pousse bien à fond dans son ventre. Je suis baba ! Je ne pensais pas que nos sexes pouvaient absorber un tel mandrin. C’est alors qu’elle commence sa masturbation. Au début celle-ci est lente et profonde. Mais petit à petit, le rythme de sa main s’accélère et devient frénétique. Je lui caresse les seins et l'embrasse pendant qu’elle jouit. Sylvie est bruyante ce matin. Un cri surgit de son être, quelque peu bloqué par mon baiser à pleine bouche. Elle s’appuie sur mon épaule pour reprendre son souffle. Mais c’est mal connaître Sylvie. Elle récupère très vite. Aussitôt, elle se positionne sur les genoux, le cul en l’air. Elle positionne le gland gluant de ses secrétions vaginales sur son petit trou. Etonnée, je regarde avec intérêt comme ma maîtresse s’encule ! C’est à partir de tous petits mouvements qu’elle commence. Elle le rentre légèrement, le ressort, lentement, très lentement. Je remarque que son anus s’anime. Il s’ouvre et se ferme et doucement, il devient de plus en plus accueillant pour l’énorme gland. Progressivement, l’objet entre dans son fondement. Sylvie respire bruyamment et puis son cul s'ouvrit de lui-même, largement. L’olisbos entre complètement jusqu’à la base. Dès cet instant, Sylvie se masturbe le cul avec une frénésie étonnante. Le gode entre et sort de son cul avec une rapidité surprenante. De l’autre main, elle se frotte le clitoris avec rage. Voyant qu’elle va jouir, je lui retire la main de son sexe et applique ma bouche sur son coquillage. Je la suce avec entrain. Sylvie reprend le chemin du septième ciel. Un hurlement traverse la pièce. Si nous étions dans un appartement, les voisins appelleraient Police Secours !!! Sylvie s’affaisse sur le tapis. Ses cheveux sont collés par sa transpiration à son front. Je prends le bas de ma chemise et l’essuie. Voir jouir Sylvie ainsi crée en moi un nouveau désir. Je lui demande :
• Veux-tu me baiser avec le godemiché ?
• Tu me le demandes si gentiment…
Sylvie me guide sur le tapis. Elle m’allonge et installe un coussin pour soulever mes reins. Elle m’ouvre les jambes. Des deux pouces elle ouvre mon sexe et lisse. Mes nymphes roses cachent encore mon sexe. Sylvie dévoile le vagin humide. Elle retrousse le capuchon qui dissimule mon clitoris. Avec une infinie douceur, elle commence à le masser. Soumis à de telles cajoleries, mon bouton réagit, se gonfle jusqu’à devenir turgescent.
Le plaisir monte dans mon ventre. Mais les sensations continuent car mes lèvres intimes sont pincées et étirées. De nouveau, des doigts coquins font saillir mon clitoris hors de son capuchon protecteur. Mon clitoris est pincé et deux doigts pénètrent mon antre humide. J’ai trop envie d’être investie. Sylvie m’ouvre les cuisses largement et les soulève. Sylvie pose sa bouche sur mon sexe. Je soulève mon bassin pour offrir mon sexe. Je réclame cette caresse qui me procurera un plaisir tant attendu. Brusquement, Sylvie cesse son baiser gourmand. Elle se redresse et se penche vers le fauteuil. Elle att un autre objet. Je relève la tête et constate qu’elle enfile autour de sa taille les lanières de cuir du gode-ceinture et boucle dans son dos les sangles et passe dans son entrejambe une troisième. Sylvie, à genoux arbore un sexe factice mâle imposant. Elle s’approche de moi entre mes cuisses béantes et guide l’extrémité du gode vers mon sexe palpitant de désir. Je l’accueille avec plaisir. Il entre sans aucune difficulté, mon sexe ruisselle de mon jus. Je ne peux annoncer le bonheur qui me prend :
• C’est bon !
Sylvie sourit, mais son sourire est carnassier. Elle glisse sa main sous mes fesses et je sens un doigt s’avancer vers mon anus. Un contact glacé me fait frissonner. Sylvie a enduit son doigt de gel lubrifiant et me badigeonne ma petite rondelle. Je pousse sur mon cul pour faciliter l’entrée. Aussitôt, le doigt laisse la place au contact froid du gode dans mon anus. Sylvie se saisit alors de mes fesses. Ses deux mains crispées très fort sur mes fesses les écartent. Je m’étonne :
• C’est le gros ?
• Oui, ma soumise ! Tu prends le gros gode dans ton cul !
Le gode planté au plus profond de mes reins, ses cuisses repliées sur ma poitrine sous le poids de Sylvie,
une main passe entre nos ventres et vient me masturber. Enduits de lubrifiant, la caresse est vivifiante. Les doigts balaient de droite à gauche mon clitoris, le giflant doucement. Je ne peux contenir un gémissement continu. Les va et vient continus du gode commencent à faire leur effet, lui aussi. A cet instant, la chaleur intense dans mes reins, la douceur du contact sur mon clitoris, je pousse des cris, halète des onomatopées et finalement je supplie Sylvie de cesser ce traitement insupportable. Faisant fi de mes suppliques, elle poursuit son travail de sape. Je pleure de plaisir et de bonheur. Je dois perdre connaissance quelques minutes. Lorsque j’ouvre un œil, Sylvie est là, tout sourire. Nous sommes allongées côte à côte sur le tapis. Doucement, Sylvie retire l’énorme gode de mon cul dilaté. Mes reins sont brulants de cette pénétration hors normes. Puis, à son tour, mon vagin est libéré de la présence prégnante du sexe factice. Sylvie vient embrasser mes joues mouillées de larmes. Elle plaque une main entre mes jambes sur mon sexe comme pour le protéger. La fraîcheur de sa main apaise la brulure provoquée par l’engin de plastique. Ses doigts vont plus loin. Ils tâtent la chair tuméfiée et boursoufflée de mon anus. Sylvie me chuchote à l’oreille :
• Vient prendre une douche ! Je vais te laver comme jamais tu n’as été choyée !
Elle se débarrasse de son gode-ceinture. Elle m’aide à me relever et passant un bras sous mes épaules, elle me conduit à la salle de bains, dans jusqu’à la cabine de douche. Je m’appuie le dos contre la faïence. Sylvie règle la température de l’eau et mouille mon corps. Elle enduit ses mains de produit douche et me savonne avec une douceur et une délicatesse adorable. Mon corps est lavé, récuré. Pas une seule parcelle de ma peau ne reçoit de caresses. Puis, c’est un rinçage sous une pluie douce. Sylvie se lave très vite. Elle sort de la douche att un grand drap de bain blanc et m’entoure pour me sécher. L’éponge est douce et les mains de Sylvie encore plus. Elle me guide de nouveau vers la chambre :
• Etale la serviette et allonge-toi sur le ventre !
J’obéis sans rechigner. Je n’en ai ni l’envie ni le courage. Je ferme les yeux. Sylvie bouge dans mon dos. Ses mains se posent sur moi. Elle m’enduit d’un onguent d’une douceur étonnante. Le parfum de jasmin et de fleurs d’oranger me chatouillent les narines. Je me laisse faire. Toutes les parties de mon corps ont droit à cette pommade qui nourrit la peau. Même les lieux tuméfiés sont badigeonnés, oints avec beau de méticulosité. Je ne résiste pas et sombre dans un sommeil réparateur. Combien de temps est passé depuis la douche ? Je n’en sais fichtrement rien et je m’en moque ! J’ouvre un œil. Sylvie est là qui me regarde.
• Tu as bien récupérer ?
Je m’étire avant de lui répondre :
• Oui, cela m’a fait un bien énorme !
Sylvie fronce les sourcils :
• Cela veut dire que ce que t’ai fait avant ne t’as fait de bien ?
Je ris de bon cœur :
• Viens ma maîtresse !
J’écarte mes bras et elle vient se blottir contre mon corps. Pendant un moment nous nous cajolons. Sylvie m’interroge :
• Tu es bien ?
• Oui, je me suis rarement sentie aussi bien !
• Tu as aimé cet intermède ?
• Oui ! Enormément ! Tu m’as fait jouir avec beaucoup de maestria et comme rarement j’ai jouis. Tu m’as enculé avec beaucoup de doigté et j’ai jouis aussi fort que dans mon sexe, et pourtant je ne suis pas une adepte de la sodomie.
Sylvie m’embrasse dans le cou puis prend d’autorité ma bouche. Notre baiser cèle notre pacte de D/s.
Nous sommes restées ainsi un long moment. Mais, curieusement, le désir est encore présent. Sylvie, avec une lueur lubrique dans le regard plonge sous le drap qu’elle avait jeté sur moi. Nous repartons dans un 69 mémorable. Nos langues découvrent nos sexes, les explorent les martyrisent les cajolent. Mais Sylvie me demande :
• Mets-moi un doigt dans le cul.
Je lui réponds favorablement à sa demande :
• Selon ton désir !
Nos orgasmes successifs nous comblent de plaisir. Mais quelques moments plus tard, nous scessons cette pratique et nous baisons directement sexe contre sexe. Sylvie m’annonce :
• Pour moi, c’est là le sommet du plaisir lesbien.
Je suis bien. Je regarde la pendule de la chambre. Je sursaute et jaillis du lit !
• As-tu vu l’heure ?
Sylvie sourit :
• Bien sûr !
• Pourquoi ne m’as-tu pas réveillée ?
• Parce que tu es belle quand tu dors et que je n’ai pas eu le courage de t sortir de ton sommeil réparateur !
• Te rends tu comptes qu’il est 16 heures ! Je dois rentrer chez moi ! J’ai 400 km à parcourir !
• Je sais ! Tout est prêt. Pendant que tu jouais à la femme oisive, j’ai fait ta valise et préparé le repas !
• Tu es vraiment un amour !
Je me précipite dans la salle d’eau et m’habille très vite. Lorsque je reviens dans la chambre, Sylvie vient d’enfiler sa robe de chambre. Je descends quatre à quatre les escaliers. Sylvie me suit. Elle me regarde avec une lueur dure.
• Tu crois que tu vas partir comme cela ?
• Comment cela ?
• Dans cette tenue ? Qu’est-ce qu’elle a me tenue ?
• Pantalon et pull à col roulé !
• Est-ce une tenue pour ta condition de soumise ?
• Sylvie, je ne peux pas retourner chez moi faire 400 km en tenue de soumise !
• Tu vas suivre mes ordres ! Voilà ce que tu vas faire pour retourner chez toi ! Tu porteras ton chemisier sans rien dessous, c'est-à-dire sans soutien-gorge. Et pour le bas, ta jupe sans rien du tout dessous, ce qui signifie pas de petite culotte ! Allez monte te mettre en tenue avant de partir !
Le ton de Sylvie ne permet aucune fantaisie. Je monte à l’étage et me vêt comme me l’a demandé Sylvie. A mon retour, Elle vérifie ma tenue. Elle déboutonne doucement un à un tous les boutons de mon chemisier.
• Tu as des seins magnifiques, JP ne m’avait pas dit qu’ils étaient si beaux…
Mais Sylvie ne me caresse pas comme je m’y attends.
• Maintenant retrousse ta jupe que je voie si tu n’as rien dessous…
Rouge de confusion, je m‘exécute n’osant pas refuser.
• Remonte la plus haut, comment veux-tu que je vérifie si tu es bien rasée ?
Une nouvelle fois et à contrecœur, je remonte assez haut sa jupe cette fois. Sylvie constate mon absence de culotte et mes bas bien tendus.
• Bien, tu peux maintenant partir ! Inutile de fermer ton chemisier !
Je prends mon sac de voyage, mon manteau et nous sortons. Sylvie ouvre le portail du garage. Ma Porsche est là. Sylvie m’interpelle :
• Désormais, je te veux toujours ainsi. Je veux qu’en arrivant tu sortes de la voiture entièrement nue, et véritablement excitée.
Je m’installe derrière le volant. Sylvie me prodigue les quelques instructions :
• Si tu veux vraiment me faire plaisir, tu dois suivre à la lettre les recommandations que je vais te donner.
- Premièrement chaque fois que tu viendras, tu seras nue sous ta jupe, tu ne devras pas t’asseoir comme tu viens de le faire. Il te faudra remonter ta jupe derrière ton dos, afin que tes fesses soient directement en contact avec le siège, qu’il n’y ait pas de tissu qui s’interpose,
- Deuxièmement, quel que soit ta position, assise, debout, couchée, à genou, accroupie, ou à 4 pattes, tes cuisses devront toujours être ouvertes, tes genoux ne devront jamais être trop proches l’un de l’autre,
- Ensuite quand tu seras assise, si je mets ma main sur ton genou, c’est que je désire flatter ton minou, tu devras tout faire pour favoriser ma caresse. Au fur et à mesure que je remonte le long de ta cuisse, tu devras écarter progressivement les cuisses, et retrousser ta jupe. Jamais ma main ne doit toucher le tissu. Tu t’arrêteras lorsque ton minou sera entièrement découvert.
• Suis bien ces recommandations et tu feras de moi la plus heureuse des maîtresses. Maintenant en route !
Je quitte la propriété de Sylvie, un peu étonnée mais tellement heureuse.

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