Les Fantasmes De Sandrine 24

24 - MA VIE AVEC ANTONIN

Après trois semaines passées en Californie avec mes deux fils et leurs amies, je suis de retour en France. Une boite aux lettres pleine me tend les bras. Après avoir trié pub et courriers sans intérêt, je trouve un courrier de notre notaire. Je m'empresse de l'ouvrir. Il m'informe qu'une société souhaite louer ma maison pour son directeur, un américain qui vient diriger mon ancienne entreprise !
Vais-je me trouver virée une nouvelle fois par ces « amerlocs » de mes deux ? Je contacte le notaire et lui annonce mes exigences. Il est interloqué !
• Mais le loyer que vous demandez est bien au-delà des loyers demandés !
• C'est à prendre ou à laisser ! 
• Bien, je vais transmettre au DAF (Directeur Administratif et Financier)
Quelques jours plus tard, le notaire n'annonce que la société accepte ma proposition, malgré le loyer prohibitif. La société souhaite disposer des locaux en mai. Il me reste quatre mois pour régler mes affaires. Je fais le nécessaire pour les papiers avec toutes les administrations. Je commence à déménager tous les meubles dans la grange que je souhaite conserver pour mes besoins personnels. Il ne me reste plus que ma chambre et la cuisine. Mais le 15 janvier approche et je prépare mon bagage pour les Antilles, la Guadeloupe plus exactement.
Je monte sur Paris le 14 dans la journée, et le 15 je décolle, en première classe pour retrouver l'homme que ses acolytes surnommaient "Blanche-Neige".
Je me suis seule à partir là-bas. Je me suis terrorisée mais aussi curieuse. Quelques jours auparavant, j’ai failli annuler, paniquée à l'idée de retrouver cet homme qui m'a fait connaître les affres de la soumission. Mais finalement, j'ai décidé de relever le défi. Après un voyage très agréable, nous atterrissons à Pointe-à-Pitre. Je récupère mes bagages et approche de la sortie. Il m’attend à juste à la sortie des guichets de douanes. Je ne l’ai pas vu depuis presque dix ans.

Il a beaucoup changé. "Blanche-Neige" était avec le crâne rasé et surtout était gros. Aujourd'hui, c'est homme mince avec une crinière blanche bouclée qui m'accueille. Il porte un petit écriteau avec "Sandrine ". Je m'approche de lui :
• Bonjour Antonin !
Il est un peu gêné !
• Bonjour Madame !
Je le reprends :
• Non, Antonin, appelez-moi Sandrine !
• Bien Sandrine ! Donnez-moi vos bagages !
D'office, il prend mes deux valises et les emporte. De ce côté, il n'a pas changé. Toujours aussi fort !
• Suivez-moi !
Je le suis. Nous traversons l'aéroport et passons par une petite porte. Nous franchissons de nouveau la douane, sans aucun contrôle puis nous nous retrouvons dans un hall d'embarquement. Nous sortons sur le tarmac et nous dirigeons vers un petit bimoteur. La porte qui sert aussi d'escalier est ouverte. Je suis Antonin. Il pose mes bagages dans un local à l'arrière de l'avion et m'invite vers le poste de pilotage. Il m'installe à la place de droite, celle du copilote, et s'installe comme pilote. Je l'interroge :
• Vous savez piloter ?
• Hé oui, depuis 9 ans je vole avec mon propre appareil.
• Félicitations ! Vous avez des talents cachés, Antonin !
• Attendons d'être chez moi, et je vous expliquerez toute ma vie depuis le départ et après votre rencontre...
Quelques minutes plus tard, nous décollons. Une heure plus tard, les roues du bimoteur touchent la piste de l'aéroport Gustaf III. Antonin guide l'avion vers un hangar. Nous descendons et traversons le bâtiment. De l'autre côté, une superbe Audi A8 blanche aux glaces teintes nous attend. Antonin m'ouvre la porte et prend le volant. Après une vingtaine de minutes de route nous arrivons dans l'Anse de la Baie St Jean. Nous stoppons devant un immense portail de bois. Il s'ouvre. Nous entrons dans un jardin luxuriant. Antonin ouvre la bouche pour la première fois depuis notre arrivée :
• Sandrine, bienvenue dans ma maison !
• Antonin, vous appelez cela une maison, c'est un château !
Il rit de bon cœur ! Une jeune femme s'approche pour prendre mes bagages.
Antonin lui demande :
• La chambre de Madame Sandrine est-elle prête, Virginie ?
• Bien sûr monsieur !
Je dois la suivre. Lorsque la porte de ma chambre s'ouvre, je découvre un paysage magnifique, irréel. Antonin me dit :
• Prenez votre temps pour vous remettre du voyage. Virginie viendra vous chercher pour le dîner vers 20 heures. Cela vous convient-il ?
• Très bien, mais je ne suis pas une vieille dame et je n'ai pas besoin de 2 heures pour prendre une douche et enfiler une tenue adéquate.
Antonin se retire. La chambre est digne d'un 4 ou 5 étoiles. Je me débarrasse de mes vêtements d'hiver pour filer sous la douche et revêtir une robe de coton écru courte jusqu'au-dessus du genou et décolletée dans le dos et devant avec une goutte d'eau entre mes seins ronds. Je ne peux qu'enfiler un string, car pour le soutien-gorge, il n'en est pas question ! Je n'attends pas la venue de Virginie pour retrouver Antonin. Je retourne dans la grande salle. Cela fait maintenant une dizaine d'années que sa rencontre a bouleversé ma vie. Antonin m'attend dans un fauteuil. A mon arrivée, il se lève comme mu par un ressort. Il est encore plus beau que dans mon souvenir. Un vrai mâle ! Il se conduit comme un prince avec moi. Nous bavardons calmement et courtoisement. Je suis séduite par son sens de l’humour, sa culture, son intérêt pour tout et rien. Puis il me propose de dîner et m'offre un apéritif :
• Un ti-punch ?
• Volontiers, mais pas trop fort, s'il vous plaît !
Antonin me répond :
• Bien sûr, mais à la seule condition, que vous me tutoyez à partir de maintenant !
Je ne peux pas lui refuser cette "condition" :
• Ok Antonin, fais-moi un ti-punch léger !
Son sourire éclaire son visage et le comble de joie. Nous sirotons cet apéritif sur la terrasse en regardant la mer. Une fois nos verres terminés, Antonin s’approche de moi et me prenant par la taille, il m'invite à table.
Sa main sur ma taille me surprend. Une décharge électrique me traverse le corps. Je me sens comme une ado de quinze ans, le cœur battant la chamade, les mains moites. Il me guide jusqu'à la table, tire ma chaise et m'invite à m'asseoir. Le repas est vraiment magnifique. Après le repas, je l'aide à débarrasser la table. Antonin me propose de prendre un café sur la terrasse. J’accepte. Il se met à mes côtés. Nous discutons de tout, du paysage somptueux qui s'offre à nous, de la douceur de l'hiver dans les Antilles. Virginie nous apporte un plateau chargé de tasses et d'un pot en porcelaine blanche. Une panière en osier contient toute une collection de sachets de tisane diverses et variées. Antonin annonce à Virginie :
• Merci Virginie ! Tu peux rentrer chez toi ! Nous pourrons nous débrouiller seuls maintenant. Merci encore d'être restée aussi tard.
La jeune femme répond :
• C'est avec plaisir Monsieur Antonin ! A demain !
Antonin me sert. Nos regards se croisent. Nous sirotons notre breuvage en silence. Il reprend ma tasse vide et la repose sur le plateau. De nouveau nos regards se croisent. Ils s'accrochent l'un à l'autre. Au bout d'un moment, Antonin s'approche de moi. Il penche la tête vers moi. Nos lèvres se frôlent. J’approche mes lèvres près des siennes pulpeuses. Nos lèvres se touchent, enfin ! C'est un langoureux baiser qui nous unit. Puis nos langues se lient.
Nos baisers et nos gémissements emplissent l'air chaud et humide de la terrasse. Il me pousse doucement contre la balustrade. A ce moment, tout bascule dans ma tête comme autour de moi. Il m'embrasse sans retenue, sa langue se glisse dans ma bouche. Je suis chavirée. Je me rends compte brusquement que c'est ce que j'ai longtemps attendu. Notre baiser dure longtemps et chacun de nous y prend du plaisir. Il me prend la main et m’entraîne dans le grand salon. Il m'invite à m'asseoir dans un large fauteuil en cuir. Il s'assoit à mes pieds, face à moi, devant le fauteuil.

Nous n’arrêtons pas de nous fixer du regard. C'est à cet instant, qu'un doigt de folie s'agite dans mon cerveau. Tout en continuant de fixer son regard, j'écarte insensiblement les cuisses. Remarquant le mouvement, son regard quitte le mien pour se fixer sur mes cuisses. Je n’arrête pas le mouvement et je sens la fraîcheur de la soirée sur mon entrejambe. Maintenant, je sais qu'il vient de découvrir mon sexe nu et glabre. Mes lèvres vaginales sont humides. Je suis excitée par l'idée de me montrer à Antonin. Son regard revient sur le mien. Nous nous sourions. Je passe ma langue sur mes lèvres. Je suis dans un état d’excitation pas possible. Nous nous enlaçons et reprenons notre langoureux baiser. Sa main me caresse dans le dos. Son autre main me prend par le menton, me maintenant contre lui. Je sens contre mon ventre, sa bite raide comme un bout de bois. Nous sommes restés ainsi plusieurs minutes, enlacés. Il me chuchote à l'oreille :
• Sandrine, je me souviens que vous aviez un beau petit chaton ! Est-ce toujours vrai ?
Je lui réponds calmement avec une lueur coquine dans les yeux :
• Je pense que "Oui", mais il serait peut-être bien de lui faire prendre l’air, car il me semble qu'il a vraiment très chaud !
Il rit discrètement puis me dit :
• Si cela est vital, alors il faut le faire !
Ma robe écrue m'arrive à mi-cuisses. Elle n'a pas de fermeture et une large découpe dans le dos m'interdit tout soutien-gorge. Les côtés sont très échancrés et mes seins débordent un peu. L'excitation monte en moi. Mes tétons se tendent. Deux bosses déforment le fin tissu. C'est alors qu’Antonin me serre dans ses bras. Sa main droite descend le long de ma hanche. Doucement, elle relève le tissu et entre en contact avec ma chair nue. Mais elle n'en reste pas là. Elle remonte vers le haut et se pose sur mes fesses. Elle caresse mes fesses un instant. C'est alors la main gauche qui recommence le même mouvement que sa sœur. Je me retrouve les fesses nues et offertes au petit vent frais du soir. Mon petit cul se couvre d'une légère chair de poule. Mais ceci n'est pas dû à la douce fraîcheur, mais à l'envie que j'ai de cet homme. Mes mains pétrissent mes globes jumeaux et s'aventurent dans mon sillon fessier. Je suis collé contre lui et je ne peux pas ignorer son envie à lui. Il bande comme un taureau. J'ai très envie qu'il me prenne comme un soudard. De mon côté, je suis certaine qu'il crève d'envie de me trousser. J’essayais de rester calme. Je me retourne face à la mer. Je sais le spectacle que j'offre. Ma robe toujours relevée dévoile mon fessier. Antonin ne peut se retenir :
• Sandrine, vous avez des fesses magnifiques, hautes fermes ! J'ai envie de les mordre !
Je ris doucement. Antonin, n’y tenant plus, s’approche et se colle à moi. Il m’enlace de ses bras autour de ma taille. Ses mains remontent sur ma robe et empaument mes seins. Je tourne la tête vers lui avec un grand sourire. Il avance ses lèvres contre les miennes. Nous reprenons notre baiser passionné. Je sens son corps puissant contre le mien. Je me retourne et glisse mes mains sous son tee-shirt. Puis n’y tenant plus, Antonin retrousse ma robe au-dessus de mes seins. Il s'écarte de moi et me regarde. Il ne peut s'empêcher d'émettre un commentaire flatteur :
• Je ne me suis pas trompé ! Ce sont les plus beaux seins qu’il m’a été donné de voir. Ils se tiennent hauts perchés malgré leur volume.
Au contact de sa peau nue, une pulsion brutale parcourt mon corps. Je déguste la douceur exquise de sa peau. Antonin ne reste pas inactif. Ses mains frôlent ma peau et remontent lentement vers le haut relevant ma fragile robe. Elles découvrent mes seins. Les doigts saisissent mes tétons durcis de plaisir. Je suis tellement excitée qu'ils ressemblent à des tétines de biberon. Les doigts se font insistants. Ils pincent tendrement les bouts durcis en les faisant rouler entre ses doigts. Je commence à gémir doucement. Mon souffle s’accélère. Contre mon ventre, je sens son sexe ferme qui s'appuie. Antonin se baisse et saisit l'un de mes tétons entre ses lèvres. Il me suce. La sensation est extraordinaire. Mais le bougre ne s'arrête pas là. Il change de téton. J'aime cette caresse. Je gémis. Mais je ne peux rester inactive. Je cherche la boucle de la ceinture. Rageusement je tire pour libérer le cran, je m'attaque au bouton puis à la fermeture de la braguette. Je veux sortir sa bite. Je plonge ma main dans son slip. Une voix intérieure me chuchote sensuellement : Je me souviens que tu étais très bien monté ! J'empoigne son sexe à pleine main et le sort de sa prison. Je le tiens fermement et le masturbe doucement. Entre temps nos bouches et nos langues se sont liées à nouveau. Sa main glisse sur le devant de mon ventre puis plonge vers mon sexe imberbe. Il insinue un doigt dans ma fente détrempée. Il impose un va et vient de haut en bas en écartant un peu plus mes lèvres à chaque passage. Son doigt, de temps en temps s’attarde un peu sur mon clitoris pour l’exciter encore davantage. A chaque passage, je gémis un peu plus. Des spasmes me secouent. Des prémices d'orgasmes montent en moi. Je ne tiens plus. Je me mets à genoux devant son sexe dur et dressé pour moi. Je le fixe du regard en le masturbant. Je me dis dans ma tête : tu as une belle bite, je vais te la sucer !  Je l’enfourne dans ma bouche bien chaude et la suce goulûment tout en caressant ses bourses. Je passe et repasse ma langue autour de sa bite tout en la suçant. Antonin ne peut retenir un gémissement, accompagné d'un compliment :
• Tu es vraiment une experte en la matière !
Pendant ce temps, il plonge ses doigts dans mes cheveux et je les caresse. Les doigts d'Antonin ébouriffent les mèches blondes de mes cheveux, toute nue, à genoux devant lui. Ça fait près d'une demi-heure que je suce le sexe épais et tendu sans qu'il ne rende les armes. Il a une incroyable capacité à se contenir. Au bout d’un moment, je sens qu'il va venir. J'arrête ma succion et reprend mon souffle. Il me demande de me rendre la pareille. Je lui demande :
• Tu veux me manger le minou ?
Un grand sourire illumine son visage. Je me relève et me trousse. Je place ma petite robe au-dessus de mes hanches, libérant ainsi mon ventre. C'est alors qu'il me prend par la taille et me soulève comme une plume. Il m'assoit sur la lisse plate de la balustrade. J'écarte largement mes cuisses donnant libre accès à mon sexe béant, humide et odorant. Je le regarde droit dans les yeux et lui dis :
• Vas-y, mange-moi ! Bouffe-moi la chatte ! 
Il plonge la tête entre mes cuisses et me lape le minou tout mouillé. Sa langue le lèche de bas en haut, et s’attarde sur l’entrée de ma grotte. Cette langue me pénètre en remuant, puis remonte vers mon clito. Il me suce en le mordillant très légèrement. Je suis prise de spasmes incontrôlables. Je gémis de plaisir. Ma respiration est de plus en plus haletante. Devant la montée du plaisir dans mon ventre, je ne peux retenir des commentaires :
• Hoooo c’est bon, c’est bon ouiiii continue de me bouffer, haaaa j’adore ça, haaaa je vais venir, continue, mange-moi ! Mange-moi ! Mange moiiii !
C'est à cet instant qu'un violent orgasme me terrasse. Mon corps ondule. Je lâche la lisse de bois et je me caresse les seins par-dessus ma robe. L'orgasme me fait délirer complètement :
• Mets-moi ta bite mon chéri ! Mets là moi, baise-moi ! 
Alors Antonin s'est redressé. Debout en face de moi, sexe au garde à vous, il présente sa bite à l’entrée de ma chatte baveuse et chaude. Lentement, d'une poussée douce et puissante, il, me pénètre entièrement. Il butte au fond de moi. Les yeux clos, je ne retiens pas un long gémissement de plaisir. Antonin se lâche aussi :
• Tu es bonne, Sandrine ! Ta chatte est douce et profonde ! Elle enserre ma bite toute entière !
Il entame un ample va et vient. Les jambes passées au-dessus de ses bras, mes genoux calés dans le creux de ses coudes, je suis écartelée. Le bruit de ses coups de bite dans ma chatte est de plus en plus fort. Ses couilles frappent régulièrement contre mon périnée, m'excitant encore plus. Je mors mes lèvres tout en continuant de gémir de plaisir. Je saisis Antonin par ses cheveux crépus. Il s'occupe de mes seins, faisant rouler entre ses pouces et ses index mes tétons turgescents. Antonin, encore une fois m'enlace dans un long baiser langoureux. Nos corps nus serrés l’un contre l’autre ne font plus qu'un. Je lui demande encore une fois :
• Baise-moi !
Sa bite pilonne de nouveau mon vagin. Il me baise de plus en plus fort. Je suis prête à hurler de plaisir. Je chuchote à son oreille :
• Encoooore ho oui encoooore, baise-moi baise-moi baise moi à fond !
Antonin ne se retient pas. Ses coups de ventre me signalent la fin proche de notre union charnelle. Les soubresauts de son sexe dans mon vagin m'informent de son plaisir imminent. Antonin se laisse aller et libère sa semence bien au fond de mon trou dans un râle de plaisir. Au même moment, je me laisse aller aussi dans un long râle de bonheur. Nous sommes restés sans bouger un long moment tout en nous embrassant goulûment. Quelques dizaines de minutes plus tard, Antonin, toujours fiché en moi glisse ses mains sous mes fesses. Il me porte vers la salle de bain de ma chambre. Elle est spacieuse, couleur granit et ciment ciré, entièrement carrelée. La douche est à l’italienne, équipée d’un système balnéo à jets multiples. On peut y tenir à 4, voir plus sans problème. Une musique douce est diffusée. L’ambiance est conviviale. Aussitôt entrés, Antonin met les jets en action. Gel douche saveur tropique & coco. Je me colle à l'homme qui vient de me propulser au septième ciel. Je prends l’éponge et frotte son corps. Il m’embrasse. Il me savonne tendrement. Antonin me regarde, me scrute.
• Tu es vraiment très belle !
Je baisse les yeux et je me sens rougir. Antonin me chuchote doucement au creux de l'oreille :
• Ta réserve naturelle reprend le dessus lorsque ton corps n’est plus confronté à ses démons.
Je lui réponds d'une voix timide :
• Merci...
Antonin continue chuchoter :
• Ton corps est une véritable invitation au plaisir, ultra-sensible...
Je suis bien, très bien. Mais je sens que son sexe entre de nouveau en érection. Je sens une main, très douce, me caresser le creux du dos. Elle descend tout doucement vers mes fesses, provoquant un léger frisson qu'Antonin doit constater. Cette main suit l’arrondi de ma croupe ferme à la peau satinée. Toujours doucement, plus d’ailleurs comme un frôlement appuyé que comme une caresse, la main parvient au bas de la fesse, là où commence la cuisse. Elle s’arrête, immobile. Mon cœur se met à battre plus vite. La main reprend sa course mais en remontant vers l’intérieur des cuisses. Le bout des doigts effleure mes grandes lèvres et s’insinue entre les deux globes rebondis, frôlant ma petite étoile brune en laissant une traînée humide au passage. Arrivée de nouveau en haut des fesses, la main descend sur mon flanc puis sur mon ventre. Je frémis de plaisir par la chatouille que provoque l’effleurement. La main s’attarde sur mon ventre. Je respire rapidement. La main reprend enfin sa marche. Elle remonte sur mon torse. Elle épouse la forme de mon sein droit qui se tend, arrogant. Le téton fier est trituré par deux doigts. Je ne peux retenir un petit cri. Brusquement, la main cesse de me r. Je ne la sens plus. Où est-elle passée ? Je ne veux qu'elle m'abandonne. Cette main est si bonne, si douce. Je la veux. Mon corps la veut.
Je ne maîtrise pas mes envies. Si ma tête me dit des choses raisonnables, mon corps, ce démon, veut des caresses.
Je suis toujours accrochée au cou d'Antonin, son sexe planté dans le mien. Mais voilà que cette coquine de main revient. Mais elle n'est pas seule ! La deuxième l'a rejoint. Maintenant les deux mains se retrouvent sur mes fesses. Elles les empaument et les pétrissent. Puis elles les prennent fermement, elles écartent mes globes jumeaux. Je sens qu’un pouce se pose sur ma rondelle et la caresse, la malaxe. Dans ma tête vient immédiatement la phrase :
• Oh mon Dieu ! Non pas ça !
Mais que puis-je faire ainsi coincée ? Mais le doigt s’insinue dans le sillon de mes fesses si douces, si chaudes. Le pouce s’enfonce au plus profond qu’il peut, ressort pour mieux replonger au fond de mes entrailles, inondées de cyprine. Ses caresses digitales m'arrachent de nombreux râles et gémissements de plaisir. D’instinct, j'écarte mes jambes, donnant ainsi un meilleur accès aux doigts coquins. Les caresses durent longtemps, me faisant grimper au septième ciel. Maintenant, le pouce quitte mon antre.
Je sens une autre arrivée. Il me semble que c'est le gland d’un vrai phallus cette fois. Il se pose à l’entrée de mon conduit anal. Il s'appuie sur ma rondelle sans forcer, sans pousser. Il ne bouge pas. Mais qu’attend-il ? Ne voit-il pas que mon ventre l’appelle ? Ne voit-il pas que je mouille du cul pour lui ? Pourquoi ne me bourre-t-il pas mon cul ? Je veux sa bite ! Je la veux sa grosse et belle queue !
• Allez-y Antonin, enfoncez-vous !
Car il n’y a pas de doute, c’est la queue d'Antonin qui va m'enculer ! Et la queue commença à se frayer un chemin dans le rectum frémissant. Je m'ouvre au maximum, j'aspire littéralement le membre. Je regarde Antonin. Médusée, je ne peux sortir un son de ma bouche alors que derrière, sa queue me pénètre. J'ouvre grand mes yeux implorants vers Antonin. Il me fixe son regard. Il est silencieux. Aucun son ne sort de ma bouche. Antonin me pilonne consciencieusement. Ses mouvements sont ponctués d’ahanements sourds. Cette bonne bite m'encule délicieusement ! Putain oui qu’elle est bonne ! L'impossibilité de bouger m’excite au plus haut point. Je mouille comme une fontaine. La cyprine mêlée au sperme qu'Antonin m'a envoyé dans mon vagin dégouline le long de mes cuisses. Loin de refuser cette saillie, je vais au-devant en reculant mon cul autant que je le peux. Antonin accélère le rythme. Chaque coup de piston accompagne d’un claquement des cuisses masculines sur mes fesses. Les couilles de mon enculeur frappent mes cuisses. Je voudrais bien voulu avoir les mains libres pour lui caresser les couilles et son entrejambe, mais je me tiens à son cou. Je voudrais l’obliger à me bourrer encore plus fort. Mais je sens qu'Antonin arrive à l’extase. Dans un dernier assaut, il entre son pieu turgescent au plus profond de mes entrailles. Il stoppe son va et vient et se vide dans mon anus dilaté. Je jouis béatement. Après une dernière saccade, la bite encore raide quitte mon rectum. Antonin ouvre les yeux et me lance :
• Alors ma salope, on dirait que t’as aimé ça, hein ?!!!
Je n’en reviens pas. Antonin, la bite toujours droite, vient de m'enculer et de plus, il me traite de « salope » ! Incroyable ! Je suis sans voix. Antonin me tient toujours dans ses bras. Nos bouches s’unissent à nouveau. Mais Antonin me porte : Direction sa chambre à coucher. Il me dépose sur le lit avec une grande délicatesse. Il me tourne et m'installe à plat ventre. Il se hisse à son tour sur le lit et se penche sur ma croupe. Sa bouche parcourt mes reins, semant ici et là une alternance de baisers et de petites morsures. Je ne peux retenir des gémissements étouffés sous l’effet que procurent ses insidieuses caresses. Alors sa langue commence un lancinant cheminement depuis le haut de mon sillon fessier. Non, il ne va pas recommencer ! Un doigt s’enfonce dans mon ventre. Je gémis sourdement. Son doigt accentue son exploration. Soudain, il monte sur le lit, pose ses genoux entre mes cuisses et pointe le gland contre l’entrée de mon vagin et s’introduit en moi jusqu’à la garde. La pénétration puissante me surprend. Je pousse un cri. Ce n'est pas ce qui stoppe Antonin. Il continue son pilonnage. Je balbutie :
• Ohhhh…ohhh, doucement, ohh que c’est gros, doucement…
Malgré le volume et la puissance d'Antonin je prends un plaisir énorme ! Bien vite, c’est moi qui me cambre davantage et vient au-devant du sexe qui la prend. Antonin, survolté par le spectacle de cette superbe paire de fesses qu'il pénètre me saisit à la taille. Il m’envahit. Mais les gestes Antonin, malgré cette envie de me posséder, deviennent plus doux Il est planté dans mon ventre chaud. Il caresse mon cul rebondi, apprécie la rotondité du fessier, effleure les fossettes de mes reins. Je cache mon visage dans l’oreiller. Antonin me chuchote au creux de l'oreille :
• Cambre-toi encore !
Je remonte encore plus mes fesses. Antonin ne se préoccupe pas de mes dénégations, presque étouffées par l’oreiller. Mes dénégations se muent en une mélopée de plaisir qui s’amplifie. Les mouvements ondulatoires de mon bassin en disent long sur mon trouble à être ainsi utilisée. Soudain Antonin se retire de mon ventre. Je ne peux que pousser un regret. Il se redresse. Sa verge épaisse, dressée, menaçante, pointe à l’oblique vers la cible choisie. Il renforce sa position calant ses genoux, il écarte encore plus mes cuisses, l’obligeant à se cambrer davantage. Se guidant d’une main, il s’engouffre à nouveau dans mon sexe détrempé, me faisant feuler. Il ricane :
• Tu aimes ça, hein ?
Sans attendre ma réponse, il me pilonne sauvagement, buttant à chaque poussée le fond de mon ventre. Je gémis et renouvelle mes supplications :
• Fais doucement !
Antonin ahane à chaque coup de boutoir qu’il m'inflige. Sa main passe sous mon ventre et vient débusquer mon clitoris. Il défronce les plis, malaxe mon petit bouton d'amour. Je gémis de plus belle. Malgré moi, j'accentue encore ma cambrure, offrant impudiquement au regard d'Antonin, le spectacle affolant de mon cul. Mais il n’attend plus. Il extrait sa verge de mon cloaque en provoquant un bruit de succion, pas très glamour. Planté sur ses genoux, il pose le mufle cramoisi de son sexe contre mon œillet et agrippé à ma taille à deux mains, il pèse contre le sphincter. L’anneau résiste à peine et cède. Je me cambre encore et ne cherche à pas à résister à l'intrusion.
En un instant la cause est entendue et mon anus accueille l’intrus. Mon petit cul adoré vient de se rendre une nouvelle fois. Il vient de s’ouvrir à la verge d’Antonin, une verge massive qui entame maintenant un mouvement de reconquête, affirmant sa présence, se créant un passage dans l’étroitesse de mon boyau. Je psalmodie, demandant à mon enculeur de faire doucement. Antonin trouve la bonne cadence. Il va et vient entre mes reins, sa main droite passe sous mon ventre, caressant, cherchant dans les replis de la vulve, trouvant le clitoris, le décapuchonnant et l’astiquant, la faisant se cabrer et s’empaler davantage, tant sa jouissance devient implacable.
C’est moi maintenant, qui lance mon postérieur contre le pieu qui me perfore, qui demande à cet homme de me défoncer, encore, plus fort. Après de longues minutes, je m’effondre sur le lit alors qu'Antonin vide le trop plein de ses couilles dans mon cul béant. Je souffle, reprends péniblement ma respiration. Antonin me murmure des insanités :
• Tu aimes ça, hein, salope ? Tu aimes te faire enculer…Allez, dis-le !
Je répète ce qu’il veut entendre :
• Oui, j'aime ce qu’il vient de me faire subir ! Oui, j'aime ta bite dans mon ventre, dans ma bouche, dans mon derrière !
Il la reprend :
• Pas dans ton derrière, dans ton CUL ! Répète !
• Oui j’aime vos bites dans mon cul, ohhh chéri, oui j’aime, c’est bon ce que vous me faites, encore, oui…Oui
Antonin s'échappe de mon ventre et roule sur le côté. Sa verge est souillée. Il me dit :
• Va dans la salle d'eau !
Je place ma main entre mes cuisses espérant ainsi ne pas me vider sur le parquet ! Je me lave soigneusement, effarée par le spectacle de mon visage dans le miroir, mes yeux cernés, mes lèvres gonflées d’avoir été sucées et mordues.
Je reviens dans la chambre. Antonin me caresse la croupe.
• Alors, petite Sandrine, tu as aimé ?
• Oui, j'ai aimé...
• Tu as aimé ? Tu veux qu’on l'on recommence ?
• Oui…J’ai aimé, mais j’ai peur d’y prendre goût…
• Je suis heureux !
Puis il dicte ses exigences :
• Je veux que tu sois toujours vêtue d’une jupe ample et courte, de bas auto-fixant, sans soutien-gorge et sans slip !
Pour que je ne réponde pas, il m’embrasse goulûment. Il vient dans mon dos et je sens son sexe se dresser contre mon dos. Il frotte contre moi son impressionnante rigidité. Il me pousse. Mais je m'esquive et lui lance :
• Non chéri, c’est assez pour aujourd'hui !
Et en prenant à pleine main son sexe, je lui dis en le regardant droit dans les yeux :
• Cela doit avoir besoin de repos, surtout si on doit recommencer demain !
• Tu en as envie, tu as aimé ?
• Oui, mais…J’ai peur d’y prendre goût !
• Cela te plait vraiment ?
• Oui ! Tu es bel homme et tu sais t’y prendre !
Nous revenons vers le large lit et nous nous allongeons. Antonin s'installe derrière moi, son sexe encore un peu raide entre mes fesses. Je lui dis :
• Ok tu restes ici mais tu es sage !
Ce à quoi il me répond :
• Bien entendu, mon bel amour ! A moins que tu ais une grosse envie !
Nous rions de cette répartie et nous sombrons dans un sommeil réparateur.
C'est au bon milieu de la nuit que je sens le sexe d'Antonin se réveiller. Il est animé d'un mouvement d'avant en arrière. Le gland s'est installé entre mes lèvres et vient percuter avec douceur mon clitoris bien dissimulé sous son capuchon. Cette caresse réveille bien vite en moi une envie de cette grosse chose qui s'agite entre le haut de mes cuisses. Elle le tance :
• Sois sage Antonin !
Dans un grognement il me répond :
• Je suis sage, c'est mon sexe qui ne l'est pas !!!
Il bande comme un fou. Et ce n'est pas les mouvements qu’il fait qui vont le faire débander. Au moment où il pointe sa queue gonflée vers ma petite grotte offerte, je la saisis et la présente directement contre mon anus en lui intimant l’ordre de me prendre par derrière :
• Je te veux là ! Viens, Encule-moi !
La répartie est ferme, crue et ne tolère aucune discussion. Antonin me chuchote à l'oreille :
• Les désirs de Madame sont des ordres ! Tu veux que je t'encule à sec !
Je lui réponds :
• Depuis que tu te frottes sur mon sexe, je ne pense pas que cela sera à sec !
Sans hésiter, sa queue plonge à l’intérieur de mon étroit fourreau, soucieux de ne pas me faire attendre. Mon puissant anneau aspire sa bite. Il entre jusqu’à la garde, au point que ses couilles trempent dans ma mouille, plaquées contre ma vulve brûlante. Je râle en poussant mon bassin contre ses hanches. Je suis satisfaite d’être enculée, là, à 4 heures du matin. Ses mains emprisonnent mes seins. Il force par de petits mouvements sur mes fesses. Il m'investit encore plus. Moi au contraire, je me cambre encore plus, lui offrant mes reins. Antonin me dit au creux de l'oreille :
• Ton cul est merveilleux, une mode des plus gracieuses !
Ce compliment me flatte. Mes muscles internes massent sa hampe par de puissantes contractions. J'aime être sodomisée. Je le flatte :
• Ta queue est longue… Tu me fais du bien… J’adore. Encule-moi !
Antonin a bien entendu ma remarque. Il profite de la base du gland jusqu’aux poils de son pubis de ma rondelle. Ses couilles claquent contre mes lèvres charnues au rythme de ses poussées. Je l’encourage, le supplie de me la mettre bien au fond ! Sa main droite passe sous moi et plonge vers mon entrejambe. Son majeur écrase mon clitoris concentriquement Sa main gauche vient se saisir de mon sein. Du pouce et de l’index, il stimule mon téton tout dur. Son sexe me perfore les intestins avec une rapidité et une puissance étonnante. Son ventre claque contre mes fesses. Antonin pratique une sodomie très virile. Il n'est pas tendre avec mon sphincter. Plus il est puissant, plus je frémis, vibre et je l'invite à augmenter la cadence ! Antonin me besogne comme je l’entends, à couilles rabattues. Mon anus se serre puis se relâche avec beaucoup de vigueur. Dans un cri rauque, je lui ordonne :
• Jouis !
Je crois que cette injonction est inutile. Antonin avec un tel rythme n'allait pas tarder à se vider en moi ! Ses bourses remontent, mon ventre se tend dangereusement pendant que les coups se rapprochent, et brusquement, bestialement, son foutre part à l’assaut de mes intestins. Chaque salve déclenche une secousse tellurique chez moi. Je soulève mes reins en prenant appui sur mes orteils, m'offrant pour le plus grand plaisir d'Antonin. Figés dans un grand orgasme simultané, ses mains quittent mon ventre et mon sein. Je passe délicatement ma main entre mes cuisses et enserre délicatement ses testicules par en dessous, les malaxant tendrement, respectueusement. Je lui dis :
• Ne sors pas, reste là en moi. C’est si bon de t’avoir en moi !
Je veux qu'il reste en moi, pour bien sentir sa présence. J’adore rester au contact d'un homme qui m'a royalement sodomisé. Antonin me murmure :
• Tu es un trésor, une déesse du cul...
Avec de légères contractions de mon sphincter, je tente de prélever les dernières gouttes de son sperme encore présentes dans sa bite ! Antonin tente de se retirer Je l'en dissuade :
• Reste en moi ! Bonne nuit mon Antonin, enfin ce qu'il en reste !
Nous nous rendormons aussitôt. Ce sont les premiers rayons de soleil qui passent au travers des persiennes qui me font ouvrir un oeil. Antonin bouge un peu. Mais nous sommes bien l'un contre l'autre. Un bisou dans le cou, je tourne la tête pour l'embrasser sur la bouche. C’est alors qu'Antonin veut que je me retourne vers lui. Et soudain, impossible de bouger. D’abord nous n’y croyons pas. Antonin donne une légère secousse en arrière. Rien n'y fait si ce n’est que je pousse un cri. Il me fait mal ! Nous constatons que le sexe d'Antoni est bloqué dans mon anus. Mon sphincter s'est resserré après notre orgasme. Le sexe d'Antonin a donc conservé la quantité importante de sang qui lui fait être en érection. Au début nous en rions, mais la panique et un certain affolement nous gagne. Nous nous voyons mal aller aux urgences collées l'un à l'autre ! Antonin glisse une main entre nos deux corps. Il constate qe je le tiens bien serré. C'est alors qu'il passe sa main sur mon sexe. Il me caresse le clito. Je me relâche je prends plaisir à cette caresse douce et langoureuse. C’est alors que quelques minutes plus tard, mon anus libère le sexe d'Antonin. Nous rions de notre mésaventure. Rompus mais heureux que cette situation se termine ainsi. Antonin descend à la cuisine. Lorsqu'il remonte avec un plateau chargé de deux petits déjeuners complets, Sandrine s’est recoiffée et repose sur le lit, toute nue, alanguie, regardant le spectacle merveilleux du soleil sur la mer. Nous dévorons notre collation. Prenant le vanity-case contenant mes affaires de toilettes, je m’enferme dans la salle de bain. Je sors enfin, toute nue, les cheveux coiffés, parfumée. Antonin prend possession de la salle de bains. Pendant ce temps, je peaufine ma tenue. J'enfile une petite robe très courte blanche en coton, sans manche et dotée d'un très large décolleté. Antonin revient et me félicite :
• Ta tenue est magnifique ! J'espère que tu as respecté mes instructions !
• Tu n’as qu’à vérifier toi-même !
Antonin arrive. Il saisit le bas de ma robe et remonte lentement. Mes cuisses sont dévoilées puis mon ventre, et il continue libérant mes seins.
• C'est merveilleux ainsi ! Merci de respecter mes envies !
• Ton le plaisir est pour moi Amour !
Antonin redescend ma robe. Le coton est tendu sur le relief des seins, faisant que les mamelons foncés paraissent en transparence encore plus indécents que s’ils étaient nus. Antonin m'embrasse sur la bouche, et ne se gêne pas pour me peloter les fesses. Je lui dis :
• Tiens, tu cherches un morceau dans la culotte !
• Mais tu n'as pas de culotte !
Il rit, content de lui. C'est alors qu'il lance à la volée :
• Serais-tu d'accord pour venir avec moi au bureau ?
• Pourquoi pas ?
Il me prend par le bras et m'entraîne vers l'escalier. Nous descendons puis, il ouvre la portière de sa gross berline :
• Monte !
Je ne crois pas avoir le choix. Je m'installe confortablement. Antonin fait le tour de la voiture et s'assoit. Sitôt le moteur lancé, sa main se pose sur ma cuisse et remonte sous ma robe, qui est très relevée, vu sa longueur. Il l’embrasse à nouveau, fouillant sous ma robe. Je suis incapable de l’en empêcher. Son autre main empaume mon sein et le palpe. Il dévore ma bouche en même temps, sans se préoccuper d’éventuels voyeurs, il me trousse, remontant haut ma courte robe jusqu'à la taille. Au travers du coton, il mord mes seins, les suce. Je crie de surprise et aussi de plaisirs. Sa main fébrile remonte sur ma cuisse et écarte mes deux cuisses d’albâtre et fouille mon ventre humide.
• Tu mouilles comme une fontaine !
• Oui, ohhh, j’ai honte, je ne sais pas ce qui m’arrive ! Antonin, embrasse-moi encore !
Antonin enfonce trois doigts dans mon vagin écartelé. Je ruisselle, les cuisses largement ouvertes. J'envoie mon ventre à la rencontre de la diabolique main qui ne cesse de m'exciter. Le premier orgasme m'atomise complétement. Je ne sais plus où je suis. Ensuite c'est une déferlante d'orgasmes successifs.
Ce n’est qu’après que j'ai eu un énième orgasme que nous reprenons conscience. Nous sommes sur le parking de la maison d'Antonin. Le personnel de maison a sûrement du voir leur étreinte. J'ai honte et j'en rougis. Je me réajuste du mieux que je peux. Je me recoiffe, remets du rouge à lèvres. Ma bouche est gonflée par les baisers. Je baisse ma robe tant bien que mal. Antonin démarre enfin. Il s'occupe de la route et plus de mon corps. Arrivés aux bureaux d'Antonin, je suis surprise. Un joli bâtiment et des bureaux au look très moderne. Antonin me présente à tout le personnel. Certaines jeunes femmes me jettent des regards assassins. Apparemment Antonin a fait des ravages dans la gente féminine. Il me fait entrer dans son bureau. Grand très "in". Il s'installe et me dit:
• Prend une chaise et vient t'asseoir à côté de moi !
Je m'installe à ses côtés. Antonin allume son PC et m'explique le fonctionnement de sa boutique. Mais soudain, je sursaute. Antonin ne se gêne pas pour me caresser. Il a remonté ma robe et me pelote outrageusement les cuisses et il ne se gêne pas et lance des regards dans mon décolleté. La main d'Antonin remonte entre mes cuisses, vient se loger au plus haute entre mes cuisses, là où le pubis est le plus renflé. Ses doigts réussissent à forcer l’entrée de mon ventre, malgré tous mes efforts pour l'en empêcher. Antonin ne peut se retenir :
• C'est un véritable marigot ! Tu es une vraie salope, tu es trempée !
• Oh…Antonin, c'est vrai, tu es en train de faire de moi une vraie salope !
Je quémande un baiser. Nos bouches se soudent. Antonin ne peut retenir ses mains. Il me caresse les seins. Il trousse ma robe. J'ouvre mes cuisses. Ses doigts me fouillent au plus profond. Très vite ils se retrouvent inondés de cyprine. Mon odeur intime devient de plus en plus présente. Il masse furieusement mes seins au travers de ma robe. J’avance ma poitrine pour lui offrir mes tétins. Il me les mordille sauvagement. Ils deviennent durs. Je suis tellement excitée que je pousse mes seins avec mes mains pour leur donner une apparence plus ronde. Après quelques minutes de ce traitement je décide de ralentir les choses. Je me lève et je me dépouille de ma robe. Je suis maintenant devant Antonin dans le plus simple appareil, comme au jour de ma naissance. Antonin me regarde comme un fauve prêt à dévorer sa proie. Une grosse bosse déforme son pantalon. Je m'agenouille devant lui. Je descends sa fermeture éclair. Le crissement caractéristique retentit dans la pièce vide. J’ouvre lentement son pantalon. Je glisse ma main. Je touche un membre déjà dur, chaud. Je prends son sexe dans ma bouche. Il continue de masser sensuellement mon clitoris. Il Pose sa main sur l’arrière de ma tête et me tire vers l'avant. Il m'oblige ainsi de prendre plus de sa bite dans ma bouche car je me concentre sur le gland jusqu’à présent. Plus de 15 cm sont poussés dans ma bouche. Je m’étouffe un peu. Il arrête de pousser, mais je garde sa bite au creux de ma bouche. Je le suce furieusement. Jamais je n’ai sucé un homme aussi gros aussi profondément. Je me sens un peu salope mais je ne peux pas m’empêcher de le faire. Je change de position. Je pousse Antonin sur son siège et m’assois à califourchon sur lui. Son membre se tient droit, long et épais. Il m'installe mes jambes de chaque côté des siennes pour que je puisse m’empaler sur son sexe. Je sais qu’un membre de cette taille va me faire un peu mal. Je suis plutôt étroite et sensible. Lentement je descends sur sa bite. Elle écarte mon vagin et continue de rentrer en moi. Je suis pourtant trempée de cyprine, j’ai du mal à le prendre entièrement en moi. Antonin me tient par les hanches puis me tire vers le bas puis le haut. Je m’appuie sur mes talons pour prendre un rythme et être plus stable. Son sexe butte au fond de mon ventre. Je crie de surprise et de bonheur. Ses mains caressaient mes seins puis pincent mes tétons. Je monte et descends plus vite sur sa queue. Je me suis habituée à sa taille. Je sens mon vagin serrer sa bite alors que je monte et je me rends compte qu’à chaque fois que je plonge vers le bas je crie très fort. Surprise par la violence du plaisir, je me lève soudain et mon vagin fait un bruit de bouchon de champagne lorsque sa bite sort. Surpris et un peu dépité par notre interruption, il se lève et me pousse contre le bureau derrière moi. Il me soulève et m’assoit sur le bureau. Il pousse en arrière sur mes épaules pour que je m’allonge. Il prend mes jambes qu'il pose sur chacune de ses épaules et me pénètre d’un coup. Je ne peux retenir un cri face à cette poussée violente mais très agréable. Il entame une longue série de va et vient. Je mords mes lèvres pour ne pas hurler. Il me défonce furieusement. Il pince mes tétons. Je délire comme une folle sous les vagues de plaisir qui me submergent. Puis c'est l'apothéose : j’ai un long orgasme. Lorsque je reviens à moi, son sexe est sorti de moi. Il me tient par les hanches et me retourne. Je me tiens sur mes talons qui poussent mes fesses vers le haut. Mes jambes sont faibles après cet orgasme. Il s’empare de mes fesses et pousse sa bite profondément en moi. Après avoir jouit je suis encore plus sensible. J'ai l’impression d’être déchirée par sa grosse bite, l’impression d’être possédée par un homme avec autant de passion. Il me rend humide à nouveau et il glisse en moi plus facilement. Il se tient à mes hanches et me défonce de plus en plus vite. Je sens sa bite frapper le fond de mon vagin. Il frotte mon anus et y introduit un doigt. Cela pousse un nouvel orgasme à la surface. Soudain il pousse au plus profond et avec un grognement il jouit tout en poussant sa bite le plus possible. J’aime sentir sa semence gicler en moi mais ses derniers coups de boutoir me font jouir encore plus fort. Je refais surface un grand moment plus tard, mes entrailles en feu après l’assaut sauvage que j’ai subi. Il ralentit la vitesse de son assaut sur ma chatte. Il cherche quelque chose dans sa poche. Il introduit un doigt dans mon anus. Il a mis du lubrifiant. Le froid du gel me fait me cabrer un peu. Je connais la sodomie et sais l'apprécier lorsqu'elle est faite avec douceur. Son membre est le plus gros que je n'ai jamais pratiqué.
Il glisse un deuxième doigt dans mon cul et retire sa bite de mon sexe. Je regrette son action :
• Oh Noooon !
J'aurai aimé qu’il me finisse même si cela faisait un peu mal. La pression contre mon anus se fait plus forte. Je m'offre encore plus, cambrant mes reins. Il glisse non sans quelques problèmes en moi. L’épaisseur de son sexe me dilate sérieusement, mais il est expert. Lorsqu’il m’enfile son membre dur entièrement dans mon cul, il me soulève du sol.
Couchée sur le plateau du bureau, je suis à sa merci. Il me pilonne comme un malheureux. Il me chuchote à l’oreille :
• Tu es trop belle, trop désirable...
Quelques instants plus tard, se laissant aller à ses désirs, le ton change :
• Tu es à moi, ma petite chienne... Je te possède et peux faire ce que je veux de toi. Tu es ma salope !
Je masse le clitoris avec mes doigts pour être sûre d’approcher de l’orgasme. Découvrant mon stratagème, il est plus excité. Il me défonce le cul à grand coups de bite. Je crie de douleur et de plaisir lorsque l’orgasme me terrasse. Je me tends comme un arc. Il se libère aussi en moi. Je le sens gicler dans mes entrailles. Quelques minutes plus tard, il se retire enfin de mon cul douloureux. Je suis épuisée. Il me laisse là, couchée sur le plateau du bureau. Je me retourne pour le regarder. Il observe son sperme sortir de mon anus et couler le long de ma chatte. Il me regarde, un peu fanfaron :
• Je t’ai brisée ? Tu en veux encore ?
J'écarquille mes yeux :
• Oh non je ne peux plus, tu m’as défoncée mon étalon !
Je suis à lui. Il a fait de moi sa petite salope, son jouet. C'est à cet instant qu'un bruit de véhicule trouble le silence. Antonin réagit vite :
• C'est une de mes équipes qui revient. Arrange-toi !
Il en a de bonnes ! Il vient juste de m'envoyer en l'air et avant que je retrouve le plancher des vaches, il souhaite que je sois OK ! Je fais de mon mieux lorsque la porte s'ouvre. Une superbe antillaise entre dans le bureau :
• Salut mon patron ché...
Elle s'arrête dans sa phrase. Elle vient de découvrir que son chéri n'est pas tout seul et qu'il est accompagné d'une superbe nana, moi en l'occurrence ! Antonin la recale immédiatement :
• Hortense, je te présente Sandrine, mon amie de France !
Vu sa mine, elle n'a pas l'air très heureuse ! Ma venue gêne ! Antonin botte en touche et lance :
Vous allez faire connaissance pendant que je vais voir M. Labarre pour la location de sa maison.
Aussitôt dit aussitôt fait ! Antonin disparait dans le couloir et avant que nous ayons réagit, l'une comme l'autre le ronflement de sa voiture nous signale son départ un peu précipité ! Je m'approche d'Hortense et tente d'entamer une conversation. Mais c’est une furie qui m’agresse verbalement :
• Alors c’est toi la salope blanche qui fait tourner la tête à Antonin ?
Stupéfaite, je ne sais quoi répondre. Elle continue à m’invectiver :
• Laisse bien tranquille mon Antonin ! Si tu y touches, je t’arrache les yeux ! Compris ?
Sa deuxième tirade m’a permis de reprendre pied et de lui tenir tête. Je lui réponds tranquillement :
• Mademoiselle Hortense, le fait que nous ne connaissions pas ne vous autorise nullement à m’insulter. Quant à votre propriété sur Antonin, je la trouve un peu surfaite. Antonin est parfaitement capable de choisir ses maîtresses comme il l’entend, sans se faire mener par le bout du nez par une jeune femme au demeurant fort jolie !
Je viens de lui clouer le bec ! C’est à cet instant qu’elle s’effondre en larmes ! Elle m’explique la raison de son chagrin :
• Cela fait maintenant deux longues années que je suis amoureuse d’Antonin, mon patron. Mais il ne veut rien savoir et m’ignore totalement. J’ai beau avoir des décolletés provocants et des jupes très courtes, rien n’y fait ! Il ne fait pas plus attention à moi qu’à une chaise !
Et elle repart de plus belle dans ses pleurs. J’essaie de lui expliquer :
• Tu sais Hortense, une jolie femme comme toi n’a aucun mal à trouver un compagnon !
Elle me coupe la parole :
• Mais c’est lui que je veux !
Je reprends mon explication :
• Tu sais qu’Antonin m’a connu il y a une dizaine d’années dans des conditions très particulières. Aussi nous sommes un peu liés l’un à l’autre.
Un peu, bien plus que cela ! Hortense s’approche de moi et s’appuie contre moi, sa tête sur mon épaule. Je la câline u peu en la berçant comme une petite fille. Je constate que sa tenue est particulièrement sexy : une simple robe en vichy, évasée sous la ceinture bien remontée. La moitié de ses cuisses sont exposées à la vue de tous. Sa petite robe est tenue par deux fines bretelles, montrant sans ambages qu'elle ne porte pas de soutien-gorge. Partant du principe que l’attaque est la meilleure défense, je décide de passer à l’attaque.
• Je vous trouve drôlement jolie !!
Surprise, elle me regarde dans les yeux :
• Merci, vous aussi !
Comme elle a sans s’en rendre compte, mordu à l’hameçon je continue :
• J'ai envie de vous !!
L’attaque est forte. Elle en bégaie :
• Co...co... Comment ça, envie de moi ?
Je poursuis ma chasse :
• Vous n'avez jamais pensé à faire l'amour avec une autre fille ?
Hortense ne répond rien, mais le rouge lui monte aux joues. J’enfonce le clou :
• Votre surprise et votre embarras montrent que vous y avez déjà pensé ! Non ?
• Au fond de moi, je pense qu’il doit être agréable de coucher avec une autre femme, mais ...
• Vous voyez je sais que vous en mourrez d'envie ! Ne dites pas non !
Je la fais tourner devant moi. A la fin de sa rotation, elle se trouve directement dans mes bras. Sans attendre, je pose mes lèvres sur les siennes. Mais je ne me contente pas que d’un baiser chaste sur ses lèvres. Ma langue pénètre dans sa bouche. Sana aucune rébellion, Hortense l'accepte. Je la tiens par la taille. Instinctivement Hortense entoure mes épaules. Le baiser dure longtemps. Nos langues se battent se repoussent se lèchent. Je sens que la partie est gagnée. Je commence par une caresse sur les seins tendus d’Hortense. Elle ne prend aucune initiative. Elle ne subit pas, elle attend simplement la suite des évènements. Je descends une main sur le ventre d’Hortense. Je m’y attarde avant de soulever la robe jusqu'à la taille. Dans la foulée, je n’hésite même pas. Je passe un doigt sur le string humide qui cache l’entrejambe de la belle antillaise. Doucement, je glisse vers le bas le ridicule morceau de chiffon passablement collant de cyprine. Arrivé au milieu de ses cuisses, Hortense se baisse et entraîne le petit vêtement. Elle l’enjambe et se sépare de l’encombrant tissu. Je m’agenouille devant Hortense. Ma bouche se colle contre son bas ventre. J’embrasse son pubis. Je sens le désir fougueux d’Hortense. Elle a envie de sentir ma langue sur son sexe. Mon vœu est exaucé. Voyant que son sexe est déjà mouillé, je n’ai plus de crainte. Hortense est vaincue. Ma langue commence par un tout petit léchouillis sur le clitoris. Hortense écarte les jambes. La langue a le contrôle total du sexe. Hortense titube sur ses pieds. Elle recule jusqu’au fauteuil d’Antonin. Elle s'assoit, jambes bien ouvertes, la jupe relevée au maximum. Elle s'offre à moi. Ainsi ouverte, Hortense dévoile plus que son bouton. J’ai une vue parfaite sur l'entrée de sa grotte, son petit trou, et surtout ses lèvres féminines. J’hésite un peu. Je ne sais par où commencer. Je plonge vers son sexe béant. Je lèche ses lèvres et enfin son clitoris. Vu sa réaction, elle est très sensible. Je lui titille son bouton d’amour. Je ne reste pas inactive. Je lui glisse deux doigts dans son sexe largement ouvert et particulièrement humide. Le cumul de ma langue et de mes doigts font merveille. Elle ne se retient pas. Elle pousse un cri de jouissance. Ses jambes se ferment sur ma tête. Puis Hortense bascule en arrière et relève ses cuisses. Elle m’offre une vue délicieuse sur son anus. Serait-elle une sodomite avertie ? A tout hasard, je pose le bout de ma langue sur sa rondelle fripée. Hortense frémit. J’ai la confirmation. Hortense aime se faire sodomiser. Elle ouvre le plus possible son anus. Je connais ce message. Je n’ai pas à forcer. Ma langue entre à moitié dans son cul. Je lui lèche délicatement son anus. Hortense jouit sans retenue avec un cri qui ne cache pas sa satisfaction. Je me relève. Je m’attaque à la robe d’Hortense. Je la dépouille, la débarrasse de son vêtement. Je l'embrasse partout. Hortense en est encore excitée. Je n’ai pas envie de rester habillée. Je défais ma ceinture, libère les ouvre deux boutons pression et ma robe tombe au sol. Je suis prête à faire l’amour avec Hortense. C’est curieux comme cette envie est brutale. Je n’ai jamais une fan des jeux lesbiens, mais là, est-ce la chaleur ambiante ou le sex-appeal d’Hortense ? Je suis prête maintenant à baiser avec Hortense. Je m’assois dans le fauteuil et prend Hortense sur mes genoux. J’agis avec elle comme un garçon. Je l'embrasse sur la bouche, lui caresse les seins, remet directement sa main sur la fente. Je sais qu’elle aime jouir par l'anus. C’est décidé ! Je vais la faire jouir ainsi. J’installe Hortense à cheval sur mes genoux, face à moi. Nos seins sont tous proches, se touchent. Hortense sans aucune hésitation les caresse. Je caresse le creux de ses reins. Ma main descend sur ses fesses rondes et cambrées. Mes doigts glissent entre les globes de ses fesses. Ils explorent cette faille, descendent encore et arrivent enfin sur l'anus. Cette fois je ne vais pas me contenter de quelques léchouilles ! Je vais la sodomiser avec mes doigts. Très lentement, j’introduis mon majeur dans la grotte secrète. Lentement il pénètre de plus en plus. Lorsqu’il est bien enfoncé, mon index le rejoint. Hortense ondule des hanches. Mon annulaire rejoint les deux autres. Un souffle rauque sort de la gorge d’Hortense. Soudain, son sphincter se relâche s’ouvre comme une fleur. Plus largement ouvert, il laisse entrer les doigts inquisiteurs. J’écarte tous mes doigts pour que son cul soit plus accueillant.
Ensuite, très lentement, Hortense commence à danser sur mes genoux. Elle s’assoit sur mes doigts provoquant de larges va et vient. Hortense m’embrasse. Je lui rends le baiser. La caresse de son anus fait jouir une fois encore Hortense. Je lui propose :
• Viens ! Fais-moi jouir à mon tour !
Je m’installe à la place d’Hortense. Assise confortablement dans le fauteuil, Hortense pose sa tête entre mes jambes. Elle trouve sans problème mon clitoris. Elle le prend dans ses lèvres, le lèche. J’adore ! J’ai avancé mon bassin pour qu’Hortense ait accès à mon ventre. J’apprécie sa science du léchage de moule. Le plaisir commence à arriver et me bouleverse. Je commence à lui parler :
• Je suis une salope qui aime se faire manger la moule par une autre fille. Tu me bouffe bien ! ce n’est pas la première fois que tu fais cela, petite salope ! Continue à me faire jouir... Putain que tu suce bien…
Hortense s’applique et je ressens un plaisir immense.
• Tu m’as menti, coquine ! Tu es trop experte pour une première fois ! Tu fais ça depuis toujours, tu vas me faire jouir plusieurs fois.
Hortense glisse deux doigts dans mon sexe. Ils sont agiles les bougres ! Mais elle ne se contente pas de cela ! Elle me sodomise avec deux doigts de son autre main ! Je jouis.
Hortense est excitée par mes paroles. Je la vois. Elle avance et place son sexe en fac de mon genou. Elle se branle contre ma rotule ! Puis c’est l’apothéose ! Nous jouissons comme des salopes que nous sommes. Assises l’une en face de l’autre, nous récupérons notre souffle. Un instant de repos bien mérité ! Pour nous calmer, nous nous caressons, nous embrassons. Je prends Hortense dans mes bras, me lève et la couche sur le plancher de bois.
C'est frais, mais Hortense ne sent rien ! Je l'enjambe. Elle sait pourquoi. Elle me dit :
• Ce va être mon premier 69 avec une fille…
Elle écarte largement les cuisses. J’enjambe la tête d’Hortense. Nos têtes trouvent très vite nos sexes. Nous nous suçons longtemps, plusieurs fois. Nos orgasmes sont nombreux. Ma langue "travaille" le con d’Hortense. D’une main, je la doigte. Elle ne sait plus comment se tenir tellement elle a d'orgasmes. Elle fait tout ce qu'elle peut pour me faire jouir. Ce qui arrive rapidement. Nous restons avachies l’une entre les cuisses de l’autre pendant de nombreuses minutes, le temps de souffler et de récupérer. Mais au bout de quelques minutes, j'ai froid et demande à Hortense de venir se mettre au chaud. Je lui prends la main et l’entraîne dans la chambre d'Antonin. Nous nous glissons sous le drap et nous nous enlaçons. La fatigue de nos orgasmes cumulés nous fait nous assoupir. Lorsque je regarde le réveil, je constate que l'après-midi est passée. Hortense est toujours allongée près de moi. Son corps est magnifique. Je ne résiste pas à l'envie. Je promène ma main sur la cuisse d’Hortense. Ma main remonte sur le ventre puis sur les seins ronds. Hortense ronronne discrètement. Elle est réveillée et se contorsionne pour offrir son corps à ma main baladeuse. Notre désir augmente de plus en plus. Hortense se tourne vers moi et me prend la bouche. Nos langues se reconnaissent et s'apprécient encore une fois. Je constate que je mouille de plus en plus. Mais je veux savoir ce qu'il en est de ma délicieuse compagne. Ma main glisse sur le ventre et trouve les cuisses largement écartées. Je ne peux me retenir :
• Espèce de petite cochonne ! Tu mouille comme une véritable salope !
Mes doigts entrent dans son sexe. Je commence à la branler.la mouille facilite la pénétration et Hortense se rend très vite. Un cri percent déchire l'air. Hortense a joui. Elle se pelotonne dans mes bras.
• Merci Sandrine ! Je viens de passer les meilleures heures de ma vie !
• Ne soit pas fière de cela ! Tu n'as pas couché encore avec Antonin !
• Mais je ne crois pas qu'il le fera !
• Détrompe-toi, Antonin est un homme particulièrement doué et je te souhaite que tu passes quelques heures en sa compagnie !
• Mais comment l'as-tu connu ?
• C'est une vielle histoire mais sache que lorsqu'il m'a pris pour la première fois j'ai découvert l'amour !
• Mais tu es mariée ?!
• Oui, mais jamais mon mari ne m'avait fait jouir aussi fort qu'Antonin !
• Ça alors ! Je n'en reviens pas !
C'est à cet instant que le bruit de la voiture d'Antonin qui roule sur les graviers nous parvient. Hortense veut se lever. Je l'en empêche.
• Reste là !
Antonin appelle dans la pièce de vie :
• Sandrine ! ...Hortense !...
Nous ne répondons rien et bien au contraire, nous nous cachons sous le drap. Nous entendons de nouveau crier nos prénoms. Puis il gravit l'escalier. Ses pas résonnent dans le couloir. Il ouvre les portes des chambres. Et il finit par la sienne. Il ne peut pas se contenir :
• Ah tu es une chipie Sandrine !
Et il att le drap et le retire brutalement. Ce qu'il découvre le stupéfait !
• Mais... mais...
Nous éclatons de rire devant sa mine ébahie. Je l’interpelle :
• Eh bien Antonin que t'arrive-t-il ?
• Qu... que faites-vous toutes les deux ici ?
Je lui réponds du tac au tac :
• Devine ???
Il hausse les sourcils et ses yeux semblent vouloir lui sortir de la tête ! Antonin nous regarde. Il bande maintenant et je regarde sans aucune discrétion la bosse que ma bite fait à mon pantalon. Pour le narguer, je décide de prendre en main les choses. Je pose ma main sur ma moule. J'écarte bien les lèvres du mon sexe et fait ressortir mon clitoris de sous son petit capuchon. C'est alors qu'Hortense entre dans la danse. Elle pose sa main sur mon sexe et commence à me caresser. Elle continue sans arrêt de branler mon abricot. Elle astique plus vite mon bouton. Très rapidement, l'orgasme monte dans mon ventre. La bouffée de plaisir me jette la tête en arrière. Je me cambre et je jouis avec un feulement digne d'une tigresse. Je reverse la tête au moment de son orgasme. Quelques secondes plus tard, j'ouvre les yeux. En face de mon visage, une vision de rêve. Antonin, la bite à l'air, fière pointe vers le plafond. Il se caresse doucement. Je suis particulièrement heureuse de revoir son sexe en érection. Je regarde Hortense. Elle est scotchée par la taille du membre brun qui se pavane devant nos visages. C'est à cet instant que je me dis qu'il faut que je pousse le destin.
• Antonin, Hortense crève d’envie que tu lui fasses l’amour ! Viens la baiser ! Elle le désire depuis si longtemps !
Je donne à Antonin la permission de baiser une autre femme que moi. Je suppose qu’il a toujours agit sans mon autorisation. Cela l'excite encore plus. Hortense est satisfaite. Elle s'offre à Antonin. Je ne peux pas détacher mon regard de sa poitrine, de beaux gros seins, avec ses tétons raides et bien épais. Ils sont agités sous les mouvements des mains d’Antonin. Quant à lui, son érection est conséquente et n’est pas près d’être calmée ! Hortense est debout face à Antonin. Je demande à Hortense :
• Il te plaît ?
• Bien sûr depuis le temps que j’en ai envie… Il est pas mal, mais faut voir le reste...
Je regarde Antonin et constate une forte érection. Il s’agenouille devant la jeune femme. Il goute le jus d’Hortense. J’ai l’impression que sa queue gonfle instantanément et qu’elle va exploser tellement elle durcit. Hortense s’allonge sur le lit. Antonin s’approche doucement de son sexe luisant et offert à ses caresses. Je m’approche et entreprend de soulager Antonin, sachant pertinemment que la vue d’un tel spectacle va provoquer sur lui. Mais Hortense réclame le sexe mâle. Elle s’en saisit et approche le gland de ses lèvres. Elle dépose des baisers sur toute la longueur de la queue puis la met tout entière dans sa bouche et laissant à Antonin donner le rythme. Hortense soupire de plus en plus fort car je lui ai introduit plusieurs doigts et je lèche avidement son sexe. Je questionne Antonin :
• Elle te plaît bien on dirait…
J’embrasse avec douceur Hortense. Elle tourne autour de moi et se colle derrière moi. Nous nous embrassons à tour de rôle, Hortense prise entre nous. Je sens ses seins contre moi, ils sont fermes et tendus. Elle sent la queue d’Antonin contre son ventre et ma chatte contre ses fesses... Hortense croise ses bras par-dessus sa tête, offrant ses seins à gouter à Antonin. Mais je ne reste pas inactive. J’entreprends de goûter le corps d’Hortense avec ma langue et mes baisers. Je commence par sa gorge puis glisse vers ses seins, en passant par les côtés et en revenant par-dessous pour finir sur le téton à chaque fois. Ils sont très réactifs et les aréoles plissent légèrement sous ma langue. Ses seins sont un peu trop gros pour que je puisse les prendre totalement en bouche. Je poursuis doucement ma descente : son ventre, ses flancs... Aucun centimètre de peau ne m’échappe. J’aime son goût. J’approche de son sexe et je sens son odeur qui m’enivre déjà. Je jette un regard vers son visage mais ne parviens pas à le voir. Sa tête est basculée en arrière et elle échange un baiser passionné avec Antonin. Ses mains guident ma tête vers son fruit encore ruisselant. Je dépose quelques baisers du bout des lèvres, en partant de son clitoris jusqu’à la base de sa fente. Puis je remonte en y glissant ma langue. Son jus est un délice. Arrivée sur son clito, j’ouvre grand ma bouche et l’applique dessus, puis j’aspire profondément pour le dégager de son cocon. Avec ma langue, je viens délicatement le titiller... Il se raidit comme prévu et j’entends sa respiration s’accélérer. Je glisse ses grandes lèvres dans ma bouche et les serrent avec mes lèvres, fermement. Puis j’entreprends de les lécher avec ma langue avec de longs mouvements. J’ouvre la vulve d’Hortense avec mes doigts. Cette dernière est entièrement soumise à nos caresses. Tous ses sens sont tournés vers le plaisir. Antonin pénètre ce sexe offert, cherchant à l’enfoncer le plus loin possible, glissant au plus profond d’elle et lui arrache un petit cri.
Après un instant de surprise, Antonin se jette littéralement sur elle, lui dévore la chatte, pétrit les lobes, puis lui plante la bite dans la chatte. Il lui laboure le sexe avec ardeur, ressortant une bite gonflée pour rentrer sans ménagement. Hortense gémit sous les coups de butoir, puis hurle de plaisir. Assise sur le lit à leurs côtés, je me masturbe à la limite de la jouissance, me retenant pour mieux profiter de la situation. Hortense se fait sauter sous mes yeux et sa jouissance me fait un effet bœuf ! Je vois la grosse bite lui labourer le ventre. Soudain Hortense se cabre, soulevant Antonin. Il se vide dans son ventre. Après quelques derniers soubresauts, sa queue se libère d’un long jet de sperme, inondant son ventre. Nous sommes haletants. Antonin enlace Hortense dans ses bras et je me colle contre son dos. La fatigue se fait sentir et nous sombrons tous les trois dans les bras de Morphée.
Les premiers rayons de soleil nous sortent de notre torpeur. En face de nous, Hortense est là toute habillée. Elle nous parle :
• Bonjour les amis ! Vous avez bien dormi ??
Je lui rétorque :
• Oui, mais pourquoi cette question ?
• Eh bien c’est très simple ! Antonin, après m’avoir baisée comme une reine, s’est endormi en me tenant dans ses bras !
• Oui et alors ?
• Eh bien regarde ! Il te tient dans ses bras ! Le choix est donc fait, Sandrine ! Antonin te préfère ! C’est ainsi ! Je pars ! Soyez heureux !
Nous sommes estomaqués ! C’est vrai, Antonín me tient serrée dans ses bras !
Hortense part en claquant la porte. A cet instant, Antonin me retourne en face de lui et m’embrasse amoureusement.
• C’est vrai, c’est toi que j’aime, Sandrine !
Il s’allonge sur moi et sans me demander quoique ce soit, il me pénètre. Je suis humide et son intromission se déroule avec beaucoup de délicatesse. Antonin ne me baise pas. Il me fait l’amour !


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