Collection Agent S69. Les Commandos (9/14)

Nous avons transporté Thierry chez moi pour qu’il se réveille loin des agents Valentin et Bruno qui ont joué le jeu lui faisant croire qu’ils l’avaient enlevé et torturé tout comme Robert l’agent comédien lors de leur jogging pour voir s’il est susceptible de craquer en cas de vrai enlèvement par des forces opposées lors de nos missions.

• Pourquoi dis-tu que tu es une fiote, j’étais en train de lire attendant que Valérie ne m’appelle quand on a sonné à la porte de l’appartement, je suis allé ouvrir et je t’ai trouvé posé comme un vulgaire ballot de chiffon nu sur le paillasson ?
J’ai réussi à te tirer jusqu’à ton lit et voyant que tu reprenais conscience je t’ai pris dans mes bras, dis-moi de quoi te souviens-tu ?
• Je suis descendu, un gars en tenue de jogging m’attendait, il m’a dit s’appeler Robert et que Valérie lui avait demandé de venir courir avec moi, nous nous sommes engagés dans le bois de Boulogne quand d’un coup une camionnette noire s’est arrêtée, plusieurs personnes cagoulées nous ont sauté dessus et l’on m’a pulvérisé un gaz sur le visage.
Je me suis réveillé dans une pièce entièrement blanche, trois personnes habillées avec des tenues de cuir et des cagoules m’avaient dénudé et attaché sur un genre de banc les fesses en l’air.
Robert était sur un banc identique nu lui aussi, mais semblait avoir déjà subi des outrages là où tu peux penser.
• L’avait-il sodomisé ?
• Je l’ignore, mais l’un des garçons lui a redressé la tête et a dit qu’il était mort.
• Que voulaient-ils savoir ?
• Lui je l’ignore, j’ai simplement vu quand ils l’ont détaché, ils ont ouvert une trappe comme dans les morgues et ils ont placé son corps à l’intérieur avant de venir s’occuper de moi.
• Mon cœur, que t’ont-ils fait ?
• Celui qui semblait être le chef m’a flagellé avec sa cravache.

Il porte sa main à sa fesse droite qui est zébrée, les coups de cravache ayant fortement marqué.



• Tu as crié, tu avais mal.
• Non, je suis resté de marbre, ils m’ont demandé si nous étions des agents secrets français.
• Leur as-tu dit oui pour qu’ils arrêtent ?
• Non, Valérie m’avait briffé que si cela se produisait, je devrais simplement dire mon nom et au pire où j’habitais à Paris.
Ils ont dû voir que je serais une tombe et ils m’ont ramené chez nous après m’avoir de nouveau gazé.
• Pourquoi si c’est tout ce qui s’est passé, as-tu dit que tu étais une fiote quand tu t’es réveillé dans mes bras.
• Ce devait être l’effet du gaz, à oui je me souviens qu’ils ont dit qu’ils allaient me sodomiser.
• Tu aurais voulu ?
• T’es dingue et toi aimerais-tu te faire sodomiser ?

Il essaye de retourner la situation à son avantage, il doit se demander si la verge qu’il a senti sur son anus l’a perforé, car instinctivement il porte ses doigts vers son petit trou.
Je pousse sa main et je fais pénétrer une phalange de mon majeur dans son anus.

• Tu vois s’ils t’ont sodomisé, ta rosette est redevenue, c’est refermé normalement, si un jour tu te fais prendre par les ennemis que tu devras affronter, tu te souviendras que tu as déjà subi ce genre d’outrage et que tu en es sorti vivant.
• C’est facile pour toi que dirais-tu, si tu t’étais fait enlever et te sois fait enculer .
• Je dirais que j’ai bien aimé, car moi aussi j’ai été enlevé pour voir, comment je réagirais dans une telle situation, je me suis retrouvée pendue par les poignets et je me suis réveillé dans les bras de Valérie dans ma chambre de l’autre côté du couloir.

Il glisse son doigt sur mon anus.

• Alors, toi aussi tu t’es fait pointer ?
• Oui, mais j’ai été gazé après, j’ai nettement senti la verge de Valentin, notre collègue quand il m’a défoncé.
• Qu'est ce que tu as fait.
• Quand je l’ai su, je lui ai mis mon point sur sa gueule, mais Valérie a voulu que l’harmonie règne dans l’équipe et le soir il m’a emmené chez lui et il est devenu mon amant.

• Incroyable, tu de fait enculer et tu fais de ton agresseur ton amant.
• Pourquoi crois-tu que lors de ma formation ou je t’ai connu, je me suis donné à tous le groupe le premier et dernier jour ?
• Je l’ignore, j’ai pensé que tu étais une salope qui aimait baiser.
• Il y a un peu et même beaucoup de cela, à la suite de mon initiation prouvant que j’avais du cran allant même jusqu’à me faire sodomiser Valérie m’a nommé l’agent S69, S comme sexe et 69 tu comprends pourquoi.
• Et moi elle m’a dit que si je réussissais la dernière épreuve que j’ignorais jusqu’à ce que je me retrouve dans ce lit ce qu’elle était je devenais l’agent E3, elle a ajouté E comme étalon.
Elle m’a dit que comme les autres garçons du groupe je devrais souvent me servir de ma bite pour réussir mes missions.
Et Robert, je pense qu’il est bien vivant.
• Oui, j’étais avec Valérie derrière une vitre sans teint et nous l’avons récupérée dans la pièce attenante à celle où tu étais.
• Alors, tu as vu s’il m’a sodomisé ?
• Je sais tout, mais je dois garder le secret cela fait partie du métier, bien qu’au moment propice un besoin naturel m’a pris et je me suis absentée par contre si je suis là, c’est parce qu’il est impossible que tu te venges sur les garçons, pour calmer le jeu, il est impossible que tu ailles chez l’un d’eux pour pactiser comme je l’ai fait.
A moins que tu aies aimé et que tu sois devenue une fiotte.
• Tu vas voir si je suis une fiotte.

Nous luttons pour dire que nous luttons, car après les cours de karatés ou de savates notre jeu à un autre but et l’agent E3 me plaque sur le lit et sans attendre sa verge entre dans mon anus.
Collé l’un à l’autre il manœuvre dans mon œillet et grâce à sa main qu’il a glissée sous moi pour pincer mon clitoris pour la première fois, je jouis par tout le bas de mon corps aussi bien devant que derrière.
Dans un moment de lucidité avant de planer, je lui rentre le majeur dans l’anus, mon doigt est moins gros qu’une verge, mais il est assez long pour dire qu’il s’est fait mettre.


Le lendemain nous recevons un appel de Valérie qui nous fait venir.

• Je vois que Juliette t’a expliqué comme nous faisons passer l’examen final avant de nommer nos agents, tu es resté stoïque et je t’en félicite, je te confirme que tu deviens définitivement l’agent E3.
• Tu m’as dit E pour étalon, mais pourquoi 3, Juliette m’a dit qu’elle était l’agent S pour sexe 69 je comprends l’allusion alors pourquoi ce chiffre ?
• Trois doigts dans ton cul jeune homme.

Je reconnais l’humour de notre maîtresse, je vois Thierry serrer les poings et se détendre, les cours de self-contrôle ont été efficaces.

• Voilà vos ordres, départ lundi pour Brest par une voiture que Bruno conduira, stage chez les plongeurs de combat avant de partir pour votre première mission en terre inconnue comme à la télé.
Comme je vous l’ai dit, vous vous appelez, monsieur et madame Lopez, cela vous permettra de coucher ensemble sans que toi Juliette tu fiches le bordel chez les commandos comme tu l’as fait dans le stage où vous vous êtes rencontré, allez filer, j’ai du travail.

Pendant plusieurs semaines nous suivons un entraînement intensif, j’apprends à manier le couteau tranchant même la gorge de mannequin sans faire le moindre bruit.
Luc la science nous rendre visite et nous apprend à nous servir de quelques appareils qu’il a améliorés.
Il me donne une nouvelle montre ainsi qu’à Thierry, il a une casquette et quand il la soulève une vibration se fait sentir sur mon poignet.

• Tu verras dans quelques jours à quoi cela te servira, Valérie m’a dit de garder cela pour moi, maman dit que dans ces moments là je suis une tombe.

Après il nous donne des sacs à dos noirs étanches où du matériel nous servira lors de notre future mission, une paire de lunettes de vison de nuit parfaitement similaire à des lunettes de soleil normal et une oreillette parfaitement invisible que l’on place grâce à un petit outil qu’il a conçu.

Parler doucement, les lèvres près du cadran de votre montre.

• Juliette.
• Oui, Thierry.
• Vous voyez, cela marche, les oreillettes et les montres sont reliées à un satellite militaire qui vous permettra de communiquer entre vous, bien sûr, il vous faudra vous servir du système prudemment et surtout en cas de grave danger.

À quelques jours de la fin de notre stage nous nous rendons à la base des sous-marins classiques en tenue de plongeur sans nos scaphandres autonomes que nous avons appris à utiliser.
Luc la science est sur le quai.

• Je vous apporte un petit appareil que vous allez tester tout à l’heure en mer dans ce sous marin classique de 800 tonnes.
C’est une réserve d’air de 3 minutes qui va vous permettre de respirer quand vous serez entré dans l’un des tubes lance torpille de ce cigare, ils vous expulseront comme une vulgaire torpille et vous rejoindrez la surface avant de rejoindre la côte à la nage avec votre sac à dos.
Grâce à vos montres vous suivrez les points sur le cadran si c’est vert, c’est que vous êtes sur la bonne route si c’est rouge, vous avez dévié et vous rectifiez.
• Une question, ta montre fait-elle aussi machine à laver ?
• Tu es drôle Juliette, je vais y penser, ça pourrait intéresser maman.
• Vous venez avec nous.
• Non, maman m’a dit que j’avais le mal de mer et que j’étais claustrophobe.

L’exercice réussi et nous rejoignons la plage ou grâce au satellite le commandant de l’unité des commandos nous attend avec un canot à moteur pour nous raccompagner.

• Thierry, voici vos chaussures de jogging, vous rentrez à la course à la base, j’aimerais voir s’il est plus rapide de faire le parcours en bateau ou en courant jusqu’à Brest.

Il part après comme moi avoir enlevé nos combinaisons, nous avons un maillot de bain, mais je suis seins nues, il retire sa veste qu’il pose sur mes épaules.
Nous glissons sur l’eau, quand dans les minutes suivantes me dit s'appeler Louis et qu'il coupe les moteurs.

• Juliette, depuis que vous êtes parmi nous je envi de toi.
• Mais je suis mariée.
• Je sais je t’ai souvent entendu jouir sous la bite de Thierry mais une belle femme comme toi doit être libre de sa vie comme moi je le suis.

C’est comme cela que je trompe monsieur Lopez mon mari pour la première fois, Louis me prend alors que je me place à califourchon sur sa bite que j’ai sortie de son écrin et que j’ai sucer pour la faire tendre à son maximum.
Certes, je trompe mon mari mais Valérie aura du mal à prouver que j’ai baisé en pleine mer à moins que Luc la science avec son espèce de satellite arrive à nous voir quand je suis littéralement empalée et hurlant vers les mouettes qui tournois au dessus de nous mon plaisir quand un flot de sperme inonde mon vagin.

• Juliette, je vous ais battu.

Comme tout mari cocu, Thierry est le dernier à le savoir…

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