Collection Agent S69. La Bulle (5/14)

C’est fait, je suis engagée par les services secrets Français, Virginie notre chef veut que je me réconcilie avec Valentin celui qui m’a enculé pour essayer de me faire craquer et dire qui je suis après qu’ils m’ont enlevé à Madrid.
J’essaye de comprendre comment fonctionne l’ascenseur ou quand nous montons, nous avons l’impression de rester sur place, pourtant partant des quais de seine, je me suis retrouvée dans le centre opérationnel du service ou Virginie à son propre bureau sans savoir le moindre endroit où il se trouve.

Je découvre un autre secteur avec l’appartement sécurisé que je récupère situé au bord du bois de Boulogne pour arriver à maintenant ou reprenant nos déplacements bizarres, Valentin me conduit dans son logement, un appartement dans un vieil immeuble, j’en ai pour preuve l’ascenseur intérieur ressemblant à ceux que l’on trouve dans ces bâtiments d’après-guerre.

Je suis couché sur le lit de mon collègue de travail sa verge en moi ayant déjà ressenti le grand frisson que j’aime tant depuis que j’ai été défloré, j’ai bien fait de me réconcilier, Valentin est un des meilleurs amants que j’ai rencontré dans ma vie de salope.
Quand il me libère, sans attendre, je le reprends dans ma bouche nettoyant nos sécrétions afin de lui faire retendre le bras.
Je me positionne en levrette.

• Encule-moi.

Le garçon me regarde semblant chercher si c’est du lard ou du cochon se passant la main sur son menton certainement encore endolorie.

• Tu peux y aller, tu étais loin d’être le premier, mais dans un lit ou dans un couple, c’est moi qui commande, mon cul m’appartient et après l’orgasme que tu viens de m’apporter, tu as le droit à ma petite rosette.
Embrasse-moi et après pointe moi.

Il est un peu surpris, mais il s’exécute, il embrasse divinement et avant de me sodomiser il me fait une feuille de rose, je retrouve le plaisir qu’il m’a procuré secrètement dans la chambre de à mon retour de Madrid.


Le temps de reprendre notre souffle, Valentin se lève, je l’imite et nous allons dans sa salle de bains, nous jouons dans la baignoir sans pour autant baiser.

• Habillons-nous, je t’emmène vers la Madeleine je connais un petit resto sympa.

Nous sortons de l’immeuble, découvrant que nous sommes à deux pas de l’Opéra, l’ascenseur peut nous conduire rive gauche comme rive droite et doit passer sous la Seine.
Dois-je toujours parler d’ascenseur, ce ne serait-il pas un genre de métro inconnu des Parisiens qui nous propulsent dans cette bulle hermétiquement fermée vers notre destination ?
Une nouvelle fois ce qui me saute aux yeux, c’est qu’aucune commande n’est nécessaire, on dirait que cette bulle décrypte nos pensées et analyse où nous voulons aller, c’est une intelligence artificielle, je suis fier mon pays a su développer un tel outils de déplacement même si ce serait dur à adapter au grand public.
Il est vrai que dans les stations de ski les bulles font un grand travail chaque jour.

Après avoir mangé dans une franche rigolade nous retournons chez Valentin.

• Viens-tu prendre un dernier verre ?
• Non, Virginie m’a fait savoir que je devais être à son bureau à neuf heures, je veux être fraîche et pimpante.
• Ok, j’espère que nous rééditerons cette soirée.
• Sans problème.

Il me conduit à l’ascenseur non, à la bulle, dès que je monte, je pense fortement à Virginie et j’attends.
Les portes s’ouvrent et je suis dans un immeuble inconnu, pour monter dans les étages il y a un boîtier où je place mon index ouvrant la porte, sur les boîtes aux lettres un prénom m’interpelle Virginie et Adrien Le V…, Louis et Louison 3ème droite.
Excusez, j’ai appris mon métier, si agent secret en est un, il faut que je conserve son anonymité sait-on de quoi demain sera fait.

J’ai l’impression de faire ma première mission d’agent secret, je grimpe quatre à quatre au troisième évitant l’ascenseur piégeant si quelqu’un souhaite le prendre et je me retrouve derrière la porte.

Il est une heure avancée, mais j’entends deux personnes parler, non, deux personnes faire l’amour, la porte de l’appartement laisse passer les gémissements de la jeune femme, je reconnais quand elle gémissait dans mes bras, ce sont ceux de ma maîtresse et supérieure hiérarchique.
Valérie est humaine, dans ce logement, je sens qu’elle est elle-même et que l’homme avec qui elle vit doit profiter de sa grande expérience du sexe.

Discrètement je redescends, je regarde par la porte de l’immeuble en verre, mais je suis incapable de dire ou je suis, la seule chose que je vois ce sont des voitures qui passent, toujours dans le même sens, c’est une rue à sens unique.
Je vais vers la porte par où j’ai accès à la bulle, j’entre et je m’assieds pour qu’elle me conduise chez moi.
Cinq, dix minutes, une heure, je tombe de sommeil et je suis prisonnière, je finis par m’endormir jusqu’au moment où je sens que l’on me secoue.

• Piégée Juliette, depuis quand es-tu là à dormir dans la bulle.

Le cerveau embrouillé, j’émerge, pleine de courbature.

• Vers 23 heures hier au soir.
• Tu es montée jusque chez moi.
• Oui, comment vont Louis et Louison ?
• Bien, ils se préparent pour que la nurse les emmène à l’école.
• Ils ont quels âges ?
• 12 et 10 ans, mais dis-moi tu as entendu ce que nous faisions avec Adrien.
• Tu as joui aussi fort que dans mes bras, sait-il ce que tu fais ?
• Non, il croit que je travaille au ministère de l’Intérieur.
• Mais nous dépendons de la Défense.
• C’est un moyen de noyer le poisson.
• Je vais être sanctionné, j’ai outrepassé mais droit en venant chez toi, je croyais avoir compris comment la bulle fonctionnait.
• J’ai fait comme toi dans les premiers temps où le système a été mis en service, je croyais atterrir chez un de nos agents et je me suis retrouvée coincée au ministère de la défense, le matin, c’est le ministre lui-même qui m’a trouvé et qui m’a permis de rejoindre mon appartement pour me changer avant de partir pour mon ministère.

En ce temps-là, le service que j’ai créé n’avait pas été ouvert.
• Mais, dis-moi tu es toujours en activité ?
• Bien sûr, je vais sur le terrain chaque fois que des missions très difficiles nécessitent mon expérience.
• Tu as un code S ?
• Oui, S001.
• Le 1 je vois, tu es la première à te servir de ton sexe pour remplir tes missions, mais pourquoi 00 ?
• Tu verras plus tard après tes premières missions officielles et tes réactions.
• Mais ta famille, ton mari accepte que tu le trompes pour le bien de la France !
• Non, il est loin d’être au courant, il croit qu’au ministère je suis chargée de la coordination d’agent de la sûreté intérieure qui nécessite un niveau de secret maximum et comme il a été choisi pour son haut degré de servitude pour sa patrie nous ne parlons jamais de mes fonctions.
• Où travaille-t-il ?
• Moins tu en sauras mieux se sera, demain tu peux tomber dans les mains de nos ennemis et qu’ils veuillent que tu parles de moi, en trouvant mon domicile et ma famille tu as été déjà très loin dans ce que l’on accepte.

Comment la bulle m’a-t-elle libérée, certainement grâce à Virginie comprenant de moins en moins son fonctionnement et donc de plus en plus admirative.
Les portes du service s’ouvrent et je la suis dans son bureau.
Elle marche devant moi, sa chute de rein me fait mouiller même si mon corps est repu de ma soirée avec Valentin, je le croise, il travaille sur son ordinateur, un clin d’œil et tout est dit.

• Juliette retourne chez toi, je dis bien directement chez toi, lundi voici ton ordre de mission tu rejoins l’adresse inscrite sur ce papier où tu vas recevoir une formation du niveau des hommes qui protègent la France de l’intérieur, un taxi te conduira vers ton lieu de stage que tu suivras pendant trois mois, nous nous reverrons à ton retour, passes de bons moments et forme toi bien, tu en auras rapidement besoin…

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!