Collection Agent S69. Agent S69 (3/14)

COLLECTION AGENT S69. Agent S69 (3/14)

Virginie celle qui veut que je devienne un agent secret français m’a donné une deuxième chance, car j’ai mal travaillé lors de mon retour d’Amsterdam.
J’avais bien travaillé en me prostituant afin de récupérer un cœur rose que je pensais utile à mon pays, mais j’ai eu tout faux au retour.
Elle m’envoie à Madrid récupérer une note qu’un homme supposé être mon fiancé devait me donner devant le stade de football, un homme s’est dirigé vers moi avant qu’une piqûre dans le cou me fasse perdre connaissance.
Quand je reprends conscience, j’ignore ou je suis la seule chose que je vois, c’est que je suis pendu par les poignets les jambes écartées, entièrement nu, l’homme que j’ai vu approché de la voiture à Madrid est pendu à mes côtés, mais semble être bien mal en point.
J’entends une voix féminine sourde avec un fort accent slave et c’est à ce moment que je la voie quand elle entre dans mon champ de vision.
Grande vêtue entièrement par une combinaison en cuir rouge, elle porte une cagoule de même couleur qui m’empêche de voir son visage et la couleur de ses cheveux.
Elle est bottée de cuir et a une cravache à la main.

• Ton copain est dans l’impossibilité de répondre à nos questions, cette tarlouse c'est évanoui dès mes premiers coups de cravache sur son joli petit cul.

Un homme vêtu de cuir noir entre lui aussi dans mon champ de vision, il prend la tête du gars mal en point et lui assène une baffe à lui décrocher.

• Alors petite salope, tu vas me dire ce que tu faisais depuis bien longtemps auprès de ce stade avec ta voiture.
• Je m’appelle Adrienne Lemarchand, j’habite à Bordeaux et j’attendais mon fiancé quand j’ai senti une piqûre dans mon cou.

Je vois arriver le coup de cravache porté de bas en haut vers ma chatte, le cuir pourfend mes chairs et touche la partie tendre, je hurle de douleur.

• Mauvaise réponse, que faisais-tu devant ce stade.


• Je vous l’ai dit, je m’appelle Adrie.

Le coup de cravache sur mes seins touchant les deux simultanément m’arrache un nouveau hurlement.

• Patronne, son copain il est mort, c’était une petite nature.
• Mets-le au frigo, tu le découperas en morceaux et tu iras les jeter à la porcherie voisine comme d’habitude les cochons feront tous disparaître.

Ils le détachent avec un troisième homme qui était hors de mon champ de vision, ouvre un frigo comme dans les films où les gens sont morts avant autopsie et sort une table en Inox sur roulettes puis sans ménagement le couche dessus.

• Passons aux choses sérieuses, il y a encore trois places dans notre frigo et les cochons sont des voraces.

J’ai mal à la chatte et à mes seins mais petit à petit, la peau qui a été touchée commence à me brûler, je sens que j’aime cette douleur, je me dis que si je m’en tire je dois observer et retenir tous les indices que je pourrais retransmettre à Virginie.
Je sais que nous sommes non loin d’une porcherie.

• Avant de s’évanouir et que tu reviennes à toi, ton copain nous a dit que tu étais la chef de la mission et que tu savais tout sur le dissident Russe qui devait te donner les plans d’une arme destructrice mais primordiale pour mon pays.
• Ok, je vais parler, toi et tes copains vous êtes des putes et tu peux me faire tout ce que tu veux, tu n’arriveras qu’à me faire jouir.
• Patronne, elle vous fait croire qu’elle jouit cette pute, fister là, nous verrons bien si elle prend du plaisir ou si elle va vous demander à tout nous dire.
• A moins que tu l’encules Petrov, je suis sûr qu’elle apprécierait de prendre ta grosse bite dans le cul, souviens-toi, la dernière que nous en avons eu une ici, elle a craqué persuadé que tu allais la déformer à vie.

C’est en Russe qu’il parle, mais je reste stoïque évitant de montrer que je les comprends, mes mains me font mal et j’ai des difficultés à tenir sur mes jambes après la flagellation que cette grande maquerelle rouge m’a infligée finissant par me faire jouir me prouvant définitivement que je suis une folle du cul.


• J’ignore de quoi vous voulez que je vous parle, si je savais la moindre chose sur ce papier qu’un homme m’aurait remis, je vous le dirais, vous me parler d’un dissident et d’une arme terrifiante, ce que je sais c’est que j’attendais mon fiancé qui était au match et que je devais ramener à la maison.
• Tu me forces à faire des choses que j’aime faire aux filles, mais avec leur consentement, tu vas voir, mon gant de cuir va m’aider à glisser au fond de ton vagin.

Elle avance sa main et me caresse le clitoris, ce qui me fait mouiller, d’une main elle écarte mes grandes lèvres de l’autre, elle me rentre trois doigts, ma chatte commence à s’échauffer.

• Tu veux me fister comme ce pauvre con, te le suggère salope, mais la seule chose que je peux te dire, c’est que je m’appelle Adrienne Lemarchand, j’ai vingt-quatre ans et j’habite à Bordeaux ou je vais à la fac et j’attendais mon fiancé qui était au match.

Je fini juste de parler de la fac quand je sens mes chairs s’écarter se dilatant comme jamais et le poignet entrer en moi, je baisse ma tête et j’ai l’impression qu’un ver géant comme dans les films de science-fiction est en moi.
Ma tortionnaire fait bouger ses doigts que je vois tendre puis détendre la peau de mon ventre, la douleur passée la jouissance que je ressens est énorme à tel point que je perds conscience dans un grand cri.
Des malades, j’ai affaire à des malades, car ils prennent un jet d’eau à très forte pression pour me faire revenir à moi, j’espère que ces bourreaux vont bientôt en finir avec moi, car je sens mon cœur battre comme jamais sous mon sein gauche.
Des malades, le dénommé Petrov ouvre une armoire non loin de moi et je peux voir des instruments de digne de ceux dont l’inquisition se servait pour faire parler les suppliciés.
Nul doute qu’avec certaines tenailles ceux qui n’avaient rien à dire retrouvaient l’usage de la parole dans le sens où ils voulaient ce qui leur permettait de les faire souffrir deux fois plus jusqu’à leur mort.


• Avant que je l’encule patronne, regardez ces jolies pinces crocodiles que je vais lui mettre sur la pointe de ses seins, combien croyez-vous qu’ils soient capables de supporter, souvenez-vous de la dernière avaient 120 grammes à chaque pointe.
Je commence à 140, dans deux secondes elle va tout vous dire sur ce qu’ils projetaient de faire avec l’autre connard qui se rigidifie dans son frigo.

La femme en rouge retire sa main me donnant une impression de vide.
Encore un hurlement quand la pince se referme sur ma fraise droite et je hurle une deuxième fois quand il attaque la deuxième, ce n’est rien comparé à la douleur quand prenant les poids dans chacune de ses mains il les place sur les anneaux prévus pour les recevoir.
Il est sympa ce grand connard, il les relâche lentement ce qui évite que tous ne s’arrachent, mais en baissant la tête je vois que mes seins saignent, à ce que je vois, moi qui suis si fière de ma poitrine ferme à souhait pour mes amants qui adorent les caresser.
Ils pendent comme peuvent pendre les seins de ma grand-mère qui, hélas, nous a quittés, je pense à maman qui était fière que sa fille soit forte en langue et qui devait suivre le même chemin que le sien, je pense, je pense, je pense.
Je pense encore pour éviter de voir ce qui va m’arriver quand l’adjoint ouvre une fermeture dans sa combinaison noire et qu’il en sort une verge aussi grosse mais moins longue que celle du cheval que je voyais saillir la jument de grand-père et qui devait leur donner un poulain l’année suivante.

• Tu parles, nous serons toujours gagnants, tu vas souffrir pour rien.
• Ta main dans ma chatte, j’ai joui continu, j’ai des réserves espèce de vieille salope.
• Détache là, met là à quatre pattes et sodomise là.

Quand l’homme qui a fait sortir sa bite me détache inutile de me demander de me mettre à quatre pattes je m’écroule, il me relève la croupe et d’un coup m’emmanche.

J’ai l’impression que l’on me met un coup de fusil dans l’oignon, il me pilonne m’entraînant des frissons dans le dos.

• Putain continu mec.

C’est le dernier mot dont je me souvienne, la décharge est si forte que je tombe dans les pommes.

• Reviens à toi Juliette.
• Non, je m’appelle Adrienne, j’étais à Madrid pour récupérer mon fiancé, nous habitons Bordeaux.
• C’est bon Juliette, tu es dans ta nouvelle chambre, tu es devenue l’agent « S69 », bien venue dans mon service.
• Virginie où suis-je, dans quelle chambre ?

Je comprends de moins en moins, je suis nue, elle est nue dans un lit immense avec des draps de soie, sur une chaise face à moi la tenue rouge de dominatrice avec la cagoule et la cravache, pliée comme seule une femme sait le faire, je sens quelque chose sur mes seins endoloris qui semblent avoir été soignés, je trouve mon doudou qui était dans ma chambre à l’université.

• Je vais tout t’expliquer, cette chambre est bien plus sympa que ta chambre de fac, tu verras, elle fait partie de pièces aussi agréable que celle-ci, la vue sur le bois de Boulogne te plaira.
Mais elle a surtout un gros avantage, l’immeuble nous appartient et est entièrement sécurisé, finit l’un de nos agents allants récupérés des affaires sans ton accord.
• As-tu déjà fait l’amour avec une femme ?
• Non, mais tu vas m’apprendre, j’ai une folle envie

J’ignore ou je suis, la seule chose que je sais c’est que je suis dans des draps de soie, j’ai l’impression que cette combinaison sur la chaise est celle de cette femme dans cette pièce où l’on a essayé de me faire dire que j’étais un agent secret français.
L’homme placé dans le frigo est-il bien mort ou cela faisait-il partie d’un plan pour me faire craquer ?
Pour le moment, je vis le moment présent quand je donne ma bouche à celle qui est si belle et qui me replace ses doigts sans le gant si tout du moins mes soupçons sont les bons.
Même avec une femme je sens que je suis la même folle de mon sexe et comme Virginie semble avoir les mêmes propensions à aimer faire jouir son corps, même si j’ignore la marche à suivre pour y arriver, je sens que je vais être une bonne élève…

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