Collection Agent S69. Le Jogging (7/14)

Je viens de terminer mon stage entouré de onze hommes, j’ai eu des rapports sexuels avec eux dès le premier soir ainsi que le dernier ou j’ai réussi à faire plier Thierry, le meneur du groupe.
Le faire se traîner à mes pieds pour s’excuser d’avoir douté de moi m’a permis de prendre le pas sur tous ces hommes qui m’auraient broyé si je l’avais laissé faire.
J’avais immédiatement ressenti qu’il était un leader en puissance et j’ai très vite compris que nous étions une meute pour nos moniteurs de sports de combat, tires avec armes en tous genres et autres techniques d’escalades ou de pénétrations à l’intérieur d’immeubles ou de maisons ou était retranché des méchants.
Une meute n’a qu’un chef et il aurait été celui-là, mais en me refusant bien qu’il m’en ait beaucoup coûté étant folle du cul depuis mon dépucelage, nous avions une estime mutuelle l’un pour l’autre et notre lutte nous a permis de sortir presque à égalité de ces mois de stage.

Ce matin j’ai assisté à la remise de nos diplômes validant nos trois mois de formation, chacun du premier au dernier a reçu une affectation, Thierry par exemple est nommé à Paris.
Je dois rejoindre Valérie lundi alors je vais passer le week-end dans mon appartement du bois de Boulogne.
Lundi je prendrais la bulle pour rejoindre Virginie qui devrait m’assigner ma première mission en terre étrangère étant prête après avoir appris à parler le hongrois.
Pour la première fois, depuis trois mois un camion des forces intérieures me dépose devant chez moi, Thierry descend aussi et nous nous retrouvons sur le trottoir sous mes fenêtres et mon balcon.

• Tu habites ici Juliette, whaou tes parents doivent avoir du fric.
• Non, je suis locataire.
• Tu dois payer bonbon.
• Je me débrouille, je gagne bien ma vie.

D’un seul coup je suis ramené à la réalité d’il y a trois mois, et si le garçon était, lui aussi un agent de Virginie qui est là pour voir si je m’étais endurci par les cours intensifs que nous avons subis ou si j’ai levé ma garde et que je vais tous raconter au premier sexe fort beau d’ailleurs qui est avec moi.



• Je vais te laisser, je vais chercher un hôtel, il nous a été précisé que la France étant en état d’alerte nous devons retrouver nos nouvelles unités dès lundi matin, ce qui m’empêche d'entrer chez mes parents à Royan.
• Thierry, je te trouble tant que cela, même si même je n’ai reçu aucune affectation, j’ai eu les mêmes ordres, suis-moi, je vais t’héberger jusqu’à lundi ou moi aussi je rejoindrais mon unité.
• Tu as l’air bien énigmatique Juliette, je sens le mystère qui t’entour aussi je vais te suivre sans te poser la moindre question sur les détails de ta vie.

J’ouvre la marche devant lui jusqu’à la porte de l’immeuble, je vais passer un bon week-end avec ce garçon, j’ai eu la chance d’avoir mes règles quelques jours avant la fin du stage, ce qui m’a un peu handicapé dans certains exercices de validation.
Je présente mon index au système d’ouverture.

• Je me tais, mais je vais exprimer tout haut mon sentiment, qui es-tu, le système d’ouverture des portes est plus que sophistiquée, j’ai l’impression de me réveiller au 22 ème siècle.
Attends que je regarde si les voitures roulent ou volent.

Je vois le même étonnement quand je place mon index pour ouvrir mon appartement.
À l'intérieur je suis un peu déboussolée, je suis partie tellement vite après mon engagement que je suis aussi novice dans ces lieux que mon amant.

• Voilà ta chambre, avec salle de bains attenante, prend un bain, je vais, moi aussi me relaxer.

Je suis contente de le quitter afin d’explorer les lieux, je m’aperçois rapidement que tout est prévu même la boîte à café avec du café en grains et une machine entièrement automatique le broyant.
Le frigo sans déborder de victuaille est achalandé avec des produits frais, je vais pouvoir recevoir dignement Thierry.
Je suis dans mon bain dans ma propre salle de bains quand Thierry entre entièrement nu.

• Tu sembles avoir des moyens mais pourquoi user plus d’eau qu’il ne nous en faut, apprenons à économiser.


Il saute dans mon bain et j’apprécie ses jambes qui se glissent le long des miennes, est-ce la vision de mon corps nu, mais au moment où sa verge disparaît dans la mousse j’ai le temps de voir qu’il commence à bander.
Je passe mes jambes à l’opposer de la position qu’il a prise et m’avançant je lui entoure le torse de mes bras m’empalant sur cette verge ma bouche rejoignant la sienne.
Nous sommes lèvres presque collées quand dans un souffle il lâche.

• J’ai bien fait de m’excuser, j’aurais dû le faire plutôt, mais dis-moi, tu te serais fait sauter tous les jours par tous ces mecs si je t’avais cédé directement.
• Nul ne sait, sauf moi Thierry, alors profite de moi pendant ces deux jours avant que la vie nous engloutisse.

Les abdos que j’ai acquis en faisant tous les exercices que nous avons faits me sont bien utiles quand l’embrassant goulûment je monte et je descends le long de la verge que le garçon a plantée en moi.
Bien sûr, je regrette que pendant tout le temps de notre stage nous soyons restés sages, à une exception près, je parle assez Hongrois pour que Virginie soit contente de moi, j’ai même commencé à apprendre le mandarin, mais là il y a encore beaucoup de boulot.

Pendant toute la journée nous flânons sur la terrasse le soleil étant assez chaud, Thierry m’approvisionne en nourriture sur mon transat, il m’a fait jouir dans la baignoir, mais les presque trois mois d’abstinence, dans notre centre où nous sommes restés, semblent avoir rempli ses couilles, car il me prend trois fois jusqu’à la nuit ou la fraîcheur nous oblige à nous replier dans mon lit.

• Aller debout, fainéant, il est l’heure d’aller faire notre jogging.

Il s’étire comme un chat.

• Tu es folle, premier matin, sans courir, je reprendrais lundi.
• Non, suis-moi, je dois aller au parc Montsouris.
• Dans le 14e ?
• Viens-tu comprendras plus tard.

Nous sommes prêts, mais un problème se pose, quand j’ai donné rendez-vous à Virginie, je pensais voyager à travers Paris par la bulle, Thierry est étranger au service, il va falloir que nous prenions un taxi pour éviter qu’elle ne nous bloque.

Nous descendons et nous sortons quand je vois passer devant moi Virginie un casque sur la tête et courant.
La garce, elle sait que j’ai passé la journée et la nuit avec mon amant, j’espère que des caméras indécelables lui ont permis de voir que j’avais invité Thierry, y a-t-il des micros chez moi car les cris que j’ai poussé chaque fois qu’il m’a fait jouir et que j’ai lâché des mots orduriers que j’ai honte de répéter ont dû leur arracher les oreilles.

• Pourquoi aller jusque dans le 14e, nous avons le bois, tiens suivons cette femme, je te parie que je vais la battre ?
• Sais-tu où elle va ?
• Non, c’est plus marrant.

Virginie traverse et s’engage dans le bois, nous la suivons à bonne distance, je m’aperçois qu’elle prend des chemins semblant nous rapprocher de mon immeuble bien que les kilomètres s’accumulent, quand nous sommes en vue de la sortie du bois qui va me ramener à ma porte, j’accélère, un regard avec Virginie qui me sourit et je la double.
Le spring final me permet d’être la première suivie de Thierry et Virginie qui a perdu 2 mètres.
Nous tombons dans les bras l’une l’autre, sous le regard médusé de Thierry qui est complétement largué.

• Si nous montions boire un café chez toi Juliette .
• Nous pourrons prendre un bain ma chérie, cette course m’a épuisé, bravo à vous deux j’ai été à fond tous le long.

J’ouvre et nous montons, la porte de l’appartement ouverte Virginie m’embrasse m’enlevant mon tee-shirt mettant mes seins à l’air, Thierry reste médusé, mais ma main se glisse dans son pantalon de running et j’att sa queue.
Virginie tourne sa tête et l’embrasse, la belle pute, je pense qu’elle veut me faire voir qu’elle est libre de son corps autant que je suis libre du mien bien qu'elle soit mariée et est deux s.
Elle s’agenouille et commence à le sucer, Thierry prend sa bite en main et la fourre de plus en plus loin au fond de sa gorge, je la vois même descendre le long de sa trachée.


• Punaise c’est mon jour de chance deux belles salopes pour moi tout seul.
• Vas-tu pouvoir assumer ?
• J’ai toujours rêvé d’en prendre deux en même temps, déloquez-vous vous allez voir.

Virginie se redresse et en quelques secondes aussi bien elle que moi sommes nues, je la vois se mettre en levrette, j’en fais de même à son côté.
Elle tourne la tête et je peux de nouveau l’embrasser, son regard est plein du vice qui l’anime quand elle tortille du cul devant la queue de Thierry.
Dire que nous sommes encore dans l’entrée à quatre pattes sur la moquette.
Elle quitte ma bouche quand sa tête se redresse sous la puissance de la saillie de la verge qui entre en elle.
J’attends avec impatience qu’il l’ait assez labouré pour venir de nouveau en moi, je suis si excitée que dès qu’il se déplace pour se présenter que je veule de plaisir dès que son membre écarte mes lèvres vaginales.
Il recommence l’opération plusieurs fois passant de l’une à l’autre jusqu’à ce que nous ayons chacune un orgasme.
Repu il éjacule dans la chatte de Virginie me frustrant légèrement.
Après nous être écroulés pour reprendre notre souffle, nous rejoignons les salles de bains pour nous rafraîchir avant d’aller dans la cuisine où nous vidons une partie du frigo.

• Juliette, j’ai oublié de te dire, tous les matins une femme sera chargée de venir ranger ton appartement et remplir ton frigo, si tu veux qu’elle t’achète quoi que ce soit jusqu’à tes tampons, tu lui laisseras une liste sur la table de cette cuisine.
Je vais vous quitter, le devoir m’appelle, une dernière chose Thierry ou avais-tu rendez-vous demain matin.
• À la caserne de ma nouvelle unité ?
• Changement de programme, Juliette tu prendras la bulle avec notre ami, je vous attends à mon service à 9 heures, tout a été programmé pour que vous puissiez vous déplacer sans le risque d’être bloqué comme toi pour intrusion à un endroit non autorisé, j’aurais une proposition à te faire Thierry.
• Je veux bien, mais que vont dire mes supérieurs.
• Je te convoque avec leur accord, mais profitez de votre fin de dimanche nous verrons tout en détail demain…

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