Terma 93: Une Chaude Nuit De Dépucelage En Cellule (3)

Comme je voulais faire l’expérience de bites noires, africaines, j’ai fais le tour d’une dizaine d’endroits, cafés, foyers d’immigrés, et j’ai observé les hommes. Par chance, plusieurs d’en eux étaient en shorts ou en joggings serrés et je pouvais ainsi essayer d’observer ou deviner la grosseur de leur paquet sexuel. Mais ce n’était pas très engageant, alors découragé, je suis allé m’installer dans un café, pas très loin d’un foyer et plein d’immigrés. J’ai commandé un jus d’orange au comptoir et tout de suite, un africain d’âge mûr, cheveux et barbiche grisonnants et habillé d’une sorte de pagne ou gandourah large, m’aborda. Il me salua et me tendit sa main en me souriant. Son âge présumé m’a rassuré et j’ai répondu à son sourire, alors il m’invita à une table que j’acceptais avec plaisir. Je ne sais comment il a réussi à avoir une table vide alors que le café était super plein, mais il semble avoir de l’autorité. Deux autres africains, plus jeunes, habillés en joggings, sont venus saluer le vieux et s’assoir à notre table. Spontanément, chacun m’a tendu la main et marmonné quelque chose, j’ai accepté de serrer leurs poignes. C’est le vieux qui me parla, d’une voix douce mais claire, m’informant qu’ils étaient Maliens et habitaient juste au foyer, à coté. Puis il me demande pourquoi j’étais dans cet univers loin de chez moi. J’ai marmonné quelques mots pas très convaincants, alors c’est lui qui se chargea de donner une réponse plausible, à ma place. Il me dit que pour un blanc comme moi, jeune et beau, c’est certainement l’expérience sexuelle des africains qui doit l’intéresser. Je l’ai regardé avec des yeux ronds, j’étais surpris qu’il a deviné exactement ce que j’étais venu chercher. Il me sourit et me dit qu’il me comprenait et allait me donner tout ce que je désirais. Puis il s’adressa à ses copains, dans leur langue, puis se levant, il me demanda de les suivre. Je les ai suivis dehors, mais j’ai remarqué les regards et les sourires complices des autres africains des tables voisines.

J’étais sûr qu’ils avaient compris, eux aussi, ce que je voulais et ils devaient avoir les zeb bandés d’excitation en suivant mon derrière bien serré dans la fine toile de mon pantalon, j’étais sans slip sachant ce que j’étais venu chercher. Excité déjà, et comme pour leur répondre que moi aussi je les avais compris, j’ai ondulé un peu de la Terma avant de sortir.
Mes africains m’ont amenés pas très loin, juste derrière un grand bâtiment. Il y avait une seule petite porte avec lucarne sur la façade et le chef a cogné à la porte. La lucarne s’est ouverte, le chef a parlementé et on est entré seulement le vieux et moi. Un long couloir avec cinq portes de chaque coté, apparemment des chambres et le vieux a ouvert la seconde à droite. A l’intérieur il n’y avait qu’une chaise et des trous aux murs à droite et à gauche. Il m’a juste dit que ce sont des « biberons de papa » ou des « marteaux piqueurs baveux » selon mes désirs et que je vais y rester une demi heure ou plus pour y faire ce que je désirais et qu’il m’attendra dehors sans danger, puis il me quitta en fermant la porte. Je suis resté deux minutes à essayer de comprendre quant tout à coup, un long zeb noir sortit du trou du mur de gauche. Il se balança, mouvementé par son homme de l’autre coté et quelqu’un me dit que ce « biberon » est à moi pour en faire ce que je veux. J’étais surpris mais content et excité, j’avais un long zeb africain à ma disposition. Je l’ai empoigné et tout de suite j’ai senti sa lourdeur qui me donna encore un plus d’excitation dans mon cul. Et j’ai commencé, timidement à le branler doucement. Ensuite, encouragé, j’y ai posé mes lèvres puis je l’ai léché franchement et partout et enfin j’ai décidé de le gouter, de le sucer et le téter comme un « gros biberon de papa ». Rapidement il s’allongea, devint plus épais et se durcit, devenant un gros zeb noir bandé et gonflé. J’ai joué avec pendant un bon moment, le branlant, le léchant et le suçant avec joie, ce fut les débuts de mes fantasmes grisant ma tête.
Puis, j’ai décidé de le faire ressentir à ma Terma, puisque je suis seul. Pour être à l’aise ; je me suis déshabillé et me tournant, le derrière contre le mur, un pied sur la chaise, j’ai frotté le zeb contre mes fesses et mon anus. Ce fut un paradis, il était lourd, chaud, puissant. Alors, l’ai décidé de l’enfoncer dans mon cul. J’ai levé une de mes jambes pour mieux faire accéder le zeb à mon anus, puis, avec quelques efforts, j’ai réussi à faire pénétrer mon anus de la grosse tête du zeb. J‘ai eu quelques douleurs car il était nettement plus gros que ceux qui m’avaient niqués auparavant, mais j’ai résisté et il est rentré. Maintenant, je le sentais dans mon cul et mon anus s’est élargi assez facilement, il est encore jeune et heureusement très élastique. Une nette sensation follement agréable m’envahit d’être ouvert et possédé. Cela a augmenté mon excitation et mes fantasmes. Je le sentais dans mon cul mais aussi je le voyais dans ma tête, ce gros zeb noir en contact avec la chair interne de ma Terma et tout mes désirs, à cet instant, c’était de le pousser encore pour me pénétrer totalement et me posséder. Alors, lentement, tout en tenant fermement le zeb, j’ai reculé mon derrière, doucement. Je ressentais l’agréable avancée graduelle du zeb à l’intérieur de mon cul, jusqu’à ce que mes fesses touchent le mur. J’ai ôté ma main car maintenant, le gros zeb était totalement en moi. J’ai alors remué et secoué un peu mon derrière pour que le zeb soit bien installé dans ma Terma, puis je restais un instant immobile, goutant cette agréable sensation de totale possession. Mon cul avait avalé tout ce qu’il y avait de zeb à travers le trou du mur. L’homme qui était derrière le mur, ayant bien senti que toute sa bite était au fond de mon cul, commença ses vas et viens, d’abord lentement, et ce furent aussi des jouissances lentes et grisantes, puis il accéléra de plus en plus. J’entendais et ressentais les secousses de ses cours de reins contre le mur ainsi que les pénétrations profondes et extrêmement jouissantes de son zeb dans mes entrailles, comprenant ainsi son non « marteau piqueur » creusant le fond de mon cul.
Non seulement ces sensations agréables venaient de ma Terma mais commençaient à irradier dans tout mon corps. A tel point qu’au bout d’un moment, mes mains allèrent, sans ma volonté, caresser et malaxer mes seins par la force du plaisir total. Je gémissais en permanence et criais et même hurlais parfois lors des enfoncements du zeb. Je restais collé au mur pour mieux jouir de cette sodomie. Ma Terma chauffait et il me semblait que ce gros zeb africain, long et épais me remplissait bien mieux que mes amants précédents. Je collais mon derrière à fond contre le mur et laissais mon homme faire tout seul ses vas et viens. Ainsi, goutant le plaisir de ce gros zeb dans mes entrailles et les fantasmes qui me remplissaient la tête, j’éprouvais un immense bonheur de jouir pleinement et librement de mon corps, de ma belle Terma. J’étais heureux d’avoir fait le choix de venir vers les africains. Soudain, et sans avertissement, l’homme éjacula, et ce furent trois violents jets de sperme chaud et abondant qui me remplirent les entrailles. Son gros zeb bavait son sperme au fond de mon cul. Malgré ma surprise, j’ai réussi à ne pas bouger et ainsi, mon cul a tout avalé. Puis je me suis retiré et fais face à ce pieu de chair qui m’a rempli de plaisir. Il était monstrueux, et brillait de sperme blanchâtre et frétillait comme pour demander encore ma Terma. Je l’ai empoigné et commencé à le lécher de haut en bas pour le nettoyer et à le sucer car j’en éprouvais du plaisir de le tenir si lourd et épais dans mes mains et dans ma bouche. Ce fut un surplus de plaisir que j’ai décidé de me faire. C’était mon premier sperme africain et je le sentais suinter de mon cul entre mes fesses, je poussais un peu pour augmenter son évacuation. Puis je me suis accroupi sans lâcher le zeb qui commençait à se courber. L’homme poussait de l’autre coté, alors j’ai lâché son zeb et j’ai commencé à me nettoyer le cul et les fesses. Heureusement que, prévoyant d’être niqué, j’avais apporté un mouchoir pour m’essuyer.

Le zeb avait disparu de son trou mais j’ai remarqué un autre, presque identique qui me lorgnait du trou de l’autre mur. Je n’ai pas hésité, empoignant ce second « biberon de papa » à pleines mains, je l’ai léché et sucé puis branlé un bon coup comme le premier. Dès que j’ai senti qu’il était à point, dur, long, épais, gonflé à fond et bien droit de désir, j’ai rapproché la chaise de ce mur. Puis je me suis positionné comme l’autre fois, tournant le dos au mur et frottant ce nouveau gros zeb noir contre mes fesses et mon anus qui s’ouvrait chaque fois que le zeb passait devant. Et rapidement, grâce aux restes de sperme j’ai fait pénétrer sa grosse tête rose dans l’antre de mon anus totalement excité et ouvert. Puis, sans effort, il a glissé facilement tout au fond de mon cul, ce qui m’a obligé à coller mes fesses contre le mur et remuer la Terma pour mieux m’ajuster. J’étais super excité malgré ma première sodomie, et au début je donnais des coups de reins contre le mur, des vas et viens de mon cul sur le gros zeb. C’est moi qui branlait le merveilleux pieu de chair avec le couloir brulant de l’intérieur de mon cul, car j’étais super excité beaucoup plus qu’avec le premier homme mais je ne sais pas pourquoi. A chacun de mes coups de reins, je ressentais l’enfoncement du zeb et mon cul explosait d’agréables jouissances. Je hurlais de plaisir et de joie d’être maître de cette sodomie et de ce gros zeb africain que j’essayais de dompter à la mesure des désirs de ma Terma et de mes fantasmes. Cette fois, on ne me sodomisait pas, non, c’est moi qui me sodomisais avec les zeb africains. C’étais la réussite complète de ma venue chez les africains. Et je continuais mes vas et viens qui me brulaient le cul jusqu’à en être fatigué. Alors, je me suis arrêté et, comme l’autre, j’ai collé à fond mon derrière contre le mur. C’est ainsi que mon nouvel homme démarra ses vas et viens, tout de suite en accélérés et violents coups de reins, ce « marteau » n’a rien à envier au premier. Il me niqua à fond pendant plusieurs minutes, et parfois, j’ondulais un peu de la Terma pour mieux faire jouer son zeb à l’intérieur de mon cul, j’ai appris à le faire pour amplifier mes jouissances. Ma respiration était folle et mon cœur battait fort, et je criais de continuer, pour rien au monde je n’aurais accepté un arrêt de son zeb. Je l’entendais, lui aussi qu’il respirait fort et haletait comme un fou. Et j’ai attendu sa délivrance qui arriva en puissance. Il éjacula par trois fois, comme l’autre et en abondance. On est resté un bon moment pour laisser nos deux organes se calmer, puis je me suis retiré. Aussitôt, j’ai empoigné son gros zeb, qui restait quant même debout et dur, pour le nettoyer avec mes lèvres et ma bouche. J’en profitais pour le sucer et branler et même avaler ses restes de sperme. Je ne sais pas comment il a fait, mais comme le trou était assez grand, l’homme a réussi à faire passer ses couilles de mon côté. J’avais son gros zeb en entier et ses grosses couilles sur lesquelles j’ai plongé pour lécher, sucer, caresser, masser et manipuler autant que je pouvais. C’étaient aussi les premières grosses couilles africaines que je voyais et manipulais à ma guise et je l’en remercie de les avoir offerts.
Enfin, il retira ses couilles et son zeb. Je me suis essuyé et j’allais attendre encore quant la porte s’ouvrit pour donner laisser entrer les deux jeunes qui étaient à notre table. J’étais encore totalement nu et je voyais qu’ils avaient sortis leurs zeb noirs des joggings. En réalité, j’étais très surpris, mais j’ai accepté tout de suite la situation. Je ressentais ma Terma qui acceptait aussi la situation de continuer à jouir des africains. Ils m’ont dit quelques choses dans leur langue mais j’ai répondu en leur souriant que j’étais d’accord. Rapidement je me suis penché sur la chaise et, écartant mes cuisses, je leur ai offert ma Terma dont l’anus était encore ouvert et même luisant de sperme. Immédiatement, j’ai ressenti un zeb qui cherchait mon anus, puis s’enfonçait à fond dans mon cul. Des mains me saisirent les hanches et le jeune commença immédiatement ses vas et viens. Son zeb avait l’air d’être moins gros que les précédents, ce qui fait qu’il me ramonait le cul avec facilités mais aussi avec des jouissances différentes qu’avant. Le fait que mon cul avalait totalement son zeb, celui-ci jouait ainsi dans mon intérieur et me donnait d’agréables sensations, certes moins remplissantes mais assez jouissantes. Je serrais parfois un peu les fesses donc mon cul afin de mieux ressentir totalement la jeune chair chaude et douce de son zeb et ces pressions de mon cul ont ajoutées du plaisir inédit à ma Terma. Mais rapidement, il a du arriver au plaisir et il s’est retiré de mon cul pour se branler un peu et éjaculer sur mes fesses et mon dos. J’étais surpris et étonné mais ce fut ainsi. Avant même de me relever, d’autres mains m’ont empoignées les hanches et le contact d’un bas ventre sur mes fesses m’indiquèrent que ce n’était pas fini. J’ai jeté un coup d’œil derrière et j’ai compris que c’était le second jeune qui en avait pour ma Terma. Le premier s’était reculé, dommage j’aurais bien aimé le sucer et le faire éjaculer moi-même. Tout de suite, l’autre démarra comme son copain une série enragée de vas et viens dans mon cul. J’ai compris tout de suite qu’il était de mêmes gabarits et dimensions que son ami et j’ai usé des pressions de ma Terma pour bien emprisonner son zeb avec la chair de mon cul. Ainsi, il a pu me sodomiser à fond et j’entendais hurler son plaisir, comme tout à l’heure son copain. Malgré la faiblesse des deux sodomies, j’ai quant même joui et lorsque leur zeb arrivait à toucher mes zones très sensibles, je ne pouvais pas m’empêcher de crier et hurler avec eux. Cela dura presque le même temps que l’autre, mais quant il arriva au plaisir il ne sortit pas son zeb. Au contraire il poussa une forte accélération et soudain éjacula par quatre fois à l’intérieur de mon cul. Il resta collé à mes fesses et sa respiration se calmait de plus en plus et j’ai laissé faire. Puis il se retira et quant je me suis redressé et tourné vers eux, il me présenta son zeb brillant de sperme mais qui se courbait à vue d’œil. J’ai accepté l’offre et empoignant l’un et l’autre en même temps, je léchais ou suçais à droite puis à gauche et ainsi de suite, sans arrêter de les branler. Mais au bout d’un long moment, les zeb restèrent courbés, alors je les ai abandonnés pour me redresser. Ils ont eu la gentillesse de m’aider à essuyer mes fesses te mon cul des spermes du second jeune et m’ont dit des gentillesses que je ne comprenais pas mais tout le monde souriait. Rapidement je me suis rhabillé et ils m’ont accompagné au café.

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