Dépucelage De Claudine

Un mois s’était écoulé depuis ma rencontre avec Alain. Je pensais souvent à lui et à notre baiser et je me masturbais à chaque fois avec une super jouissance. Mes rapports avec ma copine devenaient rares et pour tout dire je n’avais plus envie d’elle. Elle dût s’en rendre compte car elle me dit qu’elle envisageait de partir en vacances quinze jours avec une copine pour faire un safari en Afrique. Je ne m’y opposais pas, trop heureux d’avoir l’occasion de rappeler Alain. Elle partit un dimanche matin. A peine était-elle dans le taxi que j’appelais. Il décrocha.
« Allo »
« Bonjour, c’est Claudine ».
« Bonjour Claudine, j’attendais ton appel »
Je lui expliquais la situation. Il en fût ravi et me demanda si je pouvais moi aussi être en vacances afin de profiter de ces quinze jours de libre. Je lui dît que oui.
« Bien. Maintenant voici les instructions que tu vas suivre à la lettre »
Il m’expliqua que je devais m’habiller comme la dernière fois où l’on s’était vu dans le parc. Que je devrais prendre un maximum d’affaires de femme dans un sac. Il habitait au 18 de la ruelle. Arrivé à ce numéro je devais jeter le sac et mon manteau par-dessus le portail. Puis seulement vêtu de ma guêpière, bas, shorty et hauts talons je devais aller l’attendre dans le parc, sur le banc où nous nous étions quittés. Il me donna rendez-vous le soir même à une heure du matin. J’étais au comble de l’excitation. Je descendis à la cave pour ramasser mes chaussures, mes bas, porte-jarretelles, guêpière, tout ce que je possédais pour me travestir. Je les mis dans un sac. Je résistais à l’envie de me masturber bien que ma queue me fasse mal tellement je bandais. A onze heure trente je m’habillais et n’y tenant plus je décidais d’aller au rendez-vous.
J’arrivais devant chez lui avec plus d’une heure d’avance. Que faire? Attendre une heure avant d’aller dans le parc. Tant pis, j’étais trop excité. J’ôtais mon manteau, le mis dans le sac et le jetais par-dessus le portail.

Je ne pouvais plus reculer. Pour la première fois de ma vie je me retrouvais travesti dans la rue sans rien pour me cacher. Je me dirigeais vers le parc avec une sensation de liberté. Je me sentais moi-même habillé ainsi. Je me déhanchais sur mes talons de 18 cm et j’avais l’impression que mon shorty allait exploser sous la grosseur de ma queue. Je ne rencontrais personne jusqu'au parc mais au moment d’entrer je vis un jeune homme assis sur le banc. J’hésitais mais je devais assumer mon nouveau rôle et je me dirigeais d’un pas assuré vers lui. Il me vit et me sourit. Je décidais de lui parler.
« Bonjour »
Il me répondis.
« Bonjour »
« Que faîtes-vous ici à une heure pareille ? »
« J’attends un peu avant d’aller à la gare prendre le train de minuit trente. Je préfère attendre ici c’est plus agréable.
Et vous ? »
« J’attends un ami »
Je ne sais pas pourquoi mais je décidais de lui raconter mon histoire.
« Si vous vous sentez mieux ainsi, vous avez eu raison de venir. Et cette tenue vous va à ravir. Vous êtes très sexy. »
Je le remerciai et nous restâmes à discuter un moment avant qu’il s’en aille.
J’étais fier de moi. Un autre homme qu’Alain m’avait trouvé sexy, preuve que je plaisais.
Un petit moment après Alain arriva. Il me demanda depuis quand je l’attendais. Je lui racontais ma rencontre car je ne voulais rien lui cacher. Il me félicita et me dit qu’avec moi il avait enfin trouvé la petite salope qu’il lui fallait. Je rougis sous le compliment. Il s’assit à côté de moi et me dit que j’avais encore le choix de rentrer chez moi, mais que si je décidais de venir chez lui il allait faire de moi cette nuit une vraie femme. Je lui répondis que c’est ce que je voulais.
Il habitait une belle maison avec quatre chambres à l’étage. Il m’emmena dans l’une d’elle. Elle était vaste et possédait
une salle de bain. Alain m’enleva le shorty et me fît allonger sur le lit sur mon ventre. Puis il commença à faire couler de l’huile de massage sur mes reins et puis sur mon cul.
Ses mains étaient douces, j’étais aux anges. Sa main s’insinua dans ma raie et un doigt vint titiller mon anus. Je me cambrais, poussant mon cul vers ce doigt. Il pénétra mon anus et un soupir sortit de ma bouche. Comme c’était bon. Alain me fît alors mettre en levrette et ôtant son pantalon et son slip il présenta sa queue sur mon anus. A ce moment-là j’eus très envie qu’il m’encule. Je sentis mon cul s’ouvrir et tout à coup le gland força le passage. Je lâché un cri. Alain s’immobilisa. La douleur disparu et Alain commença à s’enfoncer dans mon cul. Un vrai délice. Divin. Cette queue qui s’enfonçait dans mon cul, hummmmmmm. Puis Alain se mit à aller et venir de plus en plus fort, me ramonant le cul avec sa bite.
« Branle-toi » me dit-il.
Je lui obéis et au moment-même où j’éjaculais bruyamment je sentis le foutre d’Alain inonder mon cul. Je m’écroulais, anéanti par la jouissance et ne tardais pas à m’endormir.

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