Dépucelage En Règle

Cette histoire s’est passée l’an dernier, j’avais 18 ans. Je n’avais jamais eu de relations sexuelles complètes avec une fille, enfin je veux dire pas de pénétration. Mon frère a 2 ans de plus que moi et il amène ses copines à la maison. Je me suis souvent branlé en entendant les petits cris étouffés de ses copines.
Un matin, ma mère me demande de lui rendre un service, je devais passer chez une de ses amies qui habite vers le lycée pour récupérer un paquet, elle n’avait pas le temps, elle sortait tard du travail etc….
Ce jour là je finissais à 15 heures. Je me dirige vers le portail de la propriété devant laquelle je passais tous les jours mais que je n’avais jamais visitée. Je sonne. L’amie de ma mère, la quarantaine, bien conservée, vient m’ouvrir et m’invite à entrer. Elle porte un tailleur noir et un chemisier blanc derrière lequel je devine une poitrine généreuse, elle a de superbes jambes galbées gainées dans ce que je suppose être des bas. Je n’arrive pas à détacher mes yeux de ce corps et mon esprit se perd dans des fantasmes. Je l’imagine nue, se trémoussant devant moi ! Elle me parle mais je ne l’entends pas.
- « Tu peux me dire ce qu’il t’arrive ? »
- « Excusez-moi, je pensais à autre chose »
- « Ah oui ? et à quoi pensais-tu ? »
- « Euh à rien »
- « A rien ? Tu crois que je ne t’ai pas vu regarder mes seins ? Tu n’as jamais vu de seins ? »
- « Si, si bien sûr ! » C’est tout ce que j’ai trouvé à répondre en rougissant.
- « Bon parfait, mets toi à l’aise et assieds toi, j’allais préparer du thé, tu veux bien en prendre une tasse avec moi ? »
J’accepte volontiers rien que pour le plaisir de l’admirer encore.
J’enlève ma veste et m’assois confortablement sur le sofa. Elle arrive avec un plateau qu’elle pose sur la table basse, elle enlève sa veste et s’assoit à côté de moi. Son chemisier est un peu transparent et je distingue la dentelle de son soutien-gorge au travers de ce tissu soyeux.

J’ai envie de les toucher, ça m’excite et je sens monter une érection. Cette femme est une femme d’expérience, elle sent ce que je veux. Elle me prend la main et la pose sur un de ses seins.
- « Vas-y, touches les »
Ma main enveloppe son sein droit, d’abord timidement puis je commence à lui masser un peu plus fort. Je sens son mamelon se raidir au travers du tissu. Cela n’arrange pas mon érection !
Elle me regarde, sa respiration a légèrement augmenté, elle m’encourage à continuer en déboutonnant son chemisier. Je ne contrôle plus ma main qui dégage ses seins de son soutien-gorge. De magnifiques tétons pointent vers moi et instinctivement, je les fait rouler sous mes doigts.
- « Viens me téter »
J’approche ma bouche de son mamelon et la tète goulûment tel un bébé. Elle gémit. Je sens sa main sur ma braguette de Jean’s, mon érection est à son comble, elle frotte ma queue. Je n’en peux plus et je décharge tout dans mon caleçon. ça me fait arrêter ma succion tout net. Elle se rend compte de ce qui se passe (elle a du sentir un ramollissement). Elle caresse mon visage.
- « C’est normal ce qui t’arrive. Enlèves ton pantalon et on va arranger tout ça ».
Je m’exécute, bien qu’un peu penaud, mais je n’ai pas eu trop le temps d’y penser car à peine j’avais baissé le pantalon qu’elle avait dégagé ma queue humide et agenouillée devant moi elle l’engouffrait dans sa bouche. Jamais je n’avais ressenti une telle sensation, c’était chaud et doux. Ses lèvres étaient serrées et je voyais ma bite entrer complètement dans sa bouche. Une autre érection ne tarda pas. Elle se relève tout en continuant à me branler avec sa main.
Elle enlève sa jupe et son chemisier. La voilà debout devant moi, en porte-jarretelles.
- « Viens caresser ma chatte, tu vas voir comme elle est douce et docile »
Je n’en revenais pas qu’une femme de l’âge de ma mère puisse parler comme ça, mais ça m’excitait terriblement. Je mis la main sur sa petite culotte en dentelle, elle se trémoussait.
Très vite j’ai compris qu’il fallait que j’explore plus loin. Je passe ma main dans le slip. Ce que je sens et lisse, doux et trempé.
- « Tu sens comme tu m’excites ? »
Je fais oui de la tête, je suis sans voix. Elle descend sa culotte et s’assoit sur le bord du sofa m’offrant la vue superbe d’un minou parfaitement épilé, bien ouvert et qui coulait.
Elle me fait agenouiller devant elle :
- « Manges ma chatte ! J’adore ça »
Je m’approche ouvre ses lèvres avec ma main et commence à la lécher. Que ça a bon goût ! Je l’entends gémir.
- « C’est bon ! Bouffes moi encore ! Tu m’excites terriblement. Tu pourras me prendre ensuite »
Je jouais avec son petit bouton rose, je découvrais les zones qui la faisaient gémir, elle avait l’air d’apprécier que je rentre un doigt dans sa chatte. Elle poussait maintenant de petits cris, et tout à coup elle pousse un grand cri, elle est prise de spasmes et un déversement de liquide sort de son vagin. Je m’empresse de tout lécher .
- « Prends moi maintenant, tu l’as bien mérité, tu m’as fais jouir comme une folle »
Elle reste dans sa position, assise les jambes écartées. Je me mets bien à genoux, pose mon gland à l’entrée de son vagin. Je démarre la pénétration. Elle accroche ses mains à mes hanches et me tire d’un coup sec à elle. Je me retrouve au fond d’elle sans rien avoir compris. Je commence à bouger en elle, je me sens super bien, comme elle mouille bien ça glisse super. Je n’arrête pas de regarder ma queue rentrer et sortir.
- « Plus fort, défonce ma chatte ! »
- « J’ai peur de vous faire mal »
- « Me faire mal ? tu plaisantes j’espère. J’adore que ta grosse queue me pilonne, d’ailleurs on va changer de position »
Elle se retourne et se met à 4 pattes, je la reprends brutalement et me mets à la bourrer bien profond. Je vois son anus qui brille devant moi. Elle hurle :
- « Ouiiiiii, c’est bon. Tu me baises bien mon petit salaud »
- « Je crois que je vais jouir »
- « Jouis en moi »
Je sens monter la jouissance et la remplit de mon liquide chaud.
Quelle sensation !
Je me retire, elle se retourne pour nettoyer ma bite avec sa langue et se caresser la vulve avec mon sperme.
Elle m’embrasse tendrement et me fait vite rhabiller car son mari ne va pas tarder à rentrer. Elle me donne le paquet pour ma mère et en partant elle me glisse à l’oreille :
- « Tu baises mieux que ton frère ! »
Je n’en revenais pas, mon frère que j’idéalisais l’a baisée aussi !
Depuis je suis un autre homme et je pourrai vous raconter mes aventures de l’année la prochaine fois.

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!