Voisin Voisine 4

Gaston, le cameraman et Nadège vont assister, tous trois, à la première masturbation publique d'Odile. Ouha ! Comme elle vient de le déclarer, jamais elle ne s'est masturbée devant moi, son mari et, de mon poste d'observation, je ne verrai rien du spectacle qu'elle consent à offrir. Par dessus le dossier du canapé seule sera visible sa coiffure fraîchement monté.. Au mieux, si elle émet des sons, je pourrai écouter ces bruits. J'agite un bras.

Nadège aperçoit mes signes, elle quitte sa caméra et vient entendre mes doléances. Dans son armoire, elle déniche une perruque à cheveux rouges, longs, puis elle me tend des lunettes, me déguise et m'envoie occuper sa place derrière la caméra 2, tandis qu'elle va à côté d'Odile pour masquer mon déplacement et pour lui prodiguer des encouragements verbaux. Je suis maintenant idéalement placé pour voir ma femme se donner du plaisir.

La main d'Odile se promène déjà sur son pubis, décrit des cercles dans le bas de sa toison pubienne et sur la zone supérieure de sa vulve. Elle écrase mollement le haut des grandes lèvres, frotte au passage le capuchon de son clitoris. Elle fixe Gaston qui filme, de près avec sa caméra de poing, son visage, sa poitrine et va suivre les mouvements circulaires de quatre doigts.

- Ca va comme ça? Demande la future actrice.

- C'est un bon début, mais tu dois savoir faire mieux. Ton majeur doit séparer tes nymphes et quand tu arrives dans le bas de ta chatte, appuie plus fort, entre dans ton vagin, va chercher ta mouille pour lubrifier les contacts. Je veux que tu te fasses du bien, que tu oublies ton entourage, que tu fermes les yeux sur ta jouissance, que tu ne tentes plus de contrôler ton souffle ou de figer ton visage. Ah ! ton front et tes joues commencent à se colorer de la rougeur de ton sang, continue comme ça, chauffe.

Le majeur et l'annulaire sont entrés collés ensemble dans le sexe et forment une sorte de crochet.

Le mouvement rotatif devient un simple aller-retour vertical sur la fente avec une pénétration parfois plus ou moins profonde dans le vagin. Tantôt Odile relève la tête et observe le jeu de ses doigts, tantôt elle soulève ses fesses et son ventre pour faire entrer plus profondément deux ou trois doigts dans sa chatte. Reprennent les cercles, le mouvement alternatif de scie, de nouvelles pénétrations que maintenant la femme souligne de "ah", de "c'est bon" de plus en plus forts. Les spectateurs s’en réjouissent ouvertement et lancent des commentaires grivois. Pourquoi Odile ne m’a-t-elle jamais montré sa façon de se faire du bien ? J’aurais aimé voir rouler ses yeux, voir sa bouche se déformer et entendre son souffle haleter, se bloquer et repartir en saccades sèches. Une femme a-t-elle le droit de dissimuler ces choses à son compagnon. Pourquoi ne pas partager ces moments de béatitude avec le mari.

Nulle trace de honte, pour l’instant, malgré les regards des hommes rencontrés aujourd’hui pour la première fois. Sa vue se trouble, le regard devient flou, les traits du visage se détendent et la rougeur marque la peau jusque sur les seins, dont le dessous reste blanc. Nadège va taquiner les tétins, les fait pointer et propose de cacher les yeux avec un bandeau afin de lui permettre de vivre pleinement l'orgasme qui va éclater.

-- Oui ! Merci, vite, ça vient, oh! mon dieu ahah !

Le bandeau a libéré sa conscience, brisé les derniers frelns de pudeur féminine. La volupté tord le corps torturé par l’excès, un pied part en l'air, la main reste comme clouée dans la chatte débordante de cyprine. Nadège me pousse dans le centre du M des cuisses , rigolarde elle m'ordonne à voix basse:

-Lèche.

Elle ajoute tout haut :

- Gaston, bouffe-lui la cramouille et le cul. Ne te gêne pas, la putain n’attend que ça. Augmente cet orgasme, fais-la hurler de bonheur. N’est-ce pas un travail formidable, ma chère Odile.
Je te l’avais bien dit. Profite de ce moment rare. Les harder valent mille fois mieux que les maris.

Mais c'est ma tête qu'elle fait coller sur le sexe en chaleur de ma propre femme. Il m'est impossible de me dérober. Donc je fais à mon tour la démonstration de tout mon savoir en matière de cunnilingus. Ma langue reprend le parcours des doigts en surface, en profondeur. La vicieuse Nadège me recommande de piquer de la pointe de la langue la rose du cul de la future grande actrice du porno. Ce rappel multiplie ma rage et enflamme les ardeurs de l'épouse infidèle. Odile jouit et me proclame meilleur lécheur du monde. Elle exagère etse rétracterait si elle découvrait qui la suce et la fouille avec ses doigts. Au moins gardera-t-elle un merveilleux souvenir de ce qui est pour moi un adieu. Au plus fort de mes succions Nadège tire sur mon épaule et me renvoie d'un geste autoritaire vers ma caméra. Elle commande en s'adressant cette fois au vrai Gaston:

- Gaston, elle est prête. Enlève le bandeau et baise-la. Le spectacle convaincra les agences. Numéro un, derrière ta caméra, prépare ton intervention, tu succéderas à Gaston.

Passant d'un homme à l'autre, Odile n'est plus qu'une poupée soumise, prête à tout pour gagner le droit de faire l'amour avec les plus célèbres étalons à grosse queue du cinéma pornographique. Son abandon est total. Gaston, pantalon sur les chevilles, s'enfonce facilement dans le sexe chauffé à blanc par la masturbation puis par mon cunnilingus. Je regarde ma femme offerte à un étranger et prise, jambes en l'air par le grand dirigeant d'agence de recrutement. Ce n’est pas le premier venu, elle veut l’impressionner et se donne comme une folle, exagère ses gémissements, s’accroche, se démène Elle couine sous les assauts répétés, réclame plus, toujours plus de force.

Le cameraman abandonne son poste. Les deux hommes retournent la femme plus que consentante, elle se tient, à deux mains, au dossier du canapé, creuse ses reins, tend ses fesses et pousse un cri d'épouvante quand le deuxième homme viole ses fesses et transperce son anus.
Elle en a déjà tant subi qu'elle juge inutile de vouloir refouler son enculeur. Nadège facilite le va et vient de la tige de chair en frottant avec force, par dessous, la chatte délaissée momentanément. Les couinements redoublent d’intensité.

La maîtresse des lieux se retire. Odile est mise sur pied, Gaston lui passe un mouchoir en papier dans l’entrejambe pour recueillir le trop plein de sécrétions. Ma femme est attirée sur la verge raide de Gaston allongé sur le canapé. Cette position montre clairement qu'elle se balance librement sur le pieu qu'elle chevauche. La seule caméra en action reste celle que Gaston tient en main. Le deuxième larron passe derrière Odile, bite en main, vise la cible de sa croupe et, parce qu'on lui réclamera la double pénétration au cours de ses prochains films, l'homme peut la sodomiser alors que Gaston a tiré contre sa poitrine les deux seins de ma femme.

Prise en sandwich en plein délire crapuleux, Odile gémit, geint plus fort. Ses cris doublés de sanglots ralentissent le rythme des secousses des sexes ; aussitôt elle supplie pour recevoir des coups plus violents. Allez comprendre. Odile pour moi est définitivement perdue. Ma bouche a fait ses adieux à sa chatte.

Où est passée Nadège ? Je suis derrière ma caméra toujours à l'arrêt. On monte l'escalier, j'entends une voix d'homme, Nadège incite à avancer. La porte s'ouvre, André avance de deux pas, poussé par la locataire des lieux, se trouve le nez sur le trio de corps nus agité par la passion libidineuse et, frappé de stupeur, hurle :

- Mais qu'est-ce que c'est ce bordel l Odile que fous-tu, salope ! Mais c’est pas vrai. Il te faut deux queues en même temps.

Odile revient sur terre, reconnaît son amant et ne cherche pas à cacher leur liaison adultère devant les gens de métier ou devant sa complice Nadège, organisatrice zélée de l’événement présent.

- Oh, mon amour, ne crie pas. Ecoute-moi. Je fais un casting.
Mon amour, je vais faire du cinéma, je gagnerai beaucoup d'argent. Nous serons riches et heureux. Je lâche le magasin, je vais vivre à Paris, loin de ce trou à rats. Mais c'est juste du cinéma, tu ne dois pas être jaloux des acteurs. Ils passeront, toi tu seras l'amour de ma vie.

- Vous les salauds lâchez cette femme. Je ne suis pas d'accord avec ton projet, Odile et je réprouve les moyens. Choisis, c'est le cinéma ou c'est moi, pas les deux.

André essaie de désarçonner l'enculeur, tire sur les jambes d'Odile, frappe les pieds de Gaston, s'époumone au nom du bon droit de l'amant, lance menaces et injures. Pendant ce désordre, j'enlève lunettes et perruque, je quitte ma caméra et j'entre en lice pour crier à mon tour :

- Mais c'est quoi ce bordel ? Nadège que ce passe-t-il ici ? Odile, c'est ça ta réunion amicale, que fais-tu nue entre ces hommes qui bandent. Oh ? Ce n'est pas vrai ! Et qui est ce guignol qui te donne à choisir? Quel foutoir !

- Jean, te voilà aussi. Ciel qui t'a appelé? Il ne manquait plus que toi. Tant pis, comme ça tout sera clair pour tout le monde. Calme-toi, nous sommes entre amis. Ecoute au lieu de gueuler. J'en ai marre de la médiocrité. Je vais faire du cinéma grâce aux amis de Nadège. Celui-là, c’est André, il a été mon amant, il n'a pas à me donner d'ordre, qu'il aille au diable s'il croit pouvoir commander ou m'empêcher de vivre comme je veux. Des mâles, j'en connaîtrai d'autres et de meilleure qualité. Alors si vous saviez ce que pèsent vos petites couilles et vos petites queues dans ma décision. Et toi, si tu n'acceptes pas que je fasse la carrière qui me tend les bras, va te faire foutre, mon pauvre cocu.

Je feins une colère monstre :

- Je vais chercher une arme, je vais tous vous . Bande de dégénérés.

André me bouscule pour fuir en criant à sa maîtresse coupable :

- Espèce de folle, va, je ne veux plus te voir. Putain.

Le malheureux trébuche, sans doute aveuglé par les larmes, et se retrouve en bas de l'escalier après un vol plané. Nous restons pétrifiés, il finit par se relever et part en boîtant. Nous soufflons de soulagement et c'est au tour de Gaston de prendre la parole :

- Quelle histoire de fous. Ce climat ne permet pas de travailler sereinement. Quoi ? L'amant débarque, nous frappe et nous insulte, le mari menace de nous . Excuse-nous, Nadège, ta candidate est dangereuse pour nous, hommes de métier. Nous renonçons à proposer sa candidature. Pense à nous payer.

Odile tombe des nues :

- Ce n’est pas possible. J'ai fait tout ce que vous vouliez. Vous ne pouvez pas me laisser tomber. Tu les entends, Jean, ils m'ont baisée et maintenant ils ... ah! non, ne les laisse pas remballer leur matériel. Ils doivent me présenter, oblige-les avec ton arme, s'il le faut. Jean, tu m'entends ? Ou je divorce

- Je t'ai trop entendue aujourd'hui. Demande l'aide de ton amant. Pardon, il s'est sauvé. Tu m'as traité de pauvre cocu devant témoins. Eh ! bien, puisque tu en fais la menace, divorce. Je soutiendrai ta demande. Qui a entendu ses paroles et vu quelle sorte de chienne est ma femme ? Qui voudra bien témoigner en ma faveur lors du procès de divorce ?

Trois mains se lèvent, celles de Gaston, du cameraman et de Nadège. Odile explose :

- Jean je te fous à la porte. Donne-moi la clé de la maison... Non ? Nadège veux-tu me loger ce soir ?

- Je regrette, mais tu me fais peur, tu es caractérielle et trop salope.

- La salope c'est toi. Vois ce que tu m'as fait faire. Où vais-je dormir ? Je suis crevée.

Moi, le mari, je lui souffle une solution :

- Il me semble que tu as, au-dessus de ton magasin, une petite chambre de bonne avec un lavabo et un réchaud à gaz. Ca suffira ce soir. Après tu te démerderas.

Elle nous quitte à peine revêtue, culotte en main et insultes à la bouche.

Nadège triomphe :

- Enfin, voilà le tour est joué. Vous les prétendus recruteurs vous avez été parfaits. Mais si vous recommencez un tour pareil, procurez-vous des caméras en état de marche. Par bonheur Odile n'était pas apte à remarquer qu'elles ne fonctionnaient pas. Gaston tu seras payé si tu me remets ta petite caméra, Jean aura besoin des images pour son divorce. Toi, mon cher petit Jean, tu auras ces images si tu me promets le mariage devant mes deux témoins. Champagne !

Voilà comment, avant d'avoir complètement divorcé, j'ai été pris au piège de ma voisine. Son chantage affreux m'a enchaîné à la meilleure des épouses. Depuis des années nous vivons heureux. Odile a accepté le divorce pour faute et a déménagé vers Paris. Elle ne donne pas de nouvelles.

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!