Voisin Voisine

Claire et moi, nous nous sommes connus au lycée. On travaillait ensemble sur un projet de groupe, ce qui nous a rapproché. Je suis un mec moyen, que les copains trouvent sympa, mais qui laisse les filles indifférentes. Elles ne me calculaient pas.
Claire, par contre, était incroyablement mignonne et attirait les garçons comme le miel attire les abeilles. Son regard vif, son rire de gorge qui secouait ses seins, son cul serré dans un jean moulant, elle était le rayon de soleil qui illuminait ma journée.
Tout au long de l'année scolaire, nous nous sommes toujours retrouvés dans le même groupe, quel que soit les ateliers. Je n'avais même pas remarqué cela, subjugué par son charme et ses formes, lorsqu'un copain m'a révélé le secret.
"C'est elle qui demande à être dans le même groupe que toi, parce que tu travailles beaucoup et qu'elle te laisse la plus grosse part du travail." Il tenait cette information de première main de sa copine, qui était une excellente amie de Claire.
Bien entendu, cette information m'a fait mal. Mais je me suis dit qu'en toute chose, malheur est bon, et que je pouvais essayer de tirer un petit avantage de la situation. J'ai osé lui demander de sortir avec moi et elle a accepté!
Depuis, nous avons passé beaucoup de temps ensemble, et notre relation a commencé à devenir sérieuse.
Nous nous sommes fréquentés longtemps, jusqu'à la fin de nos études à l'université. Même si elle était très câline et très tendre avec moi, elle voulait se préserver pour son futur mari.
Dès le début de notre relation, les choses étaient claires. La bague au doigt sinon t'auras rien! Bien sûr, j'étais fou amoureux d'elle et prêt à l'épouser, incroyablement chanceux qu'une fille aussi mignonne s'intéresse à la pauvre larve que je suis.
Claire est une jolie brunette au corps svelte. Cependant, les fées se sont penchées sur son berceau car elle a des courbes fantastiques. Sa tenue préférée, le jean moulant, laisse deviner son cul joufflu, mais ses seins sont cachés sous un pull ample et quand on y met la met la main, comme moi, je peux vous assurer qu'ils sont comme de belles pommes, agrémentés de tétons extrêmement sensibles.


Pour un type comme moi, aussi quelconque, mettre la patte sur une poupée aussi mignonne, c'était juste un gros coup de bol et j'avais l'intention de me cramponner et de la retenir. Il était évident que j'étais amoureux fou de Claire et que je ne pourrais jamais faire quelque chose qui puisse lui déplaire. Après avoir obtenu mon diplôme, j'ai pris un travail en ville pour être près d'elle.
Dès que nous avons eu trois centimes de côté, nous nous sommes mariés.
J'ai passé les années suivantes à travailler comme un fou pour gravir les échelons. J'ai réussi, j'ai eu une promotion, et l'argent rentre bien. Maintenant que nous sommes à l'aise financièrement, nous avons acquis un petit pavillon en banlieue. Rien de cossu, mais nous sommes chez nous. Par contre, je vais avoir du travail à rafraîchir tout ça, le prix était attractif, mais l'intérieur est vieillot.
Un soir, en regardant un porno à la télé, nous avons parlé de nos fantasmes. C'était chaud et nous nous câlinions lorsque nous avons évoqués nos partenaires passés.
"Ben, moi, euh, je préférais les fantasmes, parce que les partenaires … je n'ai connu que toi!" dis-je
"Ah bon? Pas moi, à l'université, le sexe me manquait, tu étais loin de moi, alors je suis sortie plusieurs fois avec des filles!"
J'étais sidéré. Ça m'a fait mal. Alors, tendrement blottie contre moi, elle m'a réconforté en m'expliquant d'une voix douce que ce n'étais pas tromper, avec une fille c'est pas pareil, elle ne risquait pas de perdre son pucelage.
En disant cela, elle caressait doucement mon sexe et je me suis aperçu que cette révélation m'excitait autant que sa main.
Claire m'a enjambé, s'est empalée sur moi et a commencé à osciller des hanches d'avant en arrière. J'étais bien, ma bite au chaud dans sa chatte, bercé par ses caresses et ses bisous humides, alors je lui ai avoué mon plus cher fantasme:
"J'adorerais te regarder baiser un autre gars"
Elle a stoppé net son balancement, s'est figée, les yeux dans les miens.
Son regard exprimait à la fois la surprise et l'excitation.
C'est l'excitation qui m'a surpris. Je pourrais dire qu'elle n'était pas rebutée par cette idée.
Elle a dit: "Oh, mon dieu, oui, vraiment?"
"Bon, euh, c'est super chaud. Je ne suis pas sûr que nous puissions le réaliser, mais oui."
Claire a eu ce rire de gorge que j'adore et m'a dit: "Bien, on dirait que nous avons tous les deux des trucs à expérimenter."
Et elle a repris son balancement, sur un rythme beaucoup plus rapide. Nous avons eu une très bonne baise, cette nuit-là.
Un vendredi soir, il y avait un énorme camion de déménagement devant la maison voisine. Je savais que la maison avait été vendue, mais je ne savais rien des nouveaux occupants.
C'est le lendemain que j'ai rencontré Joffrey, le nouveau voisin. Un type dans la cinquantaine, un colosse avec le crâne rasé, mais sympa. Quand il m'a serré la main, je me suis senti tout petit. Joffrey m'a dit que sa femme et lui venaient d'une autre région et qu'ils ne connaissaient personne par ici. Je lui ai parlé de la ville et donné quelques adresses utiles. J'ai appris que Joffrey avait travaillé comme déménageur, avait eu sa propre entreprise qu'il venait de vendre pour prendre sa retraite. Et son épouse Karen avait travaillé pour une compagnie d'électricité.
J'ai vu le regard de Joffrey fixer avec beaucoup d'intérêt quelque chose derrière moi, je me suis retourné pour voir Claire s'approcher.
Elle était vêtue confortable pour le weekend. Un short coupé dans un ancien jean et un débardeur noir. Seulement le short était coupé un peu trop court, on voyait la naissance des globes fessiers, et le débardeur ne masquait pas totalement l'absence de soutien-gorge.
Ses cheveux étaient en désordre, elle n'était pas maquillée, elle ressemblait à la pin-up de la page centrale des magazines.
Claire est venue saluer Joffrey. J'ai vu qu'il lui faisait bonne impression. Nous avons échangé nos numéros et décidé de nous faire une petite fête bientôt.

Alors que Claire et moi marchions vers la maison, elle a dit: "Il a l'air bien le nouveau voisin". Je pensais la même chose, mais je ne connaissais pas le rôle que cet homme allait bientôt jouer dans notre couple.
Quelques semaines plus tard, nous avons reçu une invitation de Joffrey et Karen. Ils organisaient un apéro pour faire connaissance avec leurs voisins. Claire était magnifique dans sa robe à fleurs. Le col dégagé montrait son décolleté sans être trop révélateur, le bas s'arrêtait à mi-cuisse.
À cette occasion nous avons fait la connaissance de Karen. C'était une grande femme à l'air sévère. Elle semblait peu causante et on a tout de suite pensé qu'elle ne semblait pas s'entendre avec Joffrey. Claire et moi nous nous sommes mêlés aux conversations, profitant des circonstances pour faire connaissance avec les gens que l'on ne connaissait pas. Joffrey semblait bien s'entendre avec tout le monde, mais Karen était beaucoup plus distante. J'ai pensé qu'elle était en froid avec son mari, et je ne me suis plus préoccupé d'elle.
Quelques jours plus tard, en rentrant à la maison, j'ai trouvé Claire et Joffrey en train de discuter dans le jardin. Nous avons bavardé un moment puis il est rentré chez lui.
Un peu plus tard, Claire m'a dit: "Je pense qu'entre Joffrey et Karen il y a beaucoup de tension."
"Qu'est-ce qui te fait dire ça?"
"Je ne sais pas, il a juste fait quelques commentaires, mais ça pourrait être presque rien." Dit-elle.
Quelques semaines plus tard, un soir, on a frappé à la porte. C'était Joffrey.
"Hé mec, désolé de te déranger. Karen m'a mis à la porte. Est-ce que tu peux me dépanner, juste pour cette nuit?"
J'ai regardé Claire, elle a juste haussé les épaules, alors j'ai dit: "Euh, OK, entre!"
Joffrey entra. Heureusement, Claire était encore habillée. Elle lui donna l'accolade. J'ai vu ses gros bras l'étreindre fermement.
Quand ils se sont séparés, elle lui a offert du thé. Ils s'assirent à la table de la cuisine.
Claire était très douée pour faire parler les gens. Il n'a pas fait exception. Ils restèrent assis plus d'une heure. Je me suis occupé, en leur jetant un coup d’œil de temps en temps. Je les ai entendu parler de Karen, à quel point elle était autoritaire, etc. La conversation a tournée autour du sujet "comment sauver son couple". Joffrey s'est levé en disant qu'il allait essayer de se faufiler dans sa maison. Il a étreint Claire et m'a remercié.
Après son départ, Claire m'a raconté que Joffrey et Karen s'insupportaient depuis longtemps. Le déménagement n'était qu'un effort de plus pour changer les choses, mais cela a tourné court. Nous n'avons pas revu Joffrey ou Karen pendant plusieurs semaines après cet incident. Je pensais que tout allait bien pour eux. Un soir, en rentrant chez moi, Joffrey était sur le trottoir.
Il s'est approché et m'a dit: "J'ai parlé avec Claire. Karen et moi c'est fini. On se sépare."
"Oh mec, je suis désolé pour toi!" lui dis-je.
"Ouais, je pense que nous allons bientôt déménager."
Je lui ai serré la main et je lui ai dit de ne pas se gêner s'il avait besoin de quoi que ce soit.
Je suis entré dans la maison, Claire m'a dit "As-tu parlé avec Joffrey? Quelle tristesse!"
Je n'avais pas grand chose à ajouter. Ce genre de chose arrive. Il faut rebondir et aller de l'avant.
Quelques jours plus tard, Claire et moi avons dîner au restaurant. Nous avons passé un très bon moment en buvant une bonne bouteille. Rentrés à la maison, nous étions bien chauds et nous nous sommes défoulés un peu. Nous n'avons même pas atteint le lit. J'ai attrapé Claire penchée sur le canapé. Je l'ai baisée assez fort et elle a semblé apprécier.
Quand nous nous sommes couchés, Claire s'est blottie contre moi pour discuter:
"Je veux te dire un truc. Je pense à ça depuis un moment maintenant."
"Tu penses à quoi, chérie?"
Elle m'a enlacé et caressé: "Eh bien ... ce truc ... ton fantasme … nous pourrions essayer ..."
J'ai avalé mon souffle: "Quoi?"
D'une toute petite voix: "Tu sais ... Moi avec un autre homme ..."
Bouleversé, j'ai réfléchi, me demandant ce qu'elle voulait me proposer. Mon cœur battait la chamade.
Elle s'est faite chatte: "Et bien, tu m'avais dit que tu aimerais me voir dans les bras d'un autre homme. Pour être honnête, rien que d'y penser, je suis toute chaude. Si c'est ce que tu désires vraiment, j'ai une idée pour le gérer."
Claire argumentait: "D'abord, pour que ça marche, il est primordial que nous nous fassions confiance. Et nous aimer très fort."
Je hochais la tête, attentif à ce qu'elle proposait, mais émoustillé par le travail qu'elle faisait sur ma bite.
"Et il est nécessaire que l'autre personne impliquée devra disparaître ensuite de notre vie, pour que cela ne dégénère pas."
Claire était toute rougissante, mais je pouvais voir qu'elle avait bossé la question.
Elle a terminé son argumentaire: "Eh bien, il y a quelqu'un qui va disparaître de notre vie. Je pense qu'il pourrait jouer ce rôle. Je me sens bien avec lui, ça pourrait être suffisamment amusant et en toute sécurité."
"Qui?" J'ai demandé, même si je pensais avoir la réponse.
"Joffrey!" elle s'est exclamée.
"Quoi? Joffrey? Pourquoi lui? Il est marié!"
"Il est en train de divorcer. Karen est déjà partie. Il a prévu de retourner dans sa ville d'origine. Il est vraiment gentil avec moi. Je l'aime bien et je pense pouvoir gérer ce vieux bonhomme. Simplement ce serait une façon pour nous de vivre ton fantasme sans aucune crainte."
Ma bite était au bord d'exploser: "Si quelque chose de bizarre se passait? Si Karen le découvrait? Cela pourrait le mettre dans une situation difficile pour son divorce."
Je ne m'inquiétais pas trop des conséquences. Je voulais prolonger ses caresses.
Claire resta silencieuse pendant qu'elle me terminait avec une fellation. Elle a échappé sa bouche sur le côté de ma bite pour tout m'envoyer sur le ventre. Elle riait encore de voir ma tête en terminant son exposé: "Écoute, je ne dis pas que nous devons le faire. Mais je pense que ce serait l'opportunité. Je t'aimerais quoi que tu décides."
Je restais silencieux. La pensée de Claire dans les bras musclés de Joffrey me brûlaient. Je ne savais pas quoi dire.
Claire a brisé le silence. "Bien, réfléchis-y. Comme je te l'ai dit, ce n'était qu'une opportunité."
Inutile de dire que j'ai peu dormi cette nuit-là. J'ai réalisé que Claire y avait pensé. Sérieusement, elle avait envisagé Joffrey comme partenaire! Est-ce que je voulais la voir avec cet homme? Oui et non! Ma raison disait non, mes pensées vicieuses m'encourageaient.
Pendant deux jours j'y ai pensé constamment. Claire n'a plus rien dit sur ce sujet. Les choses semblaient "normales" le reste de la semaine.
Le samedi, rentrant chez moi en voiture, j'ai vu un agent immobilier faisant visiter la maison de Joffrey. Immédiatement, la pensée de "c'est maintenant ou jamais" a percuté mon cerveau paillard. Joffrey allait partir, quitter la ville pour toujours, disparaître de nos vies. Si je voulais vivre ce fantasme, c'était l'occasion unique de le faire.
Ce soir-là, à table, j'ai remis le sujet sur le tapis, négligemment, en lui disant que j'avais vu des gens visiter la maison. Elle le savait déjà, elle avait vu Joffrey plus tôt, alors j'y suis allé franchement: "Claire, parlons de ce fantasme. Es-tu sûre de vouloir faire cela?"
Claire m'a regardé: "Et bien, cela me fait peur et m'excite en même temps. Je ne sais pas trop, mais je pense que cela pourrait être une occasion parfaite pour nous de vivre quelque chose de sensuel et de bizarre pendant que nous sommes jeunes."
Je me doutais qu'elle avait tout envisagé: "Où? Quand? Comment?"
Claire m'a regardé: "Le chalet à la montagne?"
Ce chalet appartenait à l'oncle de Claire. C'était à environ une heure de chez nous. Il était rarement utilisé. C'était près d'un village isolé. Il était petit mais très confortable. Il n'avait que 2 chambres et le séjour. Mais le séjour occupait tout le rez-de-chaussée. Un immense canapé moelleux faisait face à une imposante cheminée. C'était un super endroit, romantique et chaleureux. Nous n’allions que rarement là-bas, pourtant nous adorions l'endroit.
"Vraiment, là-bas?" J'ai demandé.
"Et bien, je sais que mon oncle veut le vendre. C'est pas trop loin, et on ne connaît personne, là-bas."
Elle a marqué le point. C'était l'endroit idéal pour notre projet.
Une dernière question me chiffonnait: "Bien, est-ce que Joffrey sera d'accord?"
Claire était songeuse. Elle a dit "Bon, en réalité, je ne suis pas sûre. Mais, je lui plaît bien. C'est un homme, et les femmes ressentent cela. Mais même s'il n'ose pas, ensuite il quittera la région de toute façon!"
Cette nuit-là, nous avons baisé sauvagement, sachant ce à quoi l'autre pensait. Nous avions franchi la ligne.
Le lendemain, nous avons décidé d'écrire une lettre à Joffrey. Aucun de nous deux n'osait lui dire en face.
J'ai écrit la lettre sous la dictée de Claire. Nous avons dû recommencer plusieurs fois. Finalement, nous avons réussi à lui expliquer que nous avions ce fantasme depuis un certain temps. Nous n'avions jamais envisagé d'aller jusqu'au bout. Cependant, nous avions senti une connexion avec lui que nous ne pouvions pas nier. Sachant qu'il partait, nous voulions lui offrir ce cadeau de départ.
J'ai scellé l'enveloppe et j'ai attendu la nuit noire pour aller la glisser dans sa boîte aux lettres. Une fois qu'elle est tombée par la fente, j'ai su que ma démarche était irrémédiable.
Le lendemain soir, on a frappé à la porte. J'ai regardé à travers la vitre. Je pouvais voir la stature imposante de Joffrey.
"Claire!" J'ai crié. "Il est là!"
Nous sommes allés à la porte ensemble. J'ai ouvert. Joffrey a dit: "Bonjour, puis-je entrer?"
Nous sommes allés dans le salon et nous nous sommes assis face à face sur les canapés.
Il a dit "Eh bien, j'ai été très surpris de recevoir ceci."
Il a sorti la lettre que nous lui avions écrite, l'a ouverte. Je me suis senti rougir.
Joffrey continua: "Bien, je dois l'avouer, je n'ai jamais vécu ce genre de situation. C'est très gentil et flatteur. Vous êtes de grands amis pour moi. Et, si vous voulez vraiment faire cela, je suis partant."
J'ai repris mon souffle: "OK!"
Joffrey a précisé: "Mais, je veux avoir la possibilité de reculer, si le besoin s'en fait sentir. Je veux être sûr de respecter vos souhaits. La demande, c'est Claire et moi ensemble, je ne suis pas bisexuel, je ne veux pas que vous interveniez. Je pense que vous pourrez regarder, mais c'est tout. Je vais m'occuper uniquement d'elle, il vous suffira de nous laisser faire ce que nous voulons et de ne pas intervenir pendant l'acte. "
Je regardais Claire, qui était rouge vif.
Ma voix tremblait un peu quand je répondis: "Ouais, je pense que c'est bien exprimé."
C'est ce que je voulais. Je pensais pouvoir le faire. Pouvais-je vraiment? Pas sûr. C'était un territoire inconnu. Je ne connaissais pas ma réaction dans cette situation.
Joffrey a regardé ma femme: "Si c'est ce que tu veux, Claire, je ferai de mon mieux pour te le rendre agréable!"
Claire acquiesça. Elle restait silencieuse, pleine d'appréhension.
Joffrey s'est levé: "OK, si vous n'annulez pas d'ici là, on se retrouvera ici samedi après-midi pour aller au chalet."
Joffrey est parti. Je me suis tourné vers Claire. "OK, maintenant, nous savons qu'il est partant."
Claire m'a regardé, livide: "Oh mon dieu, ça va arriver. Ça va vraiment arriver."
À ce moment-là, nous avons été submergés par une transe folle. Nous nous sommes jetés sur le canapé, sans prendre la peine de nous dévêtir entièrement, nous avons baisé sauvagement. Ce fut bref mais intense. Uniquement de penser à ce que nous avions projeté nous a allumé.
Jusqu'au samedi suivant, les jours ont défilé rapidement. Impossible de fixer mon attention sur quoi que ce soit.
Le grand jour est arrivé. Claire voulait la confidentialité alors chacun a fait son propre bagage et j'ai chargé la voiture.
Joffrey est arrivé avec son sac. On s'est serré la main et j'ai mis son sac dans le coffre.
Joffrey m'a dit "Une dernière fois pour faire marche arrière?"
J'ai souris: "Je vous mentirais si je disais que je n'y pensais pas. Mais, nous sommes déjà si loin."
Joffrey m'a regardé: "T'inquiète pas, mec. Ça va aller."
Claire était vêtue d'un jean et d'un pull rouge. Elle a donné l'accolade à Joffrey et nous sommes montés en voiture, les hommes devant, Claire sur la banquette arrière. Galant, Joffrey a insisté pour qu'elle vienne devant, mais elle n'a rien voulu savoir.
Le trajet s'est bien passé. Nous n'avons pas évoqué le but de notre voyage.
Nous sommes arrivés au chalet au coucher du soleil. Le vent soufflait fort et il faisait frisquet. À l'intérieur, tout était impeccable. J'ai allumé la cheminée et nous avons déballé nos sacs. Nous devions dîner au restaurant pour commencer la soirée.
Claire et moi étions ensemble, en train de nous préparer. Elle a dit: "Hé, ça te dérangerait de me laisser un peu d'intimité?"
Je n'ai même pas demandé pourquoi. Je suis allé attendre dans le salon.
Joffrey m'a rejoint peu après. Il portait un costume noir et une chemise blanche. Je devais admettre qu'il avait beaucoup de classe.
Claire s'est avancée en haut de l'escalier. Elle portait une magnifique robe portefeuille rouge. Très ajustée, mettant en valeur ses formes sensuelles. Le décolleté profond laissait apparaître ses globes délicieux, et elle était suffisamment courte pour montrer ses jambes galbées. Elle portait un ruban de satin noir autour du cou, agrémenté d'une petite perle qui brillait dans la lumière. On aurait cru voir une pin-up de magazine érotique.
Joffrey et moi sommes restés bouche bée en la regardant descendre les escaliers.
Elle a attrapé son manteau: "Vous êtes prêts à partir?"
Joffrey lui a donné le bras jusqu'à la voiture. Alors que je m'installais sur le siège conducteur, il est monté à l'arrière avec elle.
Je me suis dit: "OK, maintenant je suis leur chauffeur. Dans quoi me suis-je fourré?"
Le restaurant était à quelques minutes. Nous avions réservé une table car l'endroit était réputé mais étriqué.
Alors que nous approchions, Joffrey m'a demandé: "Si ça ne te dérange pas, j'aimerais faire les choses correctement avec Claire. Accepterais-tu que nous dînions en amoureux, en tête-à-tête?"
J'ai été surpris, mais j'ai accepté de jouer le jeu: "OK, j'irai m'asseoir au bar."
Je me suis arrêter devant l'établissement, ils sont descendus de voiture, Joffrey tenant la portière pour Claire, et ils sont entrés en se tenant le bras comme un vieux couple pendant que j'allais garer l'auto. J'ai attendu quelques minutes avant d'entrer et de m'asseoir au bar. J'ai commandé une boisson avant de m'installer à une table où je pouvais les apercevoir.
Les gens aux tables autour d'eux leur jetaient des regards en coin, probablement choqués par la différence d'âge et la tenue sexy de ma femme. Ils ont dû croire que c'était une pute. Cette pensée m'a donné un début d'érection.
J'ai cassé la croûte en leur jetant un coup d'œil discret de temps en temps. Je ne voyais que le large dos de Joffrey. Des fois, j'apercevais le visage de Claire. Elle semblait sous le charme de son cavalier. Elle rigolait et s'amusait. Le dîner a duré longtemps, j'en ai profité pour vider quelques verres. Je devinais que Joffrey lui faisait la cour et que ça lui plaisait. Je n'avais pas imaginé cela. Mon fantasme c'était ma femme dans les bras d'un autre. Point barre. Je sentais le truc m'échapper et ça m'agaçais.
Je les ai vu demander la note. Alors, j'ai payé la mienne au bar et je me suis dirigé vers la voiture.
Ils sont arrivés bras dessus bras dessous et se sont installés à l'arrière.
Joffrey a dit: "OK, mon ami, ramenez-nous." La plaisanterie a fait rire Claire qui s'est blottie, rougissante, contre Joffrey.
À notre retour, je me suis occupé du feu et Claire a dit:
"Joffrey, je vous demande quelques minutes pour me préparer. Attendez-moi ici."
Joffrey s'est incliné devant elle pour un cérémonieux baise-main: "À votre service, princesse!"
Claire a eu son petit rire de gorge, émoustillée. Je levais les yeux vers Claire. Merde, ça allait vraiment arriver!
Joffrey était allé se préparer dans l'autre chambre. À son retour, il était vêtu d'une sorte de chemise en satin rouge sans bouton, et d'un boxer en soie noire. Sa musculature était impressionnante et j'ai eu un frisson en pensant à ma pauvre petite Claire.
Alors qu'il déplaçait quelques oreillers, je me suis versé un verre et je me suis installé dans la kitchenette, à un endroit d'où j'avais une vue dégagée sur le séjour.
Nous avons entendu la porte de la chambre s'ouvrir et Claire est apparue en haut de l'escalier, sublime.
Claire tenait sa robe rouge autour de son corps. Elle nous a jeté un coup d'œil à chacun.
"Êtes-vous prêts pour le show?" elle a demandé. Sans attendre la réponse, Claire ouvrit sa robe et la laissa tomber sur le sol.
Oh mon dieu, quelle vision! Elle se tenait là, vêtue uniquement de son tour de cou en satin noir et de ses cuissardes à talon aiguille.
Ses mamelons étaient agrémentés de fond de teint, et sa chatte était entièrement rasée. J'ai compris à cet instant pourquoi elle m'avait demandé un peu d'intimité.
Joffrey était statufié pendant que Claire descendait l'escalier pour se diriger vers lui. Elle s'arrêta près de lui pour effec un tour complet sur elle-même avant de venir s'appuyer contre lui. Elle écarta les pans de sa chemise, caressa son torse velu, puis vint blottir ses seins contre le torse musculeux. Elle leva les bras et posa ses mains sur la nuque de Joffrey en lui tendant ses lèvres.
Joffrey se pencha pour l'embrasser passionnément et longtemps. Joffrey retrouva l'usage de ses bras musclés pour enlacer tendrement Claire. Il plaqua ses énormes mains sur le cul rebondi de ma femme pour presser son ventre contre sa virilité qui s'éveillait.
Je pouvais presque sentir la passion qu'il lui transmettait.
Sans cesser de l'embrasser, j'ai vu les petites mains de Claire repousser la chemise de Joffrey sur ses épaules, afin de palper les énormes biceps, les larges épaules et les pectoraux saillants. Visiblement émoustillée par l'imposante musculature de l'homme qu'elle avait choisi, Claire laissait courir ses petites mains sur tous ses muscles jusqu'à son ventre. Sa bouche était de plus en plus gourmande et elle ronronnait en l'embrassant.
Joffrey cessa son étreinte afin de soulever Claire comme un fétu de paille et de la déposer délicatement sur le grand canapé. Elle s'allongea à demi sur le canapé tandis qu'il s'agenouillait entre ses jambes écartées. Il souleva ses jambes pour embrasser délicatement l'intérieur de ses cuisses. Claire gémit doucement et lui caressant l'arrière de son crâne rasé.
Longtemps, Joffrey a promené sa bouche autour de la chatte de Claire sans jamais la toucher. Il couvrait de petits coups de langue rapides et de baiser le haut de ses cuisses et son ventre tandis qu'elle se tortillait sous sa caresse.
Dès que la langue de Joffrey a effleuré la chatte nue de Claire, elle a eu un sursaut: "Oh merde, c'est bon!"
Joffrey passa ses mains sous les jambes de Claire, pour les remonter et empaumer ses seins. Ses grandes mains malaxaient les seins ronds de ma femme tandis que la bouche avide de l'homme s'emparait de la chatte insatiable. Je l'ai regardé se cambrer de plaisir et haleter, bouche grande ouverte, ressentant la montée du plaisir. Elle a mis son poing serré dans sa bouche pour s'empêcher de crier tandis que son autre main appuyait fermement la tête de l'homme contre sa chatte.
Claire se tortillait et n'a pas résisté longtemps avant d'exulter. Elle ondulait du bassin en criant: "Oh merde, putain, j'arrive!"
Joffrey ne l'a pas lâchée et a continué de la lécher pendant qu'elle tremblait, gémissante et geignante, sur le canapé.
Joffrey s'est relevé pour se pencher sur Claire. Ils se sont embrassés passionnément et fougueusement pendant que les petites mains de Claire explorait les contours musclés de son amant. Lorsque ses mains ont atteint le renflement caractéristique sur le devant de son short, elle s'est figée, a rompu le baiser, a regardé ce qu'elle tenait et s'est exclamée: "Putain de merde!"
Claire frottait le boxer avec sa main, ou plutôt ce qu'il contenait. Je pouvais clairement distinguer le contour d'une grande tige que sa main palpait: "Oh merde Joffrey, quel engin!"
Claire lâcha prise et se laissa glisser lentement du canapé. Elle s'agenouilla sur le sol, à côté de Joffrey.
Elle saisit la ceinture de son boxer. Joffrey souleva un peu ses hanches pour lui faciliter la tâche. À l'instant où elle l'a fait glisser sur les cuisses musclées, sa colonne de chair massive a surgi.
Claire lui ôta son short. Sa main attrapa sa queue à la base: "Oh mon dieu Joffrey!"
Le sexe de Joffrey était énorme, trapu, comme son propriétaire. Elle le caressait des deux mains, émerveillée.
Claire leva les yeux pour le regarder: "Putain, Joffrey! Quelle belle queue!"
La première surprise passée, et Joffrey confortablement allongé sur le canapé, elle s'est occupée du grand garçon.
Elle l'a cajolé, dorloté, le caressant, le bécotant, le léchant tout en lui ronronnant des mots d'amour. Visiblement ravie et sous le charme, plus rien d'autre n'existait pour elle que ce merveilleux chibre qui continuait de gonfler et de s'étirer sous ses caresses.
Puis Claire l'a prit rapidement dans sa bouche. Malheureusement, malgré tous ses efforts, elle n'a pu en gober que le tiers.
J'ai saisi un tabouret pour m'installer près d'eux, regardant ma femme s'escrimant sur un énorme chibre, massant les bourses gonflées avec ses petites mains, frottant ses mamelons turgescents contre ses cuisses musclées.
L'homme qu'elle servait avec sa bouche distendue aurais pu être son père, il fermait les yeux en caressant la tête, les épaules et la poitrine de ma femme, enchanté de sa prestation. Il profitait de chaque instant.
J'ai du libérer ma propre queue qui faisait rage dans mon slip et je me suis caressé lentement pour me détendre.
Après quelques minutes, Joffrey a dit: "Poupée, viens sur moi, faire un tour de cheval."
Claire leva les yeux et sans lâcher sa queue: "Joffrey, ça n'entrera jamais! C'est beaucoup trop gros!"
"Chérie, j'ai déjà entendu des femmes me dire que je ne pourrais pas entrer, mais une fois dedans, jamais aucune ne m'a demandé de ressortir. Alors, essaye, je suis sûr que tu vas aimer!"
Claire s'est assise, une jambe pendante, l'autre repliée sur le canapé, et a commencé par frotter sa chatte sur le membre de Joffrey.
J'ai lu dans son regard toute la crainte et l'envie qu'elle éprouvait pour ce chibre hors normes. Après un moment, rassemblant son courage, elle a présenté son orifice face à l'énorme gland et a commencé à pousser dessus pour l'enfoncer en elle. Au début, sa chatte a résisté, puis elle a cédé d'un coup, engloutissant le gland entièrement. Les yeux écarquillés, Claire a poussé un cri de stupeur autant que de douleur: "Ooh! Putain! C'est gros!"
Je savais que cela arriverait, que cet homme allait baiser ma femme, juste ici devant moi.
Claire a commencé à onduler lentement du bassin, d'avant en arrière, glissant doucement le long de l'arbre tendu. Tête rejetée en arrière, les yeux fermés, la bouche grande ouverte, elle chantait une douce mélopée faite de halètements, de râles, de gémissements entrecoupés de juron. Elle avait posé ses mains en appui sur les abdominaux de l'homme qu'elle chevauchait pour se retenir d'une pénétration trop brutale. Joffrey attendait calmement la fin de l'opération en malaxant sans ménagement les seins dardés de Claire.
La bite de Joffrey s'était enfoncée des deux tiers dans la vulve de ma femme quand elle s'est exclamée:
"Ça y est! T'es au fond!"
"Alors, maintenant, tu préfères que je reste ou que je l'enlève?"
Claire a ri, s'est couchée sur Joffrey pour l'embrasser voluptueusement sur la bouche:"Chéri, tu me remplis toute!"
Puis elle a accéléré ses oscillations du bassin, tandis qu'il lui caressait les hanches et les fesses, massant son anus du bout du doigt.
Plus le temps passait, plus elle s'échauffait, montant et descendant sur l'imposante colonne de chair. Elle l'engouffrait de plus en plus profond, ondulant du bassin, ses mains accrochées au pectoraux de Joffrey, stoïque, qui la laissait s'escrimer sur sa bite dressée.
À un moment, ses yeux se sont révulsés, son corps fut saisi de tremblements, sa bouche grande ouverte a émis un long feulement, puis elle s'est effondrée sur Joffrey, anéantie par la violence de l'orgasme qui l'avait terrassée par surprise.
Elle est restée prostrée, repue et heureuse, tandis que Joffrey lui embrassait le front tout en lui caressant les fesses.
La rémanence de l'orgasme obligeait son bassin à quelques sursauts qui la faisait soupirer.
Mais Joffrey n'avait toujours pas joui. Il lui tapota doucement les fesses pour la sortir de sa léthargie:
"On va aller dans la chambre, maintenant, je veux te baiser sur ton lit."
Elle s'est soulevée, péniblement, les jambes flageolantes. Joffrey l'a soulevée dans ses bras puissants pour la monter dans sa chambre et la déposer délicatement sur le lit. Tout le long du trajet, elle dévisageait amoureusement son amant en s’extasiant sur sa force, son endurance et sa puissance. Visiblement sous son charme, elle était soumise à la volonté du mâle qui allait la baiser.
Joffrey a doucement commencé à glisser dans Claire gémissante en sentant la verge s'insinuer en elle.
Environ la moitié en elle avant de ressortir entièrement, puis de nouveau la lente pénétration.
Claire gémissait en scrutant amoureusement l'homme qui la baisait.
Joffrey continuait son manège lent et érotique, ressortant totalement de son puits d'amour avant de revenir la baiser profondément.
Il releva ses jambes sur ses épaules. Je regardais son cul se serrer alors qu'il la pénétrait plus rudement.
Progressivement, il accéléra la cadence, la frappant au fond de son vagin avec violence.
Les yeux fermés, Claire secouait la tête de gauche à droite en gémissant bruyamment.
Un masque de souffrance déformait ses traits, j'ai pensé qu'il était en train de la défoncer, de la punir, de la casser et que la pauvre petite, sans défense, souffrait le martyre. Je me suis approché pour lui faire cesser cette , à ce moment elle a crié:
"Oh mon Dieu…baise-moi...putain... plus fort... c'est bon!"
Bras écartés, elle s'agrippait aux couvertures du lit pendant qu'elle se faisait baiser.
De nouveau son corps fut saisi de convulsions et elle hurla en jouissant. Jamais je n'aurais pu penser ma femme aussi vocale.
Joffrey restait stoïque en elle, attendant qu'elle se calme et qu'elle retrouve ses esprits. Doucement, il s'est retiré, l'a embrassé, puis la saisissant par les épaules, la retourna à plat ventre. Il n'avait toujours pas joui.
Il s'allongea sur Claire pour la pénétrer en levrette. Il a glissé sa bite au fond, il a marqué un temps d'arrêt pour se caler.
Ensuite, Joffrey l'a baisée fort et vite. Maintenant, il voulait se vider les couilles dans Claire.
Il tapait au fond de sa vulve comme s'il voulait l'agrandir et elle hurlait sans arrêt: "Putain! Je vais jouir!"
Claire a recommencé à avoir un orgasme, convulsant sous Joffrey qui la pilonnait.
Pendant qu'elle criait, inconsciemment, j'ai éjaculé sur le sol en les regardant baiser. Joffrey aussi. Accroché à ses hanches, il s'est figé au fond de sa vulve et a craché sa semence dans le vagin de ma femme. Putain de merde, je savais ce qui se passait. Il jouissait dans ma femme. Son fluide l'inondait maintenant. On n'en a même jamais parlé. Je pensais que tout était en sécurité, mais merde, il remplissait ma femme de son foutre, crachant de longs jets puissants au fond de son ventre.
Joffrey roula sur le côté et resta étendu, les bras en croix. Claire est restée allongée à plat ventre, reprenant son souffle, attendant que son ventre se calme et que ses hanches cessent ces curieux sursauts de rémanence. Puis elle a rampé sur le côté pour embrasser son amant sur la bouche. Elle caressait son torse en l'embrassant, puis elle a saisi sa verge en détumescence et s'est penchée pour lui donner un baiser en riant: "Merci, ma chérie, tu m'as bien baisée!"
Claire s'est levée: "Je vais me doucher maintenant."
Elle regarda Joffrey: "Tu viens?"
Je suis resté assis là, seul. Clairement, ils n'avaient pas besoin de moi. Je suis redescendu à la cuisine chercher du papier absorbant pour nettoyer mes saloperies. Ensuite, je me suis changé pour la nuit. J'ai entendu rire dans la salle de bain. Bientôt l'eau s'est arrêtée.
Je me suis servi un verre et j'ai pris place dans le couloir, avec une vue dégagée sur la chambre.
Claire et Joffrey sont sortis de la salle de bain et se sont allongés sur le lit. Bientôt, je regardais ma femme le sucer à nouveau. Elle était agenouillée, penchée sur lui, avec une main caressant ses couilles et l'autre posée sur son ventre tandis qu'elle le suçait: "Putain, je ne savais pas que ça existait, une bite comme ça." Bientôt, elle était sur lui, le chevauchant de nouveau. Je l'ai regardé pénétrer. Son sexe allait nettement plus profond. Elle s'était déjà agrandie et adaptée au monstre qu'elle chevauchait. Allongée sur l'étalon qu'elle chevauchait, accrochée à ses épaules, elle rebondissait sur lui, gémissante et geignante, tandis qu'il en profitait pour pétrir son cul en enfonçant profondément un doigt dans son anus. Elle a crié fort quand elle est venue, en broyant sa bite.
Comme il était tard à ce moment-là, j'avais réussi à ingurgiter pas mal d'alcool, je me suis dirigé vers l'autre chambre, celle attribuée à Joffrey. Je me suis écrasé les bras en croix au milieu du lit, sachant que ma femme baisait avec un vieux dans la chambre voisine.
Je me suis réveillé au matin avec un escadron de cavalerie qui défilait dans ma tête.
Je suis descendu à la cuisine me préparer un café fort. L'odeur de café a tiré Claire de son lit. Elle est venue me rejoindre juste vêtue d'un tee-shirt. Elle avait des valises sous les yeux qui prouvaient si besoin était qu'elle avait passé un bon moment.
Elle est venue vers moi et m'a enlacé tendrement. Nous nous sommes embrassés.
Elle a dit: "merci, mon amour, j'ai passé un merveilleux moment. J'espère que tu as eu le temps d'en profiter. Je ne t'ai pas vu partir"
"Oui, je veux dire, c'était mon fantasme. Je suis content qu'il t'ait rendue heureuse."
"Oh oui, il m'a rendue heureuse, huit fois la nuit dernière."
J'ai compté dans ma tête. Deux fois sur le canapé, deux fois dans le lit. Non, trois … Merde, au cours de la nuit, il lui en a donné trois autres. C'est une machine à baiser, ce mec!
"Où est Joffrey maintenant, il dort?" J'ai demandé.
"Oh, non, il s'est levé tôt et il est parti courir."
"Zut, il fait froid dehors."
"Je sais, mais il a dit qu'il se levait tous les jours pour courir."
"Bon, eh bien, je suppose que nous allons rassembler nos affaires et quand il reviendra nous partirons."
Claire s'est blottie contre moi et s'est faite chatte: "Eh bien, je pensais que rien ne nous pressais de rentrer, et j'aimerais profiter encore une fois … avoir un autre moment heureux avant que nous rentrions."
Je la regardais. Elle était accro maintenant. Ma Claire était amoureuse de cette bite qui lui défonçait la chatte!
Elle gémissait dans mes bras: "Oh, juste un petit coup pour la route." Elle m'a embrassé passionnément.
Juste à ce moment la porte s'ouvrit. Joffrey entra dans la pièce. Il portait un ensemble de jogging et il transpirait malgré le froid. Il nous a souri.
Claire le regarda: "As-tu bien transpiré?"
Il rit: "Sûr."
Claire m'a délaissé pour aller se frotter lui. Elle s'est levée sur la pointe des pieds pour l'embrasser. Elle lécha ses lèvres.
"Hum, c'est salé! Bon, maintenant je vais devoir nettoyer ce vilain garçon!"
Elle lui prit la main pour l'entraîner vers la salle de bain.
J'ai attendu un moment avant de les suivre. Je pensais que ça ne durerait qu'une nuit. Maintenant, je n'étais pas sûr.
J'ai attendu d'entendre couler la douche pour me faufiler dans la salle de bain. Heureusement, la paroi de la douche était en verre dépoli. Je me tenais près de l'entrée. La vapeur envahissait la douche mais je pouvais voir presque tout.
Claire caressait le sexe de Joffrey. Joffrey a posé sa main entre ses jambes pour la doigter.
Joffrey a dit "Putain, tu es tellement mouillée, bébé. Je vais en profiter pour te remplir la chatte."
Il a soulevé Claire comme une plume, l'a déposée sur son chibre pendant qu'elle entourait sa taille avec ses jambes. Les bras sur les épaules de Joffrey, les mains jointes sur la nuque du mâle, elle lui offrit sa bouche, se laissant glisser, s'empalant sur le chibre qui l'ouvrait en deux. Elle a commencé à travailler du bassin, ondulant des hanches, toute à son bonheur d'être écartelée encore une fois. Il avait glissé les mains sous ses fesses pour la soutenir, mais même sans le voir, j'étais certain qu'il lui doigtais le cul.
Elle ondulait sur son chibre de plus en plus vite, montant et descendant sur cette tige qui lui procurait autant de bonheur, lorsque brusquement, elle a enfoui son visage dans le cou du mâle, le corps secoué de spasmes, la bouche émettant une longue plainte.
Joffrey la laissa glisser au sol, la retourna pour qu'elle prenne appui contre le mur. Elle se pencha en avant, se cramponnant à la barre de douche et il la pénétra sans fioritures. Direct au fond du vagin, elle glapit un coup bref, mais se cambra pour l'accueillir en profitant au maximum de la saillie.
Joffrey l'a pistonnée rapidement et durement. Malgré l'eau qui lui coulait dessus, j'entendais toutes les gifles qui résonnaient sur ses fesses. Claire jappait quand il cognait au fond de sa vulve. Bientôt, Joffrey a joui dans son ventre, déclenchant un autre orgasme de Claire.
J'ai profité de ses hurlements pour quitter discrètement la pièce, même si je suis persuadé qu'ils savaient que j'étais là à les espionner.
J'ai rangé le chalet, chargé les sacs dans le coffre de l'auto, fermé les volets. Joffrey et Claire sont apparus au bout d'un moment et nous sommes montés en voiture pour repartir. Juste une nuit et c'est fini. Joffrey s'en va demain.
Claire et moi devant, Joffrey en a profité pour se vautrer sur la banquette arrière.
Au village, je me suis arrêté pour refaire le plein d'essence. Je suis allé payer à la caisse, mais quand je suis revenu, Claire était à l'arrière, blottie contre Joffrey. Je suis monté dans l'auto. Elle caressait l'entrejambe de Joffrey.
Claire m'a regardé: "Nous ne sommes pas pressés de rentrer, nous pourrions prendre la route touristique?"
Que pourrais-je faire d'autre? Je devais les conduire à la maison.
Quand j'ai repris la route, je les ai entendu accrocher les rideaux à l'arrière pour avoir un peu d'intimité. J'ai ajusté mon rétroviseur pour avoir une meilleure vision de la banquette arrière. Claire déboutonnait la braguette de Joffrey pour sortir son membre.
Je levais les yeux pour regarder la route pendant qu'on croisait un véhicule circulant dans l'autre sens. La route était étroite et nécessitait un minimum de prudence de ma part.
Quand j'ai regardé de nouveau dans le rétroviseur, Claire était allongée sur la banquette et tétait le chibre de Joffrey.
Joffrey avait la main occupée sous le chandail de Claire, il devait lui tripoter les mamelons.
Sa queue paraissait dure comme de la pierre. Claire et Joffrey ont ôté leurs pantalons. Joffrey s'est assis sur le siège du milieu et Claire l'a chevauché, face à la route. Elle s'est soulevée en se penchant sous le toit de la voiture. Elle a glissé la grosse bite de cheval dans sa petite chatte, maintenant bien agrandie. Les cahots de la route l'ont aidé à s'insérer au fond de la vulve de Claire. Je profitais d'un arrêt à un Stop pour jeter un coup d’œil en arrière. Les grosses mains de Joffrey disparaissaient sous le pull de Claire, à la façon dont il malaxait ses melons, elle ne devait pas avoir de sou-tif. Ses couilles pendaient sous elle tandis qu'elle le chevauchait, jambes écartées. Claire a posé sa main sur ma joue pour me faire retourner la tête vers l'avant, une manière de me dire: "occupe-toi de la conduite et laisse-moi baiser tranquille."
Claire gémissait fort près de mon oreille. C'était presque trop difficile de conduire. J'aurais aimé tout voir.
Pour accélérer un peu les choses, je n'évitais aucun cahot, aucun nid de poule, tout ce qui pouvait la faire rebondir sur la bite de son amant me convenait. J'ai tourné le coin de rue de notre maison. Clairement, je ne pouvais pas m'arrêter devant chez nous avec ce qui se passait sur le siège arrière.
J'ai dit: "Putain, grouille-toi, bébé, on arrive!"
Joffrey gémit: "Fais-moi jouir, bébé."
Claire a glissé de côté, quittant la queue de son amant pour s'agenouiller à côté de lui. Elle a branlé sa grosse bite en posant sa bouche dessus. Oh mon Dieu. Elle allait lui faire une pipe en avalant son sperme. Elle n'avait jamais fait ça pour moi. J'ai fait un tour de quartier pour leur laissé le temps de finir. Je me suis garé pour la regarder faire. J'avais du mal à croire que c'était une néophyte. J'ai déjà vu des pornos où les filles se débrouillaient moins bien qu'elle. Joffrey a commencé à gémir. Les yeux de Claire ont rencontré les miens. Je la regardais serrer les lèvres sur son gland, sa main masturbant furieusement sa tige.
J'ai pu voir le moment où son foutre a jailli au fond de la gorge. Ses yeux ont brillé d'une étrange lueur. Elle n'a jamais baissé les yeux. Elle a soutenu mon regard tout le temps qu'il a éjaculé dans sa bouche. Elle a tout avalé sans sourciller, le masturbant en pressant sa bite sans en perdre une goutte. Elle l'a léché pour laisser sa bite parfaitement propre.
Après cela, elle s'est relevée et sa bouche est venue se poser sur la mienne. On s'est embrassé langoureusement. Elle a mis sa langue dans ma bouche en régurgitant un peu de sperme. J'ai tout avalé. J'ai repris le volant pour me diriger lentement vers la maison, le temps qu'ils se rhabillent. Claire a donné un baiser à Joffrey. Je lui ai serré la main. Et il est parti.
Mais au fond de moi, je sais que nous le reverrons. Claire ne pourra plus se passer de son énorme chibre, maintenant.

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