Voisin Voisine

La petite maison à côté de chez moi était à vendre depuis longtemps quand j'ai vu un panneau "Vendu!" attaché sur
la grille mais un mois plus tard, il n'y avait encore personne qui y habitait. Puis j'ai aperçu une blonde qui y entrait,
une grande femme blonde assez jeune et avec ce qu'il faut là où il faut. Un peu plus tard, elle est passée devant chez
moi alors que j'ouvrais ma porte et elle m'a fait un sourire. Le samedi matin, le facteur a sonné à ma porte pour me
dire qu'il avait un paquet pour la voisine et qu'elle n'était pas là et qu'il n'avait pas envie de revenir ni d'obliger la
femme à passer au bureau de poste. J'ai pris le paquet et j'ai promis d'aller le livrer moi-même un peu plus tard.
Dans l'après-midi, j'ai sonné à la porte mais la sonnette ne fonctionnait pas et j'ai poussé la grille. C'était une de ces
maisons où la porte est sur le côté, en haut de quelques marches et à l'abri d'un auvent mais en tournant au coin de
la maison, j'ai moi aussi tourné la tête et même si j'ignorais que cette fenêtre était celle de la chambre, j'ai regardé
et j'ai vu la femme, allongée nue sur son lit et qui se masturbait et poussait des cris que j'entendais par la fenêtre
entrebâillée. Elle était en travers du lit et ne pouvait pas me voir à moins de tourner la tête mais pourquoi aurait-elle
tourné la tête ?
- Ah ! Baise, baise, baise, ne cessait-elle de répéter !
Je voyais son bras qui remuait par saccades à mesure des caresses qu'elle se caressait. Un sein pendait sur le côté de
son torse et je me suis dit qu'elle avait les seins mous. De temps en temps, elle donnait un coup de tête en arrière.
- Ah, salope, tu vas jouir, a-t-elle hurlé brusquement ! Tu vas jouir !
La femme s'est arrêtée aussi brusquement et s'est penchée vers sa table de chevet et j'ai pu voir le gode qu'elle tenait
dans la main !
- Salope ! T'en as besoin, a continué la femme ! Je vais te le mettre dans le cul !
C'est à ce moment que j'ai compris qu'il ne s'agissait que d'un plug anal qu'elle s'est enfilée prestement dans l'anus.


Je ne savais plus ce que j'admirais le plus de ses seins qui balayaient son torse à chacun de ses mouvements, ou de
ses longues et jolies jambes, ou son cul, ou ses mains. Ou son visage grimaçant qui parfois, quand la femme se
calmait, était plus souriant. Elle s'est mise à quatre pattes sur le lit et à recommencé à se caresser en poussant des
jurons puis elle a replongé sur la table de chevet et en a extrait un gode magnifique, c'était le moins que je pouvais
dire.
- C'est ça que tu veux, a dit la femme en se penchant sur son ventre et elle a enfoncé le gode jusqu'au fond de son
vagin.
Comment pouvait-elle prendre sans problème un gode aussi long ? Elle était à nouveau à quatre pattes et j'ai senti
que ça n'allait plus tarder. La main et le gode allaient à toute vitesse.
- C'est ça, chéri, fais-moi jouir a encore dit la femme ! Oui, ça vient ! Ça vient !
Elle a encore eu plusieurs soubresauts. Ses seins valdinguaient en tous sens puis la femme s'est calmée et a retiré le
gode et a passé les doigts sur sa chatte et les a portés à son nez..
- Cochonne ! Tu n'es qu'une cochonne et tu ne peux pas t'en passer, a-t-elle conclu avant de s'allonger sur le lit les
bras en croix. Tu es vraiment une salope, a-t-elle ajouté dans un râle ! Jamais personne ne voudra de toi !
La femme s'est levée du lit et j'ai bien vu qu'elle avait du mal à tenir debout et elle a tourné sur elle. Elle avait
toujours le plug dans l'anus. Elle s'est appuyée sur le montant du lit et elle a disparu de la pièce. C'est là que je me
suis aperçu que j'avais la trique et je suis retourné chez moi en me disant qu'il serait temps de porter le colis plus
tard.
Il était sept heures du soir quand j'ai repensé au colis. Je me suis donné un coup de peigne et je suis allé
directement à la porte de la maison de la femme et j'ai frappé. Elle n'a pas tardé à apparaître derrière la porte, ces
portes où on peut ouvrir un carreau derrière une grille.

- Oui, c'est pourquoi, m'a demandé la femme ? Ah, je vous ai reconnu, vous êtes mon voisin !
Je lui ai montré le colis et elle m'a ouvert sa porte et vu l'heure, elle m'a offert de prendre un apéritif.
- J'ai de mauvaises habitudes, a repris la femme !
Elle a ajouté qu'il faudrait qu'elle se calme sur l'alcool puis m'a servi un verre. Elle était bien plus jolie là sous la
lumière et c'étaient bien ses beaux seins là sous le T-shirt. Elle ne semblait pas avoir de soutif. J'ai baissé les yeux
pour ne pas croiser son regard.
- Vous ne connaîtriez pas quelqu'un qui cherche une secrétaire, m'a demandé la femme ?
Elle était triste tout à coup. Je ne connaissais personne mais j'ai promis de chercher et de lui dire si je trouvais
quelque chose pour elle.
- J'ai mal démarré dans la vie, a continué la femme. Vous rendez compte ? J'ai eu mes premiers piercings à quinze
ans ! Je ne supportait plus ma mère ! J'ai fait fugue sur fugue. A dix-huit ans, je suis partie de la maison ! Je suis
tombée amoureuse d'un type qui ne me méritait pas et je l'ai aidé à payer ses dettes !
Ça me fascinait qu'elle se confie ainsi à moi. Elle a continué :
- J'ai... fait la call-girl, a continué la femme. Au début c'était juste pour les accompagner mais quand ils voulaient... il
fallait bien que je le fasse...
Je lui ai demandé si ça lui plaisait cette vie-là et tout d'un coup, la femme a eu l'air un peu lasse.
- Je vais vous laisser, lui ai-je dit !
- Je ne veux pas vous faire fuir en vous racontant ma vie, a continué la femme ! Je sais bien ce que j'ai fait mais
j'aimais ça, faire l'amour et j'aimais surtout les gros billets !
Elle était triste et pourtant elle me souriait. Je lui ai dit que je devais la laisser et j'ai eu l'impression d'être lâche pour
abandonner cette femme là, comme ça. Je ne savais pas si elle continuait à se masturber. Moi, en tout cas, je ne me
masturbais plus qu'en pensant à elle et je redoutais qu'on ne devienne amis car il n'y aurait alors plus eu d'issue.
Je
lui ai trouvé un boulot dans une petit société. Elle n'y était pas secrétaire, mais y faisait un peu de tout et ça lui
permettait de gagner sa vie.
Je la voyais dans son jardin et je lui donnais des fleurs et des légumes et vu notre différence d'âge, j'avais
l'impression qu'elle devenait la fille que je n'avais jamais eu. Je ne m'étais jamais marié parce que je n'en avais jamais
eu l'opportunité. J'étais bien attiré par les femmes, mais je n'avais jamais trouvé chaussure à mon pied.
Un jour, Anne est venue sonner à ma porte - entre temps, j'ai réparé ce qui ne fonctionnait pas dans sa maison -
pour me demander quelque chose et elle n'a pas manqué de voir que j'avais la trique en travers dans mon pantalon.
Elle me faisait mal et ma voisine m'a taquinée en me disant qu'elle pouvait me rendre service à mon tour et que ça ne
la gênerait pas.
Je lui ai demandé en quoi elle pourrait m'aider et elle a tendu le doigt vers ma braguette puis m'a dit que ce serait
plus agréable au lieu de me masturber et qu'elle connaissait pas mal de trucs.
- C'est pas parce que je ne vous aime pas, a continué ma voisine ! Je vous aime bien au contraire ! C'est juste que
j'aimerais bien vous faire plaisir !
Elle m'a suivi dans ma chambre et nous avons fait l'amour. ment, avec une ancienne professionnelle, c'est
complètement différent d'avec une amateur. Elle m'a déshabillé puis m'a poussé sur le lit et s'est déshabillée à son
tour et s'est assise sur moi et m'a pris la bite et l'a guidée dans sa chatte.
- Ça vous plaît, a-t-elle ajouté en me balançant ses seins sur la figure ?
Je n'ai pas répondu. Elle a commencé à me baiser. Elle s'est arrêtée puis m'a demandé de lui toucher les seins en me
disant qu'elle aimait qu'on lui touche les seins. J'en ai profité pour lui demander où elle pouvait bien avoir des
piercings et Anne m'a demandé si je voulais qu'elle les porte et que la prochaine fois, elle les aurait mis puis elle a
remis son manège et a fini par me demander de venir derrière elle la prendre en levrette et j'ai fait le tour de ses
fesses.

- Tu peux m'enculer, m'a demandé ma voisine ! Ça ne me dérange pas, au contraire ! Je ne voudrais pas que tu
m'engrosse ! Je suis en âge de pouvoir être ta fille !
Je me suis enfoncé dans sa chatte mais ma voisine m'a supplié de l'enculer parce qu'elle n'avait pas confiance en moi
et qu'elle ne voulait pas d'. Je lui ai dit que j'avais des préservatifs, mais elle n'a pas voulu que je m'interrompe
et je me suis enfoncé dans son anus. Ça rentrait aussi facilement que dans son vagin. J'ai attrapé ses hanches et j'ai
commencé mon labour puis j'ai éjaculé au fond de ses fesses.
- Reste, m'a supplié Anne ! Laisse-moi finir !
Elle avait déjà plongé sa main sous son ventre et je voyais bouger son coude au rythme de ses caresses comme je
l'avais déjà vu faire dans sa chambre.
- Cochon, m'a dit Anne en se relevant ! Tu m'as enculée... Avoue que tu aimes faire ça !
J'ai avoué tout en lui disant que c'était la première fois que je faisais ça. Elle est allée se laver et je l'ai suivie dans la
salle de bains. Je n'osais trop quoi dire et après s'être essuyés nous sommes retournés dans le salon. Je lui ai servi
un verre. Elle était belle, toute nue. Anne, après avoir trempé ses lèvres dans son verre s'est penchée sur moi et a
attrapé mon pénis entre ses lèvres et m'a sucé jusqu'à ce que je bande à nouveau puis elle s'est collée contre moi et
m'a dit qu'elle allait me vider les couilles à nouveau et elle m'a branlé jusqu'à ce que j'éjacule.
Elle m'avait épuisé. La semence perdue coulait sur mon ventre. Ma voisine s'est rhabillée.
- Demain, tu viendras me voir, m'a-t-elle dit ! Je te ferais encore un câlin ! Tu verras, j'ai des trucs qui vont te plaire
!
Le lendemain, je suis allé sonner à sa porte et je l'ai suivie dans sa chambre et une fois que nous fûmes nus, elle a
sorti son attirail d'un tiroir. Il y avait surtout ce truc avec des lanières, un gode bien imité, dont ma voisine s'est
harnachée puis elle m'a enculé.
- Tu ressens ce que ça fait, m'a dit Anne pendant qu'elle m'enculait ! Il n'y a pas de raison pour que vous ne sachiez
pas !

Ça me faisait vraiment mal, d'autant que ma voisine n'avait pas mis de lubrifiant mais j'ai fini par ne plus ressentir la
douleur. C'était plutôt mon amour propre qui en prenait un coup, plus que l'acte car j'aimais bien ça puis je me suis
vengé en jouissant au fond de sa gorge et Anne a avalé mon sperme. Depuis, on baise tous les week-end mais
malgré mes demandes répétées, elle ne veut pas qu'on se marie.

FIN

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