Collection Histoire Courte. Jumelles, Oui Mais ! (1/1)

J’habite un immeuble à Vincennes, ma maman m’a appelé Benjamin, j’ai bientôt trente ans et je suis auteur de livres policiers.
Je suis assez doué pour trouver des énigmes et les dévoiler petit à petit jusqu’à l’épilogue qui arrive toujours quand j’ai écrit plus de 200 pages.
Il y a peu, mamy Madeleine, la doyenne de notre immeuble, est décédée, c’était ma voisine, elle avait plus de cent ans, elle avait emménagé à la construction du bâtiment.
C’était la doyenne du quartier, elle était intarissable sur son époque.
Beaucoup d’entre nous venaient la voir, moi c’était facile, j’étais sur le même palier.
C’était ma première lectrice, bien qu’elle ait du mal à lire sa vue ayant un peu baissé.
C’est elle qui me suggérait des changements ou des ajustements et chaque fois elle avait raison.
Elle aimait raconter sa jeunesse, je m’en servais, les intrigues venant du temps d’avant étaient celles qui se vendaient le mieux.
À sa mort, sa fille de 80 ans a récupéré l’appartement, et l’a vidé.
Depuis 20 ans, elle vit à Perpignan, elle a été là-bas avec son mari à sa retraite, elle prenait l’avion une fois par mois pour venir voir sa maman.
Quand j’écrivais sur mon balcon, je la voyais arriver en taxi de l’aéroport avec sa petite valise.
Mamy Madeleine habitait dans un quatre pièces très spacieux, alors sa fille a confié l’appartement à une agence pour qu’elle le loue.
Ce matin, il fait beau, je suis sur mon balcon.
Je suis dérangé dans mes écrits par le bruit d’un camion de déménagement qui s’arrête, il est suivi par une voiture qui s’engouffre dans le garage de l’immeuble.
J’entends que des gens ont emménagé, mais comme ils ne font pas de bruit, je me désintéresse de ces nouveaux voisins.
Mais un matin, dans l'ascenseur.

• Bonjour jeune fille, vous montez à quel étage ?
• Merci pour la jeune fille, j’ai 32 ans, je suis une femme de petite taille.


• Excusez, vous êtes une naine !
• Je préfère femme de petite taille, mais vous ignorez ce que les petites gens peuvent subir, je vous pardonne, je vais au troisième.

Nous montons, j’ai fait la bourde à ne pas faire, nous arrivons sur le palier.

• Je vois que vous êtes ma nouvelle voisine, heureux de faire votre connaissance.
• Je vous pardonne, il est utile de garder de bonnes relations avec les voisins, vous avez une femme ?
• Non, je suis célibataire, à plus, j’ai du travail.

Une fois dans mon appartement, j’ai un peu de remord, je connaissais le refus des nains de les nommer ainsi et j’ai fait la boulette.
Je suis tiraillé entre deux solutions, la première laisser faire, voir l’avenir, la deuxième, acheter une grosse boîte de chocolats et l’apporter à ma voisine quand je serais sûr qu’elle est là.
La boîte est sur ma table de salle à manger quand je la vois arriver au bout de la rue menant à la nôtre où se trouvent nos appartements.
Je laisse passer une demi-heure, je sors et je sonne, quelques minutes et l’on m’ouvre.

• Juliette, c’est le voisin, je t’ai dit que je l’avais rencontré lorsque j’attendais l’ascenseur.
• J’arrive, je sors de la douche Julie, bonjour, ma sœur vient de me présenter et vous !
• Moi, c’est Benjamin, je vous ai apporté des chocolats pour me faire pardonner mon impair, j’ignorais que vous étiez deux !

La sœur qui sort de la salle de bains, semble a enfilé un peignoir court et fin, je vois le début de la vallée de ses seins, nul doute que c’est une femme, elle a tout là où il faut.
Je devrais dire même elles ont tout là où il faut car elles sont des copies conformes, même taille, même couleur de cheveux auburn, coiffées à la garçonne. Je dois reconnaître que hors de la taille, je les aurais rencontrées dans une soirée, je les aurais draguées.
Elles m’offrent un apéritif.

• Êtes-vous bricoleur ?
• Un peu, je repars une fuite quand j’en ai une, je sais où couper l’eau et j’ai quelques joints à ma disposition.

• Pour vous faire pardonner définitivement, pourriez-vous nous aider si cela nous arrive, nous sommes de faibles femmes.
• Bien sûr, il vous suffira de frapper.

Il y a plus de trois semaines entre cette visite et la sonnette qui se déclenche.
Quand j’écris, je suis en pantalon de survêtement, j’aime être à l’aise, je fais aussi une heure de gym chaque matin après avoir écrit trois heures, je m’enorgueillis d’avoir un corps non loin des plaquettes de chocolat.

• Nous avons été des oiseaux de mauvais augure, j’étais dans ma salle de bains et de l’eau coule sous le lavabo.
• J’arrive, il faut couper l’eau, je prends ma boîte à outils.

J’entre, je constate les dégâts, une fuite à la bride du robinet d’eau froide.

• Ce n’est pas grand-chose, juste une bride qui a dû travailler, je vais changer le joint par sécurité.

Comment cette bride s’est desserrée, je l’ignore surtout que le joint semble en bon état, mais sur le coup, je ne suis pas suspicieux.
Cinq minutes après je remets l’eau, tout est rentré dans l’ordre.

• Je peux te poser une question, qui es-tu, Julie ou Juliette ?
• C’est toujours le problème, je suis Julie, je suis la première que tu as vue, mais dis-moi, tu es baraqué, je ne l’avais pas vu la première fois, tu dois tomber toutes les filles que tu rencontres !
• Tu sais, j’écris des romans policiers, cela me prend énormément de temps, j’ai rarement le temps de draguer.

Je suis debout devant elle, sa tête arrive à hauteur de mon sexe.

• Sais-tu ce que les hommes de taille normale aiment avec nous ?
• Je te vois venir.
• Si ta verge est aussi développée que tes muscles, tu dois être un bon coup, laisse-moi te sucer, tu ne le regretteras pas.

La petite salope, elle a dû desserrer la bride pour créer une fuite avant de venir me chercher, je pense ne pas me tromper, elle est en peignoir qui tombe d’un coup au sol, dans le mouvement, elle baisse mon pantalon de survêtement.

Comme je l’ai dit, quand je suis sur mon balcon à écrire, j’aime mes aises, ma bite est libérée par son geste, en baissant la tête, je la vois entrer directement dans sa bouche.
Elle me caresse les couilles, j’ai déjà sauté une fille en la prenant par la chatte debout, mais me faire sucer très efficacement, je dois le dire, dans cette position, c’est la première fois.

• J’aimerais t’embrasser, comment l’on fait avec toi.

Elle laisse ma queue, bien tendue, j’ai envie de cette jeune fille autant que la première pucelle que j’ai prise me déniaisant en même temps, je vieillis, je dois me rendre à l’évidence, il y a quelques années.

• Viens dans ma chambre, tu vas voir qu’il n’y a pas de différence au niveau de nos torses, c’est simplement que nos guibolles sont plus courtes.

Effectivement, une fois allongée, je l’embrasse, je lui suce les seins qui sont bien plantés et rapidement ma verge finit au fond de sa chatte, le coup de rein est bon, la seule chose, c’est que ses jambes ne peuvent s’entourer à mes reins.

• J’avais peur que tu ne sois vierge, je vois que tu as déjà connu le loup.
• Pucelle, tu rigoles, j’avais dix-sept ans quand avec ma sœur, un copain nous a dépucelés, mais il est vrai qu’il est rare que les hommes acceptent de nous faire l’amour.
Ils hésitent, peut-être qu’ils ont peur de nous casser, Benjamin, j’aime comme tu me fais l’amour.

Je la fais jouir avant de décharger en me retirant, j’ignore si elle a une contraception.
Je rentre chez moi, après qu’elle s'est endormie.
Les jours suivants, elle me sollicite, je suis de plus en plus accro à lui faire l’amour, finie la différence de taille entre nous.
J’adore qu’elle me suce quand je suis debout, une question me taraude.

• Tu vis comment ?
Juliette est toujours absente, elle semble rentrer tard ?
• Elle travaille pour deux, je reste à entretenir l’appartement, elle est secrétaire chez un notaire.


J’ai tout pris pour argent comptant, j’ignore que j’ai fait partie du jeu des filles, nos balcons sont voisins, je travaille dehors le temps le permettant, la fenêtre de la salle est ouverte.

• On l’a bien eu, que du feu, il y a vu que du feu, la prochaine fois, c’est mon tour, je vais l’allumer pendant que tu seras au travail, vient que je te mette au courant de ce que m’a dit le patron.

Les salopes, j’ai baisé les jumelles sans me rendre compte que je changeais de partenaire.
Comment les piéger ?
J’aimerais les avoir en même temps, les prendre en levrette côte à côte, je suis sûr que Casanova aurait rêvé être dans cette position.

• Que faites-vous ce soir ? Vous savez, j’ai un talent fou pour la cuisine, qu’aimeriez-vous manger ?
• Des coquilles Saint-Jacques, c’est la saison, il y en a des énormes.
• Moi, c’est une bonne daube, avec des magnifiques morceaux de bœuf et des carottes.
• À 8 heures, vous viendrez, je suis aussi expert en vin.

22 heures, Julie a eu ses coquilles Saint-Jacques, Juliette sa daube ou l’inverse, ce repas n’est pas mon but, je dois reconnaître que je sers sans retenue des vins tous premier cru.
22 heures et je leur propose le café sur mon canapé, l’une à droite, l’autre à gauche. Je leur prends les épaules et tour à tour, je les embrasse, elles semblent accepter ma double attaque.
Main droite remontant la jupe d’une des jumelles, la deuxième l’autre, mes doigts dans la chatte de l’une, l’autre dans l’autre.
Je les avais rêvés, en levrette, laquelle je prends en premier peu importe, elles s’agenouillent sur le canapé appuyées sur le dossier, je passe de l’une à l’autre, les faisant jouir chacune leur tour.
Ça fait trois mois, que je les baise tous les soirs, pourquoi iraient-elles voir ailleurs !
J’ai vendu un bouquin qui est le Best-seller de l’été, je remplis mon compte en banque.

• Les filles, je vous fais une proposition, je veux vous offrir une bague, laquelle des deux dois-je choisir ?
• Aucune, on en a parlé, nous formons un trio parfait, nous souhaitons vivre comme nous le vivons en ce moment.

Je suis déjà propriétaire de mon appartement, j’ai largement les moyens d’acheter leur appartement ce que je fais, des maçons viennent et font une ouverture entre mes deux salons.
Elles ont leur chez elle, j’ai mon chez-moi, j’ai fait mettre une porte coulissante. Quand elle est fermée, interdiction d’entrer, j’écris, porte ouverte c’est la folie du slip, je les baise à tout va.
Nous parlons de grossesse, elles ont arrêté leur contraception, j’offrirais la bague de fiançailles de ma maman à la première qui sera enceinte, mais sans pour autant l’épouser.
À oui, j’ai changé une règle, chaque semaine l’une va chez le notaire l’autre s’occupe des appartements et de leur homme.
Je suis l’un des hommes le plus heureux du monde, même si lorsque nous sortons les tenant par la main de chaque côté de moi, je fais rire les cons, intérieurement, je suis sûr qu’ils sont jaloux.

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