Collection Dominant Domine. Chasse De Nuit (2/2)

C’est ma soirée d’anniversaire, comme depuis deux ans, année de mes 28 ans, Damien l’homme que j’ai épousé m’offre une soirée pleine de suspens.
D’une chienne promenée au bout de sa laisse jusque dans la rue près de notre appartement la première fois, en passant par une cave où j’ai été livrée à plusieurs hommes là encore, pour la première fois de ma vie alors que j\'avais 29 ans.
Cette année, pour mes 30 ans, j’attendais avec impatience ce qu’il allait inventer.
Il a fait fort, une fois qu’il m’ait transformé en femme fatale, recouverte d’une simple guêpière, avec bas rouge comme le reste de la tenue, nous montons en voiture.
Je pense qu’il va me conduire dans la maison où l’an passé je me suis fait éclater par trois hommes qui m’ont prise de toutes les manières dont une femme en a la possibilité.
Ils se relayaient de ma chatte à mon anus, Damien m’ayant ouvert à la sodomie.
Mais c’est autre chose qu’il me réserve, un bois, celui-ci qui est à la sortie de notre village.
La nuit tombe quand il m’attache à une chaîne par le mousqueton du collier rouge qu’il a acheté cette année.
Il se sert de son IPhone pour donner le top départ à six chasseurs qui doivent retrouver la jeune biche qui est attachée à ce chêne, avant de tourner les talons me laissant avec ma peur.
Pour sa défense, ce qui arrive est indépendant de sa volonté, la météo annonçait grand beau.
Hélas, un orage éclate au-dessus de l’endroit où je suis attachée dans l’impossibilité de me dégager.
La pluie, les éclairs et le tonnerre me donnent la peur de ma vie alors que j’étais là pour le plaisir de ma même vie.
Deux hommes passent non loin de moi, à ma recherche, ils trouvent la chaussure que j’ai perdue en venant à cet endroit retiré de la forêt.
Je vois leur lampe torche à travers les buissons
J’allais hurler de peur quand la foudre doublée d’un éclair instantané éblouit la forêt
Et à ce moment je sens une main sur ma poitrine, l’autre sur ma bouche.


Quelle n’est pas la stupeur de m\'entendre lui demander qui il est, et qu\'il me dise :

- Je suis le 7ème chasseur.

Je me relève au bout de ma chaîne, un éclair plus lointain me montre un homme, que dire un homme, une montagne, il me dépasse d’une bonne tête et ressemble à l’homme des bois vu dans de nombreux films.
Sa barbe, elle est fournie et lui cache une partie du visage. Il semble monstrueux, fort, musclé.
Ce pouvait être Barbe bleu, l’ogre de mon enfance qui me faisait flipper chaque fois que j’ouvrais ce livre, qu’une tante bien intentionnée m’a offert.

La pluie commence à me fouetter le visage, et malgré les arbres qui m’entourent, je suis trempée, que va-t-il m’arriver, moi qui suis maintenue par cette chaîne ?
C’est à ce moment que je vois l’homme prendre la chaîne à cinquante centimètres de mon cou dans ses deux mains, tirer un coup sec et littéralement la pulvériser.
Je suis libre, il me prend dans ses bras et part presque en courant rejoignant rapidement un chemin, le remontant sans pour autant sembler avoir des difficultés à me porter.
Je l’ai pris par le cou pour me tenir à lui, un de ses bras est sous mes fesses et l’autre dans mon dos.
Il sent la bête, mais ce doit être l’eau que nous prenons en plein visage qui m’apporte cette odeur de terre et de sueur.
Je sens que nous prenons un chemin bien différent de ceux que j’ai pu emprunter avec Damien aujourd’hui en venant et d’autres fois quand nous nous sommes promenés dans cette forêt.
Le chemin débouche sur un espace où les arbres sont de plus en plus clairsemés, un nouvel éclair me montre une maison dont j’ignorais l’existence.
Mon Robinson pousse une porte avec son pied et enfin je suis au sec, protégée de la pluie, mais transie de froid.

- Tu es ici chez moi, sois sans peur, j’ai racheté cette maison forestière il y a quelques années et j’exploite des ruches placées aux quatre coins de notre commune en faisant du miel.



J’avais entendu parler de cet homme venu de nulle part, masse imposante qui vendait son miel dans les marchés, je me trouvais devant lui après qu’il m’ait reposé au sol.

- Ne reste pas comme ça, tu vas attr la mort, enlève cette guêpière, même si tu me fais bander en te regardant.

Il est vrai qu’il a mis la lumière et que je découvre la salle où il m’a fait reposer sur mes pieds.
C’est douillet, de profonds fauteuils sont posés devant une cheminée.
Bien que l’on soit en été, il claque une allumette sur un papier, allumant des brindilles, faisant démarrer un feu.
J’essaye de défaire ma guêpière, je n’y arrive pas.
Il sort un couteau style Indiana John, me faisant sentir ma mort proche !

- Attends, je vais couper ces cordes qui la retiennent ça ira plus vite, elle est collée à ta peau.

Je sens la pression sur mon corps disparaître à mesure qu’il les coupe jusqu’à ce que je sente que je suis nue devant lui, avec mes seuls bas qui commencent à descendre, les jarretelles ayant sauté.

- Ne bouge surtout pas, je vais t’enlever ton collier, j’ai vu ton mec venir t’attacher, je suis resté caché derrière mon talus, je ne voulais pas que l’on voie ça.

Je n’avais pas remarqué, il a sur lui une veste comme en portent les chasseurs.
Il sort de sa poche arrière un lièvre mort, qu’il pose sur la table à ses côtés.

- Je récolte du miel avec mes ruches, mais je suis un petit peu braconnier et je pose des collets.
Je les relevais, je vous ai vu arriver et j’ai attendu, mais attends, reste près du feu qui commence à crépiter, tient met sur ton dos se plaide dont ma femme se servait avant de me quitter.

Il est posé sur un fauteuil face à une télévision.
Je suis sûre que ma dernière heure est arrivée quand il passe sa lame entre mon cou et mon collier.
Elle est tellement coupante qu’il tire un coup, et me libère de ce morceau de cuir et des cinquante centimètres de chaîne qui pendent encore à son mousqueton.

À son tour, trempé, il enlève sa veste, sa chemise.
Un véritable homme des bois, je n’ai jamais vu autant de poils, un vrai mouton bon à tondre.
Sa poitrine ses bras son ventre sont velus.
Des poils noirs et gris, longs.
Sa barbe est impressionnante, son torse l’est encore plus.
Barbe bleu, il m’en reste quelque chose.
Je me souviens de mon amie Anne, auprès de qui j’ai recueilli ses confidences sur les grosses verges d’homme noires.
C\'était son fantasme à elle, avoir des sexes noirs épais.
Elle m’avait avoué en regarder de nombreuses queues épaisses sur Internet, mais la connaissant, je suis sûre qu’elle ne le réalisera jamais.
Pourtant après sa séparation avec son mari, elle aurait pu se promener dans certains quartiers et le réaliser.
Hélas pour elle, elle a préféré vivre avec un homme de 10 ans son aîné qu’elle voit de temps en temps chacune vivant chez soi.

J’aurais pu lui avouer que moi aussi j’avais un fantasme, les poils, pourtant je me suis tue.
Il est encore avec son pantalon, mais je ne sais quel instinct me pousse à me projeter contre cette poitrine.
Ma main se pose sur cette poitrine, mon pubis nu se serrant sur ce pantalon mouillé.
À 30 ans, qui plus est, le jour de mon anniversaire, est-ce cela le coup de foudre ?
Avec Damien, à notre première rencontre, c’était chouette, mais pas avec ce regard intense entre nous.
Dans ces temps pas si lointain, j’étais une midinette et quand il m’avait couché sur son lit de jeune homme, je m’étais laissée faire.
Aujourd’hui je suis grande, 30 ans, je lève ma bouche, la sienne me trouve.
C’est la première fois que j’embrasse barbe bleu, les poils de sa moustache sont agréables, ça pique mais j’aime bien.
Il faut dire que Damien est imberbe, même sur sa poitrine il n’a que quelques poils qui se battent en duel.
Je sens sa toison contre mes seins.
C\'est super bon.
Je me rends compte que pour la première fois, je peux être maître du jeu.

Mon homme des bois, m’a permis d’échapper à l’orage, de me réchauffer, le feu étant à son maximum.
Je sens que le baiser que je lui donne, sans savoir comment l’appeler, le fait réagir, son sexe prend de l’ampleur sur mon ventre, je devrais dire, le haut de mon ventre.
Anne fantasme sur les grosses bites, je sens que celle qui se détend en fait partie, même si elle n’est pas noire.

Je quitte sa bouche, je sens qu’il est temps de nous présenter, je me doute que si j’avais été attrapée par les deux hommes qui ont trouvé ma chaussure, ils m’auraient prise sans que je ne sache qui ils étaient.
Ça a été le cas l’an dernier, les trois hommes qui m’ont remplie tous mes orifices sont restés anonymes pour moi, même si comme je l’ai dit je pensais que cette année, j’allais retourner dans ce lieu.

- Quand j’étais à l’affût derrière mon talus, j’ai entendu ton mari te souhaiter bonne nuit Sarah.
Je constate que je ne me suis pas présenté, je t\'ai dit ce que je faisais, je m’appelle Gaspard.
J’ai 45 ans et comme tu l’as senti, je suis encore bien vert.
- Normal pour un homme qui habite à la lisière d’une forêt, je peux la voir ?

Je n’attends pas son autorisation, je m’abaisse pendant qu’il ouvre la glissière de sa braguette.
Dès que je le peux, ma main part en recherche de ce que j’ai senti.
Elle finit par me sauter aux yeux, nul doute qu’Anne voudrait être à ma place.
Il me faut les deux mains pour en faire le tour.
Elle est blanche mais alors longue et grosse.
Inutile d’essayer de la mettre dans ma bouche, je me démettrais les mâchoires.

- Tu vois ma belle, c’est à cause de mon sexe que ma femme m’a quitté, depuis je vis seule.

Je me suis relevée, je l’ai embrassé une nouvelle fois, la moustache de nouveau, j’aime beaucoup.
Comme il m’a porté jusque chez lui, il me soulève, un de mes bas glisse jusqu’à ma cheville.
Je sens ma chatte s’écarter sous la charge et c’est avec délice qu’il m’empale littéralement me faisant hurler de plaisir.
Comment peut-il me faire monter ou descendre sans sembler forcer ?
Avant que je finisse de vivre mon trentième anniversaire, j’ai l’orgasme le plus violent m’ayant traversé.

Damien a réussi mon anniversaire sans qu’il soit celui qu’il avait espéré.
Il gagne car je suis contente de ce qui m’arrive, mais il perd avec la fin de nuit que je passe dans le lit de Gaspard, ce qui n\'était pas prévu. Je l\'ai quitté et suis restée avec Gaspard.
Il m’a épuisé et il est plus de midi quand il libère les vannes.
Il a bandé jusque-là sans m’offrir son sperme.
Je le reçois avec délice.

À 30 ans, il est temps d’er, comme il me le demande.
Pour cela après deux jours de baise intensive, il m’emmène chez moi récupérer mes affaires.
La chasse de nuit aura eu un impact positif, j’apprends à récolter du miel et le vendre au marché.
Sans oublier la tenue de chasseur que nous m’achetons, il m’apprend à braconner et vendre notre gibier comme le faisait Louis le Funès dans « ni vu, ni connu ».

Souvent, tant qu’il fait beau, nous baisons dans les bois, notre endroit favori, c’est l’arbre où Damien m’avait attaché.
La chaîne est toujours là, j’adore quand il m’attache au chêne qui la retient, elle agresse mes seins.
Ah oui, nous avons reçu mon amie Anne.
Si j’ai réalisé mon fantasme, avoir un homme velu, je sais que le sien est toujours d’actualité, avoir un homme très membré.
Bas les pattes ma belle, mon homme des bois est à moi et rien à moi, enfin c\'est ce que je pense.

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