Collection Dominant Domine. La Bombe (2/2)

Avec Juliette, ma copine d’enfance cette année de rentrée au lycée, nous avons décidé de finir l’année en ayant perdu notre hymen avec un des garçons de notre nouveau bahut.
Je me trompais, je perds bien ma virginité, mais avec Johnny dernier amant de maman qu’elle vient de quitter et auquel je rapporte une caisse en carton d’affaires qu’il avait laissées.
Il me dépucelle certainement dans le lit où il a baisé ma mère, mais je m’en fiche sa queue me donne dès la première fois du plaisir malgré sa grosseur hors du commun.
Moi qui suis vierge, je peux faire cette comparaison, lorsqu’il perd sa Rolex au poker et que pour la récupérer, il me demande de sucer et d’avaler le sperme d’Amed, ce que je fais sans la moindre parcelle de remords, il est mon homme et je suis heureuse de lui rendre service.
Quand j’avale son sperme, j’ai conscience de franchir une étape, mais je suis si fière d’avoir réussi à me faire baiser, non pas par un jeune puceau, mais par un homme ayant déjà vécu avant Juliette, tout est parfait.

Je viens de quitter son appartement, je me rends chez la coiffeuse et l’esthéticienne, ce soir il reçoit et veux que je sois la plus belle, je prends cela comme une preuve d’amour, alors quand je remonte, je passe les vêtements qu’il m’a achetés prête à recevoir ses amis.

• Véronique, Fred !
• Véronique, William !
• Véronique, Mat !
• Véronique, Jim !

C’est comme cela qu’il me présente ses amis, ils sont là pour regarder le match de foot de l’équipe de France de foot, ce qui fait que je ne me pose aucune question sur la présence de ces quatre garçons alors que je suis la seule fille.
Quand on sonne à la porte, le match est commencé.

• Véro, j’ai mis des billets sur la petite table de l’entrée, ce sont les pizzas que j’ai commandées, va dans la cuisine, fait en des parts, j’espère que tu es capable de faire cela et apporte-les-nous sur la table du salon devant nous.



Je m’exécute, je récupère les pizzas, accomplie ma tâche sans souci et je les apporte devant eux.

• Assieds-toi là et regarde le match, tient, prend un verre de cidre, tu m’avais dit aimer cela quand j’étais chez.
Pardon, bois.

Il allait dire avec ta mère, je m’assois, prends la coupe qu’il m’a servie, ils sont tous à la bière.
Deux coupes, c’est du cidre, pourquoi d’un coup ma vue se brouille légèrement.
La main de Johnny se pose sur ma jupe, je devrais dire ma mini, j’ai chaud et je sens que je mouille.
Assis devant nous sur le tapis, Jim tourne la tête et me regarde, merde, placée comme il est, il doit voir mon string, j’essaye de tirer sur ma jupe.

• Laisse ma belle, Jim a bien le droit de se rincer l’œil, il est puceau, il ne va pas te faire bien du mal.

En même temps qu’il me dit ça, Johnny soulève ma jupe, là ce sont tous les garçons qui voient ma chatte, heureusement que je n’ai pas suivi ma première intention, j’ai failli ne pas en mettre.

• Jim regarde, elle est belle, approche ta bouche, caresse là avec ta langue, tu verras, elle aime ça.
Un Véro que tu aimes ça.
• Oui, Johnny, mais.
• Ne fais pas ta majorée, tu as bien sucé Amed, alors te faire sucer la chatte par Jim, je te rappelle que Jim est puceau, si tu refuses, il risque d’être traumatisé jusqu’à la fin de sa vie.

Jim approche sa tête de ma chatte, j’écarte mes jambes ayant conscience malgré le brouillard d’être une salope et c’est moi qui écarte mon bout de tissu pour qu’il puisse me mettre sa langue.

• C’est bien bébé, je suis fière de toi, j’étais sûr quand je t’ai dépucelé d’avoir rencontré la plus belle de pute du quartier.

Qu’a-t-il mis dans le cidre, un anesthésiant, ce qui est sûr, c’est que ma volonté m’abandonne, mais dans le même temps j’adore me faire lécher par ce garçon ni beau ni laid ?
Je suis à la limite de la jouissance quand Johnny me donne un ordre.


• Place toi en levrette sur le canapé.

Je m’exécute, il soulève ma jupe et arrache mon string.

• Pas grave bébé, je t’en achèterais un autre bien plus joli, j’en ai vu un avec une bouche à la place de ton sexe, Jim à toi, prends-la.

Je tourne ma tête, Jim bande et sans attendre il plonge en moi, fini le match de foot, les cinq garçons ont leur queue en main, Jim décharge rapidement, c’est avec William que je jouis, la première fois de la soirée avant que lui aussi me remplisse la chatte.
Je jouis car Fred et Mat viennent sur mes côtés et à tour de rôle je les suce.
Comme pour Amed, il me décharge dans la bouche, j’avale tous, le sperme me plaît maintenant.
Pendant ce temps, Johnny est passé dans un fauteuil et Jim lui caresse la queue en le suçant, il bande et rapidement lui envoie une giclée dans la figure et sa bouche, étrange de voir mon mec se faire sucer alors que le garçon que je viens de dépuceler avale le sperme comme moi.

• Les gars, laissez Véro, Jim m’a demandé s’il peut l’enculer, il vient de me faire plaisir, elle est à toi.

Je suis fatigué d’être sur mes genoux, mais là où j’aurais dû me rebeller, me faire sodomiser par celui que je viens de déniaiser, je vois sa queue venir vers mon anus et qu’elle seconde après venir caresser mon anus.
Je l’ai dépucelé, il me dépucelle, comme pour ma chatte, une légère douleur vite estompée, je dois être faite pour baiser, tous mes trous doivent avoir été créés par papa et maman pour que ces quatre garçons les remplissent et me font jouir.
Quelle heure est-il quand je me retrouve dans mon bain, Johnny placé dans mon dos me passant une éponge naturelle partout sur mon corps qui a été pris par tous ces garçons.

• C’est bien bébé, je suis fière de toi, tu vois, j’avais raison quand je te disais que je ferais ce qu’il faut pour que tu sois une femme comblée.

Il me baise une fois dans notre lit, je me blottis dans ses bras et je m’endors comme un bébé, malgré la légère douleur que je ressens, les quatre garçons m’ayant sodomisé.

Discrètement, je place mon doigt sur mon anus, ouf, il est refermé.

• Bébé, ce soir poker chez William, il va me présenter sa nouvelle copine, elle a certainement le même âge que le tien.

Je connais cet ordre, tenue sexy obligée, il faut par mes provocations que je déconcentre ses adversaires, malgré ça, il avait perdu sa Rolex.

• Juliette, c’est toi, j’allais t’appeler pour prendre de tes nouvelles.
• J’ai suivi ton conseil, un jour William m’a accosté pour me demander si j’avais du feu, c’est moi qui ai fini par lui fumer la queue et qu’il m’a dépucelé, depuis je vis avec lui comme toi avec Johnny.
Tu avais raison, les hommes plus vieux c’est mieux que les jeunes puceaux, quoi que.
• Que veux-tu dire par ce quoi que ?
• J’ignore ou tu en ais avec Johnny et si je peux te dire ce que j’ai découvert, as-tu passé une soirée avec plusieurs mecs.
• Oui, samedi dernier pourquoi ?
• William et lui sont des comparses, j’en ai passé une aussi, les autres gars sont leurs clients et les ont payés pour qu’ils te baisent, tu as été leur pute toute la soirée comme je suis devenue la leur.
As tu fait tes premières passes ?
• Comment cela !
• Cette semaine, William a ouvert trois fois la porte de notre appartement quand la sonnette a retenti, je l’ai vu prendre l’argent que le type lui a donné et chaque fois j’ai emmené le client me baiser dans la chambre où il m’avait dépucelé.

C’est à ce moment que la sonnette retenti.

• Juliette va ouvrir, c’est pour vous.

Derrière la porte quand elle l’ouvre alors que je l’ai suivi un homme bedonnant loin des canons de la beauté.

• Entrez, venez me donner mon fric, vous allez en avoir deux pour le prix d’une, j’espère qu’elles vont vous satisfaire.

Il prend les billets, Johnny n’a pas un regard pour moi, mais prends les billets que William lui tend.

• Vous tombez bien, je fais tapi.


Johnny pousse ses jetons avec le petit paquet de billets, qui à partir de ce jour mon cul vaut.
Dans la chambre en plus de la bite du mec qui a payé dans ma chatte, Juliette se faisant enculer, la langue de mon amie vient me faire une douceur dans ce monde de brutes.
Le client satisfait c’est à poil que nous revenons dans la salle où la partie bat son plein, Johnny a dû gagner quand il a mis les billets que je viens de gagner à être sa pute.

• Tapi.

Il pousse tous ses jetons, agrémentés des billets de la passe que nous venons de faire.

• Plus 50 € Johnny, le client nous a donné un pourboire, il semblait très satisfait.
• Merci bébé, William, suis-tu ?
• Oui, Johnny, je sais que tu bluffs.
Carré de dames ?
• Merde paire de rois.
• Hélas, William, les dames baisent les rois, Véro, je viens de gagner ta copine, je te sentais un peu seule.
William, repart en chasse, trouve-toi une autre gagneuse, mes femmes vont me faire vivre une vie de nabab.

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