Collection Dominant Domine. Vampire 2 (1/1)

Le titre de la première histoire que j’ai eue avec un vampire était « un voisin assoiffé », c’était pour garder le suspense concernant l’aventure qui m’est arrivée avec mon voisin, un soir où m’étant embrouillé avec mon copain Lionel, je suis sortie en nuisette dans la nuit.
Chris devient mon amant et mon maître, sa queue me donne un plaisir incommensurable et mon sang quand-il me boit une force inimaginable, qui me permet de dominer mon copain qui devient un vrai toutou.

• Amandine, j’aime te boire et j’aime faire de toi ma chienne, mais si je continue à te sucer le sang sans attendre qu’il se renouvelle en toi, tu vas mourir sans pour autant renaître comme moi pour l’éternité.
• Que voulez-vous que je fasse maître Chris, 71e de votre lignée ?
• Tu as la tenue qu’il faut pour aller en ville me rapporter frais, qui me fera revivre.
• Si tu ne me suces pas, je vais perdre mes pouvoirs sur Lionel, mon petit ami et je redeviendrais la femme soumise que j’étais avant de te rencontrer.
• Non, je te boirais de manière responsable et tu garderas ta domination, il continuera à t’honorer comme je t’honore, tu seras une femme comblée, lui le jour, moi la nuit.
• Maître, commandez, je vous obéirais.
• Ta tenue va te permettre d’aller en ville, il y a de nombreux bars où des hommes souhaitent rencontrer des petites putes comme toi, tu les dragues, ils vont vouloir t’emmener soit chez eux, soit dans leur hôtel, bien sûr, tu refuseras.
• Où j’irais pour qu’il me saute ?
• Tu leur diras que tu as une piaule où tu aimes à te faire baiser, ils te suivront comme de gentils toutous, arrivé ici, je viendrais devant eux et je les hypnotiserais.
• M’as-tu hypnotisé ?
• Non, toi tu avais envie de mon sexe et tu étais prête à tous pour me servir de garde-manger pour que je te tringle, je t’ai simplement aidé à faire sortir de toi la salope qui sommeillait en toi.
• C’est bien maître Chris, j’ai compris, je drague un beau mec, vous l’hypnotisez, vous le vidé de son sang et après !
• Tu as dit vrai sauf un point, je le suce sans le vider entièrement, il y a 200 ans, je le faisais quand j’ai été transformé, mais c’était une période bénie des dieux, la révolution battait son plein et je trouvais de la nourriture facilement.


Au matin, personne ne trouvait étranges qu’une noble famille ait perdu la vie dans leur manoir sous des coups de baïonnette, là oui je les vidais et je baisais les femmes belles ou moches, peu m’importait.
À ton époque, la police est plus regardante et je bois seulement ce qu’il faut pour mon besoin et quand tu les ramèneras non loin d’ou tu les auras trouvés, ils ne se souviendront que du moment ou ils t’auront fait jouir.
Allez va chasser pour la survie de ton maître.

C’est ainsi que pour la première fois, je retourne chez moi, Lionel cire le parquet, il a des velléités de me sauter, mais je le colle une nouvelle fois au mur et il me donne les clefs de sa voiture arrêtant de geindre.

• Salut, je vous offre un verre !
• J’en ai mare de me faire draguer par des gros Pd de votre espèce.
• Excusez-moi, je suis de passage dans votre ville, je voulais simplement discuter avec vous.
Excusez-moi de vous avoir donné l’impression d’être un dragueur de bas étage.
• Qui vous dit que je n’ai pas aimé avoir l’impression que vous me draguez.
• Alors suis-moi, vers les toilettes de ce bar.

Ma technique de drague est à améliorer, car je me retrouve au sous-sol la queue de ce mec au plus profond de ma bouche, jusqu’à ce qu’il éjacule, j’aime boire son sperme, mais maître Chris n’a pas sa quantité de sangs.
Je change de bar, le temps que je passe dans la voiture de Lionel avant de revoir une enseigne où j’espère trouver un repas pour mon voisin, je me passe la langue sur mes lèvres afin de récupérer l’intégralité de ce jus divin.

• Dans ma chambre, je suis à l’hôtel à côté !
• J’ai bien envie que tu me baises beau gosse, mais j’ai des principes, jamais chez le mec, suis-moi chez moi, j’ai ma voiture pour te conduire, je te ramènerais.
• Tu prends combien, 500 pour la nuit avec le joli petit cul que tu as, je pense que c’est ton tarif.
• Tu me payeras dans ma voiture, je ne voudrais pas me faire arrêter sur la voie publique pour racolage actif.

• Tu es une vraie pro, tu penses à tout, allons-y.

Arrivé dans ma voiture, je tends la main, le gars me la prend et me la tord.

• Je vais te baiser là sur la banquette de ta voiture, comment as-tu pu croire que Polo baisait des putes comme toi en les payant, fais descendre ton petit short, mais avant suce-moi la queue.

Il la sort d’une main tout en me tenant la main qu’il tord pour me contraindre, il ignore la force que Chris m’a conférée en me mordant et quelques secondes après, c’est sa main que j’ai intégralement retournée.

• Mon fric ?
• Tu es malade, tiens le voilà, excuse-moi.

Il sort une liasse de billets de 200 et de 100 qui dépasse largement la somme que nous avons convenue.

• Je prends tout, mon cul vaut bien tout ce fric.

Chris m’a dit qu’il l’hypnotiserait pour tout effacer de sa mémoire, il serait couillon de laisser autant d’argent à ce gars qui semble avoir une haute estime de lui.
Tenant sa main, le fric mis dans mon soutien-gorge, je le conduis vers son destin, plutôt vers les crocs de mon maître qui va pouvoir boire presque à plus soif, ce spécimen de l’espèce humaine devant avoir une quantité de son breuvage favori en grande quantité.

• Tu veux que j’entre dans ce trou à rats, jamais.
• Veux-tu que je te casse le bras, alors suis-moi, je vais te donner tout le plaisir que tu souhaitais me donner quand tu m’as abordé ?

Je lâche sa main et je me trouve à hauteur de sa portière avant qu’il ait eu le temps de s’enfuir, je l’extirpe de la voiture et je l’oblige à entrer, Chris le prend en main et plante son regard dans le sien, dès son entrée.

• Tu vas baiser ma petite voisine, elle a bien mérité d’avoir ta queue en elle, Amandine, tu as bien fait de lui avoir pris son fric, quand avant le jour, tu le ramèneras à son hôtel, tu seras plus riche et j'aurais ma dose de son sang.
Autre chose, tu aimes le sperme, tu peux en boire autant que tu veux dans les jours prochains, du moment que tu me les apporte après.

Enfin pour le sang, le corps de ce garçon en contient 5 à 6 litres, j’ai oublié de te dire que tu peux me ramener des femmes, j’apprécie leur sang plus que celui des mecs.
• Vous voulez que je me gouine !
• Si tu en as envie, moi si j’ai leur sang, pourquoi pas, mais ne faisons pas attendre monsieur.
Regarde-moi, défait ton pantalon et honore mon amie.

Il s’exécute, il est bien moins monté que Chris, mais outre le sperme que j’ai bu, ma chatte dégouline d’envie, je m’empale dès que j’ai ôté mes vêtements, je jouis comme une folle, je lui vide intégralement les bourses.
D’un coup, je sens une verge à hauteur de mon anus, je sais que les femmes se font prendre en double pénétration et même si je suis vierge de l’anus quand mon maître me pénètre, j’accepte.
Je crie plus de plaisir que de mal, la verge du mec me servant de gode qui est dans ma chatte se vide en moi me faisant hurler de plaisir alors que mon vampire garde son jus pour lui.
Du jus, il en boit juste trois litres, avant que je le raccompagne, maître Chris l’oblige à boire du whisky, il est bourré et quand je le largue dans une ruelle sombre.
Si la flicaille le trouve, il ira finir sa nuit d’où tout souvenir, sauf sa queue en moi, aura été effacé par mon maître de sa mémoire, comment pourrait-il dire où est son argent.

14 heures, j’émerge, je suis en pleine forme, ma vie nocturne fait que j’ai peu de temps pour faire du shopping, l’argent piqué au garçon me brûle les doigts, je veux plaire à mon maître et je veux des tenues encore plus affriolantes.
Je me rends dans une boutique non loin du bar où j’ai levé le premier déjeuner de mon maître, dans une boutique tenue par une vieille dame où je sais en trouver.
Changement de propriétaire, des jeunes jumelles viennent de racheter la boutique, mémé ayant pris sa retraite.

• Bien madame, je vois ce que vous chercher suivez-moi.

L’une des sœurs au petit cul qui peut me plaire, m’entraîne, entre même dans la cabine d’essayage pour me conseiller.


• Voici notre carte, Sophie et Sylvie, nous attendons de nouveaux modèles, appelez-nous, vous serez satisfaite.
Qu’en penses-tu Sylvie, le petit modèle bleu ira très bien à madame.
• Amandine, je m’appelle Amandine, vous avez raison, je pense que je vais venir voir vos modèles très souvent.
Venez-vous d’arriver dans notre ville ?
• Oui, nous nous sommes retrouvées au chômage, nous avons investi nos primes de licenciement dans ce commerce de vêtements avec un gros prêt.

Je vais voir avec maître Chris s’il ne peut pas leur envoyer quelques clientes qu’il aura bues et à qui il suggérera d’aller chez les jumelles avec obligation d’acheter le modèle le plus onéreux.

• Sophie et Sylvie, ce soir je donne une petite fête chez moi pour mon anniversaire, si je venais vous chercher à 21 heures, accepteriez-vous de venir un petit souffler mes bougies ?
• Ce serait sympa Sylvie, cela nous ferait connaître des gens, il y aura des femmes.
• Bien sûr, de belles cochonnes.

Dans « Vampire 3 », je sens que maître Chris, 71e de sa lignée, aura quelques litres de bon sang féminin à sa disposition et je ferais connaissance avec des chattes de forme identique, que je vais pouvoir brouter pour mon plus grand plaisir…

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