Collection Zone Rouge. Poupette. Saison Ii (11/20)

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

Début de la saison II.

Dans la première saison, le concours des minis miss devenus interdits en France avant que nous n’ayons 16 ans, maman persuadée que je serais la prochaine Claudia Schiffer m’emmène aux États-Unis.
C’est en Californie dans la ville du cinéma que nous nous retrouvons.
Rapidement je me trouve confronté à un beau-père Bob, qui a des vues sur ma jeune personne.
C’est à Las Vegas au Nevada état ayant ses propres lois comme c’est le cas dans chaque État de ce pays que je retrouve confronté à la prostitution.
Je plonge par obligation jusqu’au jour de mes dix-huit ans que je suis confronté au Sénateur qui s’avère être le chef du réseau qui m’a contraint à me prosti.
Je fais passer beau-papa par-dessus la rambarde de la terrasse de ce vieux monsieur.
Dix étages sans ascenseur, c’est dur à digérer mais la chance est avec moi, il était séropositif et la police pense qu’il a mis fin à ses jours.
Tout est loin d’être rose, dans mon histoire car maman contaminée elle aussi s’ouvre les veines me laissant seule.
Je décide de prendre mon destin en main, aidé par l’inspecteur Tex mais que j’espère bien embobiner lui aussi à mon propre intérêt.
Pépère est déjà dans ma poche, pardon pépère, le Sénateur accepte de m’épouser, à ce titre et pour lui montrer mon attachement je vais à Vegas m’occuper de Marina qu’il faut elle aussi plongée dans le bisness qui je l’espère va m’enrichir.

Marina la jolie black vient de faire sa première passe dans une des chambres de l’hôtel où je l’ai conduite jouant mon rôle de Mac afin d’endormir le Sénateur sur mon vrai but.

Quand le pigeon que je lui ai trouvé suivant en cela ce que j’ai vu faire par Bob mon beau-père quand il me vendait comme je viens de la vendre, je reviens vers l’homme que j’ai déjà vu et qui fait partie de notre organisation.
Je m’appuie sur son épaule pour que nous parlions comme des joueurs attendant que le jackpot tombe et que les voisins ne puissent nous entendre.



- Salut Poupette, nous nous connaissons, je t’ai supervisé deux ou trois fois avant la disparition de Bob ton Mac quand c’est toi qui montais.
Tu étais doué pour nous pomper et nous faire décharger rapidement.
Là je dois dire la grande noire que je viens de baiser nous rapportera un max car elle a un bon coup de rein.
Dommage que la règle veuille que je monte une seule fois avec le premier client d’une fille.
J’aurais bien aimé la revoir une autre fois.
- Tu sais le point de vue du Sénateur, tu l’as baisé en la prostituant étant remonté une deuxième fois.
- Il a raison, le premier qui m’a prise de façon tarifée, je m’en souviens encore et je pourrais te dire la gueule qu’il avait.

J’évite de lui expliquer que mon courroux c’est vers mon maquereau, surtout mon beau-père que j’ai désoudé que je l’ai exprimé.

- Comment t’appelles-tu ?
- Paulo.
- Je vais voir ce que je peux faire dès que je verrais le sénateur.
Il y a longtemps que tu travailles pour lui.
- Trois ans que Bob m’a recrutés dans un autre hôtel le jour où j’ai failli monter dans les étages pour sauter après avoir laissé un max de dollars dans la salle de jeu.
J’avais une martingale infaillible qui s’est avérée creuse celui qui me l’avait vendue étant un escroc.
Bob a vu que j’allais faire une connerie.
Il m’a invité à boire un verre au bar me proposant de travailler avec lui, j’ai accepté quand j’ai su qu’il s’agissait de surveiller ses filles.
Par la suite, j’ai compris qu’il faisait partie de rouages commandée par une sommité ayant de haut soutient.
J’ai fini par apprendre que c’était un Sénateur maintenant retraité de la politique qui nous dirigeait.
Tu as dit que tu lui parlerais, tu le connais.
- Si tu as compris une partie de notre organisation restons en la.
Tu vas entrer dans notre cloisonnement et te mettre en danger.

- Tu as raison, pourquoi prendre des risques, ce travail en plus d’un salaire régulier me permettant de me refaire et de jouer avec modération m’étant désintoxiqué, me permets de baiser grattis, dommage que tu sois au turbin ce soir je t’aurais fait faire un tour dans les étages.
De plus, je dois aller superviser une des filles de Johnny la belle gueule dans un autre hôtel.
Je l’ai déjà supervisé, elle traîne les pieds pour turbiner si elle continue j’en parle à Johnny demain après-midi.
- Si tu as encore un peu de carburant dans les couilles repasses vers trois heures, nous conduirons Marina ce coucher surveillé par la matrone.
Nous trouverons les moyens de finir la nuit ensemble, en te suçant je me souviendrais peut-être de la dernière fois où tu m’as baisé.
- Banco, c’est parti à tout à l’heure.


Je trouve cinq clients à Marina qui monte sans rechigner une seule fois.
Chaque fois qu’elle redescend, je la vois revenir aussi pimpante que quand elle est sortie des toilettes après s’être refait une beauté.
Elle s’assied droite sur son tabouret avec un port de tête qui dégage sa cambrure de rein,
Je vois Paulo arriver et venir vers un bandit manchot que j’ai surveillé toute la soirée pendant que je draguais le gogo.
Instinctivement je mets des pièces et je tire, banco je récolte 2 000 $ que je vais éviter de donner au sénateur et qui va remplacer ceux que l’on m’a volés.

- Marina a bien bossé pour une première nuit.
- Elle s’est défendue mais les clients étaient peu nombreux ce soir, c’est dommage, elle est bien partie, elle a du chien.
- C’était pareil à l’autre hôtel et pour compléter la soirée la fille de Johnny la belle gueule à voulu que je la sodomise avec une rallonge de 200 $.
Je l’ai dit à Johnny qui se doutait qu’elle essayait de se faire son propre pécule certainement pour se barrer avec un de ses clients qui a su l’influencer.

Je vais la signaler et elle va finir comme certaines qui tapinent à la chaîne.

Le milieu où je suis entré est dur pour nous les filles, mais est intraitable pour les souteneurs qui doivent savoir couper les branches pourries même si un certain investissement est perdu.
En attendant que Tex ait les registres et fasse tomber le sénateur je me vois obligé de faire souffrir mes congénères qui finissent dans des endroits que je veux éviter de connaître.
Aussi pour oublier après avoir but un verre au bar, je récupère dans mon sac tout ce que ma pute a gagné avec son cul.
C’est peu comparé à ce que je me faisais certains soirs, mais je sais que des filles comme Marisa sont plusieurs dans cette ville.
Les petites rivières finissant toujours dans les grands fleuves tout l’argent collecté par les filles avec leurs fesses finiront dans l’océan qu’est le coffre-fort de celui qui est encore mon futur.

Dans le taxi qui nous emmène vers le pieu de Paulo alors qu’il m’embrasse dans le cou sa main sur ma petite culotte qu’il caresse et qui me fait mouiller je compte les billets, pour un premier soir elle a fait pour 3 400 $ de billets verts.
Marina s’est endormie sur la courte distance, combien de fois j’en ai fait de même quand Bob me ramenait ou que je le ramenais entièrement bourré.
Je la dépose à la grosse qui entendant le taxi est venue nous ouvrir.

Je range le pognon, 3 000 $ dans mon sac 400 dans ma poche que je lui donnerais demain avant de la déposer dans la voiture direction Carson city où elle va retrouver sa mère et qu’elle puisse la gâter.
Première paye à son âge moi qui ai vu mon beau-père garder tout le fric que je me faisais prenant comme prétexte qu’il me nourrissait et qu’il prenait soin de maman.
Depuis je sais que pour lui, en prendre soin c’était lui injecter de la drogue dans les veines avec des seringues pourries, si j’en avais la possibilité, je referais le film à l’envers pour qu’il remonte sur la terrasse du sénateur et que de nouveau je le précipite dans le vide.

Si c’était possible, je préviendrais préalablement Abby pour qu’elle évite de le prendre sur sa figure.

Arrivé au pied de son hôtel, Paulo m’aide à descendre du taxi et me dirige vers sa chambre.
Il m’embrasse chose que je fais rarement avec mes clients et dès que nous sommes allongés nus sur son lit je viens lui sucer la queue.
Je lui caresse les couilles et je le masturbe à la limite de le faire décharger.
Ma langue monte et descend le long de sa verge, de son gland à ses couilles qui sont assez grosses mais que j’arrive à mettre dans ma bouche une part une.

- Paulo, excusez, tu m’as dit m’avoir déjà baisé, même si ta queue est belle je dois le reconnaître, elle fait partie du nombreux troupeau de celle qui m’a défoncé depuis deux ans, attends, je vais me mettre en levrette j’ai peut-être une chance de la reconnaître.

Nous éclatons de rire car si son visage me reste inconnu sa queue l’est aussi.
Qu’à cela ne tienne, je suis là pour me faire enfiler et je dirige sa verge dans mon vagin qui piaf de désir.
J’atteins l’orgasme rapidement sous ses coups de boutoir faisant de moi une petite salope qui cherche le plaisir par tous les moyens.
Je finis ma nuit éreintée.
Paulo malgré qu’il m’avoue avoir tiré deux coups avec la pute à Johnny a gardé assez de réserves dans ses couilles comme je lui avais demandé pour qu’avant que je le quitte il me remplisse la bouche.

- Salut Paulo, excuse-moi, j’ai bien tenté de la reconnaître dommage nous essayerons une prochaine fois, dort bien.

Entrant avec la carte que la vieille pute m’a donnée, je retrouve Marina.
Je prends une douche sans que la jolie black se réveille, elle dort à poings fermés.
Quand je m’allonge près d’elle elle se retourne me prend dans ses bras et se remet à respirer calmement.
À quoi rêve-t-elle ?
Lui reste-t-elle la moindre parcelle d’illusion sur ce que va être sa vie.
Hier en arrivant à Vegas, des rêves de défiler pour de grands couturiers devaient envahir ses pensées.
Le jour passe par les lattes des volets miteux quand j’entends mon portable sonner, je décroche.

- Allo.
- Attends, je sors sur le palier.
- Oui, elle est là elle dort.
- Oui elle a tenu le choc.
- 3 000 après la part que je vais lui donner.
- Que dis-tu, tu es devenu fou, un congrès qui va remplir la ville et tu veux que je lui fasse faire une seconde nuit ?
- Non, sa mère est loin d’être un problème un coup de téléphone de sa part et elle reste la nuit prochaine.
- Mais moi, il faut que je rentre pour incinérer maman et Bob.
- La cérémonie est repoussée à dix-sept heures.
Tu as regardé les horaires des avions et je peux récupérer un vol qui va me permettre d’être à l’heure.
- Mais que fais-tu Tex tu veux que je fasse faire une seconde nuit à la fille voudrais-tu devenir un mac dans l’organisation du sénateur et te faire plus de fric que dans la police…

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