Collection Zone Rouge. Poupette. Saison Ii (17/20)

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

J’ai franchi le pas, je m’étais un peu gouiné avec Marina mon élève afin qu’elle se prostitue, mais s’était pour la décontracter.
Quand je descends chez Abby ayant bourré mon sénateur de somnifère pour éviter qu’il se réveille et qu’il se demande ou je suis passée.
J’ai envie de constater si mes supputations sur celle qui a été témoin de la mort de mon beau-père sont exactes.
Après avoir pris conscience que j’aime ce que nous pouvons faire sexuellement entre fille, me sentant en confiance, je lui raconte ce qu’a été ma vie jusqu’à sa rencontre.
Elle semble être incrédule, mais quand une femme vous dit qu’elle est une pute, vous êtes en droit de penser qu’elle vous raconte des bobards.

- Dès que nous étions en âge dans cet état d’avoir des rapports avec des hommes, les défilés de mannequins qui nous étaient promis se trouvaient remplacés par des défilés de bite de nos clients dans les chambres d’hôtel.
Je te rappelle que la justice nous étions considérés comme des femmes majeurs au Neveda.
- Tu étais vierge quand ce Bob, que son âme brule dans les flammes de l’enfer, t’a contrainte à te prosti ?
- Non, dès que nous sommes arrivés à l’hôtel où ils ont leurs habitudes, ce salopard, ayant épousé ma mère, a voulu être le premier à me baiser et ainsi m’avoir vierge.
J’avais compris son manège et comme il me faisait croire qu’il menaçait maman, j’ai moi aussi fait croire à un copain du lycée que j’avais envie de lui allant même jusqu’à lui dire que je l’aimais
Il m’a pris par-devant et par-derrière dans la vieille Buick de ses parents ce qui m’a valu une bonne volée par mon Mac quand il s’en est aperçu.
- Ton Mac, peux-tu m’expliquer ?
- Oui, je te parle d’un monde nouveau pour toi, un mac, un maquereau si tu préfères, un souteneur, un homme qui fait travailler les filles pour lui faire rapporter du pognon.


- Je comprends alors comment t’es-tu retrouvé au dernier étage de notre immeuble chez celui qu’ici tout le monde appelle le sénateur et qui semble avoir un grand âge.
- 91 ans, il a 91 ans, je t’explique.
En Californie si un homme adulte touche une jeune fille voire un jeune homme sexuellement avant ses 18 ans il est passible de prison.
J’ai eu 18 ans il y a trois jours et mon mac m’a amené chez le sénateur pour lui faire voir la marchandise comme il disait.
J’ai compris par la suite que le sénateur était le chef du réseau entre le Neveda et la Californie.
- Tu veux qu’on appelle la police.
- Surtout pas la police, je la connais déjà.
Tex l’inspecteur qui cherche à faire tomber le sénateur pour proxénétisme est devenu mon amant.
- Tex, je connais c’est l’inspecteur qui m’a interrogé après que ton Mac comme tu dis ait failli me tomber sur la tête.
Il est venu ici, pendant qu’il me posait des questions, il m’a fait comprendre que j’étais à son goût en me posant sa main sur ma cuisse.
Je lui ai fait comprendre que je t’attendais avec ta jolie petite chatte en lui mettant la main dans sa figure.
- Je me doutais que ce genre d’homme était infidèle, mais j’ai besoin d’une bonne bite qui me fasse jouir même si avec toi j’ai joui plus qu’auparavant.
- Merci de ce compliment embrasse-moi, je vais te faire oublier toute cette boue et après tu me diras comment tu es toujours chez le sénateur.

Nous reprenons nos baisers.
C’est la première fois qu’Abby me met les doigts dans la chatte.
Je suis une petite fille à côté de ma jolie maîtresse aussi je me laisse faire.
Je suis de nouveau les jambes écartées deux et trois de ses doigts dans le vagin,
Je coule de nouveau mais pas au point d’envoyer des jets hors de ma craquette.
Malgré cela Abby à genoux entre ma fourche me reprend le clito.
J’ai l’impression quand elle me met un quatrième qu’elle pourrait m’entrer l’intégralité de la main dans ma chatte sans aucune difficulté.

Je suis folle, c’est impossible que cela soit réalisable.
Une femme est large puisque les s sortent par ce même chemin mais à ce point ce serait disproportionner.
Je repars, je repars, je vole, je vole sur les sommets de mon plaisir que j’atteins et qui me fait hurler tellement c’est intense.
C’est fou, elle a mis le dernier doigt et ma chatte vient littéralement d’aspirer sa main.
Ce que je pensais impossible se réalise.
Je vois sa main jusqu’au poignet entrer en moi.
Je suis empalé sur sa main au point que les cris que je pousse s’estompent un moment.

- Claudia revient à toi, je suis là, merci du plaisir que tu viens de prendre quand je t’ai fisté.
Repose-toi, tu as tourné de l’œil sous la puissance de l’orgasme qui est monté grâce à ma main l’ayant mise bien au chaud au fond de toi.

Dans le brouillard je la vois se lever et partir vers le couloir me montrant pour la première fois son petit cul rondelet sans un poil de graisse ou de cellulite.
Elle revient avec deux coupes et une bouteille de champagne de Californie qu’elle ouvre.

- Trinquons à notre amour, mon amour, j’aime te faire jouir.
Quand tu seras définitivement revenu sur terre et avant que ce soit toi qui me fistes dit moi comment tu te retrouves chez le sénateur et ce qui s’est passé pour ton souteneur.

Je bois ma coupe assise alors que j’ai repris la position très impudique assise les jambes repliées et écartées montrant à Abby le rose de ma chatte car après son traitement elle coule encore et reste légèrement ouverte.

- Quand je suis venue avec Bob rencontrer le sénateur après l’expérience acquise avec les hommes à Vegas j’ai réussi malgré son âge à bander suffisamment pour qu’il entre dans mon vagin arrivant à le faire décharger malgré son âge.
Puis que j’ai décidé de tout te dire, c’étais la première fois que je sentais à peine son sexe en moi, tellement il lui était difficile de bander.

Le sénateur ayant déchargé en moi a été content de ma prestation et m’a dit que je pouvais lui demander ce que je voulais.
- Et tu lui as demandé de t’épouser un homme de 91 ans.
- Et bourré de fric.
- Ma salope car là tu es une vraie salope.
Tu l’épouses à son âge il meurt et à toi la fortune car je pense qu’il est seul sans famille.
- Un neveu marié à une pétasse à ce qu’il m’a dit.
- Donc personne car si tu l’épouses, tu seras seule héritière.
- Oui mais il va falloir que je joue serrez car j’ai deux problèmes.
Le premier, j’ai vu les lingots et l’argent liquide qu’il garde dans son coffre.
Le second, il garde à l’intérieur tous les registres qu’il tient à jour, je l’ai vu travailler hier.
Il me les faut, car Tex le flic sait qu’ils sont là et tient à les récupérer.
Le plus dur est donc que le débris me donne la combinaison que je prenne les registres pour la police et j’aurais le droit de garder l’argent.
Il y a assez d’argent pour que je vive tranquille jusqu’à la fin de ma vie.
Mieux à la fin de notre vie.
Si j’ai besoin pourras-tu m’aider.
- Quitter l’hôpital, ses malades à qui il faut laver les fesses quand ils se sont oubliés pour devenir ton bras droit et vivre en harmonie avec toi je suis prête à pour cela.
J’ai toujours su qu’un jour, j’aurais une chance de quitter ce milieu, cette chance c’est toi.
- Je crois que nous allons faire de grandes choses ensemble.
En attendant, allonge-toi, je vais te faire l’amour à ton tour Abby, je sens que ta chatte est triste car elle attend ma bouche.
- Oui, tu as raison, mes glandes ont assez fabriqué de bonnes cyprines et comme tu m’as dit que tu aimais je vais carrément te faire prendre une douche si tu sais les stimuler.
- Une douche tu te vantes.
- Non, si tu es une bonne lesbienne tu dois y arriver comme Cas…
- Pourquoi t’arrêtes-tu, tu allais dire comme Cas… et tu t’es arrêtée.

- Tu as raison tu as été franche et je dois l’être aussi, j’allais dire Cassidy.
- Le héros américain ?
- Non ma copine, elle s’appelait Cassidy et ça me fait du mal de dire son nom.
- Pourquoi t’a-t-elle abandonnée ?
- Oui et non, j’ai connu Cassidy à l’hôpital de Salt Lake City où elle était soignée après avoir contracté le virus honteux.
- Comme ma maman et mon beau-père, nos histoires sont similaires.
- Elle était déprimée ayant peur de sa mort aussi comme notre liaison était devenue torride car elle voulait faire l’amour tout le temps je lui ai demandé de m’épouser.
En Utah où nous habitions, les mariages entre personnes du même sexe un temps autorisé, de nouveau sont interdits.
J’ai pris contact avec mes supérieurs qui m’ont trouvé un poste ici et nous avons déménagé en Californie ou ma maman habitait et qui permettait notre mariage.
Le traitement et l’amour que je lui portais à sembler vaincre sa maladie et un temps elle se sentait mieux.
C’est dans ces moments qu’elle me suçait avec tellement d’envie que pour la première fois quelques gouttes de liquide sont sorties de mon corps pour quelques jours après lui inonder le visage.
Nous préparions notre mariage mais la rémission a été de courte durée et deux jours avant la date prévue elle m’a quitté.
J’ai failli mourir moi aussi, regarde mes poignets.
Je me suis ouverte les veines pour la rejoindre.
J’ai eu la chance que maman qui s’occupait de notre ménage passe ce jour-là et qu’elle appelle les secours.
- Tu te rends compte, c’est ta maman qui t’a sauvé et si je la rencontre il faudra que je la remercie, moi maman est décédée en s’ouvrant les veines quand elle a su que ce fumier de Bob que j’ai as…
- Toi aussi tu t’arrêtes, tu as commencé le mot as.
- Oui mais ce mot que j’allais te dire peut faire basculer mon avenir et ma vie.
- Ton secret sera mon secret dis-moi ?
- J’ai assassiné mon beau-père Bob…

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