Collection Zone Rouge. Poupette. Saison Ii (16/20)

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

Nous venons d’incinérer maman ainsi que mon Bob mon mac qui l’a entraîné dans sa mort par la drogue lui injectant le sida en faisant une junky.
À la sortie, je charge Fil de Fer, bras droit du sénateur d’emmener l’urne de maman chez moi et celle de Bob au commissariat au bon vouloir de Tex mon amant à qui je fais une blague en lui confiant celui qu’il pourchassait.
Fred le chauffeur se remet au volant, la vitre de séparation est fermée mais il est sûr que mes cuisses resteront hermétiquement closes quand je vois l’âge du chauffeur.
J’ai assez d’une momie à mes côtés.
La sortie a fatigué le sénateur aussi dès que nous sommes dans notre chambre je le déshabille et je le mets en pyjama et au lit.

- J’ai encore mal à la tête, peux-tu me donner mes médicaments.
- Je suis là pour te servir.

Je prendre les cachets donnés par le médecin, sans oublier ses gouttes pour dormir, je dois en mettre 20.
1, 2, 3, 17, 18,19, 20, aller bonne dose 21, 22, 23, 24, 25.
Pourquoi s’arrêter en si bon chemin 26, 27, 28, 29 et 30 !
Dès qu’il les a tout ingurgités, je le quitte en éteignant la lumière.
Pépère va pouvoir se reposer.
Dès que je suis seul je me rends dans son bureau.
Je cherche si des choses importantes peuvent m’être utiles, la combinaison du coffre par exemple.
Bien sûr j’ouvre le tableau sait-on jamais si le code d’ouverture était mal brouillé.
Peine perdue le sénateur a de l’expérience et loin d’être bête ce genre d’erreur aurait été étonnante.

Quand on cherche on trouve, posée en évidence sur le bureau un tourniquet à fiche me donne l’adresse du cabinet d’avocats qui s’occupe de ses affaires.
Qui a besoin de cacher ce que tous les flics connaissent, qui défend qui mais pour mon projet d’avenir cette adresse et ce numéro de téléphone vaut de l’or.

Je vais voir si mon déchet s’est bien endormi ce qui est le cas.


Je passe dans la salle de bains et comme mes affaires sont chez mes parents j’enlève ma petite culotte.
Je me sers du bidet pour me laver la chatte et sans la remettre je sors de l’appartement sans oublier mes clefs pour éviter de réveiller mon sénateur endormi.

- Claudia, c’est demain soir que nous avions rendez-vous.
- Oui mais l’attente m’était insupportable et comme le sénateur avait mal à la tête, je l’ai couché.
- Je vais aller me changer, je suis en décontracté.
- Non, tu es très bien en tenue décontracte, je fais pareil chez moi.
- Alors entre tu sais pourquoi tu es venue.

Sans lui répondre, je franchis la porte d’Abby qui la referme.
J’ai décidé en venant de provoquer les choses pour qu’elle soit plus claire.
Je pense qu’elle est lesbienne, mais je peux me tromper, autant le savoir.
Je la plaque contre moi, aucune résistance, ses seins viennent au contact de mes seins qui se mettent à bander.
Nos corps s’électrisent, nos bouches se trouvent sans savoir laquelle de nous a fait le chemin.
J’ai toujours ma tenue blanche, mes vêtements sont prévus pour tomber facilement chaque fois que je montais avec un client.
Il en va de même avec elle, la seule différence c’est qu’avec un client s’était pour en faire un maximum.
Là, j’ai le temps, 25, 26, 27, 28, 29, 30 gouttes avalées par pépère.
Si je me retourne pour voir le parcours jusqu’à sa chambre je me suivrai à la trace mes vêtements tombés tous les mètres.
Pour Abby, c’est son peignoir qui tombe, me la livrant nue femme magnifique d’une trentaine d’années.
J’ai dix-huit ans et elle a un corps aussi parfait que le mien malgré la différence d’âge.
Il est vrai qu’elle se déplace en vélo tout le temps.
Nos bouches ont du mal à se décoller, mais le veut-on vraiment, elle s’aspire comme si nous avions des ventouses à la place des papilles de nos langues.
Nos mains partent dans tous les sens, surtout moi, malgré mes ébats avec Marina, les amours saphiques sont balbutiantes chez moi.

Ses mains m’effleurent sans jamais toucher mon intimité.
J’en fais de même en bonne élève, je suis à l’a l’unisson afin d’éviter les fausses notes qui casseraient ce début d’harmonie.

- Assieds-toi sur le bord du lit et couche toi sur le dos j’ai envie de te dévorer le bouton et surtout de voir comme il est fait.
- Comme celui de toutes les filles, mon Abby.
- Elle est mignonne, elle a tout à découvrir !
Mon cœur, des clitos il y en a de toutes les formes, de toutes les grosseurs il y a même des filles qui en ont un si petit qu’on a beau mettre toute la volonté pour le faire éclater on échoue lamentablement.
Aller fait moi voir ce petit trésor.

La position que je prends me donne l’impression d’être chez le gynéco aux étriers près.
C’est maman qui m’a accompagné car j’avais des douleurs même hors de mes règles.
C’était un petit kyste qu’il a traité et analysé et qui était tout à fait bénin.
Agenouillée au pied de son lit, sa main est venue écarter mes lèvres vaginales pour découvrir celui qui s’enflammait rarement avec les clients mais qui me donnait du bonheur dès que le garçon était un garçon que j’avais choisi.
C’est facile à compter, Bill qui m’a dépucelé la jouissance inconnue.
Mon beau-père il s’est bien gardé de lui faire voir qu’il existait et quand bien même son seul plaisir était son plaisir de se masturber dans mon vagin.
Tex là oui, il a joui et m’a fait jouir, sans oublier le sénateur même si au début c’était un client du moins je le croyais avant qu’il arrive malgré ses 91 ans à me pénétrer et lui donner un peu de plaisir avant que sa verge remplisse mon vagin.

Mon dieu que je suis bête je contais les hommes mais j’oubliais la petite Marina qui maladroitement a su le sucer avec tact et le faire partir pour mon plus grand plaisir.
Voilà l’histoire de mon clito qu’Abby dès qu’elle l’a mis dans sa bouche allant même jusqu’à le mordiller lui donnant vie ce qui irradia toutes les parties de mon corps à me faire hurler de plaisir.

Telle une grande colombe avec la même grasse Abby est monté sur le lit pour venir me sucer la chatte située dans l’autre sens pendant qu’elle faisait descendre la sienne sur mes lèvres.
J’ai ouvert ses lèvres intimes avec ma langue mais même sans cela je découvrais un clito en forme de petite bite à croire qu’à sa naissance ou aurais pu la déclarer comme étant un garçon.
Suçant nos boutons respectifs nous avons eu un orgasme simultané amplifié par les jets de liquide d’Abby à propulser sur mon visage.
Ayant repris notre souffle nous sommes retrouvés à hauteur des oreillers Abby m’ayant pris dans ses bras et sa langue nettoyant les gouttelettes de sa jouissance qui restaient sur ma peau.

- Abby, je veux te dire toute la vérité sur moi car je sens que notre amour va grandissant, depuis deux ans, je suis une pute.

C’est incroyable, je viens de dire une phrase à Abby que j’étais loin quelques minutes avant de penser dire.

- Tu es une pute, je sais moi aussi, quand j’ai le béguin pour une femme je suis capable de me conduire comme une vraie pute.
- Non pas une pute d’amour une vraie pute qui vend son corps aux hommes pour du pognon.
- Arrête tu en as assez de moi après le plaisir que nous venons de nous donner !
Ou tu t’es aperçu que je suis une femme fontaine quand mon sexe t’a envoyé ces petites giclées de cyprines dans ta bouche et ça t’a déplu, préparant ta fuite !
C’est toujours la même chose, pour moi l’amour m’est fermé et je me retrouve toujours seule surtout qu’avec toi je pensais que nous avions un penchant l’une pour l’autre.
Tu sais ces petits jets sortes de moi chaque fois que mon excitation atteint son paroxysme.
Tu me l’as fait atteindre tout à l’heure, si cela te rebute je te promets d’arrêter de te faire boires ma cyprine chaque fois que je partirais.
Ou alors tu as peur que je ne te contraigne à ce que nous n’ayons des amours que saphiques et que je ne sois jalouse si tu as des rapports avec des hommes.

Là aussi je te promets tu pourras avoir tous les amants que tu voudras.
Je suis jalouse quand j’aime mais je me suis promis que si je trouvais de nouveau l’âme-soeur j’arrêterais d’être exclusive.
- Ça y est, tu as fini, pour te répondre j’ai adoré quand nous nous sommes embrassées.
J’ai adoré ton clito même si j’ai découvert sa disproportion m’apprenant par là même que les femmes en avaient des différends.
Mais surtout j’ai adoré quand tu m’as rempli la bouche de ce que tu viens de m’apprendre le nom de la cyprine.
J’ai la chance que tu sois une femme fontaine quand tu aimes, ces jets sortis de ton corps mon fait voir ton amour.
Ça n’a rien à voir avec une fuite potentielle, mais crois-moi, je suis une prostituée.
- Ma pauvre chérie je comprends et depuis quand.
- Il y a deux ans, quand j’étais petite nous habitions en France.
Maman a souhaité que je devienne un mannequin célèbre comme celle dont elle m’a donné le prénom Claudia.
Elle voulait elle-même le devenir mais ma naissance l’en a empêché.
J’ai fait des concours de mini-miss qu’ils ont interdits dans mon pays d’origine.
Maman a tout vendu même son corps pour prendre des billets d’avion pour venir vivre à Los Angeles où les concours faisaient fureur.

Elle a continué à se vendre pour que nous subsistions et que nous ayons les moyens de voyager à travers tous les États d’Amérique.
Elle a rencontré un homme qui s’appelait Bob qui l’a séduite et épousée.
Il avait un autre but, resté proche de moi et ainsi quand j’ai eu la majorité sexuelle au Nevada, il m’a emmené à Las Vegas où il m’a contrainte à me prosti.

Maman travaillait dans un Restoroute, c’est ainsi quand nous étions tous les deux car elle était dans l’impossibilité de venir, il me faisait gagner de l’argent avec mes fesses.
Tu vois laquelle des deux pourrait avoir envie de fuir !
Moi parce que ton corps émet de petits jets de Cyprine où toi du fait de ma chatte que tu viens de sucer lui donnant beaucoup de plaisir labouré par un maximum de verge de toutes couleurs et de toutes grosseurs…

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