Collection Zone Rouge. Poupette. Saison Ii (13/20)

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

Je viens de descendre pour téléphoner au Sénateur et éviter que les murs aient des oreilles.
Dans l’hôtel où je passe la fin de la nuit, obligeant la grande noire à tapiner demain, il me rappelle comme je lui avais demandé.

- Si je veux que tu me fasses confiance et que notre bisness fonctionne bien, il faut que je pense pour deux, tu connais Paulo, c’est lui qui a été le premier client de Marina hier soir.

Éviter de lui dire qu’il a flashé sur la petite, des rapports trop fougueux avec nos filles pourrait déplaire au sénateur.
J’ai besoin que Paulo me mange dans la main et je sais par expérience que de coucher avec un homme ai loin d’être suffisant pour qu’il fasse entièrement ce que vous désirez.

- Je pense à lui pour reprendre le bisness avec les filles de Bob, quand penses-tu ?

J’ai failli lui dire « qu’en penses-tu mon chéri ».
Quand je dis qu’il faut faire attention, tomber amoureux d’Abby pourquoi pas mais ce déchet toute chose a sa limite.

- Paulo bonne idée, il est sérieux et sait y faire avec les filles.
Je vais le convoquer après le week-end car j’ai l’habitude de me reposer les samedis et les dimanches, cela vient du temps où j’étais Sénateur et que je profitais de ma piscine ces jours-là.
Ce soir je t’envoie dans un deuxième hôtel où nous faisons travailler les filles la barmaid est à mon service depuis des années.
La vieille Martha à l’hôtel où vous êtes te donnera tous les coordonnés je l’ai déjà eu au téléphone après que j’ai lu ton message vocal.
Travaille bien ma Poupette, j’ai hâte que tu rentres même si l’incinération de ta maman va nous obliger à retarder le moment où tu vas me sucer la queue.
- Je vois que le faîte de me parler te fait disparaître ton mal de crâne.
Moi aussi depuis que nous avons fait l’amour et que tu as joui en moi ta queue me manques mais soit certain que même si ma chatte me démange je te suis fidèle pour la vie, je t’aime.



Voilà c’est fait, j’ai craqué autant la queue de Paulo je peux dire « oui », mais celle du sénateur c’est bien par intérêt qu’il puisse me toucher.

- Pourtant avec un mari comme moi aussi vieux tu aurais bien des motifs à me tromper.
- Tu m’as apporté tellement de sexe en moi ces dernières années par Bob et clients interposés que j’ai tourné la page surtout depuis que je t’ai vu.
Ta queue me fascine, je te l’ai prouvée, depuis combien de temps avais-tu pu prendre une femme.
- C’est vrai et je t’en remercie, tu me rassures.
J’avais peur que profitant de notre éloignement tu ne me trompes. Souviens-toi qu’aucune autre femme que toi n’avais franchi la porte de ma chambre.
Merci de m’aimer.
- Merci de m’aimer aussi bonne nuit mon amour, tu raccroches.
- Non c’est toi.
- Sans façon tu raccroches.
- Sûrement pas en attendant que tu raccroches je te prouve mon amour.
- Poupette j’ai de nouveau des maux de tête, raccroche s’il te plaît.

On est con quand on est une femme ayant un but, mais le mien pèse des millions de dollars, ça vaut bien le faite d’être un peu conne.
J’ai un peu peur qu’il me claque dans les mains avant d’avoir la signature de notre mariage au bas d’une feuille et la combinaison du coffre.

- Une dernière bise.

Et je raccroche.
Il est drôle de faire joujou avec une épave mais j’ai du fric à aller faire gagner à Marina et à moi aussi car quand j’analyse les petites phrases que le sénateur a prononcées.
Il a parlé des deux hôtels où il fait travailler les filles alors qu’il y a peu quand je tapinais ici il était fréquent que Bob me conduise dans trois à quatre hôtels où les barmen étaient ses complices.
Quand je rentre dans la chambre, Marina s’est déjà habillée et est en train de se maquiller.
Je suis contente, nul besoin de la contraindre, elle retourne au taf certes sans la fleur au fusil mais en ayant compris que c’est moi pour le moment qui dirige sa vie.

Comme avant chaque fois qu’une fille part au boulot avec son souteneur la rombière nous amène un plateau pour dîner, seul repas de la journée, je m’en suis plein à Bob une fois mais il m’a répondu que si les filles avaient l’estomac presque vide elles avalaient le sperme plus vite et deux fois plus.
Il était un peu con et a récupéré ce qu’il méritait en faisant un saut de l’ange d’une trentaine de mètres.
Nous descendons celle que le sénateur a appelé la vieille Martha me donne l’adresse mais elle a déjà appelé le même taxi qu’hier conduit par un jeune homme qui aurait pu me plaire, mais les clients doivent déjà attendre Marina.
Tex avait raison l’hôtel est noire de monde aussi je conduis la petite au bar où elle s’assoie comme si elle était une vieille pute avec des années de métier.
Je reconnais la fille derrière le bar qui était une fille que je voyais quelquefois quand j’étais avec mon beau-père.
Je comprends que le Sénateur sait placer ses pions une fille passant du lit de ses clients à une promotion car dans ces hôtels les pourboires laissés au petit personnel permettent un revenu assez substantiel.

- Poupette c’est toi qui es là avec la nouvelle.
Martha ma prévenue, je vois que tu as eu de la promotion comme moi.
- Laisse tomber Poupette, appelle-moi Claudia.
- J’ignorais que tu t’appelais Claudia, j’ai toujours entendu ton nom Poupette.
- Comment es-tu parvenu derrière ce bar !
- J’ai eu une proposition par Fil de Fer mon Mac pour ce poste le garçon que j’ai remplacé avait tendance à fricoter avec un flic qui était devenu son amant.
Je fais attention mais je n’ai vu aucun des deux dans la boîte depuis que j’ai pris le poste.
- Je te laisse Shirley, il faut que je trouve son premier client à Marina.
- Le gros là-bas qui va vers la table de Black jack, il est texan et joue gros.
Je l’ai repéré car même si mon Mac me saute sans me faire monter, j’ai toujours l’œil pro.


Shirley me connaît et surtout mon surnom mais moi c’est grâce à son nom inscrit sur sa poitrine que j’ai su le sien.
Je sais que j’évolue dans un monde où tout est possible, mais pourquoi Fil de fer a sorti du tapin une fille encore jeune qui pourrait nous rapporter un max de fric alors qu’il y a plein les rues des paumés prêtes à tenir un poste comme celui que cette fille occupe.
Moi si je sors du tapin en épousant le sénateur c’est parce que j’ai tué Bob sans que personne ne le sache et que j’ai réussi à le faire jouir en moi.

Marina est montée avec le Texan et je viens de lui trouver un deuxième client à la peau jaune car le congrès est un congrès de Japonais.
Il y a vingt minutes que je l’ai vu prendre l’ascenseur quand elle redescend et vient vers moi les cheveux en bataille.

- Claudia, mon client est fou, il a commandé un concombre des carottes et une banane au service d’étage et prétend me les faire entrer dans l’anus et le vagin avant que je les mange.
- Qui y a-t-il qui cloche, c’est un fétichiste qui prend son pied en regardant des filles s’enfiler ce genre de choses dans leurs intimités, tu aimes les bananes ?
- Oui.
- Alors mange là quand il te le dira, avant demande lui une grosse rallonge à ce qu’il a déjà payé, fait comme moi quand je tapinais.
Il faut que tu saches prendre des initiatives, mais si tu grattes du pognon tu dois me le dire, c’est moi qui te donne tes récompenses comme les 400 $ hier.

Marina devenue formaliste repart dans les étages et redescend presque une heure après.
Je fais ce qu’il faut éviter de faire à cause des flics nous pistant, s’approcher de nos putes.
Moi et les flics aucun problème, j’ai Tex pour me couvrir, sachant qu’il tient comme à la prunelle de ses yeux au registre du sénateur.

- Cela s’est bien passé.
- Oui, il m’a donné 500 $ en plus.
Ils sont dans mon sac, le plus dur ça a été le concombre, il était gros.

- Tu as eu du mal à le faire entrer dans ta chatte.
- Non, maintenant la grosseur c’est facile.
Le problème c’est la quantité qu’il a fallu que je mange, par compte j’ai eu peur des trois bananes qu’il m’a mises dans la rosette en guise de dessert l’une après l’autre mais par chance j’ai eu le droit de les éplucher.

Marina est montée toute la nuit, la salle de jeux est restée noire de monde jusqu’au moment où je décide de rentrer.
Il me faut récupérer car demain je dois assister à la crémation de ma famille.
Je vais rester seule au monde mais les beaux dollars verts vont m’aider à surmonter mon chagrin.
Maman voulait que je sois Claudia Schiffer 2 de la mode je serais Claudia qui aura aidé la police à faire tomber un réseau de proxénètes.
Du moins il faut que je continue à faire croire à Tex que nous avons le même but.

Nous retrouvons le taxi et je mouille littéralement à ce que pourrait me faire le beau gosse qui nous pilote.
La masse d’argent que la petite nous rapporte ce soir demande d’être mise au coffre de l’hôtel le plus rapidement possible.
Je pense que Tex a eu du mal à organiser une souricière sauf s’il m’a poussé à rester pour mieux me piéger.
Me faire mettre au trou avec une telle masse de dollars serait difficile à expliquer.
Les gains aux jeux sont tous répertoriés et il trouverait rapidement que la somme est impossible à réunir sans l’apport de la chatte de la petite qui est à mon côté.
Certes elle a l’âge légal au Nevada pour avoir des rapports sexuels.
C’est sagement que nous rentrons.
Martha est là malgré l’heure avancée de la nuit à m’aider à compter l’argent avant de me donner un reçu.

- 12 clients à 500 plus les 500 de concombre 1 700 de pourboire, 8 500 pour la soirée je peux être satisfaite elle a bien travaillé.
- Tu comprends pourquoi elle a couru dormir.

Nous éclatons de rire…

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