Black Is Black (2) - Leur Fête.

Partie 2 : leur fête.

Chaud comme la braise, je ne me sentais pas de les laisser dormir une heure en les regardant sans rien faire. J’avais bien trop envie d’eux aussi.
Mes mains commencèrent à virevolter doucement sur leurs deux corps. Les pecs, les tétons, les abdos, le nombril, la ligne de poils - la dreamline -, la toison, les couilles. Ah les couilles ! Puis, je commençais à jouer avec leurs bites qui commençaient à débander tout doucement. Quels morceaux ! Dire que je les avais eues toutes les deux en moi. J’aurais tant aimé que la double réussisse mais bon…Ce qui m’attirait peut être encore plus c’étaient leurs énormes couilles. C’est que ça devait en fabriquer du sperme des engins pareils ! Chacune emplissait bien ma main. Quelles étaient douces et lourdes ! Ils avaient l’air d’aimer ça car ils avaient pris mes mains pour les laisser sur leurs couilles. Tiens, je croyais qu’ils dormaient ! On devait présenter un charmant spectacle. Un blanc, bronzé intégralement, coincé entre deux magnifiques blacks, tout ceci dans une tache de soleil sur un mousse bien verte au fin fond d’un bois ! Mon envie c’était surtout de les prendre tous les deux et de me vautrer dans leurs ventres comme ils venaient de le faire avec moi. Il fallait donc que je les prépare à ça.
Je les fis se retourner sur le ventre, l’un après l’autre. Ils firent mine de continuer à dormir plus ou moins. Leurs deux superbes culs, au fesses super rebondies, collés l’un contre l’autre, me faisaient saliver d’avance. Je me mis à les caresser furieusement, insistant lourdement sur leurs raies. Je les vis se soulever légèrement, preuve qu’ils ne dormaient pas tant que ça. Ils attendaient ma langue, bien sûr. Bien que leurs bas ventres n’étaient pas rasés, bizarrement, leurs raies l’étaient. Ils devaient surement se rimmer souvent. Quelles belles raies, profondes et larges à la fois, dégageant bien la rondelle toute rose. Un vrai plaisir à parcourir.

Successivement, je léchais l’un pendant que je titillais la rondelle de l’autre d’un doigt et réciproquement. J’enfouissais mon visage, mon nez dans ces vallées somptueuses. Je les agaçais de ma langue pointée. J’écartais leurs globes de mes deux mains, je vis leurs rondelles s’ouvrir. J’y enfouissais le bout de ma langue, entrant et sortant doucement. J’entendis à nouveau des « Yeaaah, man ! » de leur part. Attrapant le gel, je m’enduisis deux doigts et les doigtais direct en « bec de canard ». No problem de pénétration, je m’en doutais un peu. Leurs culs se soulevèrent encore un peu plus. L’un après l’autre, je les dilatais le mieux possible. Je me mis alors à les caresser avec ma bite qui se frottait dans leurs raies lentement.
« -Go there, guy. Get us ! » ( Vas y mec ! pénètre nous !) Tout en disant cela, ils se mirent tous deux en levrette, collés l’un à l’autre, leurs magnifiques culs offerts à tous mes caprices.
C’est bien ce que je comptais faire ! J’enduisis rapidement mon gland d’un max de gel et le présentais à la porte du paradis d’Eddy. Visiblement, j’avais un faible pour Eddy. En trois poussées, il était en lui. Je me retirais pour faire subir le même sort à Will. Deux poussées suffirent. Du coup, je commençais ma progression en lui. Incroyable ! Je glissais comme dans du beurre et me retrouvais tout de suite au fond. Je le limais deux ou trois fois puis revins à Eddy. Son ventre était plus serré que celui de Will. Quand je fus au fond, je me mis à le limer doucement.
« -And me ? And me ? rigola Will. ( Et moi ? Et moi ? )
-Wait a minute ! I have only one dick ! »( Attends une minute ! je n’ai qu’une bite !)
Je retournais donc dans Will. Je le trombonnais plus rapidement.
« -Fuck me deep ! Fuck me deep ! » ( Baise moi plus profond !)
C’est que j’étais au bout de mes 19 centimètres, moi ! Il en devenait vexant le Will ! C’est Eddy qui trouva la solution. Il farfouilla dans son petit sac à dos et en sortit un gode …impressionnant.
Il me le tendit. Je l’enduisis rapidement, me retirai et le passais, d’un seul coup d’un seul, dans le cul de Will…Un prêté pour un rendu. Il souffla, surpris mais ravi. Il avait ce qu’il voulait, bien profond. Ca me permit de revenir sur Eddy, tout en activant le gode dans Will. Ils avaient l’air ravis tous les deux de la tournure que prenait la party. Ils m’encourageaient souvent de la voix.
« -Come on, guy ! Come on ! » ( Vas y, mec ! Vas y ! ).
Voilà, voilà. J’arrive ! De toute façon, je ne demande que ça ! Je suis trop trop bien dans leurs ventres doux, chauds, accueillants. De temps en temps, Eddy contractait son sphincter pour me donner encore plus de sensations sur ma queue. Merci Ed !. J’adore les fourrer d’un seul coup de toute la longueur de ma bite, jusqu’aux couilles. A chaque coup, j’ai droit aux « yeaaah, man ! ». Je m’aperçois que j’aurais tendance à privilégier un peu plus Eddy par rapport à Will. D’ailleurs, celui-ci ne tarde pas à se manifester :
« -Hi ! I prefer the real one !! » ( Hé ! Je préfère la vraie bite ! )
Oh, faudrait savoir Will ! Il commence à me chauffer un peu, lui… Du coup, je décide de lui en mettre un max. Je demande à Eddy de m’aider. On se relève, je le fais s’appuyer avec le dos contre un tronc, je demande à Ed de l’assurer, je lui fais mettre ses jambes autour de ma taille et je le perce d’un coup par en dessous. Visiblement la position le surprend - peut être ne la connaissait-il pas ? -, mais tout de suite, il adore. Je me mets à le pistonner de toutes mes forces, le secouant comme un prunier.
« -Oh super ! I love it ! me crie-t-il ( Super ! J’adore ça !)
-And there, it is long enough ? » Je lui réponds. (Et ainsi, elle est assez longue ?)
La séance dure un temps mais je ne veux pas jouir ainsi et priver Eddy. Alors, je lui demande de se remettre comme avant. Ce qu’il fait de bonne grâce. Je me remets à les limer de plus en plus vite, passant rapidement de l’un à l’autre et jouant du gode sur celui que je viens de quitter.
Je commence à me couvrir de sueur. Je sais, je sens que je vais bientôt « venir ». Alors, je me déchaîne à fond. On entend ma bite chuinter dans leurs trous, mes couilles claquer à chaque furieux coup de bite. Bizarrement, je ne viens pas aussi vite que je le pensais…Tant mieux ! Il faut aussi tenir la réputation des français sur la chose ! Finalement, je crois que c’est l’alternance entre les deux qui me fait jouer les prolongations. Ce qui m’excite c’est qu’à chaque fois que je retourne à l’autre trou, je vois son cul se tortiller, venir à moi plus que je ne vais à lui, avide de retrouver ma bite. Cette fois, je crois que ça va être la bonne !
« -Hi, guys, I cum, I cum ! » ( Hé, les mecs, je vais jouir ! ).
Je retire aussitôt le gode car je voudrais - si j’y arrive -, que les deux lascars profitent de mon foutre. Le premier jet fut pour Eddy, vite, vite je me retire et vais vers Will. Le second jet se perd dans sa raie et sur le bas de son dos, le troisième sera dans son ventre. Chacun est servi !
Là, j’ai mon compte. Mais, eux, tout cela les a de nouveau bien excités. Y’a qu’à voir l’état de leurs pines dressées comme des mats de cocagne. Ils viennent se coller de part et d’autre de moi qui suis allongé sur le dos, essayant de retrouver mon souffle. Ils commencent à se caresser leurs bites l’un l’autre. Ils se branlent lentement du bout des doigts comme tout garçon sait le faire. Ca me donne envie, malgré que je sois crevé, de les « aider » un peu. Après tout, il y a assez de place sur leurs bites pour plusieurs mains ! Je leur branle, du bout des doigts, le bas de leurs hampes ( « Yeaaah, man ! »). Quelquefois, on inverse. Je passe sur leurs glands et eux sur leur hampes. Je sais déjà que, quand ils seront proches de jouir, je leurs engloberais leurs couilles de mes mains, j’ai découvert qu’ils aimaient beaucoup ça. Comme prévu, cette séance de branle se prolongea bien bien longtemps du fait de leur résistance et que c’était aussi leur deuxième éjac.
Quand je les sentis prêts à juter, j’englobais leurs couilles en les massant vigoureusement et en passant un doigt sous leur périnée...
« -Oh ! God ! So goood ! »
Deuxième peut être, mais alors quel volume de sperme est encore sorti de leurs « kiwis » ! Pour se répandre sur mon ventre et mon torse. Aussitôt, ils entreprirent de me masser avec ce nectar. De temps en temps, ils se suçaient les doigts ou me les faisaient sucer.
On essaya de reprendre ses esprits et des forces pendant un petit moment. Puis, ils me proposèrent de me laver dans le petit ruisseau qui glougloutait non loin. Ils y mirent beaucoup de tendresse. Je leur rendis la pareille. On reprit le chemin de la voiture. Presque arrivés à la route, on aperçut un jeune homme qui hâtait le pas à 50 mètres de nous sur le même sentier et qui repartit très vite dans sa voiture, une fois arrivé au parking. A tous les coups, il avait du profiter du spectacle gratuit qu’on lui avait offert. Ca les fit bien rigoler tous les deux.
Dans la voiture, ils me félicitèrent.
« -You nailed it ! It was awesome !( T’as assuré ! C’était super !)
-Thank’s ! ».
Ils me dirent aussi qu’ils venaient très souvent au supermarché pour draguer et que ça marchait très bien ! Il ne me restait plus qu’à parler de ça avec Paulo.
Avec Rémi, on verrait…

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