Black Is Black - Partie 1 : Ma Fête.

Partie 1 : ma fête.

Un après midi de cet été, j’étais à la caisse du supermarché. J’attendais mon tour. Bizarrement, à cette heure là, les caisses étaient pas mal prises d’assaut, les gens étant venus se réapprovisionner en boissons, vu la chaleur. Je prenais mon mal en patience. C’est alors que je vis arriver deux caisses plus loin quelqu’un qu’on pouvait difficilement ignorer. Beau mec, très beau mec même, grand, bien bâti, noir. Sa tenue accrochait encore plus l’œil. Short court de toile vert foncé qui laissait admirer ses longues jambes fuselées et débardeur rose qui laissait deviner ses pecs et montrait ses bras musclés. Il souriait ( à la vie ? ), de toutes ses dents. C’est sûr que sa venue ne laissa personne indifférent, femmes comme hommes. Je remarquais beaucoup de regards à la dérobée. Nos regards se sont croisés une première fois, l’espace d’une seconde. Faut dire que, moi non plus, ma tenue était loin de passer inaperçue avec mon short de running en nylon vermillon ultra court et mon débardeur noir. Comme l’attente se prolongeait, nos regards se sont croisés à nouveau deux fois. Juste quelques secondes de trop à chaque fois. Sans aucune gêne mais plutôt avec du désir réciproque ai-je cru deviner. On s’était compris. Je fis mine de traîner un peu dans la galerie marchande. Très vite, il me rejoignit et me dit :
« -Tu suis moi. »
Je n’avais pas remarqué l’intonation de la question mais plutôt celle d’un ordre. Pour lui, c’était évident que j’allais le suivre. Pour moi aussi. On rejoignit sa voiture. J’avais compris qu’il n’était pas français et je lui dis. Il me répondit, en rigolant, et en français approximatif, que lui et son copain étaient américains. Ah ! Ils étaient deux. J’étais bien trop excité pour éprouver quelque appréhension. Je n’ai jamais refusé une rencontre, quelles que soient les circonstances. Il me fit monter à l’avant. Son ami - amant ? – étant à l’arrière. Copie conforme du premier, à part le tee shirt fluo.

On aurait dit qu’ils étaient frères, tant ils se ressemblaient. Je décidais de faire comme si je ne comprenais pas l’anglais pour voir un peu ce qu’ils allaient se raconter entre eux…
« -Yeah, Eddy, we will score with such a hunk ! ( Hé, Eddy, on va sacrément baiser avec un bogosse pareil !)
-Will, he has an incredible bulge ! » ( Will, il a un sacré paquet !).
Je rigole en moi-même car j’ai tout compris. Je connais aussi leurs prénoms. Merci les gars !
On a à peine démarré que, déjà, son ami me caresse les cheveux doucement – il n’y a pas de repose tête dans cette voiture-. Très vite, il passe ses mains par l’encolure de mon débardeur et vient m’agacer les tétons. Eddy, le chauffeur, a lui aussi posé sa main sur ma cuisse et la glisse doucement vers mon short. Hé, ça démarre fort ! Du coup, je ne vais pas me priver pour vérifier une légende urbaine ( ?) à propos de la taille des bites des africains… Je pose direct ma main sur son paquet. Je le sens tressaillir. Ce que je sens sous mes doigts m’a l’air bien conséquent en tous cas et légèrement vibrant… Voyant ça, son ami s’excite un peu plus et me fait glisser carrément le débardeur par-dessus la tête. Me voilà déjà presqu’à poils, entrain de rouler en pleine ville. Bah, il fait tellement chaud que ça doit choquer personne de voir quelqu’un torse nu dans une voiture. Par contre, il a entrepris de me faire des bisous mouillés dans le creux de l’épaule pendant que ses mains s’affolent sur mes pecs et mes abdos…En même temps, je sens les doigts d’Eddy qui se sont glissés sous le tissu du short et qui me caressent le slip intérieur, cherchant à se glisser dessous…J’espère qu’on ne va pas trop loin sinon on va finir dans un arbre !
En parlant d’arbres, on arrive dans la forêt qui borde la ville. On roule un peu et on s’arrête sur un petit parking. On est la seule voiture. On se met à marcher et, très vite, on trouve un petit chemin très étroit qui s’enfonce dans la forêt. Ils ont l’air de bien connaître l’endroit.
On marche en file indienne. Le copain d’Eddy - dont je ne connais pas encore le nom -, n’arrête pas de glisser sa main dans mon short pour me caresser le cul pendant qu’Eddy me caresse le paquet. Ils ont peut être peur que je me refroidisse ? Aucun danger avec ces deux gaillards qui ont l’air chauds comme la braise. Au bout de 5 minutes de marche, on arriva à une toute petite « clairière », un peu à l’écart du sentier, en fait une tache de mousse baignée de soleil. On entendait glouglouter un petit ruisseau tout proche. Splendide ! Tout ce que j’aime : la nature, le soleil, l’eau. Faire l’amour dans un endroit pareil a toujours été le pied suprême pour moi. Ils me firent allonger entre eux deux, à même la mousse. Ca allait être ma fête. J’aurais cru qu’ils allaient se précipiter comme deux loups affamés sur moi pour m’ôter le peu de choses qu’il restait à enlever - le short et les chaussures -, en fait, pas du tout. Je fus très surpris que ces deux solides gaillards aient des gestes aussi doux, aussi lents, aussi retenus, aussi maîtrisés pour faire monter le désir très très lentement. Du coup, je me mis à l’unisson et pourtant ce n’était pas l’envie qui me manquait de dévoiler leurs bites pour les admirer, les toucher, les goûter…Je caressais doucement le renflement de leurs shorts, je glissais ma main dessous, je sentis un très fin tissu - genre mousseline – qui moulait parfaitement des paquets « monstrueux ». Leurs couilles surtout me paraissaient énormes au toucher. Leurs bites avaient depuis longtemps débordé l’élastique de leurs mini slips. Il y en avait au moins autant dedans que dehors. Leurs glands étaient déjà super mouillés, signe d’excitation. Le mien aussi d’ailleurs. Finalement j’aimais bien cette situation : évaluer leurs bites au toucher avant même de les avoir vues. Excitant ! Ils s’y mirent a deux pour faire glisser mon short tout doucement. Eddy a glissé ses mains à plat sous le slip intérieur et le tire doucement vers le bas, Will a accroché l’élastique du short avec ses dents et tire lui aussi vers le bas…J’en profite pour leur en faire autant.
Je les débarrasse lentement de leurs shorts. Ils apparaissent tous les deux dans le même mini slip orange en mousseline qui contient à grand peine la moitié de leurs pines. Trop beau de les voir ainsi. Le contraste avec leur peau foncée est juste magnifique. Moi, comme je n’ai rien dessous, une fois l’élastique passé, ma bite - trop longtemps contenue -, se détend comme un diable et leur explose au visage. Ca les fait bien rigoler. Moi, ce qui me fait rire intérieurement, c’est de les entendre causer, à propos de moi, en anglais, croyant, comme tout bon français, que je ne comprends pas trop l’anglais…
« -Wow ! Pretty body ! You have seen ? He his completly shaved ! ( Ouah ! Joli corps ! Tu as vu ? il est complètement rasé !)
-Yes ! Handsome boy ! Except a little carpet ! Nice !» ( oui ! Sacré beau garçon ! Excepté une petite toison rase ! Trop beau !)
-And you have’nt see his asshole…( Et tu n’as pas vu son trou…)
-May be a dobble is possible ? ( Tu crois qu’une double est possible ?)
-You should not hurt him either…( Il ne faudrait pas le blesser non plus…)
-Obviously ! » (Evidemment !)

« -I dream, guys !!! ( J’en rêve, les gars !) Je rentre ainsi dans la conversation et je me dévoile.
-You speak englih !!??
-I understand, also ! » ( Je comprends aussi !)
Ils se marrent carrément.
« -You know, we are clean and safe. No problem with us…( Tu sais on est clean. Pas de problème avec nous…)
-Ok, I’m sure. Me too ! » ( ( OK, j’en suis sûr. Moi aussi )
« -And…Do you like to have the ass licked ? ( Et…Aimes tu qu’on te lèche le cul ?)
-In your opinion ? ( A votre avis ?...)
-Good ! » ( Excellent !)
Cette fois, je n’y tiens plus. Pour être à égalité, je me mets à les dépouiller lentement de leurs slips…J’en reviens pas de la taille de ce qui m’explose au visage. 21 ? 22 cm ? J’ai du mal à dire. Carrément plus que moi en tous cas. J’espère qu’ils vont pas être trop déçus… En tous cas, elles sont bien fines, lisses et super droites, ce qui est étonnant dans ces tailles là.
J’aime bien aussi leurs toisons finement bouclées et rases. Elles débordent largement de mes mains qui les caressent doucement. J’ai tellement envie de faire plus ample connaissance avec elles, de les respirer, de les titiller, de les goûter que je dispose mes deux comparses, allongés sur le côté, à 30 centimètres d’intervalle et je glisse mon visage jusqu’à leur hauteur. J’en ai ainsi une sur la joue droite et l’autre sur la joue gauche. Je les resserre toutes deux contre mon visage. Elles se frottent avec délectation contre mes joues. De mes mains, je joue délicatement avec leurs couilles. De ma vie, je n’en ai jamais vu d’aussi grosses, on dirait des petits kiwis. Quelle réserve de sperme ! Du bout de trois doigts je caresse le bas de leurs hampes, remontant tout doucement. C’est marrant, elles ont pratiquement la même taille toutes les deux. Quelle bonne odeur aussi ! Une odeur forte de mâle. Une belle couleur marron très foncé, avec, au bout, un beau gland tout rose et luisant de mouille. Je leur titille le frein du prépuce avec ma langue pointée. Ils se tendent sous la caresse. Du bout des lèvres, je leur lèche le gland comme on lècherait une glace l’été. Trop bon pour eux comme pour moi ! Je descends plus bas en aspirant. Ils gémissent. Sûr, je ne vais sûrement pas réussir à les gober entièrement…Dommage ! Je me mets à les pomper un peu plus en leur branlant doucement le bas de leurs tiges. J’entends des « yeeaah man ! » de satisfaction murmurés. Au bout d’un délicieux moment, je me glisse à nouveau entre eux vers leurs visages. Aussitôt Eddy me dévore la bouche goulûment. Il me fourre la bouche avec sa langue incroyablement longue. J’en ai plein la bouche. Dans mon dos, je sens Will qui se frotte contre moi, sa bite dans ma raie. Je me retourne et viens dévorer la bouche de Will.
A leur tour, ils aimeraient bien, aux aussi, s’occuper sérieusement de ma pine. Ils se disposent en conséquence. Eddy entre mes jambes écartées, Will à califourchon au dessus de ma tête, sa tête plongeant vers ma queue. Ca me donne l’occasion d’admirer la superbe raie de Will, juste sous mon nez. Quel superbe cul bien rebondi j’ai là sous les yeux avec une raie large et profonde qui donne envie. Ca me donne aussi l’idée de la lui lécher consciencieusement, de bas en haut. Bien sûr, je reviens aussitôt sur sa rondelle que j’agace du bout de ma langue pointée. De mon côté, je n’ai pas à me plaindre de ce qu’ils font « subir » à ma queue. A tour de rôle, ils me sucent somptueusement. Ils me gobent complètement et j’adore cette sensation de chaleur, cette aspiration, leur salive et leurs langues qui me caressent alternativement. Qui suce le mieux ? Pareil !! Ils savent alterner les gorges profondes avec les suçotements du gland ou les mordillements de la hampe. Délicieux ! Je soulève mon ventre pour mieux m’offrir. Du coup, ça donne à Eddy l’idée de me titiller la raie avec son doigt. Moi aussi, j’ai envie de doigter doucement Will. J’enduis mon doigt de salive et je le passe sans problème. Je tourne pour le dilater. J’enlève mon doigt que je remplace par ma langue pointée. Il grogne. Je coulisse lentement. Eddy m’enduit le trou de gel et commence à me doigter doucement. Il a très vite passé un doigt. Je le sens qui me fouille doucement. Déjà il cherche à en passer un deuxième, en « bec de canard ». Une fois dedans, il écarte progressivement les doigts. Rien de tel pour se faire dilater. Surtout qu’en alternance Eddy me fourre sa langue dans mon trou. Je n’ai jamais senti une langue aussi longue me farfouiller doucement. Pour un peu on pourrait presue la confondre avec une petite bite ! Perso je m’amuse à alterner le doigt et la langue sur le trou de Will qui continue à me pomper consciencieusement et tendrement, je dirai. De mon autre main, je le caresse partout. Sur les fesses, le ventre, les abdos, l’intérieur des cuisses, la bite. Il a l’air d’apprécier.
Bon, les choses sérieuses ont l’air de se mettre en place. Ils m’ont demandé de me mettre en levrette et ils se sont collés à mon cul, à genoux. Aussitôt, je sens la froideur du gel sur ma rondelle et aussi le gland de … ? qui cherche à entrer en moi. Facilement, il passe. Il commence très doucement sa progression en moi. Je me régale à l’avance à la perspective d’accueillir dans mon ventre de tels engins. Je me retourne pour voir qui me fourre aussi délicatement. C’est Eddy, je l’aurais parié. Justement, le voilà qui se retire pour laisser Will m’empaler à son tour. Empaler est bien le mot car il cherche à me planter ses 22 centimètres d’un seul coup. Je souffle bruyamment sous le choc.
« -Slowly, please ! Don’t hurt him ! » ( Doucement, ne le blesse pas !) lui souffle Eddy.
Parfois, j’aime être pris ainsi, « à la hussarde ». Paulo me fait parfois le coup. J’adore quand c’est lui. Là, un peu moins. Will se calme et fait coulisser sa verge lentement en reculant. Je sens chaque centimètre et déjà, je voudrais qu’il m’emplisse à nouveau. Ce qu’il fait avec plus de douceur cette fois. Alternativement, ils vont ainsi m’enculer à tour de rôle, jusqu’à ce qu’ils coulissent parfaitement. A mon avis, ils ont toujours en tête de me préparer le mieux possible à la double pénétration. CA se précise car Will vient de s’allonger sur le dos et me demande de m’empaler sur son dard. Ce que je fais bien volontiers. So goood ! Eddy vient se placer entre les jambes écartées de Will et se colle à moi. Je sens son gland sur ma rondelle. Il se réenduit copieusement de gel. Je n’ai pas trop d’appréhension car leurs bites, bien que très longues, m’ont paru assez fines. Pour les rassurer, je leur dit que j’ai déjà connu cette expérience. Eddy commence à chercher le passage, très délicatement. Will ne bouge plus, bien au chaud dans mon ventre. De ses deux mains, il écarte mes deux globes au maximum pour favoriser l’entrée d’Eddy. Eddy prend tout son temps afin de ne pas me blesser ou me faire souffrir. A un moment, je sens son gland qui est presque passé mais, j’ai comme l’impression que pour sa queue ce sera plus difficile…Peut être suis-je trop contracté encore ? Pourtant, j’en rêve. En effet, quand Eddy essaie de progresser très doucement en moi, ça me déclenche une douleur que je n’arrive pas à cacher. Aussitôt, Eddy veut arrêter.
« -Try again, please » lui dis je. ( Essaie encore, stp )
Pendant un bon moment, avec une infinie patience, il va tenter d’entrer en moi. Finalement cela s’avèrera trop douloureux. Alors, Eddy décidera d’arrêter là. Ils se confondent en excuses. Je les rassure et leur dis de surtout bien me bourrer, chacun leur tour. Ce qu’ils vont s’employer à faire avec beaucoup de cœur. La séance va être épique car ce sont tous deux de sacrées bêtes de sexe, à la résistance infinie. Plusieurs fois, Will enfilera Eddy occupé à me trombonner. Ils seront ainsi deux à m’enculer en même temps. Plusieurs fois aussi, ils échangeront leurs places. J’adoooore ! Je leur crie. Ca les excite d’autant plus. Je sens parfaitement bien leurs longues bites coulisser en moi, en alternance. Trop, trop bon. Au début, le rythme est lent mais puissant puis ça s’accélère petit à petit, puis de plus en plus jusqu’à ce que je sente leurs couilles taper à chacun de leurs coups de reins. Je me dis qu’ils vont bientôt m’inonder…Quelle erreur ! Paulo est endurant. Eux sont SUPER endurants ! J’ai le trou en feu mais, bon dieu, il ne faut surtout pas que ça s’arrête ! Combien cela a-t-il duré ? Je ne sais pas. Ce que je sais c’est, qu’à plusieurs reprises, j’ai senti des vagues de chaleur inouïes m’inonder tout le ventre et plus. J’ai crié comme un fou « So goooooooood ! FUCK ME ! FUCK ME HARD !! ». Ils se sont déchaînés mais ils n’ont pas joui de suite pour autant ! De sacrés baiseurs ! Au final, ils mettront chacun un point d’honneur à m’inonder chacun de longs jets de foutre brûlant, en rugissant comme des lions. Là encore, je nai jamais senti quelqu’un décharger autant. J’avais le trou en feu et je sentais, dans mon ventre, une chaleur intense m’inonder totalement.
Aussitôt, ils retombent comme des crêpes de chaque côté de moi, totalement épuisés, hors d’haleine, prêts à comater.
Hé, les gars ! Ne me laissez pas ainsi ! C’est pas cool ! Je vais pas pouvoir résister, je suis bien trop excité pour ça ! Je sens leur sperme qui commence déjà à me couler le long des cuisses. D’un autre côté, le spectacle est trop beau de les voir ainsi, collés à moi de part et d’autre, leurs corps luisants de sueur baignés pas le soleil, leurs bites gluantes qui débandent tout doucement en décrivant un bel arc de cercle. C’est alors que je comprends que ce n’est pas du pur égoïsme de leur part mais plutôt qu’ils me laissent libre de gérer le round deux à ma guise, offerts à mes fantasmes…En tous cas, c’est ainsi que je l’interprète - ça m’arrange -.
Je vais donc m’occuper sérieusement de leurs cas tout de suite. Je ne veux pas les sortir trop vite de leur torpeur, après tout, ils ont bien le droit à un peu de repos après m’avoir fait tant jouir. N’empêche. Je ne peux m’interdire de leurs caresser doucement leurs bites, loin d’être revenues à la normale……….

Ceci sera l'objet de la partie 2.

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!