Black Is Beautiful (2) La Perle Noire

Lorsque Yolande s’en est allée vers un autre pays, je me suis tourné vers Marie sa petite sœur qui désirait suivre les pas de la grande. De toutes les blacks que j’ai fréquentées, Marie est sans conteste, la plus mignonne et la plus séduisante que j’ai rencontrée. Elle était ma perle noire. Après une amitié toute platonique, un soir nous nous sommes retrouvés tous les deux à regarder une vidéo dans l’intimité, après avoir tenté vainement d’aller au cinéma, la séance étant trop avancée. Doucement, je me suis rapproché d’elle, et ma main a commencé à explorer chastement ses épaules, elle est descendu imperceptiblement à la hauteur de ses reins, ne voyant aucune résistance, j’ai pensée qu’elle était synchrone avec moi, mais lorsque mes lèvres ont tenté un accostage sur sa bouche, elle a eu une réaction vive de retrait avec un regard plein de surprises et de reproches mais sans un mot. Je me suis platement excusé, exprimant ma honte d’une telle démarche machiste. Mais à mon grand étonnement, elle s’est levée, a pris une couverture et fait tomber son pagne et sa culotte. Elle s’est allongée timide et m’a dit : « prends-moi ». Je n’en revenais pas de ce revirement et de cette expression dans sa bouche.
Elle dépassait en sensualité sa soeur pourtant fort agréable à regarder et à consommer. Un visage tout en harmonie avec des lèvres pulpeuses sur lesquelles se dessinait une légère auréole rouge gourmande. Un corps parfait, avec une poitrine bien ronde et généreuse, taille fine et fesses fermes et rebondies.
Je me suis approché de ce corps à demi-dévêtu mais légèrement fermé et tout en retenue. Je me suis allongé, après avoir fait glisser prestement mon pantalon et autre obstacle à ma verge pour que celle-ci ferme et déterminée puisse honorer ce bel écrin coiffé d’une délicate touffe crépue. L’entrée en matière s’est faite lentement, il semblait qu’elle resserrait ses cuisses pour empêcher l’acte d’amour. C’est donc avec grande précaution que j’ai pris possession de ce superbe corps lisse de jeunesse.

Une fois installé en elle, je me suis appliqué à aller et venir doucement, goûtant chaque instant de plaisir. Elle demeurait passive aux assauts, mais sans doute toute en accueil. Au bord de l’orgasme, je me suis retiré pour laisser exploser mon plaisir hors de cet antre humide et chaude. Et là, elle m’a demandé à plusieurs reprise, si cela n’avait pas été difficile de la pénétrer, laissant sous entendre que je venais de la déflorer, mais il n’y avait aucune trace ni sur sa vulve, ni sur mon pénis attestant d’une grande première dans l’exploration de son intimité. Je suis sûr que d’autres avaient déjà cueilli sa petite fleur avant moi. À la différence de sa sœur qui, à chaque copulation, était très active, elle se contentait d’accueillir ma verge pour son plus grand plaisir car plus d’une fois, j’ai eu peur d’être découvert par ses gémissements orgasmiques qu’elle avait du mal à contenir. C’était une affamée du sexe qui ne s’est jamais refusée. Comme pour sa sœur, rien n’a filtré à l’extérieur, nous n’étions que de simples amis. Toutes les occasions d’intimité offertes ou programmées étaient sources de plaisirs sexuels partagés. Un jour, je l’ai déculottée et je lui ai demandé de danser devant moi allongé, une autre fois assise au bureau le sexe à l’air, j’admirais sa vulves et ses lèvres sombres, il fallait bien les écarter pour découvrir son intimité rouge vif assoiffée de sexe. Allongée sur le lit, elle m’offrait ses superbes fesses, que je léchais comme deux belles boules de glace au chocolat. Deux boules fermes mais lisses et douces à caresser. Au tout début de notre relation, nous étions en déplacement et nous occupions chacun une chambre, je dormais nu. Elle est arrivée me disant qu’elle avait vu une araignée et qu’elle ne pourrait dormir. Elle est donc venue occuper ma couche. Cette nuit-là, nous n’avons pas fait l’amour mais j’ai goûté à son corps, je n’ai pas dormi beaucoup.
Lors d’un autre déplacement, nous étions dans des chambres ouvertes en haut pour laisser passer l’air parce que non climatisées.
Il y avait d’autres personnes qui occupaient des chambres, je me suis levé dans la nuit, ne pouvant dormir sachant cette belle au bois dormant toute proche de moi. Sans faire de bruit, je suis entré dans sa chambre, j’ai levé la moustiquaire et j’ai approché doucement mes lèvres des siennes. J’ai senti qu’elle avait compris, elle s’est mise de côté m’offrant sa croupe généreuse, je me suis allongé contre elle et mon pénis a trouvé seul son chemin. Elle ne supportait pas qu’une main guide ma tige vers son orifice. Elle devait trouver le chemin tout seule, nous nous connaissions bien pour réaliser un arrimage parfait. Et dans le plus grand silence, je l’ai possédée pendant près d’une heure avant de rejoindre ma couche. Le lendemain, nous avons refait l’amour moi accroupi et elle s’emboîtant sur mes jambes pliées alors que tout près de nous, dehors, nous entendions l’animation de la rue, malgré cela nous étions seuls au monde.
Elle avait comme particularité de me demander de rester le plus longtemps possible en elle. Grâce à elle, j’ai pu m’exercer à maîtriser mon éjaculation et à poursuivre de longues minutes voire des heures cette pénétration amoureuse.
L’expérience sexuelle la plus formidable que j’ai vécue, c’est bien avec elle, un jour, vers 14h, heure de la sieste, je monte me coucher, je suis nu sur mon lit. Elle me rejoint en toute discrétion et ce jour-là, je l’affirme en toute vérité, nous sommes restés emboîtés l’un en l’autre et sans rupture jusqu’à 19h. Je faisais monter doucement, la jouissance jusqu’à son extrême et je relâchais la pressions sans jamais sortir ma queue de son con délicieux. Nos sueurs, se mêlant à la chaleur ambiante de nos deux corps, ont créé pour nous, un sauna naturel. Dans un dialogue amoureux, je me lovais sensuellement autour de sa chair offerte, avec un va et vient tout en douceur, la pénétration n’est pas brute ni violente, c’est un slow langoureux, sans fin, sur une musique silencieuse rythmée par de doux soupirs de plénitude.
Soudain, elle me dit qu’elle veut uriner et me demande que nous nous rendions sous la douche en restant encastrés. Ma verge, bien raide de ce plaisir partagé, reste profondément ancrée dans son port de plaisance, la douche n’est pas loin du lit, je m’assied sur le sol, elle demeure empalée sur moi, et c’est dans cette position que je sens son liquide chaud entourer mon sexe et mes couilles et se répandre sur mon bassin et mes mes fesses. Nous sommes restés un bon moment dans cette position, puis j’ai fait couler l’eau pour éliminer nos fluides corporels.
De cet espace, nous nous sommes rendus vers le bureau “en jouant la bête à deux dos”, comme l’a conté Brassens, toujours intimement unis. Sans jamais sortir d’elle, je l’ai allongée sur le bureau pouvant ainsi admirer son antre poilue ou s’engouffrait depuis plusieurs heures mon instrument de musique érotique. Son pubis se levait à chaque entrée, c’est elle qui me l’a fait remarquer. Maintenir ainsi cette tension au bord de l’éjaculation, n’ai pas été vécu comme une performance mais comme un profond désir de rendre infini ce moment paradisiaque où nous avons flirté avec l’éternité. Il a fallu pourtant mettre un terme à cette union nuptiale, je me suis lancé à corps perdu dans un rythme endiablé qui m’a conduit à l’explosion totale. j’ai juste eu le temps de sortir ma queue pour laisser jaillir tel un geyser toute la puissance de mon orgasme. Mon sperme à giclé, passant au dessus de son visage sans même l’effleurer pour aller s’écraser quelques mètres plus loin. C’est à regrets que nos deux corps ont repris leur autonomie, une bonne douche à deux a prolongé le souvenir de cet après-midi infini. Merci Marie, si jeune et déjà si experte en amour, tu restes gravée dans ma peau à jamais même si la vie t’a conduite vers d’autres aventures loin de moi.

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