Black Is Beautiful (1)

Je poursuis les récits de mes aventures sexuelle avec la gente féminine, histoire entièrement authentique. C’est durant mon séjour africain, que j’ai vécu les meilleures aventures sexuelles avec de belles bombes lascives. J’ai eu de nombreuses relations sexuelles sans lendemain avec des filles à la recherche d’un profit immédiat en échange de plaisirs partagés. Mais J’ai connu deux sœurs vraiment mignonnes et jeunes flirtant avec leurs vingt printemps Yolande et Marie (nom d’emprunt pour ne pas leur nuire). Je travaillais avec Yolande, la sœur aînée et plusieurs fois, j’ai pu apercevoir ses deux petits seins, libres de toute contrainte, en forme de poire au travers de son col échancré. Un jour, où nous n’étions que tous les deux, j’ai osé l’attirer vers moi, et tendre mes lèvres vers les siennes charnues et gourmandes. Oh joie, elle ne s’est pas dérobée bien au contraire, elle s’est collée à ma bouche, et nous avons partagé un long baisé langoureux plein de promesses. Mes mains en ont profité pour descendre de la taille fine vers les deux monts arrondis. J’étais déjà bien raide dans mon pantalon. Mais sachant que le temps nous était compté, je n’ai pas voulu aller plus loin, me réservant une période plus longue pour une exploration approfondie de cet univers sensuel et “very hot”. J’étais tout tremblant de désir et ma queue a laissé coulé son liquide pré-séminal dans mon caleçon. Cela s’est passé le matin, l’après-midi était à nous.
Quand j’ai retrouvé Yolande, sans un mot nous nous sommes rapprochés, nos caresses se sont faites plus directes et ont enlevé rapidement sa petite culotte au point que je n’ai plus le souvenir de qui l’avait fait, mais assis sur une chaise haute elle est venue s’empaler sur mon sexe en érection et s’est activée sur ma tige par des mouvements de bassin habiles. J’avais comme l’impression qu’un fourreau humide et chaud avait absorbé mon outil de plaisir et l’aspirait par des mouvements de va et vient. Nos deux bouches naturellement soudées dans un échange de salive et de plaisir.

Quelle était chaude ma Yolande avec sa peau d’une douceur extrême jusqu’au bout de ses grandes lèvres dans un écrin de poils pubiens. Elle m’a chevauché ainsi jusqu’à l’explosion, j’ai juste eu le temps de faire jaillir mon plaisir hors de sa caverne amoureuse. À partir de là, nous avons multiplié les échanges intimes dans la plus grande discrétion. Il n’était question que de sexe même si une grande amitié s’est installée entre nous. De l’extérieur nous n’avions rien laissé paraître. La deuxième baise eu lieu le lendemain, elle était à quatre pattes non pas pour me provoquer mais pour réaliser un tableau à l’ai d’une projection au sol. Mais cette position m’a tout de suite excité et comme nous n’étions que tous les deux dans le local, j’ai pu fermer la porte à clef et je lui ai relevé son pagne pour faire descendre sa culotte et dévoiler ces deux superbes boules chocolat. Elle n’avait pas les fesses aussi fermes que celle de sa sœur que je découvrirai plus tard mais elles étaient belles et généreuses pour une invitation à se perdre dans son vallon. Je ne me suis pas fait prier, un peu malhabile, par manque d’expérience, elle me dit en riant que je me trompais de trou, j’ai rectifié mon tir et je l’ai pénétrée en profondeur, tandis qu’elle continuait à dessiner sur le sol les contours projetés d’une image. J’ai beaucoup aimé cette position, mais pas elle, ce fut la seule fois où j’ai pu la prendre par derrière. Nos relations sexuelles nombreuses ont toujours été réalisées en cachette aux yeux de notre entourage. C’est ce sentiment d’interdit qui pimentait notre relation. Un jour nous étions en déplacement avec un collègue et nous avons été logés dans une même maisonnette. La nuit était tombée, et notre collègue avait égaré ses clefs, il est sorti faire le chemin inverse pour retrouver ce qu’il avait perdu. Nous en avons profité pour niquer en écartant sa culotte, le regard tourné vers l’extérieur, car il pouvait revenir à tout moment, le coït fut interrompu par son retour.
Nous avons remis rapidement de l’ordre à nos vêtements, mon culotte a absorbé ma jouissance. Un autre soir, de retour d’un déplacement, nous n’étions que tous les deux dans la voiture, moi au volant. Sans que je lui demande, elle s’est couchée sur mes genoux et par ses caresses a fait surgir mon bout et, oh surprise, sa bouche l’a englouti pour la toute première fois. Je n’avais jamais osé lui demander une fellation, ce fut ma toute première fellation avec une femme. Pendant que je conduisais, j’étais saisi de plaisir par cette succion humide et chaude. Arrivés à nos bureaux vers minuit, nous nous sommes allongés sur une couverture et avons fait l’amour avec une intensité que je n’avais pas encore connue avec elle à tel point que je lui ai dit comme tu m’as aimé, je vais jouir en toi, pour la toute première fois et ce fut l’unique fois ou je me suis donné totalement en elle. Seulement, quelques semaines plus tard, elle est venue en larmes me disant que ses règles avaient du retard. Cela m’a paniqué, me disant que cette relation uniquement sexuelle prenait une drôle de tournure si elle concevait. En fait, je pense que c’était la crainte d’être en cloque qui a provoqué ce retard, j’ai eu la même aventure avec sa sœur et une autre de mes flirts mais à chaque fois cela a été une fausse alerte.
Notre relation a été suspendue pendant deux ou trois ans, car elle a changé de pays mais nous avons pu avoir encore des copulations furtives et toujours cachées lors de visites, souvent dans des lieux à risques d’être surpris en pleins ébats c’était le piment de notre relation. Une fois nous avons baisé dans une salle de bain, moi assis sur la cuvette des WC, la lunette a cédé sous nos ébats déchaînés après une si longue abstinence duelle.
Je vais suspendre mon récit, car celui-ci se conjuguera ensuite avec sa sœur, je les ai possédées toutes les deux presque en même temps, parfois dans un même lieu sans qu’officiellement je trompe l’une de l’autre et pourtant…

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