Collection Histoire Courte. Club Libertin (1/1)

- Ma chérie, j’ai une proposition à te faire.
- Honnête, j’espère.
- C’est là que le bât blesse, honnête puis qu’on en parle, mais spéciale dans sa forme et sa formulation.
- Depuis 10 ans que nous sommes mariés, nous arrivons à la trentaine à un virage de notre couple.
- Tu veux un autre ?
Tu sais que ma grossesse a été difficile et qu’une nouvelle multiplierait les risques pour ma santé.
- Sindy est une magnifique poupée de 5 ans et elle aussi voudrait un petit frère, elle m’en a parlé l’autre jour dans notre bain.
- Pas du tout Véronique.
Je sais ce problème de nouvel et jamais je ne te proposerais de jouer avec ta vie.
Même si avoir un fils à qui j’apprendrais à jouer au football a toujours été secrètement mon rêve.
- Ça je le sais, je peux jouer à la poupée avec ma fille.
- Tu sais comme j’aime vous regarder faire les folles dans l’eau.
C’est pour ça que j’économise pour vous offrir votre piscine l’été prochain.
J’ai arrêté de prendre les chaînes de foot pour vous l’offrir plus rapidement.
- Si ce n’est pas un , de quoi s’agit-il, dit moi ce qui te ferais plaisir ?
- Jenny ta maman nous a proposés de venir ou de prendre Sindy chez elle pour que nous sortions.
- Nous l’avons déjà fait pour que nous puissions aller au restaurant et finir la nuit en boîte avec nos amis.
- Là, c’est une chose plus spéciale que je te propose.
- Tu m’intrigues, que te manque-t-il, sauf tes matchs de foot.
- Nos ébats amoureux se ralentissent bien que j’aime autant faire l’amour avec toi.
- Et alors ?
- J’ai regardé sur Internet, il y a une boîte bien notée sur Internet à Dijon.
J’aimerais que l’on aille y passer une soirée.
- Une boîte, dit moi quand tu veux y aller et j’appelle maman.
- Oui, mais c’est une boîte assez spéciale, c’est un club échangiste.


Non je vois ton petit nez mutin qui se fronce, laisse tomber, je pensais simplement que nous pourrions aller voir, ils disent que personne ne force personne et qu’une soirée pour simplement regarder est possible.
- Même pas en rêve.
Je sais que le jour de notre mariage, j’ai dit pour le meilleur et pour le pire.
Ça c’est le pire pour moi te voir faire l’amour à une autre je ne pourrais pas même une seconde le concevoir.
- N’en parlons pas c’était une idée stupide, c’est vrai qu’avec ta mère, toutes les nuits de Noël, tu vas à la messe.
Ton éducation catho pour moi qui suis athée même si je trouve ça con, je la respecte.
- Ça n’a rien à voir, c’était papa qui était très croyant et avec maman sur son lit de mort nous lui avions fait la promesse d’aller à la messe.
C'est devenu très vite impossible à faire surtout après notre mariage, d’un commun accord, nous avons décidé de nous y rendre que pour la messe de Noël.

La conversation en était restée là.
Dans les jours qui ont suivi, j’ai gardé en tête le refus que j’avais fait à Guillaume.
Rapidement un problème se fait jour en moi.
Pour que j’aie ma piscine, il se prive de son sport favori, que j’adore aussi il est vrai et je lui refuse cette soirée où je peux me contenter simplement de regarder.

- Guillaume, j’ai bien réfléchi à ce que tu m’as proposé l’autre jour concernant la soirée en club échangiste à Dijon.
Non tais-toi, laisse-moi parler car sinon je pars en courant et jamais plus je n’aurais le courage de te faire cette proposition.
- Je t’écoute, parle.
- Si lundi soir prochain tu m’accompagnes à la messe de minuit avec maman, le 5 janvier date de ton anniversaire, c’est un samedi, j’accepte de te suivre dans ce club échangiste.
Rien que pour regarder ça va de soi.
Si toi tu veux faire l’amour avec une autre, ce sera ton cadeau d’anniversaire.

Voilà c’est dit, je viens de franchir le pas au risque de foutre notre couple en l’air.

Guillaume accepte ma proposition et nous sommes en train de prier pour l’âme de papa.
Maman a été surprise de le voir près de nous mais Sindy qui a son âge s’étonnait que nous ne soyons pas toujours ensemble son père ne venant pas.
Entre Noël, le jour de l'An et le samedi 5 janvier, dans ma tête, je dis oui, je dis non, je dis peut-être.
Hélas, je voudrais ralentir le temps, mais la vie trépidante que nous vivons et surtout la proposition de maman m’oblige à dire oui.

- Véro, la semaine prochaine, c’est l’anniversaire de ton mari !
Si tu veux donnez-moi Sindy, nous sommes de plus en plus complices et j’aimerais la garder pour que vous passiez une soirée en amoureux.
Tu sais après dix ans de mariage, c’est ce genre de petite intention qui forge les couples comme j’ai pu l’être avec ton père pendant trente ans.
Hélas la mort a tout brisé, mais je ne regrette pas les moments de bonheur intense que je faisais à mon bien-aimé.

Mon sort était scellé, je devais respecter ma parole.

- Comment s’habille-t-on pour aller dans ce genre de boîte ?
- Léger, je te verrais bien dans ta robe charleston !
Non rien dessous, le haut c’est déjà le cas, mais reste comme la nature t’a fait, ça n’en sera que plus excitant.

La voiture, le GPS et nous nous garons devant une grande bâtisse.
Je suis rassurée, rien que des voitures de bonne qualité, on voie que les gens qui viennent ici on les moyens.
J’ai aimé le restaurant que Guillaume avait réservé à deux pas du club.
Avoir la chatte à l’air dans ce restaurant m’a émoustillé.
Le vin bu m’aide à franchir le pas.

- Bonsoir monsieur dame, c’est votre première visite parmi nous ?
- Oui.
- Soyez sans crainte tout va bien se passer, aujourd’hui après les fêtes c’est un peu calme mais c’est mieux pour découvrir et vous découvrir.
Bonne soirée.

Nous entrons après que Guillaume est sorti quelques billets mais ça va ma piscine ne sera pas en danger, notre voiture est aussi grosse que la plupart des autres.

Nous laissons nos manteaux au vestiaire.
J’avais peur d’être obligé de me mettre à poil tout de suite.
Il y a un bar, nous commandons une coupe de champagne.
Je jette un œil dans cette grande salle.
Sur un canapé un couple fait l’amour, un homme qui se masturbe les regarde
Plus tard dans la soirée, c’est un autre gars qui trombine la femme d’une cinquantaine d'années.
Mais je vais trop vite.
Au rythme de la musique, l’une des deux barres qui sont au centre de la pièce est occupée par une jeune femme nue qui semble lui faire l’amour.
C’est répugnant, mais très érotique.

- Chérie, je te laisse, je vais explorer le club, je te dirais s’il y a des choses intéressantes.

Voilà, je suis seule, je reprends une coupe.
La musique m’obsède, je suis un peu saoul et je me vois m’avancer vers la barre libre.
Comment moi, une honorable mère de famille, je m’accroche à cette barre toujours vêtue et que je lui fais l’amour comme ma voisine ?
Quand je me baisse, ma robe s’écarte sur mes cuisses et la jeune femme voit ma chatte épilée.
Je sens une présence derrière moi, je sais ce que c'est sans savoir qui c'est, mais je mouille intensément.
C’est la verge d’un homme qui se frotte à moi.
J’arrive à le voir, il est jeune et danse une danse d’amour comme nul autre.
Il profite de ce que j’ai les bras en l’air pour prendre ma robe par ses franges et me l’enlever.
Sa verge se recolle à moi, je descends, il descend, je descends il reste debout.
Surprise je le retourne c’est une verge bien grosse qui est devant mes yeux et sans me poser plus de question je le prends en bouche.
J’aime sucer Guillaume, là je me sers de mes mains car il est bien plus gros que la seule verge que je n’ai connue.

- Suce ma belle, j’ai une chance de t’avoir trouvé !

Je suis à deux doigts de le faire éjaculer, je n’ai rien contre le faite de boire du sperme.

Je l’ai fait dès la première fois.

- Chérie, tu viens nous rentrons, je n’aime pas ce genre d’endroit.
- Eh ! mec, tu nous fais chier, tu amènes ta bourgeoise s’éclater et monsieur a des états d’âme.
Laisse-nous et rentre chez toi, je te la ramènerais quand elle aura fini de s’éclater et voyant ce que je vois ce sera au bout de la nuit.
Ne te tracasse pas je ne suis pas un satire.

C’est ainsi que j’ai vu partir Guillaume.
Comme il l’avait dit, on m’a raccompagné, mais pas ce garçon, un autre qui m’a baisé un peu plus tard.
J’ignorais que j’avais un fantasme de bite noire.
Bien qu’un jour à la piscine où nous étions allés avec Jenny j’en aie vu une, un homme se masturbant dans une cabine de douche qu’il n’avait pas fermé.
Je suis devant la porte, je vois de la lumière dans notre chambre.
Je finis par entrer.

- Ça va ma chérie, ça s’est bien passé, tu t’es bien amusée, raconte-moi.

À part qu’un de mes partenaires, il y en a eu trois avec celui de la barre, était noir, je lui dis tout.
Je suis un peu fatiguée mais qu’importe, j’ai pris une douche avec Gaëtan mon chauffeur, je suis donc immaculée bien que bien défoncée.
Nous faisons l’amour divinement et avec envie.
Il y a trois semaines que cette expérience de club échangiste a eu lieu.

- Guillaume, le garçon qui m’a raccompagné va au club tous les mois.
Comme nous il y est allé avec sa femme qui n’a pas aimé mais qui le laisse s’éclater une fois par mois.
J’ai son numéro, il veut bien m’y emmener si tu es d’accord.
- Appelle-le, à une seule condition.
Quand tu rentres tu me racontes tout sans rien me cacher, je serais jaloux le temps de ton absence mais ça été si bon à ton retour que je suis prêt à recommencer l’expérience.

Voilà je suis dans la voiture direction Dijon avec l’accord de mon mari.

Les mois ont passé, nous sommes tous les deux à poil sur les transats de notre piscine.
Sindy et Jessy sont en vacances au Portugal.

- Véronique, Gaëtan vient te chercher samedi soir, c’est votre jour, il n’est pas en vacances ?
- Oui, ce sera comme nous la semaine suivante.
- C’est parfait, tu me dis tout…

Non, il ne sait toujours pas que je me fais baiser par toutes les bites noires, elles sont quelques-unes.
Je lui raconte ce qu’elles me font mais sans ce détail.

- As-tu pensé à avoir des rapports lesbiens ?
- Non et tu aimerais que je te raconte ce que ça me fait de baiser avec une autre femme ?
- Disons que c’est un fantasme que j’ai.
- Tu te souviens, il y a deux mois, je t’ai dit que j’avais fait l’amour avec un homme devant sa femme qui avait fini par m’enculer.
C’était la première fois.
- Comment ne pas m’en souvenir, malgré la douleur tu as bien voulu pour la première fois que moi aussi je te sodomise ?
Depuis nous l’avons fait régulièrement.
- La femme me regardait et je pense que si je lui avais demandé nous aurions pu aller dans ma petite alcôve que j’aime tant et que tu aimes que je t’explique ce que je fais quand j’emmène mes amants.
- Tu serais la plus divine des femmes, ma chérie.

Pourquoi lui dire que je serais contente de cette nouvelle expérience avec une femme ?
Surtout qu’elle est martiniquaise et aussi noire que son mari.
Quand les fantasmes vous tiennent.

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