Collection Histoire Courte. Le Livreur (1/1)

J’étais puceau quand cette aventure m’est arrivée, comme le disait la chanson de madame Dalida, je venais d’avoir dix-huit ans, j’étais beau, mais loin d’être fort comme un homme.

Le patron de l’épicerie où je travaillais pour les vacances m’a demandé de prendre ma mobylette et de livrer la commande passée par l’intendant du château.
J’y allais chaque semaine, mais la commande était deux fois plus importante, heureusement j’avais bricolé une vieille remorque que j’ai pu attacher à l’arrière pour tout y mettre.

Arrivé au château j’ai vu plusieurs camionnettes des portes arrière ouvertes d’où je pouvais voir du matériel de tournage comme l’on voit parfois dans les films.
J’entrais dans la cuisine et l’intendant brillait par son absence, ayant posé toutes les victuailles sur la table je le cherchais pour lui remettre la facture afin qu’il la contrôle et me la signe.
J’ai entendu du bruit dans la salle à manger, je me suis approché, mais j’étais dans l’impossibilité de voir ce qu’il se passait des gens étant agglutiné.
J’avais déjà visité et je savais qu’en passant par le salon voisin, je verrais mieux pourquoi tous ces gens étaient rassemblés.

La porte de communication était ouverte et les bruits que j’entendais étaient significatifs, une femme se faisait baiser.
Je me demandais qui pouvais se faire enfiler le compte et la comtesse ayant presque soixante-dix ans et leur fils étant parti aux États-Unis depuis dix ans espérant faire fortune.
Il y avait bien leur chambrière la jolie Manon ma petite voisine pour laquelle, je kiffais, mais qui était en main avec Jonathan, un copain du foot jaloux comme pas un.

Voir Manon se faire sauter peut-être par l’intendant le vieux Roland ayant une quarantaine d'années me mettait en joie.
Jonathan de mâle dominant sur les gonzesses du village me mettait en colère étant frustré, mais quand j’ai doucement ouvert la porte, la grande glace face à moi m’a montré que ce que je pensais était faux, sur le grand divan placé près de la table massive qui prenait plus de la moitié de la salle, une femme était empalée sur la bite d’un homme.


Je voyais le couple de côté, mais la verge du garçon allait et venait en même temps que la fille montait et descendait pour mieux se faire pénétrer.
J’étais fasciné surtout que la fille criait, non, gueulait son plaisir d’avoir une verge la défonçant, j’étais si concentré que la porte me cachait une partie de la pièce dont l’entrée de la salle.
Dans la glace j’ai vu les projecteurs et un gars qui avait une caméra.
Quel couillons, ils tournaient un film porno, dans l’impossible d’arrêter ce que je faisais, j’ai sorti ma queue pour me masturber.
La masturbation s’était mon jeu favori tous les soirs devant de simples photos de femmes nues voir de femmes se faisant baiser dans des petits films pornos.
J’avais devant moi le tournage d’un porno mais certainement réservé à Canal+ car les acteurs étaient en costumes et perruques d’époques dans un chat eau comme celui du village.

J’étais habillé avec une chemise blanche et un pantalon trois quart d’été, aux pieds j’avais des petites chaussures genre ballerines plus facile pour pédaler surtout que pour venir au château j’avais une grande côte à monter.
Sans le savoir j’étais habillé comme les valets que l’on voit dans ces films se passant au temps de la royauté.
J’allais m’éclipser quand j’ai entendu l’actrice crier en me regardant.

• Qu’attends-tu, viens m’enculer, John tu sais que quand je m’éclate j’aime avoir une deuxième bite dans le cul.

J’ai vu le gars qui filmait parler sans entendre mais je me suis avancé et j’ai présenté ma verge à l’anus qui espérait se faire défoncé.

• Vas-y mon gars met moi, pourquoi hésite-tu, ont va louper la scène et John va encore gueuler.

Je m’attendais à être pris par les abatis et être sorti avec perte et fracas de la pièce mais une jeune femme s’est approché de moi, m’a mis une capote et je suis entré dans la rosette de l’actrice sans aucune difficulté.
C’est ainsi que j’ai été dépucelé par le cul de cette grande actrice porno mondialement connue.


• T’es jeune mais tes un bon acteur porno, j’aimerais que tu éjacule dans ma bouche, ton jus juvénile me fait envie.

Dans les films que j’ai pu voir les scènes se finissent toujours par une fellation avec éjaculation faciale, j’ai joué le jeu l’actrice dégoulinant de sperme en ayant même dans l’œil.
J’ai entendu comme dans un rêve « coupé »

• Qui êtes vous jeune homme, vous étiez raccord quand vous êtes entré dans le champ de la caméra, c’est pourquoi je vous ai laissé continuer.
• Je suis venu livré les légumes et le jambon pour votre repas à tous ce soir.
• Moi, je veux qu’ils restent jusqu’à la fin du film, je referais bien une ou deux scènes avec lui, qu’en pensez-vous les copines.

Trois autres filles en robes et perruques sont venues m’entourer l’une d’elle me tâtant les couilles, dans les jours qui ont suivi je les ais toutes enfilé dans leurs différents orifices.
A la fin j’ai reçu de l’argent et Manon qui regardait le tournage m’a demandé d’être son amant ce dont j’ai été ravi.
Depuis je suis sur tout les tournages avec les plus grandes actrices et acteurs du moment, même la grande Clara est passé dans mon lit et avec l’argent que je gagne je roule au volant d’une voiture de sport qui a remplacé ma mobylette.

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