Un Bon Nageur, Mais Pas Que

Ma semaine de remise en forme commence : natation, et salle de muscu au programme. En ce milieu de l’été à Paris, il commence à ne plus y avoir trop de monde, et le pass sanitaire fait qu’il y a encore moins de monde dans les endroits qui le demandent. J’ai besoin de perdre les 3 kilos que j’ai pris pendant le confinement, avant de partir en vacances en Sicile fin août. C’est pénible quand on a passé 50 ans, on prend vite du poids… Attention, même avec mes 3 kilos de trop, je sais que je reste bien conservé avec mes 73 kilos pour 1m80, des cheveux poivre et sels coupés courts, et mes yeux verts émeraude qui attirent l’attention. Ma femme aime bien me garder jalousement auprès d’elle et faire des envieuses quand d’autres femmes me regardent, en revanche elle sait qu’elle ne peut rien face à certains hommes et que de de temps en temps, j’ai besoin de relations entre hommes. J’ai toujours aimé les deux sexes, et ma femme me laisse défouler mon côté gay (attention, pas d’autres femmes !), du moment que je le fais en sécurité … et que je lui raconte comment je me suis fait enculé par une belle bite que j’avais aussi sucée. Quand on fait l’amour, elle vient toujours vérifier si mon anus est bien serré, ou s’il a été assoupli récemment. Je sais que j’ai de la chance, bien d’autres hommes dans ma situation sont obligés de cacher leur bisexualité.

La semaine s’annonce pourrie du côté de la météo, tant mieux, il y aura moins de monde à la piscine ! J’ai mes habitudes dans une piscine parisienne, bassin olympique découvert l’été, et qui offre la particularité d’avoir des vestiaires non mixtes dans lesquels la majorité des mecs se changent librement. On voit de beaux spécimens parfois, c’est toujours sympathique de pouvoir se rincer l’œil…

En ce début d’après-midi, il pleut. Quand je descends dans les vestiaires, il n’y a qu’un autre homme en train de se changer dans une allée. Le temps de retirer mes chaussures, je le vois se mettre à poil devant les casiers, avant de farfouiller dans son sac pour y trouver son speedo bleu ciel.

Beau gars, ma taille et ma corpulence, peut-être quelques années de moins. Par contre il est poilu alors que je suis épilé du maillot, du ventre et du torse. Poilu mais pas touffu, il taille ses poils courts, j’avoue que je préfère. Je m’installe près de son casier, et on a le temps de se saluer avant qu’il ne file vers les douches et le bassin tandis que je me change. Quand j’arrive aux douches, il y est encore tout en faisant mine d’être sur le départ. Et s’il m’avait attendu pour voir comment j’étais en maillot ? Moi aussi, j’ai un speedo, collection Arena de l’année, rayé noir et gris, il met bien mon anatomie en valeur… On se regarde, et il décide d’engager la conversation :

- Il ne va pas y avoir grand monde.
- Non, c’est sûr. Je ne vais pas rester de mon côté, juste le temps de faire mes longueurs.
- Pareil pour moi, 45 minutes en général et je repars me mettre à l’abri chez moi. Heureusement, pas plus de 10 minutes de marche, avec ce temps !
- Bonnes longueurs alors !
- Toi aussi, peut-être à tout à l’heure…

Il m’a tutoyé, et j’ai définitivement pu le classer parmi les beaux gars, virils comme je les aime. J’ai pu remarquer qu’il portait aussi un slip de bain Arena, avec le logo de couleur arc-en-ciel, c’est une série « pride » de l’année, je l’avais vu sur leur site en achetant le mien. Au final, on est bien les seuls gars à nager, à deux dans un bassin olympique. Il y a deux maitres-nageurs sur le bord, sous l’auvent, ils ont une bonne polaire sur eux, et ils nous regardent à peine. On fait nos longueurs consciencieusement, on nage à peu près du même niveau. Arrivé au bout de ma dernière longueur, je sors tout de suite, et je suis immédiatement suivi par mon bel inconnu. Il doit avoir une belle vue car j’ai enlevé la doublure de mon maillot sur la partie arrière, ce qui peut laisser deviner mes fesses rebondies par transparence quand le maillot et mouillé. On arrive aux douches et il se met à côté de moi.

- Bonne séance, j’adore quand il n’y a personne !
- C’était top ! Tu viens souvent ?
- Régulièrement.
Je t’ai déjà vu ces dernières semaines. J’avais repéré ton slip de bain, j’ai failli acheté le même, et puis j’ai finalement préféré celui-là.
- C’est drôle, moi pareil, mais dans l’autre sens donc.
- Ils sont bien ces maillots, et il faut bien les entretenir si on veut qu’ils tiennent le chlore. Il faut bien penser à les rincer.

Et là, il se met à poil sous la douche pour rincer son maillot et reste comme ça pour se savonner… Je décide de faire pareil !

- On peut en profiter pendant qu’il n’y a personne, des fois il y a des gens que ça peut gêner, ou des s.
- Oui, et c’est pourtant plus hygiénique comme ça en plus.
- Au fait, moi c’est Alex.
- Et moi Florent. Enchanté Alex !
- Je peux te poser une question peut-être un peu indiscrète ?
- Vas-y toujours…
- Tu te rases ou tu t’épiles ? Je suis toujours intrigué quand je vois quelqu’un de lisse. Je ne l’ai jamais fait pour moi, mais j’aime bien…
- J’épile, ça dure plus longtemps, et c’est plus doux.
- Je peux ?

Et sans attendre ma réponse, il s’approche de moi, et pose sa main sur mon ventre. Il me caresse, et je commence à bander de façon très visible. Il regarde ma bite, et commence à la caresser. Il s’est encore rapproché, et je sens sa bite dure aussi contre ma cuisse. Il rapproche ses lèvres des miennes et me roule une pelle, gourmande comme je les aime.

- Tu veux venir chez moi un moment en sortant ? J’habite vraiment pas loin, et on pourra mieux … discuter qu’ici…
- Si t’habite … pas loin, ça m’intéresse, c’est sûr que ça m’intéresse même bien.
- Savonne toi bien partout, ma langue est très agile et délicate.

On se regarde se savonner. J’insiste sur mon cul, je me mets même deux doigts. On se rince, et il passe une dernière fois derrière moi, se colle contre moi, je sens sa bite complètement bandée le long de ma raie des fesses, qu’il tâte doucement d’une main, tandis qu’il me malaxe les couilles de l’autre.


- Tu aimes bien te laisser faire on dirait ?
- C’est ce que j’aime oui, et toi c’est ce que tu cherches ?
- J’aime bien quand c’est moi qui prend les choses en main !

On se sépare, et on file aux casiers, toujours à poil ! Heureusement, on ne croise personne. On s’habille en se regardant et en se frôlant. Je remets mon short sans rien en dessous, et lui pareil…

- Je suis garé là, tu es à pieds ? Je pourrai me garer facilement si on y va en voiture ou il vaut mieux que je laisse ma voiture ici ?
- OK pour la voiture, j’ai un garage dont je ne me sers pas.

Sa main s’est baladée sur mes cuisses pendant tout le trajet, je bande comme un âne ! On arrive devant son entrée de parking, il me dicte le code et je descends me garer au 2ème sous-sol. On doit prendre un ascenseur pour monter au 6ème et dernier étage. Dès la fermeture des portes il s’est à nouveau collé à moi pour m’embrasser. Aïe, on s’arrête au RdC. C’est une jeune femme qui entre.

- Salut Alex !
- Salut Julie, tu vas bien ?
- Impeccable ! Toi ça a l’air d’aller, vous êtes très en forme je vois. Allez, passez un bon après-midi…

Et elle sort au 5ème. On regarde nos shorts, et c’est vrai qu’on y devine clairement nos bites encore bien tendues. Ça fait rire Alex qui me dit qu’il va en entendre parler pendant un bon moment…
Dès qu’on a franchi la porte de son appartement, Alex me plaque contre le mur et m’embrasse à nouveau. Nos langues se cherchent, ses lèvres sont douces comme du velours. Ses mains ont saisi mes fesses et je peux sentir sa queue qui cherche à s’évader de son short tellement il bande. Alex me relâche et me déshabille. Je me retrouve vite nu face à lui. Il me donne une claque sur les fesses.

- Mets-toi sur mon canapé, sur le dos jambes en l’air et écarte tes fesses que je vois ton joli petit trou ! Tu la veux toujours ma bite ?
- Oui, je la veux ! Mais tu m’avais parlé de ta langue aussi …

Alex prend son temps.
Il se déshabille devant moi, doucement. Je peux admirer son corps musclé, et sa belle bite. J’ai pour ma part une bite de taille moyenne, 15cm, mais plutôt bien large. De ce que je peux bien voir maintenant qu’il s’approche de moi, c’est que sa bite doit faire dans les 19 centimètres, et qu’elle doit être même un peu plus large que la mienne : c’est donc une queue bien au-dessus de la moyenne que je vais sentir passer !

- C’est une alliance là ? Tu es marié ? Ta femme sait ce que tu fais ?
- Oui, oui … et oui. Elle veut même que je lui raconte.
- Génial. File-moi ton téléphone, tu pourras faire mieux que de lui raconter : je vais te prendre, et te prendre en photos !

Je suis tellement excité que j’obéis. Alex s’approche de moi, je suis étendu sur le dos sur son canapé, ma tête légèrement en arrière, il vient me faire sucer sa belle bite. Je m’applique, mes lèvres sucent son gland, ma langue lèche son frein, puis descend doucement pour gober ses couilles. J’entends mon appareil photo qui se déclenche. Et puis sa bite s’enfonce dans la gorge, d’abord doucement, puis plus fort. Je suis étouffé, je ne peux plus déglutir… Alex se retire, mais revient et il arrive à enfoncer sa bite tout au fond de ma gorge, c’est une première pour moi. Ses poils pubiens sur mes lèvres, il prend une nouvelle photo. Ensuite, il me fait mettre à quatre pattes, et vient me lécher l’anus. C’est quelque chose que j’aime tout spécialement. Sa langue me pénètre même un peu. Et puis il commence à plonger un doigt dans mon cul, puis deux. Finalement c’est trois doigts qu’il me glisse dans mon derrière, qu’il agite, qu’il fait tourner et coulisser. Il n’oublie pas de prendre des photos…

- Allez, on va passer aux choses sérieuses ! Tu veux toujours la prendre ma grosse queue ?
- J’en peux plus, défonce moi le cul, j’attends que ça !

Il s’enfonce doucement, son gourdin est quand même déjà un beau spécimen, et je n’ai pas pratiqué d’exercice d’assouplissement de mon anus depuis 3 mois ! Au bout de 10 minutes d’allers et retours en douceur et de lubrifiant, il peut y aller plus franchement. Il me tient par les hanches et s’enfonce à fond dans mon cul à chaque coup de rein. A chaque fois, je sens ses grosses couilles qui viennent contre les miennes, je suis au septième ciel ! Il me fait mettre finalement sur le dos, les jambes en l’air. Il me reprend en photo en train d’attendre, le trou offert. Il continue de m’enculer, alternant les moments doux et les séances de baise plus rapides et plus dures. Sa bite est légèrement recourbée vers le haut, et dans cette position, il tape ma prostate à chaque fois qu’il s’enfonce en moi. Mon plaisir monte vite. Il continue de me prendre en photo, en train de crier quand je jouis et que je me gicle du sperme jusqu’au cou, sans même avoir à me toucher. Il était proche du point de non-retour aussi, et il se vide dans la capote qu’il avait pris soin d’enfiler avant de m’enculer. Il se retire, n’oublie pas de prendre mon trou béant en photo, et retire son préservatif. Il me présente sa bite gluante de sperme pour que je la nettoie. Je n’ai pas vraiment l’habitude de faire ça… Mon propre sperme, oui, il m’arrive même d’aller nettoyer ma femme une fois que je l’ai bien remplie, mais pas avec d’autres hommes. Pourtant cette fois-là, je m’exécute avec application. Je le nettoie consciencieusement, léchant avec application, et avalant la moindre trace de semence pendant qu’Alex continue de me mitrailler avec mon smartphone, fixant pour l’éternité mon regard de chienne soumise. Je ne suis pas certain que j’ai envie de montrer tout ça à ma femme… Et je n’ai pourtant pas fini…

- Remonte un peu ton cul le long du dossier maintenant, je veux m’assurer que ton trou du cul est bien comme il faut.
- Qu’est-ce que tu veux faire ?
- T’inquiète pas, fais ce que je te dis !

Il reste doux, mais je sens bien que je dois obéir. Je m’exécute. J’ai le cul remonté contre le dossier du canapé, le trou du cul tourné vers le haut. Alex nettoie mon sperme sur mon cou, mon torse et mon ventre avec sa langue, et il vient recracher le tout dans mon cul. Il tasse bien avec ses doigts, qui rentrent très facilement. Et évidemment, il continue son reportage photo !

- On ne se connait pas encore assez pour y aller sans capote, mais comme ça ton cul commence à s’habi à être lubrifié au foutre ! Si ta femme est d’accord bien sûr. Tu lui demanderas ?
- Oui, promis.
- Je retourne à la piscine tous les jours de cette semaine si tu veux.
- Je ne sais pas encore. Je vais demander à ma femme ce qu’elle en pense. Je ne lui cache rien, mais mes escapades avec tes mecs doivent rester des escapades…
- J’espère te voir. J’ai bien aimé comme on a baisé. Et toi aussi, fallait t’entendre…
- …
- J’ai pris une petite vidéo aussi, vous verrez ça avec Madame, tout à l’heure.

Il me fait un clin d’œil. On s’embrasse, et on bande à nouveau tous les deux. On passe alors sous la douche où évidemment, il en profite pour me sodomiser une nouvelle fois. Cette fois-ci sans capote ! Il rentre tout seul avec mon foutre et sa salive qui facilitent le passage. Il me garantit qu’il est 100% sain et qu’il ne fait jamais d’exception, mais que là vu ma situation, on peut déroger à la règle. Et puis, j’ai déjà mon propre jus dans le fion, ça ne sera pas suspect s’il en reste du sien. Cette fois-ci, je m’appuie les bras tendus contre la paroi de la douche qui coule, le cul bien cambré pour l’accueillir. Il me pilonne et me branle en même temps. Il m’embrasse dans le cou, de la même façon que j’embrasse ma femme quand on prend une douche tous les deux. Je suis plus excité que jamais. En 10 minutes, on a craché notre purée tous les deux et on peut finalement se laver.

J’ai vraiment envie de retourner à la piscine demain. Mais là déjà, je vais devoir discuter avec ma femme. Je lui avais envoyé un SMS en quittant la piscine, lui disant que j’aurai une heure de retard et que j’aurai des choses à lui raconter. J’ai eu droit à un smiley en retour. Je vais donc lui raconter. Lui montrer les photos aussi, si elle demande. Elles sont 200% pornographiques, et on voit bien que j’aime ce que je fais. Bizarrement, je suis sûr que ma femme va demander à les voir, et qu’elle va aimer aussi. Je l’imagine me donner une punition en retour…

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