Festival Ciné... Mais Pas Que

Une petite ville du Sud-Ouest de la France, du 30 septembre au 4 octobre 2020, après un confinement et sans doute avant un autre, un festival de cinéma. Avec ma femme, nous décidons d’acheter des billets pour plusieurs séances avec un premier film le vendredi à 14h30.
Nous mangeons tard, si bien que nous sommes un peu à la bourre : pas le temps de faire pipi avant de partir… Pas grave, je sais qu’il y a des toilettes sur place. Il y a un film qui démarre dans trois salles. Ma femme me précise : « nous, c’est dans la 2, je vais réserver les places ; il semble y avoir du monde. Pendant que ma femme réserve les places, je vais faire mon petit pipi. C’est un cinéma avec 5 salles. Dans le couloir qui dessert les salles des toilettes pour hommes et pour femmes. Les toilettes hommes consistent en une petite pièce, très propre, avec urinoirs sur le mur de droite en entrant, 3 ou 4 cabines sur le mur de gauche et des lavabos en face, avec un grand miroir au-dessus des lavabos, la porte d’entrée étant derrière soi quand on regarde le miroir en face.
Quand je rentre, il n’y a personne. Je fais mon pipi et file me laver les mains. Alors que je suis en train de me laver les mains, je vois dans le miroir un bel homme entrer : svelte, brun, de taille moyenne et, me semble-t-il de 40 ans environ. A la main la pochette du festival. Il se dirige vers l’urinoir et se débraguète. Discrètement, je mate dans le miroir et vois l’homme en biais derrière mon dos. On ne voit pas grand-chose, mais un peu quand même car les séparations entre les bacs des urinoirs sont assez minimalistes. Ca m’amuse…
Discrètement, c’est ce que je croyais car l’homme m’a sans doute repéré car fixant mon regard dans le miroir et se tourne légèrement de trois-quarts, présentant ainsi son sexe face à la glace, il me lance « Tu vois mieux comme ça ? ». J’ai à peine le temps de voir que le sexe n’est pas complètement mou que, malheureusement, un troisième homme entre dans la pièce.

L’autre se remet précipitamment face à l’urinoir. Quant à moi, non moins précipitamment, je secoue mes mains pleines d’eau et me rue vers la salle 2 ou ma femme m’a réservé une place à côté d’elle.
J’ai le cœur qui bat à 100 000 ! La salle est déjà très remplie, mais conditions sanitaires obligent, chaque groupe est obligé de laisser un siège vide sur sa gauche et sur sa droite. Un siège de vide à gauche de mon épouse, et deux sur sa droite, puis l’allée. Je m’assieds à côté de ma femme, et il reste une place à ma droite.
Le film va bientôt commencer, et je vois entrer l’homme des toilettes. Il remonte l’allée et je me liquéfie… A ma hauteur, il s’arrête et demande :
- Je peux m’asseoir là ? Ça ne vous dérange pas ? »
Il a remplacé le tutoiement par un vouvoiement. Ma femme le dévisage, et je ne sens pas la possibilité de faire autre chose qu’enlever la pochette sur le siège à côté de moi et de répondre :
- Je vous en prie.
Probablement mon visage est-il écarlate. Ma femme ne remarque rien, et les lumières qui s’éteignent viennent me sauver la situation…
Pour une courte durée : je sens sa jambe appuyer très nettement contre la mienne. Je me pose la question d’écarter ma jambe, mais finalement, je ne le fais pas : cette sensation m’est plutôt agréable… mais j’ai plutôt du mal à me concentrer sur le film. Quoiqu’ayant les yeux rivés sur l’écran, je serais bien en peine résumer ce qu’il est en train de s’y jouer !
J’évite de tourner la tête ni d’un côté ni de l’autre. Mais comme je n’ai pas retiré ma jambe, l’homme prend cela comme un encouragement (et au fond, ça l’est sans doute !), et je sens sa main contre ma cuisse. C’est comme si j’étouffais : je ne peux plus bouger, j’aurais envie que fenêtres et portes s’ouvrent… mais pas les lumières : j’ai peur que tous (et surtout ma femme) voient le rouge sur mes joues, les jambes qui se touchent, la main sur ma cuisse…
Mais la proximité empêche d’aller plus loin… Ma main à moi reste bloquée sur ma cuisse.
Le film se déroule et vient le générique de fin… Je pense que c’est la fin de l’histoire… Mais mon voisin se penchant à terre pour ramasser sa pochette pose discrètement un petit bristol sur ma jambe. Je le range précipitamment dans ma poche. Avant que les lumières ne se rallument, il a déjà filé. Ma femme sort devant moi, et j’en profite pour jeter un œil sur le bristol. C’est une carte de visite : Nicolas B… 06 …
Je suis sûr que, sans que je le veuille, le numéro de tél s’incruste dans ma tête.
On rentre à la maison en commentant le film qu’au fond, je n’ai pas vraiment vu.
L’appeler ou pas ? Mon portable me brûle !
Parlons un peu de moi : j’ai 50 ans un peu passés. Brun qui vire peu à peu sur le poivre et sel, je suis de taille moyenne et svelte. Plus jeune, j’ai eu une aventure avec un garçon. Une seule. Ca ne m’avait pas déplu, mais j’étais passé à autre chose. Cependant, j’ai toujours tendance à regarder les garçons.
Parfois, je regarde des films porno (hétéro)… et dans ce cas, je suis au moins aussi attentif à regarder l’anatomie des garçons que celle des filles. Bref, les garçons m’attirent même si depuis près de 30 ans, je n’ai pas franchi le pas et suis resté hétéro à 100% dans mes actes, à défaut que ce soit si clair que ça dans mes pensées…
Et ma question du jour c’est : appeler Nicolas ou pas ? Pour lui dire quoi ? Pour faire quoi ?
Bon, c’est décidé j’appelle … et j’appelle même tout de suite, avant de changer d’idée.
Il est presque 17 heures.
- Bonjour Nicolas, c’est Eric, du ciné tout à l’heure.
- Ah, salut, je pensais que tu n’appellerais pas ! C’était ta femme à côté de toi au ciné ?
- Oui…
- T’es bi, alors ? Tu veux qu’on se voit ?
- …
- Je suis juste de passage ici pour le festival. Ce soir, j’ai une projection avec les collègues de la région, et demain j’en ai trois non-stop et après, on repart direct : on est 6 dans un Espace… Si tu veux, je suis dispo jusqu’à 20 heures.

- OK
- Je suis à l’hotel xxx, tu vois où c’est ?
- Oui
- T’es pas bavard !... Chambre 27, au deuxième étage. Pour entrer dans l’hôtel, il y a un code ? Tu fais 32A2020.
- D’accord, j’y suis dans 30 minutes.
C’est bien que ce soit tout de suite : je n’ai ni le temps de gamberger, ni le temps d’annuler… Juste le temps de prendre une douche et de dire que « je vais boire un verre chez des potes, je serai là vers 20 heures », et je file. Mais sur le trajet, mine de rien je gamberge quand même un peu : une trentaine d’année que je n’ai pas vu de mec à poil… Je ne lui ai même pas demandé de quoi il avait envie… Est-ce qu’il va vouloir me sodomiser ? que je le suce ? Comment je vais m’y prendre ? Ces questions tournent 100 fois dans ma tête pendant le trajet vers l’hôtel, mais elles sont vaincues par le souvenir de la chaleur de sa main contre ma cuisse. Il n’avait pas l’air brutal. Décidé, c’est sûr, mais plutôt doux…
Et me voilà devant l’hôtel. Je rentre en surveillant bien à droite et à gauche : dans une petite ville, même dans un hôtel un peu à l’extérieur, on a vite fait de se faire repérer… Tout va bien et me voilà déjà devant la porte de la chambre 27. Je frappe discrètement et la porte s’ouvre sur Nicolas, manifestement fraichement douché lui aussi. Il est en jean, pieds nus et torse nu.
On se fait la bise et je reste un peu empoté devant lui. Je le trouve beau. Un peu de poils sur le torse, mais pas beaucoup. Une belle peau cuivrée. Des tétons petits et légèrement saillants. Et, partant du nombril vers le jean, dès poils un peu plus fournis, mais sans excès.
Je ne sais pas pourquoi, mais la question que je me pose à ce moment est ridicule : la fermeture du jean est-elle avec boutons ou fermeture éclair ? Je préfère les boutons, mais si je me souviens bien, des fois c’est chiant à enlever !... Et je n’arrive pas à penser à autre chose. Du coup, Nicolas me prend tendrement par les épaules et dit :
- Dis donc, tu m’as l’air un peu stressé, toi !
- C’est vrai… il y a super longtemps que je ne suis pas allé avec un mec, et je flippe d’être là…
- Déshabille-toi, je vais te faire un petit massage, et tu vas voir ça va te détendre.
On va faire doucement !
Comme je n’osais pas prendre d’initiative et que j’imagine que cette proposition pourrait même m’éviter de parler pour le moment, elle me va tout à fait. Et c’est presque avec enthousiasme que je dis ok. Je commence donc à me déshabiller pendant qu’il me regarde faire… Bizarrement, je n’ose pas enlever mon boxer, et c’est en boxer que je m’allonge à plat ventre sur le lit… Mais dans mon boxer, ça commence à bouger, et je crois que Nicolas s’en est aperçu !
Nicolas commence à me masser les omoplates. Je laisse échapper un soupir de contentement, et comme en réponse, je sens ses mains saisir l’élastique du boxer qu’il m’enlève sans aucune hésitation. Je suis cul nu, toujours à plat ventre. Je l’entends dire :
- C’est mieux comme ça, non ?
- Oui, bien mieux !
- Ah, tu commences à te détendre, c’est bien !
Dans la foulée de cette remarque, Nicolas se met à cheval à mi-hauteur de mes cuisses et reprend son massage. Rapidement, il arrive sur les fesses qu’il masse sur les côtés, puis sur le dessus, sans toucher à la raie lors de ce premier contact de ses mains sur mon postérieur. Puis il s’enlève de sur mes cuisses pour se mettre sur le côté. En même temps, il écarte légèrement mes jambes.
Il remonte ses mains à l’intérieur de mes cuisses, frôlant presque les couilles. Puis plus nettement, sur la raie. Il effleure la rondelle.
Mon cœur bat à tout rompre je me dis « Ma parole, il me prépare le cul, je vais être sodomisé.
Il insiste alors sur la rondelle et je sens soudain du froid. Je comprends immédiatement : je suis en train de prendre une giclée de gel… A défaut d’être sodomisé, je vais a minima avoir droit à un doigtage en bonne et due forme !
En même temps, je ne proteste pas… Et ce doigt dont je crains et j’espère tout à la fois qu’il aille plus loin se contente de « tourner autour du pot »
Il ajoute alors :
- Bon, on va voir ce qu’il se passe de l’autre côté !
Il me prends par le côté et me retourne. Je laisse apparaitre une belle érection. Il vient fouiller dans mes poils, empoigne mes couilles et les masse doucement :
- Tu les rases ?... j’aime !
- Oui, c’est une habitude que j’ai gardée du temps où…
Puis il remonte sa main, me décalotte doucement et fait deux ou trois allers-retours sur ma tige, lesquels m’arrachent aussitôt un petit gémissement…
- Ca a l’air de te plaire !... Mais dis donc, tout à l’heure au ciné, tu ne voulais pas voir ma queue ?
Il est sur le lit, à genoux, les genoux à hauteur de mes épaules, me faisant bien comprendre qu’il attendait que je m’occupe de son jean… puis sans doute du reste.
Pour la première fois, je regarde franchement son entrejambe. J’ai l’impression qu’il y a une belle bosse. Et, de près, je vois que ce sont des boutons dont j’aurai à m’occuper. Avant d’attaquer le premier bouton, je passe la main sur son ventre massant l’intervalle entre le nombril et la ceinture. Puis, par-dessus le jean, je porte la main sur le sexe en tentant de sentir s’il est dur (oui, il l’est mais rien qu’à regarder, je le savais déjà). Je prolonge le geste en descendant sur les couilles. Ce premier massage, par-dessus le jean est sans doute plus facile… mais aussi, il donne aussi d’en savoir plus, d’en voir plus !
J’approche alors mes deux mains du premier bouton qui saute assez facilement mais ne permet que d’écarter très peu les pans du jean. Les deuxième et troisième boutons donnent davantage de satisfaction car ils permettent d’ouvrir le jean. Ils laissent apparaitre un boxer blanc Calvin Klein. Ouvert, c’est déjà bien et je me dis que baisser, ce sera mieux : je prends le jean et le descends jusqu’à mi-cuisse. La bosse en face de moi est très provoquante et j’ai envie de voir et de toucher, mais j’ai aussi envie de prendre mon temps. Je suis plus près que jamais de ce sexe car maintenant juste un fin tissu et quelques centimètres m’en séparent. Je me souviens de la vue dans les toilettes, mais il ne semblait pas alors en si bonne forme ! Je m’enhardis et ne me gêne plus pour toucher, passer les mains sur les fesses. Derrière, je vais même jusqu’à passer une main sous l’élastique du boxer pour toucher directement les fesses. Toujours sous le boxer je passe la main devant. Ses couilles semblent rasées et bien pleines. Je continue mon exploration « à l’aveugle » pour toucher des poils : ce sont donc juste les couilles qui sont rasées. Au dessus du sexe, la toison semble bien fournie… Brune, j’imagine. Et voilà un premier moment de vérité : je referme ma main sur le sexe. Le toucher est extrêmement agréable car il est dur autant que doux. Le moment est venu de voir : je sors la main du boxer et le fais rejoindre le jean, à mi-cuisse. Superbe : le sexe est dressé, d’une jolie taille mais sans excès. Il est décalotté. Le gland est rose, très gonflé. Le long de la tige, d’un rose très clair, une veine irrigue ce sexe et semble palpiter. Le sexe sort d’un écrin de poils pubiens tout noir. Dessous pendent deux superbes couilles. Cette zone est sur fond blanc : on voit bien la marque du maillot. Juste en dessous revient cette belle teinte halée comme à la ceinture et sur le torse. Je lâche un :
- Waouh !... On peut voir de l’autre côté ?
Il se lève alors et termine le travail de déshabillage en enlevant complètement jean et boxer. Nous sommes tous les deux nus. Répondant à ma requête, il se tourne alors pour me montrer son cul. On pourrait presque dire « un petit cul ». Bien blanc, par contraste avec les zones du dessus et du dessous. Rebondi. Très légèrement poilu. Je ne peux résister à la tentation d’en approcher mes lèvres et d’y déposer un baiser, tandis que mes mains font le tour pour se saisir des couilles et de la queue.
Du coup, il se retourne et enfin nos lèvres se rejoignent dans un baiser fougueux pendant que, me rendant la pareille, il se saisit de ma queue et commence à l’astiquer.
Nos lèvres se séparent, et le sourire aux lèvres il déclare :
- Tu vois, c’est comme le vélo : on ne peut pas désapprendre !
J’éclate de rire et me voilà totalement détendu (sauf le sexe).
J’écarte ma tête pour profiter à nouveau de la vue de son sexe. Maintenant, je peux avoir les deux : la vue et le toucher ! Je ne me gêne pas et prend ses couilles en main ? Ca semble lui plaire. J’approche ma bouche de son sexe et respire à fond son odeur, très agréable. Je viens appuyer mon visage contre son bas-ventre, ses poils. Je lève la tête vers lui :
- Dans le temps, on me disais que je suçais bien…
Toujours en tenant ses couilles, je prends viens lécher la tige puis je suce le gland et descend la bouche le long du sexe. Presque jusqu’aux poils.
- On dirait que tu n’as rien perdu !
Pendant que je suce, il bouge légèrement pour prendre mon sexe à pleine main. Il lâche et m’envoie une petite claque sur les fesses. C’est mal élevé de parler la bouche pleine, mais j’arrive à faire entendre un « Ouiiiii ». Du coup, je prends une seconde claque, un peu plus appuyée.
La main reprend maintenant sa caresse sur mon cul. Le doigt reprend l’exploration qu’il avait entrepris quelques minutes auparavant. Je sens qu’il met à nouveau du gel. Tout autour de la rondelle, puis à l’intérieur… Cette fois, je vais y avoir droit ! D’autant que je sens un deuxième doigt. Il me demande :
- Ca va ?
- Super…
Il caresse encore quelques minutes, puis :
- On y va ?
-OK
Il se recule alors, déroule un préservatif le long de son sexe. Il l’enduit de gel sous mes yeux écarquillés.
- Je me mets comment ?
- Mets-toi sur le dos si tu veux bien : je préfère, comme ça on voit bien tous les deux.
Je me mets sur le dos, il me lève les jambes, passe mes chevilles sur ses épaules et commence à frotter son sexe contre ma rondelle. Il pousse un peu et je sens son gland entrer. Ca ne fait pas mal et je continue à bander ferme… d’autant que je profite de la position pour me branler. Petit à petit, je sens le membre progresser en moi. Puis je sens les poils, puis les couilles butter contre mes fesses. Sans doute est-il au bout. Il me regarde alors et lâche :
- Ca va toujours ?
Il écarte alors ma main de mon sexe et continue à ma place la branlette que j’avais entamée tout en commençant des va et vient.
Le rythme s’accélère dans mon trou, et aussi sur ma queue. Je dis :
- Moins vite sur ma queue, je vais jouir !
Au lieu de ralentir, il accélère le rythme de sa magnifique branlette :
- On est là pour ça, non ?
Il lâche la queue, masse à nouveau les couilles. Puis reprend mon sexe, asticote le gland puis le frein et reprend la masturbation. Dans le même temps il continue ses aller-retours dans mes fesses, de plus en plus vite. Je vois qu’il n’est pas très loin de l’éjaculation, lui non plus…
Mais, c’est moi qui craque le premier. Très vite, je sens la jouissance monter des couilles. Tellement intense que c’en est presque douloureux. Mon râle n’interrompt pas son mouvement et voilà déjà des jets de sperme qui atterrissent sur mon torse, sur mon cou. C’est bon, que c’est bon…
Il lâche enfin ma queue et retire la sienne d’entre mes fesses. Il enlève prestement le préservatif et me présente son membre :
- Tu veux me finir où je finis moi-même ?
- Vas-y, lâche sur mon torse.
Très vite il lève la tête, ferme les yeux et je vois des jets de sperme jaillir de sa queue. Ils tombent sur mon torse, épais, blancs, chauds. Je les étale pour les mélanger aux miens. Puis j’approche ma bouche de son sexe et suce à nouveau pour m’assurer qu’il a bien tout donné. Son sexe se ramollit rapidement, mais même mou, il reste agréable à l’œil et au toucher.
Epuisé, il s’allonge auprès de moi et caresse à son tour nos spermes mêlés.
Sourires béats, baisers… satisfaction du moment passé. 10 minutes ainsi allongés côte à côte, à discuter de tout et de rien…
- Petite douche ?
Je le suis sous la douche. J’aurais envie que ce moment dure, mais je sens déjà venir le moment où il faudra remettre ses habits…
Sous la douche, il est derrière moi et me savonne. Rapidement, je reprends forme… Il dit :
- Bon, moi je n’ai pas goûté…
Il s’agenouille et prend à son tour mon sexe en bouche. Jusqu’au bout. Tenant les couilles bien en main. Il suce divinement bien. Enlève régulièrement sa bouche et laisse sa main prendre le relai. J’y suis presque… Je le lui dis. Il me reprend alors en bouche. Très vite, trop vite, je jouis à nouveau. Mais j’ai trop donné tout à l’heure, et ce n’est qu’un jet, et sans doute pas très abondant, que j’arrive à lui offrir…
Et déjà l’heure de se rhabiller va venir.
Je pense déjà avec autant de nostalgie que de soulagement que Nicolas ne sera pas là à la séance de ciné de demain après-midi… Il sera déjà reparti dans son Poitou…

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!