Un Bon Masseur

Je m’appelle Willow et j’ai 24 ans je suis masseur professionnel dans un salon de la capitale. La plupart du temps je reçois mes clients au salon mais il m’arrive aussi de me déplacer. Ce qui fut le cas ce jour là… Un client venait de m’appeler d’urgence pour que je vienne car il ne savait plus bouger, il s’était coincé le dos et il lui était donc impossible de se rendre au salon... Je lui demande ce qu’il a fait et il me répond qu’il a dû se faire ça en coupant la haie du jardin. Mais je sentais bien à sa voix que cette histoire état inventée de toute pièce et que la vraie raison était d’un tout autre ordre. Une fois le combiné raccroché, je me mis à imaginer ce qu’il avait pu faire de si inavouable pour se coincer le dos. Tout y passait, mais je pensais surtout à un accident sexuel, en faisant l’amour trop fort à une quelconque partenaire, peut-être menottée au lit et bâillonnée… Plus le temps passait et plus je m’interrogeais et m’imaginais des scénarios.
Après une matinée chargée, par de nombreux clients et toutes ces pensées, je fermais le salon pour me rendre chez ce fameux client pour son rendez-vous. Je pris la voiture et j’ai roulé pendant une bonne vingtaine de minutes avant d’arriver enfin chez lui. Je sortis mes affaires de la voiture et allai sonner à la porte. Il vint l’ouvrir et me conduisit tant bien que mal, car il était tordu de douleur, dans le salon. Il s’appelle Cedric, et doit avoir dans la trentaine, il est grand, brun et deux piercings , un à l’arcade et un sous la lèvre inférieure.
Une fois ma table de massage montée, je lui demande de bien vouloir enlever ses vêtements et de passer une serviette. Il revient 5 minutes après, avec comme seul vêtement une serviette de bain attachée à ses hanches... Ce qui me permit de mater son corps de rêve… Il était parfait, juste ce qu’il faut de poils sur le torse, de beaux muscles et un magnifique tatouage dans le dos que je pus admirer une fois qu’il fut installé sur la table de massage.

Je sors mes huiles de massages et commence à le masser doucement pour commencer… Au fur et à mesure j’intensifie les mouvements pour essayer de le débloquer complètement. Je l’ai massé durant une demi-heure avant qu’il ne soit complètement rétabli. Je sentais bien qu’il appréciait ce traitement par ses râles de bonheur sous l’effet de mes doigts… Il poussait régulièrement de petits gémissements. Profitant que j’étais là, il me demanda de regarder à sa cuisse gauche car il s’était froissé un muscle le matin même. Comme j’avais fermé la boutique pour l’après-midi, il me restait du temps et donc j’acceptais. Il se mit sur le dos et j’examinais sa cuisse. Je lui demandais donc de se retourner et de se mettre sur le dos. Cette nouvelle position me permit de voir une partie de son entrejambe… Cette situation m’excitait et sentant la sève monter en moi je lui demande d’enlever sa serviette, d’une manière professionnelle, même si mes pensées étaient d’un tout autre ordre, car cela me dérangeait dans mes mouvements. Sans dire un mot il l’enleva et la jeta à terre. Il était maintenant complètement nu, là, couché sur la table. Profitant qu’il avait les yeux fermés, je jetais un regard furtif sur ce qu’il avait caché ou du moins partiellement caché jusqu’à maintenant… une magnifique queue très bien entretenue avec les poils coupés en triangle et les couilles totalement rasées. Un bonheur pour les yeux. Pour ne pas qu’il s’aperçoive de mon regard détourné, j’ai commencé le massage de sa cuisse, tout en continuant à donner des petits coups d’œil de temps à autre. Le massage ne le laissait pas indifférent car un début d’érection avait commencé. Je décidais d’étendre la zone de massage et de m’approcher de ce membre que je lorgnais depuis quelques minutes. Aucune réaction de sa part, je continue à me rapprocher toujours rien. Je trouvais ça fort étonnant et je voulais en avoir le cœur net. Après quelques hésitations je pris ce magnifique membre à pleine main. Je pensais qu’après ça il réagirait enfin et c’est là que je me suis trompé.
Je continue ce que j’avais commencé, pas question de faire marche arrière, je lui masse donc un peu l´entrejambe, puis je décide de passer à l’étape supérieure, la branlette ne l’ayant pas fait ouvrir les yeux, j’entrepris de le sucer. Il réagit en gémissant fortement… Sous l’effet de mes succions son membre gonfle de plus en plus. Je m’applique davantage pour le faire gémir encore plus, je lui donne des petits coups de langue… je passe de sa queue a ses couilles alternativement. Il se décide enfin à me parler : « Fous toi à poil pour que je puisse te baiser comme une bonne lope que tu es » Mon sang ne fit qu’un tour, j’obéis immédiatement. J’avais à peine enlevé mon boxer noir qu’il m’attrapa à la taille et me fit monter sur la table. Nous voici en 69. Je repris ce que j’avais commencé et m’appliquais du mieux que je pouvais pour bien le sucer. Lui de son côté fit pareil. Il suçait merveilleusement bien. Sa main droite me caressait les fesses et vint aussi titiller ma rondelle. D’un coup un seul il me mit en levrette pour pouvoir me défoncer de ses doigts. Il essaya d’y introduire un doigt en utilisant l’huile de massage que j’avais utilisée pour lui, pour que ses doigts s’introduisent mieux. Voyant que ça ne posait aucun problème (il faut dire que je me fais prendre assez souvent) il y introduit un second. Il faisait tourner ses doigts dans mon cul et je ne pouvais pas m’empêcher de gémir de plaisir. Mes gémissements l’encourageaient et il me mit un troisième doigt. Voyant que j’étais prêt il vida un tube d’huile de massage sur ma croupe pour s’assurer que sa queue passerait sans problème (il faut dire quand même qu’elle était assez large et faisait 19 cm de long), il attrapa une capote et s’approcha de mon trou. Je lui demande toutefois de ne pas me prendre d´un coup afin de pouvoir m´habi à la grosseur de celle-ci mais je n’ai pas eu le temps de finir ma phrase qu’il me pénètre d´un coup sec. Je sentais ses belles couilles frapper mes fesses… je poussait de grands cris tellement j´avais l´impression d´avoir été déchiré par son assaut mais très vite la douleur fit place au plaisir de sentir en moi cette belle queue.
Et en lui tâtant les couilles je me dis qu´il ne doit pas avoir craché son jus depuis quelques jours car elles me semblent bien pleines… Je le sentis m’écarter les fesses encore plus puis il a commencé un mouvement de va et vient de plus en plus long et de plus en plus agréable. Je bandais comme un taureau et mon anus se dilatait de plus en plus et les va et vient se faisaient de plus en plus profonds. Je ne pouvais m’empêcher de gémir de plus en plus fort. Il me disait « c’est bon hein ! T’aimes ça te faire défoncer le cul ! » Il a continué à me prendre de cette manière, entrant à fond puis sortant presque de mon cul, tout en m’écartant les fesses et en me répétant « putain qu’est-ce qu’il est bon ce cul …qu’est-ce qu’il est bon ! ». D’un coup un seul, il me retourna sur la table pour m’avoir face à lui. Là je m’aperçus que nous n’étions pas seul, dans l’entre porte se trouvait un autre homme plus jeune que lui, assez grand, mince, cheveux bruns. C’était le mec de Cédric. Il était en train de se branler devant le show que nous lui donnions. Il commença à s’approcher de nous… « Alors c’est une bonne lope ? ». A cela Cédric lui répondit tout en continuant à me pilonner de toutes ses forces « Tu n’as qu’à venir la tester… » Il ne lui en fallait pas plus, il s’approcha de ma bouche et me présenta sa queue que je m’empressais de sucer. Elle était encore plus grosse que l’autre, j’avais du mal à la rentrer complètement dans ma bouche. Il était lui par contre totalement épilé. Il monta lui aussi sur la table pour se mettre bien au-dessus de moi. Il avait l’air d’apprécier à en juger par sa respiration saccadée… mais apparemment pas assez à son goût car il reprit les choses en main et commença à me baiser la bouche et accélérant ses mouvements. Puis ils décidèrent de changer de position et pour ce faire, ils me jetèrent sur le canapé. L’autre homme prit la place de Cédric dans mon cul déjà bien ouvert et commença à me défoncer avec force. Mais Cédric ne voulait pas en rester là.
Il me fit lever et se mit en dessous de moi. Je me retrouvais face à lui. Il fit entrer sa queue dans mon cul et recommença ses mouvements d’avant. Puis soudain je sentis une autre présence s’approcher de mon petit trou à bites. C’était l’autre homme, il tentait de faire rentrer à son tour sa queue. Il y alla de toute sa force, ce qui me fit crier plus fort que jamais. J’avais mal mais en même temps c’était bon. Ils me pilonnaient tous le deux, le mal s’était transformé en un plaisir jouissif. Je ne pus me retenir plus longtemps la jouissance montait et je finis par cracher sur le cuir du canapé. Ils se retirèrent de mon trou de lope et Cédric me dit : « Mets-toi à genoux. Tu vas me lécher ton foutre que tu as mis sur mon beau canapé, sale petite lope, lèche jusqu’à la dernière goutte il ne doit rien rester. » Je m’applique à lécher le foutre à pleine langue pour ne rien laisser. Une fois fini, Cédric me plaque sur le canapé et me présente sa bite à sucer et s’attaque à la mienne. Pendant que nous étions dans cette position, l’autre homme, qui n’en avait visiblement pas assez s’approcha une nouvelle fois de mon trou a bites et y enfonça, après avoir mis une autre capote, la sienne. Il ne valait même plus la peine de me préparer j’étais tellement dilaté qu’elle fut rentrée d’un coup. Nous restâmes dans cette position une bonne dizaine de minutes, jusqu’à ce que celui qui me trouait littéralement, poussât de grands cris. Il sortit de mon cul, enleva la capote et approcha sa queue de mon visage, Cédric lui laisse la place pour qu’il puisse m’enfoncer sa grosse queue dans la bouche. Cédric vint une nouvelle fois s’occuper de mon cul, pendant que l’autre me baisait la bouche, jusqu’à ce qu’il me jouisse dans la bouche m’obligeant à avaler. Au même moment je sentis que les mouvements de Cédric s’accéléraient de plus en plus fort jusqu’à ce qu’il crache à son tour tout au fond de mon cul.
Nous restâmes un moment dans cette position, moi toujours avec une queue dans la bouche et une dans mon cul. Puis ils vinrent tous les deux s’occuper de la mienne pour me faire cracher une nouvelle fois. Il entreprirent de me sucer à deux et il ne me fallut pas longtemps pour tout envoyer. Après quelques minutes nous nous sommes habillés et pendant que je rangeais mon matériel Cédric est venu me demander un rendez-vous pour la semaine prochaine tout en me tendant une liasse de billets, mais cette fois-ci je devrais prendre l’après-midi entière car il m’a dit qu’il aurait beaucoup de travail à me donner. Puis il me roula une langoureuse pelle et me dit à l’oreille « Tu es une bonne lope et tu as un merveilleux garage à bites, tu as intérêt à être en forme la prochaine fois » Je sortis de chez eux et n’avais qu’une chose à l’esprit : j’avais hâte d’être la semaine suivante.

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