Collection Histoire Courte. Noël Sous Les Cocotiers, Premier De L'An À Paris (2/2)

C’est un soir de Noël par Noël jeune martiniquais que j’ai perdu ma virginité du moins je le croyais sur une plage et sous les cocotiers.
J’avais voulu prendre mon envol et je m’étais retrouvée avec un ventre s’arrondissant.
Ma mère est allée trouver la mère de Noël qui a avoué m’avoir fait l’amour et a assumé en m’épousant.
Mon mari descend des esclaves ayant traversé l’Atlantique pour venir couper les régimes de bananes sur cette île.
Plusieurs générations et mon mari travail lui aussi en homme libre dans les bananerais.
Il a évolué et s’occupe des pesticides l’exploitation où il travail, voulant passer au bio.
Je travaille dans la boutique de souvenirs de mes parents et ma grossesse m’oblige à envisager de travailler définitivement avec eux.
Nos mères précipitent nos noces et c’est le soir dans la chambre nuptiale que je comprends pourquoi pensant avoir très mal, j’ai eu une petite douleur.
Sa verge est riquiqui mais a pu tout de même expulser suffisamment de sperme pour que je mette Mareva au monde.

J’avais été étonné du visage de celui qui m’a appris ma grossesse.
Je suis retourné le voir car il est aussi médecin accoucheur de l’île du moins de Fort de France.

- Vous semblez avoir tiqué quand vous m’avez examiné docteur et décelé ma grossesse.
- Votre mari, puisque je vois qu’aujourd’hui que vous êtes mariée en a une petite !
- Comme j’ai dit riquiqui docteur.
- Il est entré en vous et ce sont les gicler de son sperme qui sont entré au fond de votre vagin.
Votre hymen a un peu souffert mais est encore là.
- Je resterais vierge toute ma vie ?
- Non, soit je vous opère et je fais chirurgicalement ce que la verge de votre mari aurait dû faire naturellement.
Vous avez fait l’amour avec votre mari depuis cette première fois certainement le soir de Noël sous les cocotiers.
- Vous étiez là docteur j'étais un peu saoule ayant bu du rhum.


- Non, mais je vois le nombre de semaines de votre grossesse et ça correspond à peu près à cette soirée.
En ayant des rapports avec lui jusqu’à votre accouchement il peut finir par le briser.
Faites l’amour en levrette, il ira plus loin en vous.

À part maman avec son amant à grande verge, le sexe et moi ça fait deux, levrette, qu’est-ce que c’est ?

- Si vous arrivez à terme comme vous êtes, ce sera votre fille qui vous l’éclatera.

Pour éviter de lui poser la question sur la levrette, je lui dis que ce sera la troisième solution si d’ici là Noël et sa petite verge me laissera dans cet état.

C’est ce qui s’est passé et aujourd’hui, je suis sur les Champs Élysées pour la fin d’année en voyage de noces après presque deux ans de mariages.
Deux ans de légère frustration, la verge de mon mari chaque fois qu’il m’honore comme un lapin car en plus il est éjaculateur précoce, j’ai quelques frissons mais peu ou pas d’emportement.

La levrette grâce à Ana-malia ma copine lesbienne qui me l’explique rigolant de mon ignorance.

- Dix, neuf, huit, sept, six, cinq, quatre, trois, deux, un, zéro.

Le décompte de cette nouvelle année nous venons de le faire au milieu d’une multitude de gens de toutes nationalités en regardant le décompte pour l’année nouvelle.
Mon portable sonne.
Je le sors, j’ai le temps d’entendre que c’est maman qui malgré le décalage horaire veut me souhaiter bonne année et surtout me passer ma fille qui en plus de papa et maman dit quelques mots.
On me bouscule, j’échappe mon portable.
J’essaye de le retrouver dans la nuit malgré l’éclairage de fêtes de l’avenue, mais je vois un talon l’éclater.
J’aurais voulu que mon mari m’embrasse, mais c’est une bouteille de champagne que lui tend un homme qu’il a aux lèvres.

- Bois pays, bonne année.

L’homme récupère sa bouteille et me fait boire.

On sait les effets de l’alcool sur moi surtout que dans les minutes suivantes, je biberonne deux à trois de ces bouteilles.
Je tiens la main de mon époux quand un homme démarre la musique d’une farandole avec son portable.
La chenille je crois.
Elle démarre et je sens une jeune femme me prendre la main et m’entraîner dans une course me faisant lâcher la main de Noël.

- Noël, Noël.
- Tu es saoule c’est le premier de l'An.

Dans le bruit plus même le vacarme de cette foule, la musique me semble bien loin et Noël aussi.
La jeune femme est vite remplacée par un groupe de jeunes de mon âge et je sens que la foule est moins dense.
Je suis entraînée dans une rue adjacente.
Combien sont-ils, sept ou huit autour de moi, l’un me fait passer entre deux voitures baisse son pantalon et me force à le sucer.
L’alcool aidant aucune rébellion de ma part quand il m’appuie sur les épaules.
Je prends cette verge plus grande que celle de mon mari en main et je le masturbe lui faisant une fellation.
Quelques mouvements et je sens le sperme dans ma bouche, gicler sur mon visage et couler sur ma polaire.
Ma polaire achetée à l’aéroport car bien que la température soit clémente à Paris pour cette nouvelle année, j’avais froid.
Ces polaires, de couleurs différentes qui font ressembler la plupart des Parisiens aux bibendums de ma jeunesse.

- Christian amène ta copine, on va chez moi, on a plus de carburant.

Le garçon qui vient de décharger dans ma bouche m’aide à me relever et me tire jusqu’au bout de la rue.
Combien de garçons et de filles trois pour ces dernières.
L’ascenseur dans lequel je monte peut contenir quatre d’entre nous.
J’ignore combien de voyage fait-il, je l’ignore mais je me retrouve dans un logement de haut standing.
Le garçon que j’ai sucé et celui qui se frotte à moi est élégamment habillé.

- Allez dans mon frigo, il est rempli de champagne, les filles mettez-vous à l’aise vous savez que votre soirée va être chaude.

Tu es mignonne toi, c’est la première fois que je te vois.
Enlève cette doudoune fait nous voir ta carrosserie.

Celui qui me dit ça, c’est le maître de maison.
Thierry à ce que j’entends dire.
1 mètre 90, la trentaine, les tempes grisonnantes, bien bronzés surtout pour un mois de décembre.
Pardon janvier, minuit est passé.
La chaîne joue un rock.
Maman m’a appris à danser.
Thierry me prend la main et commence à me faire tourner.
J’ai fait des pas de rock mais là, je vole littéralement au-dessus de lui pour qu’à la fin du morceau il me fasse glisser le long de son corps.
Je fonds littéralement surtout qu’au repos le temps qu’il me prenne la bouche que je lui abandonne, je sens son sexe du type de celui que maman recevait.
J’ai appris depuis deux ans bien des choses grâce à mon amie.
Pour elle j’ai de la chance d’avoir épousé un black, ils sont montés comme des boucs.
Si vraiment elle savait !
La levrette aussi je connais que de nom n’ayant jamais osé demander à Noël de me prendre dans cette position.
Mes seins bien développés depuis la naissance de Mareva sont eux aussi à la fête, mon chevalier servant sachant les caresser.
Thierry, je l’appelle déjà Thierry lâche un de mes seins et récupère une bouteille.
Il boit, je bois, il me fait couler du champagne entre mes mamelles le liquide descendant jusque dans ma petite culotte.

De fil en aiguille alors que je devrais partir en courant.
Non seulement je reste mais quand je me retrouve en levrette sur un canapé la verge de Thierry qui entre en moi me donnant l’impression de prendre un temps infini à ce que son ventre touche mes fesses.
Comment pendant une telle charge, mon corps pourrait oublier de réagir ?
Il le fait et au moment où nous avons une jouissance simultanée, je comprends malgré le brouillard qui m’entoure qu’à ce jour j’étais mère sans être femme.

Je suis tombée sans le vouloir chez une bande de partouzeuse et jusqu’au matin, je participe, pardon, mon corps participe à la fête.

Je suis dans une chambre avec Christian le garçon que j’ai sucé dans la rue.
Il est en moi, je monte et je descends le long de sa verge moins impressionnante que celle de Thierry.
Dans mon dos je sens une présence.
Une verge est là et encore une fois sans que je me rebelle je me fais enculer et prendre en double pénétration jusqu’à l’explosion des deux verges et de moi aussi il va de soi.

Qu’elle nuit quand je me réveille j’ai conscience de ce que j’ai fait le brouillard ayant fait place à un léger mal de tête.
J’arrive à retrouver mes affaires et Thierry dans sa cuisine.

- Comment tu t’appelles, on a baisé toute la nuit sans savoir qu’elle est ton nom ?
- Corinne, Thierry, cette nuit j’ai été folle.
- Tiens, je t’ai noté mon numéro de téléphone sur ce papier.
Tu peux m’appeler à tout moment, j’ai bien aimé la fraîcheur que tu as montrée toute cette nuit de la Saint Sylvestre.
Tu habites dans le coin.
- Non à Fort de France, je suis en vacances mais j’ignore où est mon hôtel.

Il me regarde avec un air interrogatif.

- J’étais sur les champs avec mon mari quand une farandole m’a entraîné et je me suis retrouvée au milieu de tes amis.
- Peux-tu me donner des indices où serais ton hôtel ?
- La seule chose dont je me souviens c’est que c’est près de la place de la République.
- Attends, j’interroge mon portable.

Il me donne plusieurs noms, tous m’étant inconnus.

- Je me souviens que Noël a parlé d’un écrivain français.
- Le Voltaire République.
- C’est ça, merci je vais pouvoir retrouver ma route.
- Dommage que tu habites si loin, tu es une femme ayant du chien, j’aimerais trouver une femme comme toi.
Je t’appelle un taxi.

Nous nous embrassons, je mets ma doudoune ne voyant pas les traces de sperme qui sont dessus.
J’arrive à l’hôtel.
Noël dort, il se réveille, il est en colère.

- Où étais-tu, regarde ta dégaine, une vraie salope ma pauvre.
Sur ton visage et sur ton blouson les traces de tes saloperies sont devant mes yeux.
Quand nous rentrerons à Fort de France, je demanderais le divorce.
Une pute, voilà ce que tu es, je vais te faire enlever ta fille.

Je vois que Noël semble ignorer son problème sexuel alors que dans la nuit j’ai compris qu’avec lui il me sera impossible de jouir comme toute femme en as le droit.

- Passe-moi ton portable, le mien a été cassé sur les champs Élysées.

Je le prends sur sa table de nuit.
06…

- Allo Thierry peux-tu venir me chercher.
Bien je serais en bas de ton hôtel.

Sous le regard médusé de petite bite, même black, je ramasse mes affaires et je quitte la chambre.

- Tu viens de perdre ta fille.

Je sais, passant la porte et l’entendant prononcer cette phrase.
J’ai bien conscience qu’avec l’avocat que je vais devoir prendre ici, je vais devoir me battre pour la récupérer.
Je sais aussi que si je rentre au pays, mes parents et beaux-parents feront tout pour que je reste avec cette moitié d’homme incapable de me satisfaire.
Que me réserve ma vie à Paris quand je monte dans la Ferrari de Thierry et qu’il m’embrase sur la bouche sans me faire de réflexion sur les traces de spermes qui y sont toujours.

Bonne année à vos lecteurs des textes de Chris71 qui va devenir ma lecture favorite.
Le libertinage semblant être la ligne de conduite de celui qui conduit d’une main l’autre ayant remonté ma robe me caresse l’entrejambe.
Je vous promets de tout vous dire dans les mois prochains sur ce que je vais vivre avec passion, de gigantesques queues blanches.

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