Collection Histoire Courte. Le Carnet De Tous Les Vices (1/1)

- Jennifer, il y a trois mois que nous sommes mariés, une question me taraude l’esprit depuis longtemps.
Quand nous avons fait l’amour la première fois, j’ai bien senti que tu avais déjà connu un homme.
Ma queue n’a senti aucune résistance et est ressortie sans la moindre trace de sang.
Combien as-tu eu d’amants ?
- Pierre-Jacques, euh.
- Tu sembles hésiter, un, deux !
- Oui, c’est ça deux.
- Tu es loin d’être convaincante, je pourrais te demander qui t’a dépucelé, mais cela t’appartient, je te demande simplement le nombre.
- Tu as raison, je vais être franche trois hommes et une femme.
- Oui, j’ai eu une expérience avec une amie, mais c’est la seule fois avec une femme.
- Et toi ?
- Une seule fois avec une femme et une fois avec un homme.
- Toi aussi tu as eu une expérience homosexuelle !
- Rapide, le garçon m’a juste caressé la verge et j’ai de suite déchargé dans mon slip, on en est resté là.
- L’as-tu embrassé ?
- Ça va pas, traite-moi de PD pendant que tu y es !
- Homosexuel, un homme avec un homme ce sont des homosexuels, mais tu m’ennuies, j’aime tellement que tu me fasses l’amour.

Je prends Jennifer dans mes bras, nous nous embrassons et je me couche sur elle pour la pénétrer.
Dix minutes après, nous nous retournons pour dormir chacun dans notre chambre.
Je suis satisfait, j’ai fait jouir ma femme et elle m’avoué le nombre d’amants qu’elle a eus.

Deux jours plus tard, j’att une grippe, je tiens la chambre pendant trois jours.
Aujourd’hui je me sens mieux, je range quelques affaires dans mon armoire.
L’idée me vient d’aller dans sa chambre, fouiner, j’adore ça.
Son armoire ouverte, entre deux chemisiers dont le rouge que j’adore car il met ses seins en valeur et surtout parce qu’elle le portait le jour où je l’ai rencontrée.
Le touchant, je vois le coin de ce qui semble être un gros carnet sortir.



Peu enclin à trouver les secrets de ma femme, il semble que ce soit comme un journal intime, je le repousse sans le prendre en main.
Mais j’ai un petit problème, je suis curieux de nature, que peut bien écrire mon aimée, parle-t-elle de notre vie depuis notre mariage !
Au moment de ma sieste, je vais le récupérer et même si j’ai des remords, je l’ouvre.
Je m’aperçois page 5 que chacune est numérotée.
Dernière page, 500, je remonte, la dernière écrite 269, je retourne à la page 1.

« Je commence ce journal sans savoir où il va me mener.
C’est à la page 10 que je décide de l’ouvrir, me rappelant ceux qui ont été les 10 premiers.

Page 1 : Tonton 19/20.
19/20 car il m’a dépucelé dans la cuisine quand papa et maman étaient partis au salon de l’auto choisir leur nouvelle voiture.
Cette note je la donne car si j’ai aimé qu’il fasse de moi une femme, j’ai eu mal à la chatte et la table de la cuisine en Formica me faisait froid aux fesses.

Page 2 : George le facteur 10/20.
Venu apporter un colis, il m’a baisé dans le vestibule, je lui mets la moyenne, mais faire ça debout dans le vestibule, ça a été inconfortable. »

Je prends conscience que, page par page, ce sont bien 266 amants qu’elle a eus, ma femme est une grosse salope.
Grosse, c’est beaucoup dire, 1m60, 48 kilos mais une belle poitrine qui m’a fait craquer le jour où je l’ai rencontrée chez des amis dont les familles étaient toutes de haut rang.
Je reprends ma lecture, elle m’a avoué avoir eu des rapports lesbiens, elle donne des noms et des notes.
Et dire que nous faisons chambre à part et dire que je pensais être satisfait de nos rapports.

« Page 5 : Mathilda. 19/20
Notre nouvelle bonne est entrée dans ma chambre sans frapper, je me donnais du plaisir avec mon gros godemichet.
Elle s’est excusée mais est tout de même venue déposer son plateau au bout de mon lit.
Je lui ai pris la main et c’est elle qui m’a baisée avec mon gode.

Elle s’est mise nue et nous nous sommes données du plaisir en 69.
Ma mère l'a virée quand elle a vu le café sur mon drap, j’ai bien aimé faire ça avec une femme. »

C’est fou, mais il manque une chose, la date, chaque fois qu’elle s’est fait baiser.
Je tourne les pages, allant au plus près de la 260ème.
C’est à la 262ème que je vois mon nom.

« Page 262 : Pierre-Jacques 3/20. Nuit de noce.
Pierre-Jacques m’a conduite dans ma chambre, il a soulevé ma robe blanche et sans que je voie sa verge, le tissu étant sur mes yeux, il m’a pénétrée.
Il a déchargé, Belle-maman a dû lui dire de devoir faire son devoir conjugal.
Heureusement je prends la pilule car hier Benoît m'a grandement baisée. »

Benoît, j’en connais un, impossible que la veille de notre mariage, elle se soit fait baiser par celui à qui je pense.

« Page 261 : Benoît notre curé, 18/20, un très bon coup.
Nous étions à l’église pour préparer la cérémonie de demain.
Pierre-Jacques était dans l’église avec les choristes, choisissant l’ordre des morceaux que sa mère nous imposait.
C’est dans la sacristie que je travaillais mon texte, lui disant mon amour.
Benoît est venu derrière moi et a soulevé ma jupe.
Il m’a directement enfilé, j’ai joui grâce à sa grosse queue et surtout à savoir que mon cocu de futur mari pouvait entrer à tout moment. »

Le curé, il aurait pu faire partie des quatre premiers, mais il est à la page 261.

« Page 263 : C’est la dernière fois que je mentionne les fois où Pierre-Jacques vient essayer de me faire un .
Il est loin de mériter que je perde mon temps, il vient de me demander combien j’avais eu d’amants.
Ce con a gobé que j’en ai eu seulement quatre et dire qu’il a failli tourner PD.
Il m’a fait l’amour, je réussis à lui faire croire qu’il me fait jouir.
Je lui ai lâché mon expérience lesbienne, avec Mathilda, ça a crédibilisé mes trois autres fois dont mon dépucelage par Tonton.

Il lirait les pages 80, 86, 153 et 201, il verrait que j’adore me faire brouter la chatte.
Mathida m’avait ouvert à ces plaisirs alors pourquoi m’en passer. »

Je lis toutes ces pages, la salope, mais ça je l’ai déjà dit, la salope, une vraie gouine.
Je comprends maintenant pourquoi je suis entré dans sa chatte comme dans du beurre.
Elle se faisait fister, en page 86, par Anita une Espagnole rencontrée pendant leurs vacances à Malaga où ses parents ont une villa.

Page 201, Cruella, c’est le seul nom qui est donné à une note elle aussi de 19/20 car en plus de sa chatte avec son autre main elle se fait fister l’anus.
Il est sûr que son cul restera vierge de ma queue, c’est dégradant de se faire remplir le vagin et l’anus par des mains, fussent-elles celles d’une fille.
Pourtant à la lecture de ses turpitudes, je bande.
Jamais ma verge n'a autant bandé.
Dire que j’ai épousé une pute et que je vais devoir divorcer.
Pourtant je l’aimais bien.
Je veux en savoir plus, je lis la page 264 avant qu’elle ne revienne de ses turpitudes, nul doute qu’elle profite de mon travail à la banque de mon père pour se faire sauter par tout ce qui a un sexe, mâle ou femelle.

« Page 182 : Abdalas et Youssef. 16/20. Black et rebeu.
C’est dans un bar qu’ils m’ont abordée, ils m’ont fait rire, j’ai aimé et j’ai fini dans la chambre d’Abdalas.
J’ai connu la double pénétration avec eux.
Nouvelle pratique, nouveau plaisir.
À rééditer. »

Elle a tout connu, mais ce qui va déclencher en moi ma réaction, c’est la page suivante.

« Page 183 : Abdalas, Youssef, Youssouf. 19/20.
J’avais laissé mon numéro de portable, Youssef m’a rappelée.
Après-midi merveilleuse, ils m’ont baisé sans me laisser le temps de reprendre mon souffle.
Surtout quand l’un des trois me mettait sa bite en bouche pendant que les deux autres me prenaient ensemble.
L’après-midi a commencé par un jeu nouveau pour moi.

Youssouf, pour se faire connaître, m’a couché sur ses genoux.
Quand j’écris ces lignes, je sens encore les claques qu’il m’a appliqués sur mon joufflu., il est tout rouge, mais ma chatte a inondé ses pieds. »

Le soir, j’entends qu’elle est rentrée, qu’a-t-elle fait ?
Est-elle allée voir une lesbienne ou un amant, même black ?
J’ai remis son carnet à sa place.
Je me rends dans sa chambre, elle est nue et surprise de ma venue à cette heure.

Je la prends par un bras, m’assois sur son lit et la couche sur mes genoux.
Je suis venu nu, ma queue commençant à se tendre sachant le plaisir que je vais avoir à lui faire voir qui est le mâle chez nous.
Ma main se lève avant qu’elle ne proteste et s’abat au plus fort que je suis capable de le faire.
Le temps que je frappe est anecdotique, elle se tortille et semble finir par aimer.
Je sens ma queue se tendre sous son ventre.
Quand je considère qu’elle en a assez ramassé, moi si frêle en temps normal, je sens que mes forces sont décuplées, même si la main me fait mal.
Je la place en levrette sur son lit et venant derrière elle, je l’encule jusqu’au moment où je décharge.
Elle est épuisée et tombe sur le lit.
Je veux définitivement lui faire voir qui est le mâle dans ma maison.
Elle dort recroquevillée sur elle-même.
Je la tire par ses cheveux, un petit nombre restant dans ma main.
J’approche sa bouche de ma verge maculée de mon sperme.
Elle comprend que je veux qu’elle me pompe et me nettoie la verge.
Elle s’acquitte de son travail jusqu’à ce qu’elle boive mon sperme.
Plus tard, j’ai repris son carnet.

« Page 270 : Pierre-Jacques. 20/20. »

Sans autre commentaire.

Dans les jours suivants et même les mois, je réédite cette soirée qui lui a fait comprendre que j’avais compris la chienne qu’elle était.
Je lui ai ordonné d’arrêter la pilule ce qu’elle a fait avec des yeux enamourés.

Chaque fois que je suis seul, je vais dans son armoire.

« Page 271 : Pierre-Jacques, 25/20. Fin. »

Depuis je vérifie, ce mot « fin » semble le mot définitif dans notre couple et surtout la fin du petit carnet de cette vicieuse.

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