Collection Histoire Courte. Pute De H.L.M. (1/1)

Qu’il est plaisant de tromper sa femme sans qu’elle le sache, surtout quand elle rechigne au lit !
À quarante ans, le démon de midi m’a pris lorsque j’ai rencontré la fille de la femme qui m’a défloré, il y a 22 ans.
Véronique à 21 ans, il est impossible qu’elle soit ma fille, j’avais quitté sa mère Louisette un an avant sa naissance.
Elle a été conçue par mon meilleur copain d’école qui m’en veut encore d’avoir couché avec celle qu’il voulait épouser.
Ce que j’ai oublié de dire à Gérard, c’est que c’est un autre qui l’avait dépucelée.
Nous habitions à Aix-en-Provence dans ces années-là, dans la cité beaucoup disaient : « Louisette c’est la pute de notre H.L.M. »

Dans cette période, le bruit avait circulé qu’elle était tombée enceinte sans savoir qui était le père, après une soirée dont elle seule avait le secret et où elle avait eu une multitude de partenaires.
Partenaires qui la besognaient avec protection, mais un accident de capote, sans qu’elle sache lequel lui avait envoyé du sperme au fond de sa vulve et lui avait fait gagner le gros lot.
Lorsqu’elle a appris qu’elle était grosse, elle a caché sa grossesse à son père.
Elle le craignait, mais l’appel du sexe lui faisait faire n’importe quoi.
Gérard engagé dans la marine et habitant Toulon, venait en permission de temps en temps chez ses parents.
Il était entré dans la marine à 16 ans et ne connaissait pas la réputation de notre petite salope.
Elle la conduit dans son lit baisant sans protection et quelque temps plus tard, lui annonçait sa grossesse.
L’amour qu’il avait pour Louisette était si fort, qu’il a tout gobé sans sourciller.
Ce con l’a conduit à la mairie, lui rendant une certaine virginité.
Il était fier de dire à qui voulait l’entendre que c’est en la déflorant qu’il lui avait fait sa fille.
Je n’avais pas participé à la soirée de baise intensive, il s’est dit qu’au moment de l’accouchement elle présentait une certain panique.


Parmi les garçons qui l’avaient sautée ce soir là, il y avait deux frères blacks qui habitaient l’immeuble.
Le jour de la naissance, Gérard en permission spécial lui tenait la main et l’aidait à pousser.
Que c’est beau l’amour.
Ils ont quitté l’immeuble pour aller habiter à Toulon.
Pour ma part, j’ai moi aussi quitté Aix pour l’étang de Berre et épousé Agnès qui était directrice adjoint des Relations Humaines d’une grosse société pétrolière de la région.
Depuis, elle a pris le poste de Directrice en chef et c’est à ce moment là que tout a dérapé entre nous.
Sa promo a modifié ses heures de travail, elle devenait cadre supérieur à la disposition de ses patrons.
Je l’attendais au plumard, un, deux et même trois mois à me taper des pignoles en regardant le porno de Canal+.
C'était trop.
Ce n’est pas humain pour un homme dans la force de l’âge, maîtrisant impeccablement le sexe.
Ce que j’oublie de dire, c’est que je m’appelle Gaétan et que je travaille dans la même société.
C’est le jour de mon embauche que j’ai fait la connaissance d’Agnès qui venait-elle aussi de débuter en sortant de sa formation au poste de D.R.H.
Elle m’a reçu, car sa supérieure qui devait s’occuper de mon dossier, s’est retrouvée au lit avec une fièvre carabinée.
Elle a étudié mon profil et m’a donné rendez-vous trois jours plus tard le temps de regarder les différents postes qui pouvaient me convenir après notre tête-à-tête dans son bureau.
Nous étions un vendredi et le lendemain comme tous les samedis, j’étais sorti guincher dans la boîte de nuit du coin.
J’étais loin de penser que je tomberais sur Agnès.
Elle était là et se trémoussait au milieu de la piste.
C’est sur mon sexe qu’elle a fini par se déhancher dans ma chambre où j’avais réussi à la faire finir la soirée.
Elle m’a dit quelque temps plus tard qu’elle avait flashé sur moi pendant l’entretien et qu’elle avait même mouillé sa petite culotte avant la fin de notre rencontre dans le cadre professionnel.

Elle aurait pu me donner un poste dès ce jour, mais elle voulait me revoir dans son bureau afin que je reste hors de la masse des ouvriers de l’usine.
Le lundi, j’étais anxieux, le travail étant difficile à trouver.
J’ignorais si comme les mantes religieuses, cette femme ayant eu plusieurs orgasmes sur ma verge dans la nuit avait la reconnaissance du ventre.
N’allait-elle pas en rester là et m’envoyer trouver du travail ailleurs ?
Après une fin de nuit torride, le dimanche matin elle m’a quitté pour se rendre à un repas de famille.

En arrivant, la porte fermée, nous nous sommes embrassés avec fougue.
La main sous sa jupe m’a montré qu’elle n’attendait que ça, ayant omis de mettre une petite culotte.
Une journée sans ma bite devait lui avoir paru longue, car c’est sans attendre que je l’aie prise sur son bureau.
Une vraie chienne, tout y est passé, j’ai même pu pour la première fois la sodomiser.
Je suis sorti de son bureau nommé à un poste de maîtrise, je devenais chef d’une équipe de maintenance.
Nous nous sommes mariés rapidement et avons fait construire une belle villa sur les hauteurs dominant l’étang.
J’ai vécu un grand nombre de belles années sans problème, ni d’argent, ni sexuel.
Cette maudite promotion est arrivée et j’ai commencé à faire rideau sexuellement.

Ma maman habite toujours à Aix et je vais la voir de temps en temps.
En allant la voir seule, à la sortie d’Aix, j’ai vu cette jeune fille qui faisait du stop.
Elle avait un air connu pour moi, comme si je l’avais déjà vu.
Cette impression fugace m’a fait arrêter ma voiture et attendre qu’elle me rejoigne.
Elle allait à Marseille ce qui n’était pas vraiment ma direction.

- Je peux vous rapprocher !
- Je vais dans la banlieue de Marseille, pouvez-vous m’emmener ?
- Montez, vous me guiderez.

Nous sommes arrivés devant une maison, plutôt un petit pavillon, construit en mitoyenneté les uns des autres.


- Venez, ma mère est absente pour le week-end, je vous offre un café.
- Je vais vous déranger.
- Venez.

Dans la salle à manger, j’étais assis sur le canapé, face au buffet bas.
Plusieurs cadres avec des photos dont une qui attira mon attention.
Une femme blonde tenant dans ses bras une petite fille d’environ deux ans m’a intrigué.
J’ai très vire reconnu Louisette qui tenait Véronique dans ses bras.
J’étais chez la femme qui m’avait dépucelé et la jeune fille devant moi était Véronique cette conçu dans les caves de notre HLM.

- Tu t’appelles Véronique !
- Oui, comment pouvez-vous le savoir ?
- Sur cette photo, j’ai reconnu Louisette mon amie de jeunesse.
- C’est bien elle, c’est drôle que vous la retrouviez ici.
- Ton père, je ne vois aucune photo de lui, c’était mon copain d’école.
- Non, maman les as toutes virées, il nous a quittés quelques mois après ma naissance.
- Sais-tu pourquoi ?
- Oui, d’ailleurs il y a peu, ma mère m’avait toujours caché le motif.
Après leur mariage mon père étant marin était fier de sa femme qu’il disait avoir défloré.
Souvent il invitait ses copains à la maison dans le quartier de bon Rencontre.
Ce qu’il ignorait, mais c’est difficile à dire, ça reste maman.
Tant pis, je le dis, elle a fini par faire la pute avec tous ceux qui voulait venir la voir moyennant quelques billets.
Notre appartement était devenu un vrai lupanar, on peut même dire un vrai bordel.
Plus il y en avait qui venaient, plus elle leur demandait d’en faire venir d’autres.
Chaque fois qu’il était de service à la base des sous-marins, ils venaient à plusieurs l’honorer.
J’étais la témoin inconsciente de ses débordements, étant trop jeune pour comprendre.
Elle me couchait et les recevait étant certaine que je dormais.

Pendant qu’elle me raconte l’histoire de sa mère, sans m’en rendre compte elle se rapproche de moi.


- Un soir où il était de service étant mécanicien, son supérieur lui a proposé de rentrer, car aucun sous-marin n’avait sollicité l’équipe de nuit, il avait une crève carabinée.
Rentrant chez nous, il a trouvé Louisette prise en sandwich avec une bite dans chaque main et une dernière dans sa bouche.

À ce stade de son histoire Véronique réussi à rejoindre le creux de mon bras et à se lover contre moi, me regardant en levant la tête.

- Il s’est fâché et l'a mise dehors avec moi.
- Un des marins qui était son amant nous a recueillis, elle a fini par travailler à Chicago.
- Tu connais ?
- Oui, la basse ville de Toulon, près de l’arsenal, lieu de sortie des marins dans les bars où ils trouvent des filles de joie.
- Je vois que vous connaissez, c’est de là que je venais quand vous m’avez prise en stop.
- Tu fais la pute là-bas ?
- Pas encore, je dois revoir le patron demain, je suis sûre qu’avant de m’embaucher me laissant une place dans son bar, il veut me baiser.

Un chien ne fait pas des chats, ma mère est une pute, je suis appelée à le devenir aussi.

- Véronique, tu te trompes, il n’y a pas de fatalité dans la vie, notre route, certes est tracée, mais c’est toujours après des décisions que nous prenons.
Regarde, tu es venue te lover dans mon bras alors que je suis bien plus vieux que toi, ce n’est pas pour autant que je ne bande pas, même si j’ai été l’amant de ta mère.
- As-tu envie de moi, laisse-moi voir ?

Disant cela, elle me met la main sur mon pantalon.
Elle me sort la bite, je me laisse faire, c’est si surprenant.
Sa bouche est pulpeuse, je m’astreins à éviter de penser à celle de sa mère.
J’ignore si cette aventure débutante perdurera, mais si dès cette première fois, je compare Louisette à Véronique, ma vie va devenir un enfer.

Ce n’a pas le cas, surtout l’ayant dévêtue et couchée sur le canapé, je la prends sans aucune résistance de sa part se donnant carrément à moi.
Certes, ce n’est pas une jeune fille vierge que je finis par faire venir habiter chez moi.
Mais ce jour mon fils vient au monde, il me ressemble trait pour trait quand je regarde nos photos à la naissance.
Photo de celle que l’on fait avec le bébé sur un coussin relevant la tête, nu bien sûr.
Pardon, même tête, trait pour trait, mais on me reconnaît par rapport à lui.
À l’époque où mes parents l'ont prise, les photos était en noir et blanc, la sienne est en couleur.
Je suis bête, j’oublie de dire que pour m’occuper de Véronique en toute légalité, j’ai divorcé. Nous refusons tous les deux le mariage, peut-être un Pacs un jour !

Je m’excuse de vous quitter, ce coup-ci tout est dit.
Surtout que je vois Véronique nue sur notre lit.
Après Hugo qui dort en suçant son pouce, son ventre rond m’attire comme un aimant. Malgré notre fille que nous attendons dans peu de mois, ma bite tendue va être à la fête.

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