Collection Histoire Courte. Baisée Sous Les Pins (1/1)

Encore un été caniculaire pendant nos vacances de septembre.
Nous avons marié notre fille unique en juin.
Première fois où nous nous retrouvons seuls dans la petite maison de mes parents dont j’ai hérité au bord de la mer.
Salvina est partie avec John son mari habiter à New York avant de travailler dans l’entreprise dans son entreprise.
Nous avons quelques centaines de mètres pour nous retrouver sur la plage de ma grande cote.
Dès que nous arrivons le premier jour sur le sable, la chaleur est telle que nous nous installons à sa lisière dans les pins.

Ça fait trois jours que nous venons, trois jours à l’ombre des pins avec aujourd’hui dans la glacière, de quoi ce soir manger à la belle étoile.
Aujourd’hui c’est son anniversaire alors ce pique nique m’est apparu plus sentimental que le classique restaurant surchargé à attendre des heures un plat nous retrouvant en tête à tête sans plus rien à nous dire.

Sous ses pins, la voûte céleste étant entièrement dégagée, je vais pouvoir la lover dans mes bras et avec elle mettre un nom sur chaque étoile.
De plus, c’est la période des étoiles filantes si nombreuses, qu’au bout d’un moment nous serions à court de voeux.

Ce matin, Sacha était contente, car malgré le décalage horaire, elle a eu sa fille en vidéo-conférence par une application sur son portable.
Quand je vois ma fille épanouie à côté de ce grand échalas roux, je rigole me souvenant qu’un jour, elle m’avait certifié un roux, moi jamais.

Avant que je connaisse Sacha, je me disais bien que ma femme serait plus petite que moi.
Elle me déplace de dix centimètres.
Quinze avec ses talons.
Quand je l’ai embrassé, la différence était pour moi inexistante.
Je venais de tomber follement amoureuse de ses yeux bleus et de ses boucles blondes.
La rumeur publique appelle ça un coup de foudre, alors la taille, certains diront que je m’en suis battu la queue.


Mais ça ce sont les gens vulgaires qui sont capables de tenir de tel propos.

Il a fallu que je regarde les photos de notre mariage pour voir la différence.
Mais le mal était fait et je l’ai épousé pour mon plus grand bonheur.
Je me verrais mal dire au juge « je divorce, car j’ai constaté que ma femme était plus grande que moi. »
Il crierait « oh ! fou » et il aurait raison.
Surtout qu’avec Sacha, sexuellement tout va bien.
Oui, mais je dois, le reconnaître, malgré ça, j’ai un fantasme de voir ma femme se faire sauter devant moi par un autre.
De là à aller sur les réseaux et demander à un bellâtre de venir sauter ma femme, il y a un monde dur à franchir.
Y a-t-il un être suprême qui voit dans nos pensées en cette fin d’après-midi alors que je suis assis le dos bien calé par un pin.
Le gâteau commençant à fondre et la bouteille de champagne devenant légèrement tiède, mais qu’importe, Sacha dans mes bras, est la plus heureuse du monde.
Du moins, c’est ce qu’elle vient de me dire en me regardant dans les yeux, grâce à la lune étant notre complice pour nous éclairer.

• Si tu me faisais un strip, j’adorerais !
• Avec seulement un maillot de bain.
• Attends, je mets de la musique, même un simple maillot si tu te tortilles, tu seras bandante.

C’est très pratique ces portables, surtout lorsqu’on a du réseau.
Elvis, le crooner des années 50 jusqu’au début 70.
Quand elle se lève légèrement titubante, le champagne l’aidant, elle commence à faire onduler son joli petit popotin.
Je dois reconnaître que malgré Salvina, elle a su perdre les kilos que sa grossesse lui avait fait prendre par des heures et des heures de courses à pied sur le tapis roulant que je lui avais acheté.
Elle courait tellement que certains soirs, je donnais le biberon à ma fille pour qu’elle puisse atteindre les dix kilomètres qu’elle avait programmés.
J’étais gagnant à deux titres, j’adorais m’occuper de ma fille et comme elle perdait ses rondeurs superflues, au lit, elle devenait de plus en plus tigresse pour son plus grand plaisir.


• Oui, balance bien mon amour, tu es la femme la plus bandante qu’il m’a été possible de connaître.

C’est sans problème que je dis cela.
Sabrina, c’est moi qui l’ai dépucelé alors qu’elle sait que depuis l’âge de 16 ans et jusqu’à notre mariage ou je suis devenue fidèle, je les compte à la pelle.
J’étais peu regardant, le principal s’était d’en tringler une, presque chaque soir.
Jeune, vierge, grosse, même si étant passé dans de nombreux bras, vieille, acceptant de tous faire, sinon je leur apprenais les positions du kamasoutra jusqu’à la sodomie.

• C’est ça, doucement dégrafe ton soutien-gorge, ils tiennent très bien tous seuls.

Les seins de Sabrina, même avec son allaitement après la naissance de Sacha qui la tétait goulument, ils ont retrouvé leur forme de poire avec un seul changement.
Ses tétons qui rentraient jusqu’à ce que je les titille avec ma langue qu’ils sont devenus si gros qu’ils semblent toujours en érection.

• Fait voir ta chatte, regarde, je bande.
• Sort là de sa cachette, je veux bien me tortiller pour le plaisir des yeux de monsieur mon mâle, mais moi aussi les miens veulent en avoir pour mon argent.

Je suis à deux doigts de lui répondre que s’ils ont dit le mot « argent, » c’est une pute !
Mais la connaissant si elle accepte d’être très cochonne avec moi, ce genre de mot est capable de briser ce que j’arrive à créer en ce moment
Je sors ma queue pour son plus grand soulagement, car devenant trop étroite dans mon slip de bain.
Pendant ce temps, Elvis a fait place à Cloclo sans aucun problème grâce à la lascivité du morceau.

• Viens me sucer, tu m’as assez excité !

Elle se met à quatre pattes devant moi, me prenant la verge en main.
Je lui prends les seins.
Elle frisonne malgré la chaleur de cette nuit d’été de canicule et la légère brise de mer.

• C’est bon, ma chérie, avancez, inutile de vous cacher, ma salope de femme vous attend, prenez là.

• Que fais-tu, tu veux me faire croire qu’un voyeur est derrière nous et tu lui proposes de me baiser ?

Elle veut se retourner, je bloque sa tête sur ma queue.

• Non, reste comme tu es, allez y pointer là, je la connais, elle est chaude et vous coulisserez facilement elle mouilles bien dans ces moments-là.
• Laisse-moi voir lâche moi la tête.
• Allez y, direct, je vais être obligé de la libérer.

Dis-je vrai où est-ce que je m’amuse avec elle.

• Oh ! il est entré direct, depuis le temps que je voulais te parler de mon fantasme d’avoir un autre homme qui me baise.
Oh ! Oh, ouiii.

À ce moment mon fantasme comme le sien est rattrapé par la réalité.
Je lui tiens toujours la tête, voulant qu’elle ressente sans voir qui la baise.
Je sais comment elle fait quand elle a un orgasme, celui qui la dévaste est phénoménal au point que quelques secondes, j’ai peur pour ma queue.
C’est d’une toute petite voix qu’elle me dit.

• Chéri, j’ai joint presque plus qu’avec toi, il vient de me remplir la chatte de son sperme.
Lâche-moi !
• Non, à vous prenez là !
• Tu es fou, tu vas me faire , ils sont deux.

Oui, deux, moi je sais s’ils sont jeunes ou vieux ce que je sais c’est que le deuxième s’agenouille derrière sa proie pour la prendre avec un engin pouvant me faire honte.
Mais c’est trop tard pour avoir des états d’âme.
La première saillie qu’elle a subi sans qu’elle se rebelle semble identique dès que le garçon est en elle.

• Il est gros, il va me défoncer.
Mon cœur, c’est pourtant très bon.

Une nouvelle fois pris par les hanches, le garçon coulisse en elle.
Assis comme je le suis, le dos bien calé le long de mon pin, la vue que j’ai de ce morceau entrant et sortant la faisant hurler de plaisir et lui déclenchant un nouvel orgasme manque de me faire décharger.
C’est le garçon voyant qu’elle a joui qui lui remplit son tabernacle.


• Lâche-moi, maintenant.
• Reste, as-vous.
Vous allez voir, elle va tortiller du cul comme avec vos copains.
S’il y a trop de sperme dans son vagin, enculer là, elle aime aussi.
Je la sodomise régulièrement, il va s’ouvrir comme une fleur.
• Un troisième, je suis morte, pour être un anniversaire, c’est un bon anniversaire.
Tu les connais !
• Pas plus que ça, j’avais le même fantasme que toi et quand je les ai vus derrière leurs arbres, j’ai eu l’idée de les inviter après la position que tu avais prise.

Le troisième l’encule directe lui aussi restant sur ses jambes et ressemblant à une grenouille pour la pilonner.
Par chance ce troisième garçon est bien moins monté que le deuxième, mais sa verge fine est bien plus longue.
Je sens ce qu’elle ressent quand ses couilles viennent battre ses fesses.
Avec mes 16 centimètres, les 25 à 30 qui la sodomise doivent lui voir ramoner le conduit, car après plusieurs allers-retours elle jouit par l’anus.
Quand le garçon décharge et qu’elle reçoit des giclés de mon sperme au fond de sa gorge, je sais qu’elle a son compte.
Ma jouissance, les traits que je décharge dans sa bouche sans interruption me font lâcher sa tête et elle aurait pu se retourner.

Combien de temps restons-nous là, prostrer la tête sur ma poitrine, les yeux dans les yeux.

• Dis-moi, comment ils étaient, je t’en supplie mon amour.
• Inutile de chercher à me faire parler, sans le vouloir nous avons réalisé notre fantasme.
Peu importe les queues qui t’ont pris, ma chérie.
Bon anniversaire.

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