Josiane (1)

- Dis Alain, j’ai eu un appel de Josiane me demandant si tu voudrais bien lui donner un coup de main…
- Un coup de main à faire quoi ? La coupais-je.
- J’allais te le dire avant que tu me coupes la parole.
- Excuse-moi maman.
- Bon ! Refaire le papier peint de sa chambre. Ajouta ma mère.
Cela fit sourire mon père, assis en train de lire son journal.
- Je touche quoi dans l’affaire.
- Enfin Alain, tu sais bien qu’elle est veuve, donc pas de gros revenu.
- Bon… bon ! Dis-lui que je suis d’accord…
- Merci mon fils.
- Et je dois m’y rendre quand ? Chez ta copine ?
- Demain…
- Demain… mais…
- Mais quoi ! Me coupa-t-elle. Tu ais en vacance à ce que je sache. Et tu ne sais pas sans le savoir que par ta présence tu lui rendras un grand service.
- Si tu le dis.
Et ce fut suite à cette petite discussion que je me suis trouvé le lendemain matin dans l’appartement de Josiane. En train dans un premier temps, de déménager tout le contenu de la chambre pour faire place vide.
Josiane pour vous la décrire avait les cheveux teint en blonde, pas très grande, pas grosse, juste bien en chair et cela lui allait très bien. Aux yeux verts limpide qui cristallisaient l’attention. Elle portait ce matin là, une blouse en nylon de couleur bleue, lui arrivant au-dessus du genou, boutonnée sur le devant. Qui m’avait permit d’entr’apercevoir, au gré de ses nombreux mouvements, des morceaux de chair laiteuse de ses cuisses. Et parfois même, des segments de la culotte qu’elle portait, de couleur blanche.
À midi, elle m’a invité à partager son déjeuner. Sitôt la crème brûlée fait maison avalé, nous avons repris le travail. Qui consistait de mettre les murs à nu. De lui retirer l’affreux papier peint à fleurs qui les tapissaient. Elle a insisté pour que je m’occupe de la partie basse des murs se réservant la haute.
- Les rhumatismes ! M‘a-t-elle lancé.

Tu verras quand tu auras mon âge…
Et puis nous nous sommes mis au boulot. Josiane comme convenue, perchée sur son escabeau. Mais très vite je me suis aperçu qu’il y avait un avantage pour moi d’être en bas. Une chance inouïe de pouvoir jeter de temps à autre en toute innocence un œil sous sa blouse. Et pour un voyeur comme moi c’était une vraie mine d’or. Surtout que Josiane candidement m’offrait de différent postures, selon qu’elle s’agitait, se contorsionnait, se penchait en avant, basculait en arrière. Ce faisant, sa blouse avait tendance à glisser vers le haut. J’étais comme fou de désir.
J’ai quitté l’appartement quelques heures plus tard, avec plein d’images polissonnes dans la tête. De quoi alimenter ma branlette du soir. Que pour donner une odeur aux images, je me suis muni d’une culotte portée de ma mère. Chiffonnée, et alourdie par l’absorption de trop de substances vaginales.
Le lendemain, je me suis réjoui d’avance d’aller rejoindre Josiane. Quand je me suis introduit dans l’appartement, j’ai cru défaillir en l’apercevant maquillée plus qu’à l’accoutumée. Sans que cela vire au grotesque. Et aussi parfumée, d’une fragrance légère mais tenace qui mettait mes nerfs à vif. J’étais impatient quand se mettent au travail pour pouvoir à nouveau, emmagasiner des images polissonnes qui allaient alimenter ma prochaine caresse solitaire.
Mais Josiane a insisté fortement pour que l’on prenne une tasse de café avant de démarrer le travail. À mesure que les minutes passèrent, ma gêne a disparut. Au point de ne pas hésiter à fouiller sa poitrine du regard. Et c’est ainsi que j’ai acquis la certitude qu’elle ne portait pas de soutien-gorge. Était-ce parce que le temps lui avait manqué ou bien parce qu’elle en avait décidé ainsi. Même clos sa poitrine valait le coup d’œil. Et bien sûr à ce petit jeu je me suis fait surprendre à la mater. Mais apparemment cela n’était pas pour lui déplaire, puisqu’elle ne m’a pas fait le reproche.
Puis nous nous sommes lancés au travail.
Bien entendu j’ai gardé le bas des murs. Plus intéressant pour mes rétines. Et très vite j’ai constaté que la culotte blanche de la veille fit place à une noire. Un cache sexe en partie avalé par la fente. Dont je suis aperçus qu’elle était entrouverte, humide d’excitation. Cette vision a fait monter de quelques degrés encore mon excitation déjà bien élevée.
Je n’aurais jamais pensé que Josiane puisse porter ce genre de couleur. Que j’ai trouvé pour ma part réellement très sexy et surtout excitante pour l‘époque.
Il m’était alors, très difficile de détourner mon regard de ce spectacle. Et une fois encore, Josiane m’a surpris à regarder sous sa blouse. Et toujours pas le moindre reproche de sa part. Peut-être n’avait-elle pas osez m’appréhender, de peur que je parte ? Où alors, cela la combler d‘être caresser des yeux. Mais au courant des minutes, et après réflexion, je me suis persuadé que tout cela pourtant si naturel et si spontané avait été tout bonnement prémédité de sa part. Et que sa tenue vestimentaire du jour, était là comme pour me donner raison. Josiane était belle et bien une sacrée exhibitionniste. Avide, d’exposer son anatomie secret à un jeunot comme je l’étais. Et cela m’a enlevé tout scrupule d’y jeter des regards.
Et je ne me suis pas gêné. Alors que Josiane conversait avec moi. Avec une précision d’hardiesse. J’en avais la verge douloureuse tant j’étais excité. Et cela a duré jusqu’à ce que les murs soient débarrassés de tout papier peint. Pour fêter cela la maîtresse des lieux à insisté à fêter cela. En nous préparant un petit dîner improvisé. Pour occuper mon temps, j’ai passé un coup de serpillère sur le sol. Bien plus tard, alors que je l’aidais à débarrasser la table, Josiane m’a demandé si elle pouvait compter sur ma présence le lendemain.
- Si tu me mijotes un aussi bon plat comme ce soir, je te dis oui sans hésiter.
- Merci. Me dit-elle. Cela te dirait de prendre le désert dans le salon.
- Pourquoi, nous ne sommes pas dans la cuisine ?
- Je pense que nous serions mieux assis confortablement sur le divan.

- Bon, comme tu veux, tu ai chez toi. Tu veux un coup de
Main ?
- Non, merci ! Va plus tôt t’installer, j’arrive avec le désert.
Elle est arrivée peu de temps plus tard avec un plateau dans les mains.
- Encore merci Alain ! Me fit-elle en le posant sur la table basse. Cela me touche profondément.
- Je t’en prie. Répondis-je.
- Mais je veux que tu saches que si tu as d’autre chose de prévu, ne te gêne pas pour moi. Je ne t’en voudrais pas.
- Je n’ai rien de prévu ! Non !
- Pas de rendez-vous avec une petite amourette ?
- Pas d’amourette chez moi ! Que des copines.
- Comment ça que des copines ?
- Tu ne sais pas ce que sait une copine ?
- Pour qui me prends-tu ? Je vois parfaitement ce qu’est une copine. C’est bien pour ça que je suis étonné… Alors ?
- Alors ? Quoi ?
- Non, rien. Josiane me gratifia aussitôt d’un très large sourire.
Et là elle me tendait l’assiette avec une part de tarte aux pommes.
- Ce n’est pas si grave que ça ! Tu es encore jeune. Ajouta-t-elle en riant.
- Mais cela ne m’affole pas plus que ça, tu sais Josiane ?
- C’n’est pas moi qui vais te contredire. Tu as parfaitement raison, mon beau.
Les regards qu’elle m’a jetés alors, me disaient clairement que je ne lui étais pas indifférent. Et c’est dans un éblouissement, je me suis autorisé de jouer un peu avec elle. Et c’est pour ça, que je lui ai
Lancé :
- Dis-moi Josiane, je peux te faire une confidence ?
- Mais bien sûr, mon Alain ! Répondit-elle radieuse. Tu peux même compter sur moi. Et je te promets que cela restera entre nous.
- Et bien voilà à défaut de ne pas avoir une petite amourette, je me focalise sur les petites culottes portées. Et que c’est exactement comme ça que fonctionne ma libido.
- Quoi ? Tu me fais marcher, là ? Ce n’est pas gentil de ta part de te foutre d’une femme de mon âge.
- Mais je t’assure que c’est vrai.

- En voilà une drôle d’idée ! Je savais que ça ce faisait, mais toi. Tu pourrais si tu le voulais collectionner des conquêtes.
- Je le sais bien Josiane, mais cela ne m’intéresse pas. Seules les culottes portées m’intéressent !
- Tu me jures que tu ne te fou pas de moi ?
- Je te le jure. Cela m’est venu le plus simplement. J’étais en vacance chez ma tante, et avec ma cousine lors d’une partie de cache-cache, nous nous étions planqué dans le grenier, attendant patiemment qu’nous en trouve. Mais voilà il s’est trouvé que ma cousine s’était levée, je ne sais pourquoi et s’est placée devant moi. Et comme elle était en maillot en bains, je ne sais pourquoi je n’ai pas résisté de lui caresser les jambes. À lui en donner la chair de poule. Comme ça n’avait pas l’air de l‘offusquer plus que ça, je me suis autorisé d’aventurer ma main dans le maillot. Toujours encouragé par son inaction, j’ai titillé son anus du bout de l’index, avant de l’enfoncer entièrement. Que son passage aux toilettes précédemment avait facilité l‘accès. Un vrai lubrifiant le caca, tu sais.
- Mais Alain, qu‘est-ce que tu peux être sale qu‘en tu t‘y mets…
- Quand j’ai retiré le doigt que j’avais maintenu enfoncé si loin dans son trou du cul, qu’un peu de merde s’y était accroché à mon ongle.
- Là tu es vraiment dégueulasse. Tu vas m’en vomir ma tarte aux pommes…
- Je croyais que tu voulais savoir ?
- Oui, mais enfin… les détailles, tu vois, je peux m‘en passer…
- Bon ! Le fait c’est que je me suis enfermé dans la salle de bain pour me nettoyer. Et c’est ainsi que mon regard s’est portée sur une belle culotte posée sur le rebord de la salle de bains. Je ne sais pourquoi je m’en suis saisi. C’était très doux, soyeux au toucher. J’ai sus bien plus tard qu’il s’agissait de nylon. Puis je ne sais pourquoi, je l’ai porté à mes narines. Peut-être par curiosité ou pour autre chose. Le fait c’est que ce fut un coup de foudre pour moi. Tout m’a plu. En particulier les odeurs qui sont dégagées. Il a fallu que je sois importuné par quelqu’un qui voulait entrée dans la pièce, pour que je repose la culotte là où je l’avais aperçus et sorte de la tanière comme si rien n‘était. À partir de cet instant j’ai recommencé l’opération les jours suivant.
- Et une fois les vacances terminées ? M’a-t-elle dit.
- Tu veux vraiment tout savoir. Mais là, tu vois je ne sais pas si je dois.
- Je t’en prie. Au point où nous en sommes. T’inquiète pas cela restera entre nous.
- C’est auprès des culottes de maman que je me suis réfugié. Que je repêchais dans le panier du linge à laver. Je prenais seulement celle qui avait un peu de jaune à l’endroit où la fente vulvaire avait suinté ses humeurs au cours de la journée et un soupçon de pipi voir de caca.
- Je n’y crois pas… tu ais vraiment un gros cochon…
- Si je te le dis…
- Je comprends alors tout. Répliqua-t-elle.
- Tu comprends quoi ?
- Rien…
- J’ai été franc avec toi, alors sois-le avec moi.
Elle se mit à rire avant de me lancer :
- J’ai pu me rendre compte à mainte reprise, que tu aimais regarder sous ma blouse. Et à chaque fois j’y ai lu dans tes yeux du bonheur, de l‘enchantement. Comme un devant ses cadeaux au pied du sapin de Noël.
- C’est vrai. Je l’avoue. Confidence pour confidence, j’avais l’intention de t’emprunter une culotte portée.
- Ah oui !
- Ça te gêne ?
- Pas le moins du monde. Si cela est ton souhait. Fit-elle en désertant sa place, pour venir jusqu’à l’endroit où j’étais. Elle s’est déchaussée avant de grimper sur le divan. Un pied de chaque côté de mes cuisses, face à moi.
- Je peux savoir ce que tu fais ?
- Tu m’as bien pas dit que tu désirais ma culotte, alors sers-toi. Répondit-elle, en retroussant sa blouse, haut sur sa taille. Approchant sa culotte au plus près de mon visage. Le nylon noir tendu épousait parfaitement la forme de son pubis. Je n’aurais jamais pu imaginer que Josiane aurait osé faire une telle chose. La preuve que l’on ne connait pas toujours les gens qu‘on côtoie. Mes yeux écarquillés ne quittèrent plus le slip de la femme du regard. J’ai même perçu les effluves qui s’en dégager. Et il n’en a pas fallut pour que je bande. Si fort que ma bite prisonnière du slip et du pantalon me faisait affreusement mal.
- Alors, qu’attends-tu pour te servir ? Tu la veux oui ou non ?
- …
- Elle ne te plaît pas ? Fit-elle.
Devant mon ébahissement, elle s’est autorisée d‘ajouter.
- Alain, tu dois sûrement me prendre pour une petite cochonne ! Justifiant par ses mots sa posture si impudique. Mais je d’avoue que je n’aime pas m’exhiber. Mais ces derniers jours, je ne sais pas ce qui m’arrive, c’est comme si une force surnaturelle me poussait à aller au-delà de ma morale. Je pense sans me tromper que ta présence en est pour quelque chose.
Puisqu’elle le désirait si fort, pourquoi ne pas satisfaire son souhait. J’ai avancé pour ça mes mains vers le sous-vêtement. J’avais les paumes moites et mes doigts, pris d’un tremblement nerveux, j’ai éprouvé de la difficulté à saisir l’élastique de dessus. Je suis tout de arrivais à faire glisser le slip sur les cuisses de Josiane. Elle possédait une toison grisonnante et touffue. J’en ai humé le parfum chaud et attirant. La douceur des cuisses passèrent à travers mes paumes moites et fébriles. Le slip à ses pieds, elle a enjambé le nylon. Puis elle s’est approchée encore davantage de moi. Sa foufoune odorante à seulement quelques centimètres de mon visage.
- Déshabille-moi des yeux. Mais je te préviens, tu le fais uniquement avec les yeux, surtout tu ne me touches pas…
Compris ?…
- J’ai mieux à faire. En portant la lingerie à mes narines.
- Alain… Tu ne vas pas… enfin... Bafouilla-t-elle.
- Je vais me gêner ! Fis-je en dégrafant le haut de mon pantalon. Le visage de Josiane se ferma d‘un bloc, en me voyant sortir de son nid mon pénis bandée. J’ai alors entrepris de lui faire une courte leçon d’anatomie.
- Regarde comme il fait le beau. Il est gonflé à bloc. Et ça grâce à toi. Je pense ne l’avoir jamais vue aussi en forme.
L’idée m’est alors venue de me branler devant elle. Qu’importe les retombées qui aller s‘en suivre. J’avais absolument besoin d’une éjaculation pour faire retombée mon excitation. Surtout que je me sentais en confiance avec Josiane. Capable même, d’audace. Comme la proposition que je lui fis :
- Tu veux le toucher ?
Je pense que cette demande, elle l’avait longtemps espérer. D’ailleurs je n’ai pas eu à renouveler ma demande une seconde fois, puisqu’elle s’est empressée de venir me le prendre dans sa main.
- C’est gros. C’est chaud. Fit-elle, en me branlant.
J’ai regardé l’extrémité de mon pénis rentrer et sortir de son poing et perler quelques gouttes de sperme. J’étais aux anges. Pourtant je n’aurais pas était contre une fellation. J’avais même sa certitude qu’elle n’aurait pas été contre. Mais je me voyais mal la forcer. Ne voulant pas rompre le charme de cette soirée inattendue. J’ai essuyé les gouttes de sperme du bout des doigts, et le lui ai présenté à ses lèvres qu’elle s’est mise à sucer voluptueusement. Elle a continué ses mouvements de branle, augmentant même la cadence. J’ai pris une profonde inspiration et me suis abandonné dans un profond orgasme. Le sperme a giclé littéralement. Josiane fut heureuse d’avoir su me donner du plaisir. Et moi ravi d’avoir su dominer sa résistance…

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