Josiane(4)

La lumière de l’aube a transpercé cruellement les persiennes, tétanisé dans mon lit je ne parvenais plus à bouger le moindre muscle. J’avais le dos en compote et la bite en feu. La Mireille avait été insatiable, usant et abusant de moi sans vergogne. Il me semblait même que ma langue avait doublé de volume.
Je suis resté immobile de longues minutes, allongé regardant le plafond, puis je me suis décidé de me lever. Tout mon corps a crié de mécontentement. Je suis entré dans la salle de bains, et je me suis précipité sous la douche. Dont l’eau chaude m’a fait un grand bien.
Plus tard, alors que je rejoignais le domicile de Josiane, l’air frais et pur du matin a achevé de me réveiller. Elle m’a reçu dans son éternelle blouse. Mais fait exceptionnel ce matin là, elle a gainé ses jambes de nylon noir. Que du bonheur pour mes yeux !
Alors que nous prenions le café elle me fit jurer qu’aujourd’hui il n’était pas question que je jette un œil sous sa blouse. Je lui ai promis que ce serait le cas si à son tour elle me promettait de me laisser lui caresser les jambes, mais aussi et surtout les pieds. Ce qu’elle a tout de suite accepté. Le café ingurgité nous nous sommes mis au boulot. Comme je l’avais promis je n’ai pas une seul fois, jeter un œil sous sa blouse. Mais ce n’était pas l’envie qui me manquer, me demandant même si c’était des bas ou un collant qu’elle s’était enfilée.
En fin d’après midi, alors que nous étions en train de mettre de l‘ordre dans la pièce, je ne pus m’empêcher de lui lancer :
- Le noir te va à merveille, tu sais Josiane.
Cela l’a fit pouffer de rire.
- Tu en as mis du temps pour t‘en apercevoir.
- C’est que je n’ai pas osée de te le dire plus tôt.
- Mais il faut osée Alain ! J’aurais tant aimé que tu oses. Ce n’est pas parce qu’en t’interdit de faire quelque chose, qu’il faut le faire !
- Oui… mais…
- Mais quoi ? Tu ne sais pas le plaisir que j’ai pris ce matin à me gainer mes jambes de nylon rien que pour toi.

Pour confidence, ils sont très doux à porter et je me sens très à mon aise dedans. Et comme souvent il m’est difficile de m’en séparer. Parfois il m’arrive même de dormir avec ! M’expliqua-t-elle en passant sa main sur sa cuisse.
Les mots qu’elle a prononcé, ont crée en moi une profonde excitation. Au point que j’ai à cet instant là, osé me saisir de son pied. De le déchausser, et de le caresser. Sentant sous mes doigts une légère moiteur. Sans aucun doute la transpiration qui s’était amassé durant toute la journée.
- Je ne serais pas contre de te les masser, tu sais Josiane ?
- Est-ce bien raisonnable ? M’a-t-elle répondu, un sourire moqueur aux lèvres.
- Et pourquoi pas ? Cela me ferait plaisir. Et en plus il y a la promesse.
- Ce qui est dit est dit, alors ? A-t-elle répliqué.
- Parfaitement.
- Mais avant tout ! Aurai-je la joie de te revoir demain ?
- Oui, bien sûr. Pourquoi cette question ?
- Je ne sais pas, moi. Peut être as-tu à faire, ailleurs.
- Non rien de tout ça. Ma journée je la passerai avec toi ici, à finir le papier peint.
- Alors, pour la peine je t’autorise une récréation.
- Une récréation ! Une vraie récréation ?
- Ho là ! Ho là ! Je nous n’emballant pas. Tu comprends quoi dans une récréation ?
- Un moment de délire, quoi.
- Wouais ! Je vois. Allons prendre un verre au salon nous l’avons bien mérité, non ? Fit-elle en coupant la lumière de la pièce.
Plus rien comptait autour de moi à ce moment, seulement cette somptueuse croupe, montée sur roulement à billes, qui oscillait devant moi. Un coup à droite, un coup à gauche. Une sorte de balancier qui me scier les tripes au rasoir. Ça devenait presque humiliant de rester là sans rien faire. Le mot « osé » me revint en mémoire, mais je n’en fis rien.
Comme convenu nous avons pris possession du salon. Elle assise, moi agenouillé à ses pieds. Tout heureux de pouvoir masser ses pieds.
Elle a fermé les yeux afin de mieux profiter de l’instant que je lui offrais.
- C’est vrai qu’ils sont très doux au toucher. Fis-je. Ça m’électrise…
- Cela tombe bien, j’aime me faire cajoler. Annonça-t-elle en me regardant droit dans les yeux.
- Je sais ça tu me l’as déjà dit.
- Tu verras quand tu auras mon âge !
De plus en plus excité, j’ai osé faire grimper mes mains à la hauteur de ses genoux. Puis comme cela n’avait pas l’air de la gêner, plus haut. Jusqu’à atteindre les cuisses. Et ainsi découvrir qu‘elle portait des bas. Un désir incontrôlable c‘est alors emparé de moi. Mécaniquement, la coquine a ouvert le compas de ses jambes. Assez grand pour m’apercevoir qu’elle avait omis de se passer de culotte. Drôle d’aventure !
- Quitte à regarder, autant voir quelque chose de beau, tu ne crois pas ? M’a-t-elle dit, avant d‘ajouter. Alors j’ai pensé que la culotte était superflue.
- C’n’est pas moi qui vais te dire le contraire. Tant pis pour ma branlette de ce soir.
- A défaut de sous-vêtement, tu auras plein d’images. A-t-elle dit, se penchant pour caresser du bout des doigts ma joue. Dessinant ensuite le contour de mes lèvres. Puis elle a rejeté la tête en arrière, m’offrant sa gorge.
- Embrasse-moi ! A-t-elle chuchoté suavement.
Je me suis redressé pour prendre place à ses côtés. Je lui ai picoré le cou de petits baisers affamés, avant de m’emparer de sa bouche. Sa langue était tiède. Impatiente.
J’ai enfui une main sous sa blouse. Lentement j’ai glissé mes doigts jusqu’à toucher des premiers poils. Elle a soupiré d‘aise. Puis je les ai plongés dans une chair brûlante. Pour ne pas rester en reste, elle a crispé sa main sur ma queue bandée, et cela à travers la toile de mon pantalon. Et s’est mise tout bonnement à la branler, délicatement.
J’ai promené mon index le long de la fente, jusqu’à y trouver le clitoris tout congestionner. Que j’ai commencé à effleurer, avec le gras du doigt.
Le petit dard durcissait seconde après seconde. Elle a soupiré de nouveau.
- Oh oui, continu à le toucher, oui…encore… frotte… oui frotte, écrase oui comme ça… continu…
Une mouille épaisse a inondé la paume de ma main, alors qu‘elle tressaillait, ne cessant de frotter sa vulve contre ma main.
- Je sens ton bouton devenir aussi raide que ma queue, grande coquine ! Murmurais-je.
- Mon Dieu Alain, je suis en train de fondre ! A-t-elle Imploré.
Je me suis emparé du petit grain de chair gluante entre deux doigts et je l’ai pincé.
- Oh ! Où as-tu appris cela… continue c’est trop bon ! M’a-t-elle encouragé.
Je l’ai fait rouler entre le pouce et l’index, alors qu‘elle haletait.
- Je vais te mettre un doigt dans le cul. Cela t’ennui ?
- C’est la récréation, non ? Alors ose mon grand… mais cela restera entre nous. Tu entends, bien : entre nous…
Sans cesser de la branler entre mes deux doigts. J‘ai envoyé mon autre main sous la blouse et posais le bout de mon majeur sur le renflement de l’anus.
- Oh ! Oh ! Je me sens partir… oui… oui ! Je jooouiiiiiiiis…. Oh ! Que c’est bon… que c’est bon ! Oui ! Oui !
Et, sans que j’ai le temps de comprendre ce qui m’arrivait, elle s’est saisit de ma tête et l’a attiré jusqu’à ce que ma bouche se trouve à hauteur de sa chatte odorante.
- Je ne sais pas ce qu’il m’arrive… je ne suis pas moi ! A-telle dit comme pour justifier son geste.
Elle s’est laissé aller en arrière, la croupe levée, les jambes bien écartées et ramenées sur la poitrine, la chatte exposée comme jamais. Elle s’est offerte ainsi, totalement à mon regard. Ses paupières étaient comme lourdes. De la salive débordait de ses lèvres et elle m’a attiré entre ses jambes.
- Suce-moi mon coco. Je veux que tu me lèches… m’a-t-elle lancé.
Alors j’ai osé. M’attaquant à son aine avant tout, dont j’ai apprécié la douceur. J’ai pris mon temps. D’ailleurs rien ne pressé.
Puis je me suis mis à regarder attentivement le sexe offert, puis je me suis penché et je me suis mis à laper la fente. J’ai fait passer ma langue sur les contrées les plus sensibles. Les plus érogènes aussi. Ses plaintes se sont transformées en petits cris de plaisir. Sa fente ruisselait littéralement. Une fissure rose foncé avec des lèvres fines. Mais ce qui me surprit le plus fut la vision de son clitoris tout gonflé. Mon expérience me dicta, que la coquine était au bord de l’orgasme. Tout le jeu consisté à présent de lui donner du plaisir, plein de plaisir. J’ai fait pour cela, passer ma langue autour des lèvres. Sur elles. Entre elles. En évitant soigneusement son bouton. Il est arrivé que le bout de ma langue a dérapé dessus provoquant chez Josiane, un véritablement tressaillement accompagné d’une plainte.
- Oui… oui… fait moi jouir. Je veux que tu me fasses jouir…
Tout son corps s’est abandonné à son plaisir. Offerte comme jamais, j’ai pompé son bouton. Ses mains ont saisi ma tête pour me plaquer contre elle. Alors je l’ai pompé de nouveau, mâchouillé, mordu, sucer, et encore pomper. Elle m’a supplié de lui en donner encore plus, plus encore. Ma bouche fut toute consacrée au clitoris. J’ai tout de même porté une main au contact de son vagin, dont j’ai glissé deux doigts. Elle a grogné, elle a imploré :
- Oui enfonce, laboure-moi, branle-moi…
Son sexe béait tellement que j’ai pu en faire glisser un troisième doigt. Je l’ai pistonné, branlé furieusement. Josiane s’est mordu la lèvre. A secoué la tête dans tous les sens. Les cris qu’elle a poussés s’amplifièrent. Tout en léchant le bourgeon, j’ai regardé mes doigts la pistonner.
- Vas-y, vas-y, encore, pousse tes doigts dans ma chatte, pousse-les bien. Je les sens au plus profond, défonce-moi, vas-y… m’a-t-elle encouragé.
J’ai fait des mouvements rapides, mais un peu désordonnés tout de même. Mais cela ne l’empêcha pas de jouir encore et encore. J’ai enlevé brusquement mes doigts de ses entrailles. Ils étaient recouverts d’une épaisse couche visqueuse. Que je me suis empressé de porter jusqu’à mes lèvres pour les sucer.
Toujours dans une position obscène, Josiane reprenait son souffle. Tout en léchant ma main, mon regard s’est porté sur son pied gainé. Quelque chose que j’ai jugé être très beau, visuellement. Je me suis mis à le caresser. Elle m’a sourit bêtement. De la mouille s‘est échappé encore de sa cicatrice. J’ai frotté mon visage sur la plante de son peton nylonné, tant que cela me faisait envie. Je l’ai humé, je l’ai léché et j’y ai même déposé de légers baisers. J’ai aimé son odeur, mais aussi sa chaleur. Josiane s’est abandonnée à ma caresse. J’étais comme plonger dans une contemplation fiévreuse. Mais, soudain, repensant à la manière dont Josiane s’y était prise depuis le début de la semaine, je lui demandais :
- Il y a longtemps que tu en avais envie, non ?
- Tu parles de quoi là ?
- De moi pardi !
- Je ne sais pas si je dois te le dire.
- Je t’écoute !
- Bon si tu y tiens. Tout cela vient d’une idée de ta mère.
- Ma mère ? Qu’est-ce qu’elle a faire là, ma mère ?
- Arrête de me couper la parole veux-tu. Oui ta mère. Elle s’inquiète de ne pas te voir en compagnie de fille. Seulement de copains. Alors elle s’est demandé si tu n’étais pas homo.
- Et alors même si… je dis bien si, cela reste tout de même ma vie privée.
- C’est bien ce que je lui ai répondu. Mais elle s’inquiète pour toi.
- Alors elle t’a demandé de vérifié ma vie sexuelle.
- C’est un peu près ça, oui !
- Tu lui as dit pour nos séances cochonnes ?
- Oui ! Répondit-elle honteusement. Cela t’ennui ?
- Pas le moins du monde. Et ça l’embête pas que je me tape sa copine.
- Comme tu y vas là, Alain.
- Répond veux-tu ?
- Tout au contraire, elle est même heureuse que je m’occupe de ton dépucelage. D’ailleurs elle me doit bien cela.
- Comment ça ?
- Oui, depuis le jour où j‘ai surpris ta mère avec Frédéric.
Je l’ai regardé toute étonné, attendant la suite. Comme elle ne venait pas je me suis autorisé à la questionner :
- Ton neveu ?
- Lui-même.
- Alors là, il faut que tu me racontes tout, et même les détails. On est suffisamment intime maintenant.
- Ok ! dit-elle.
Elle s’est calée sa tête contre le haut du divan et a fermé les yeux. Les miens ont fixé son sexe luisant de mouille et de ma propre salive.
- Cette aventure a commencé lors de venu de Frédéric l’année dernière. Ce jour là j’étais rentrée plus tôt de ma partie de bridge. Je suis entrée chez moi et là que j’ai entendu des gémissements qui venait de la chambre où dormait Frédéric. Il faisait ça chez moi maintenant ? M’ai-je dis pour moi-même. Je n’en revenais pas. Je me suis avancé vers la porte qui était entrouverte sans faire de bruit et j’ai jeté un œil à travers l’entrebâillement. Là j’ai vue ta mère complètement nue, debout face à la commode, appuyer dessus, en train se regarder dans le miroir. Dans son dos, il y avait donc Frédéric qui était lui en train de la baiser par-derrière. Leurs regards se confondaient dans le miroir. Un brasier dans leurs yeux, leurs bouches entrouvertes sous le coup de l’effort. Et de l’excitation aussi. C’était la première fois que j’assistai à ce genre autre que dans les films. Elle s’appartenait et avait bien le droit de faire ce qu’elle voulait de son corps. Elle n’avait pas de compte à me rendre. Nous n’étions pas mariés. Surtout que ça me stimulait moi-même. Beaucoup même. La bouche de ta mère gémissait sous les coups de boutoirs de Frédéric. Ses yeux se fermaient. J’étais en admiration total devant le spectacle qui m‘était offert. Moi de mon poste d’observation, j’ai honteusement fourré ma main dans ma culotte. Je me suis branler le clito. Alors que j’apercevais les fesses de ta mère bougées sous les coups de boutoir, et même que ses seins frémissaient et sursautaient en même temps que Frédéric la travaillait. À force de stimulation, ta mère a fini par fermer les yeux et par crier, bouche grande ouverte, tout en se cambrant pendant qu’elle jouissait en recevant je suppose l’offrande de Frédéric. L’entendre cracher son orgasme avait provoqué le mien. Et j’ai exposé dans ma main. Les yeux rivés sur le couple improvisé. La jouissance a pris tout mon corps et a éclaté comme une boule de feu en moi et j’ai eu du mal à me retenir de ne pas crier. Je suis sorti de chez moi et j’ai attendu sagement que ta mère sorte de chez moi pour y rentrer à mon tour.
Je fus ébahi d’entendre Josiane me confesser tout cela. Cette histoire allait bien au-delà de ce que je pouvais imaginer concernant la fidélité de ma mère. D’avoir entendu ses fredaines galantes m’avait mis dans un tel état d’excitation que ma verge bandé, à m‘en faire mal. Josiane était dans le même état que moi. .
- Tu m’en bouches un coin là. J’ai du mal à y croire.
- Et pourtant c’est la réalité. Bien entendu cela reste entre
Nous ?
- Et pourquoi me le confesser ?
- Un besoin chez moi, de vider mon sac
- Et à travers moi tu te venges d’elle.
- Pas du tout. Où vas-tu chercher cela ?
- Bravo ! Donc si j’ai bien compris maintenant tu vas vouloir que je te prenne. Tout ça pour dire à ma mère que ca y est, ton fils est un homme. C’est ça ?
- En quelque sorte oui…
- Tu préfères que je te prenne là où dans la chambre.
Elle a posé ironiquement son regard sur ma verge prête à servir.
- Nulle part ! Les caresses oui… et c’est tout…
- Alors comment fait-on ? Tu mens à maman et l’affaire est close.
- C’est envisageable. Oui… pourquoi pas.
- Peut-être mais moi je reste puceau…
- L’es-tu vraiment ? J’en ai un doute ?
- Et qu’est-ce qui te fais dire cela ?
- Tes caresses avec tes doigts, avec ta langue. Tu n’as même pas eu un haut-le-cœur en fourrant ta langue dans ma chatte. Comprend que je trouve bizarre, non ?
- Tu sais tu es bien libre de pensée ce que tu veux. Moi pour ma part je n’ai jamais fourré ma queue dans une chatte, et cela reste mon dernier mot.
- Madame V…, tu connais ?
- Oui la bourge du 16 ?
- Oui… elle-même…
- Alors ?
- C‘est une mangeuse de minet. Et il se trouve qu‘en ce moment elle n‘a rien à se mettre sous la dent.
- Excuse-moi mais je ne te suis pas bien là.
- Viens demain et tu verras. Maintenant sois gentil, part, j’ai besoin d’être seule.

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