Josiane (5)

Une demi-heure plus tard environ, comme convenu, après avoir pris le déjeuner en compagnie de Josiane, la sonnette de la porte d’entrée s’est mise à se faire entendre. La maîtresse des lieux s’est soulevée de son siège pour aller ouvrir. Elle est réapparut quelques secondes plus tard en compagnie de Mercédès. La tenue de la nouvelle venue me fit immédiatement l’effet escompté. J’ai profité qu’elle soit occupée à discuter avec Josiane pour l’étudier. Ne pouvant ignorer le roulis de ses seins, généreux, à chacun de ses gestes. Que j’ai crus un moment qu’ils allèrent me sauter au visage. Ou de ces cuisses, que j’ai jugées fabuleuses ! Et que dire encore de ce cul. Que la jupe semblait avoir été peinte sur elle. Elle avait un visage mâte. Dû sans doute à ses origines Méditerranéenne. Elle n’était pas jolie, mais elle était loin d’être laide. Elle avait trente ans plus tôt épousé un homme beaucoup plus âgé qu‘elle. Ce qui expliqué que ses ardeurs maritales étaient à mettre sur le compte des souvenirs. Elle avait eu de cette union deux s. Majeurs à l’heure de cette rencontre.
Ce souvenant de ma présence, la fameuse Mercédès m’a regardé tout en léchant de sa langue ses lèvres peintes en rouges. Son intéressement pour moi était érotiquement évident. Puis son regard a glissé jusqu’à mon entrejambe. Et cela pendant un bref instant. Assez pour ce rendre compte du renflement révélateur de mon pénis bandé faisait sous mon pantalon.
- Bon ! Je pense que je n’ai pas besoin de faire les présentations. Fit Josiane, comme pour couper le silence. Je vous invite de passer au salon. Nous y serions plus confortablement installés. Qu’en pensez-vous ?
Sans un mot nous l’avons suivi. Pour mon compte je me suis assis sur le divan, alors que les deux femmes prirent chacune place dans un fauteuil. Très vite, Mercédès s’est mise à son aise. Jupe relevée haut sur ses cuisses gainées. Elle a dévoilé ainsi, avec une totale impudeur sa toison aplati par le collant.

Face à elle, je n’ai pu ignorer aucun détail de son anatomie. J’étais comme étourdi. La tête en feu et le sexe encore plus dur, à en devenir douloureuse. Pas d’ambigüité, ma présence en était pour beaucoup dans sa motivation de faire germer chez elle des idées perverses. Plus les minutes passées plus la situation est devenu de plus en plus érotique et inappropriée pour une femme de son genre.
Mercédès, le sourire aux lèvres m’a observé longuement avec satisfaction, avant d’ouvrir sa bouche pour me lancer :
- Dis donc espèce de petit vicieux. Tu profites que je sois occupé à discuter avec Josiane pour te permettre de reluquer sous ma jupe. Crois-tu que ce soit convenable de faire ça ? Fit-elle en me lançant un sourire carnassier dont seules les folles du cul ont n’en le secret.
Son tutoiement m’a m’électrisé. Je n’ai même pas relevé la réflexion grotesque qu’elle m’avait envoyé d’emblée. Poursuivant tout simplement la discussion avec elle, en la vouvoyant, en l’appelant Madame, et non pas Mercédès. Et elle à continué à me tutoyer avec familiarité. J’ai accepté cette lubie puisque cela semblait lui convenir. J’étais surtout obsédé à l‘idée de pouvoir la sucer. Sous l’emprise de sa plastique avantageuse, j’ai répondu à toutes ses questions en imaginant quelle forme pouvait avoir son sexe, quel goût pouvait avoir sa chatte, si elle accepterait que j’y plonge ma langue. Josiane m’a regardé avec des yeux de morts de faim. Avant de s’initier à l’interrogatoire, laissant tomber :
- Il n’a pas arrêté de ce conduire en pervers avec moi.
- Mais tu es un cochon ? A rajouté Mercédès.
- Oui ! Fis-je. Je reconnais être un gros cochon. Et le plus malheureux dans cette affaire s’est que j’aime cela.
- Tu sais pourquoi je suis là ? A lancé Mercédès.
- Oui ! Si c’est ce dont j’ai discuté avec Josiane hier soir.
- C’est exactement de cela, oui ! J’ai trouvé cette idée très excitante. À proposer à Josiane d’assister à ta défloraison.
Cela te gêne ?
- Pas le moins du monde.
- Elle ne fera que regarder ! A-t-elle pris la peine d’ajouter. Je serai la seule à profiter de ta queue. Cela te va ?
J‘ai accusé le coup sur l’instant. Ella a continué de loucher étrangement en direction de mon sexe bandé.
- Allons Alain, tu as perdu ta langue ! Tu ne peux pas savoir comment je meurs d’envie de faire joujou avec un puceau. Aller ! Baisse ton pantalon.
Je me suis exécuté. Une fois la queue à l’air, elle m’a demandé de m’approcher jusqu’à elle. Jusqu’à avoir ma verge à la hauteur de son visage. Debout les fesses à l’air je l’ai regardé me tâter les couilles.
- Elles sont fermes, dit-moi ! A-t-elle déclaré à sa copine.
- Oui.
- Tu les as déjà touchés ?
- Qu’est-ce que tu crois ?
Tout en regardant Josiane dans les yeux, sans l’air d’y toucher, elle a enroulé ses doigts autour de mon pénis et m’a caressé. Ma réaction ne s’est pas fait attendre.
- Mais voyons. À peine lui effleure-t-on le pénis que déjà, il mouille. Il a une belle queue, ce puceau.
Josiane a acquiescé.
- Elle est brûlante. A-t-elle complété.
Et machinalement, Mercédès s’est mise à me masturber.
- Tu fais comme ça quand tu te branles ?
- Oui. Ai-je répondu.
- Tu le fais souvent ? M’a-t-elle sondé.
- Tous les jours et même des fois plusieurs fois dans la journée…
- Ces jeux de gamins ne sont plus pour toi. Il est temps que tu passes aux choses sérieuses. Regarde ce que je t’offre ! M’a-t-elle dit en retroussant lentement son bustier.
Exposant par ce geste, ses seins voluptueux. Mon champ de vision fut totalement rempli de mamelles blanches où des auréoles rouges les arboraient. Ses mamelons rouges durci par l’excitation me faisaient pensé à des doigts d‘. Qui pointés vers moi, comme pour me faire un signe.
Puis elle a troussé de bas de sa jupe pour se caresser lentement la fente luisante, à travers le nylon tandis qu’avec son autre main elle s’est pétrit fébrilement les seins, dont elle a maltraité les bouts avec envie.
Je n’en ai pas perdu une miette.
Et elle en voulait sacrément, la coquine ! S’appliquant à se donner du plaisir. Se frottant comme une nympho. Je crus rêver ! Puis elle a enfouit sa main entre son ventre et le nylon. Et s’est enfoncé profondément plusieurs doigts dans son antre. Cette fois-ci, je n’en pouvais plus. C‘en était même trop pour moi. À ne pas pouvoir m‘empêcher de me saisir de ma verge et de me masturber lentement. Et cela, pendant que Mercédès s’est caressée avec tous ses doigts. Se grattant, s’empalant, se déchainant sur son sexe. C’est qu’elle en voulait cette dévergondé. Pour ma part, je me suis astiqué comme un dingue devant le spectacle qui m‘était offert.
- Mais que fais-tu sale branleur ? Fit Mercédès en constatant mon méfait.
- Je ne peux pas m’en empêcher…
- Sers-toi plus tôt de tes mains pour me caresser les nichons. Tu vas voir comment ils sont encore bien fermes pour mon âge. A-t-elle lancé en se saisissant de ma main pour la poser sur son sein droit.
- Il est ferme, n’est-ce pas ?
- Oui.
- Caresse mes mamelons, j‘adore cela.
J’ai alors promené mon index sur les bouts tout durs d‘excitation. Puis je me suis saisi de ses seins dans mes paumes. Je les ai soupesés. Je les ai pressés, embarrassés par tant de chairs. Elle a haleté presque imperceptiblement. Tendant son buste à la rencontre de mes mains.
- Tu sais que ça me fait un effet pas possible qu’on en me touche les seins.
- Je vois ça !
- À en avoir la chatte toute mouillée ! Fit-elle en envoyant un coup d’œil à Josiane. Au point, a-t-elle ajouté, de lui donner envie de se faire remplir. Tu veux t’en rendre compte par toi-même ? Me présentant son sexe.
Le devant de son collant était aréolé à l’endroit où le nylon avait contact avec son sexe.
- Touche ! Qu’attends-tu idiot.
Je ne me le suis pas fait dire une seconde fois pour poser une main sur sa fourche.
- Alors ? Fit-elle, un sourire narquois aux lèvres.

- Le nylon est à tordre.
- Tu vois ! Aller viens contre moi et fourre ta queue entre mes grosses mamelles, m’a-t-elle ordonné en serrant ses seins l’un contre l’autre. Je l’ai chevauché et j’ai glissé ma verge près à exploser entre les volumineux lolos. Je suis allé d’avant en arrière d’abord doucement puis je me suis enhardi, me branlant rageusement contre la peau soyeuse de Mercédès.
- Continue, frotte-toi comme un clébard ! A-t-elle glapit.
De violent picotements enflammèrent mes reins et se répandirent dans mes couilles. Très vite ma queue fut saisie de spasmes, et j’ai éjaculé.
- Petit salaud, mais regarde moi ça Josiane, il a giclé ! A-t-elle hurlé. En voilà des manières ! Je ne t’ai pas dit de jouir…
Elle m’a littéralement délogé de ma place, et s’est levée.
- Tu vas me payer cela. A-t-elle fait en se débarrassant de son collant.
- Attends… attends fit Josiane. Le cochon adore foutre son nez là même où sa pu.
- Ah oui ! Tu m’en diras tant.
Josiane m’a invité à m’approcher jusqu’à Mercédès, dont ses jambes était entravées par le sous-vêtement. La maîtresse des lieux m’a fait me pencher jusqu’à avoir mon nez au contact du nylon souillé. Je me suis délecté de l‘odeur qui s‘en dégager.
- Mais c’est vrai qu’il aime ça, le cochon !
- Parce que tu croyais que je te mentais ?
- Avec toi en ne sais jamais.
- Même qu’il suce bien. A ajouté Josiane.
- Et bien je ne demande qu’à voir. Fit Mercédès, en faisant les quelques pas qui la séparer du divan. Une fois assise, elle a replié ses
Genoux sur son ventre, s’exposant sans pudeur, son sexe. Entre les poils, j’ai pu distinguer une fente rose luisante de mouille. Je ne me suis pas fait prier pour aller rejoindre l’objet de ma convoitise.
- Vous me plaisez beaucoup, vous savez ? Ai-je chuchoté.
- Ah oui ! A-t-elle répondu. Tes paroles me flattent énormément. Ça fait toujours du bien de se sentir désirée, surtout quand son mari ne nous regarde plus trop. Malgré tout, ça fait vingt ans que je suis fidèle.
Pendant qu’elle m’a lancé ça d’une voix faible, elle a passé sa main dans mes cheveux. Cette femme aguicheuse, m‘offrait son sexe, comment résister ?
- Mon mari n’aime pas le sexe oral. Étonnant, hein ? A-t-elle ajouté. Depuis que je le connais, pas une pipe, pas un broute minou.
- T’es frustrée, quoi ! Lui dit Josiane
- Tu ne peux pas savoir, a-t-elle rigolé.
Sans réfléchir, j’ai plaqué mes deux mains sur ses cuisses, que je me suis mis à caresser avec frénésie. Elle s’est immédiatement mise à souffler et à gémir comme une chatte en chaleur.
- Mais il se débrouille pas mal le jeunot ! A-t-elle lancé à l’intention de Josiane, qui avait pris place sur un fauteuil.
- Je ne l’avais pas dit ? A lancé cette dernière.
Mercédès m’a sourit, savourant ma caresse qui se faisait de plus en plus insistante, de plus en plus précise. Elle a attendu quelques secondes, le temps que je prenne l’initiative d’introduire mon majeur dans sa chatte broussailleuse.
- Alors, elle te plaît ma vieille chatte ? A-t-elle dit en souriant, adoptant un parler plus cru. Tu aimerais bien y mettre ta bite ? Avoue donc que si tu osais, tu m’enfileras là… comme ça… tout de suite ! Je t’excite hein ? Ne dis pas non, ta queue est toute bandée de nouveau.
On aurait dit une marchande de poissons. Tout en me regardant droit dans les yeux, elle s‘est enfoncé un doigt dans l’anus comme pour me provoquer. Sa perversité m’a excité au plus haut point. Comme si j’avais besoin de ça ! Elle a semblé toute disposée à m’offrir toute son intimité. Elle s’est pompée le cul en gémissant. Ses yeux étaient vitreux et pleins d’envie.
Libéré par les paroles, je me suis redressé pour approcher ma bouche de la sienne. Mercédès s‘est mise immédiatement à jouer de la langue avec un art consommé, tandis qu’elle continuait à pomper son trou de balle.
J’ai alors plongé mon visage entre ses cuisses. Je les ai embrassés, je les ai léchés. Pour arriver jusqu’à son sexe. J’avais mon visage devant sa fente. Mon nez la reniflait comme j’aurai fait un chien de chasse. J’ai eu le plaisir à me trouver collée aux chairs odorantes, au petit buisson un peu rêche mais souple de son pubis. J’ai humé et humé encore. Jusqu’à mon faire péter les poumons. L’odeur particulière de ce jardin secret m’a empli les narines. C'était plus fort que moi, l'odeur du sexe de Mercédès m’a mit en transe, me transformant en un véritable satyre.
Ma langue a glissé le long de sa fente, allant sur les lèvres extérieurs, pour enfin s’attarder sur le clitoris, puis plongeant jusqu’à l’entrée de son vagin. Un vrai pot de miel. Elle a creusé un peu les reins pour bien se laisser fouiller. J’ai fouillé de ma langue dans les replis me gorgeant de saveurs aigres et amères. Le clitoris dardait, j’ai fait tourner ma langue autour du bouton. Sa mouille me saoulait. J’ai lapé ses sécrétions blanchâtres au goût un peu acide, qui tapissaient la muqueuse rose tendre de ses petites lèvres. J’ai tortillé ma langue dans l’orifice. Elle avait un cul odorant, ce qui, loin de m‘écœurer, a fouetté mon appétit. Elle a gémit, surprise par tant de plaisir. Puis j’ai plaqué franchement mon visage entre ses cuisses et ma langue a commencé un long duel avec son clitoris. Elle m’a tenu le visage entre ses cuisses, comme si elle avait peur que ce délicieux contact chaud et humide ne cesse.
Je n’en avais aucunement l’intention et j’ai continué à lui lécher le minou d’une façon qu’elle puisse s’en souvenir toute sa vie. Et cela sous les yeux envieux de Josiane. Ses gémissements se sont s’accentué.
- Ta langue me caresse mieux que nulle main ne parvint à le faire. Fit Mercédès. Elle est douce mais insidieuse, câline mais avide. Crispant ses muscles, elle a écrasé ma tête entre ses cuisses nerveuses. Puis elle a bougé le bassin pour accompagner mes lapements. Tout en jouissant, elle a expulsé un flot de sécrétion. Roulant des hanches. Je me suis servi de mes doigts avides de caresse pour fouiller ses deux orifices en même temps. Mercédès c’est balancé d’avant en arrière, totalement soumise à leurs sales désirs
Mes mains ont visité et ont branlé ses orifices pendant que je lui faisais ce qui était le meilleur pour elle. Son sexe était délicieux, chaud mouillé, salé. Il semblait que nous étions faits pour nous rencontrer. Elle a mouillé de plus en plus. Je l’ai branlé encore et encore et elle a crié de plus en plus fort. Elle s’est agrippée à mon bras. Pas le temps de reprendre son souffle que déjà, elle m’a demandé :
- A mon tour mon garçon de te faire jouir.
Pour ça elle m’a fait m’asseoir sur le divan et elle est venue se poser au-dessus de ma verge.
- Je vais te faire entrer en moi tout doucement. Tu vas voir, tu vas adorer. Il est l’heure pour toi de devenir un homme.
J’ai sentis ses doigts fiévreux autour de ma verge, puis elle l’a guidé jusqu‘à l’entrée de son pubis poilu avec vigueur et détermination. Là, lentement elle se l’est enfoncée au plus profond d’elle-même. Sous son auto-introduction, elle a crié. Elle a tenu la position pendant quelques secondes. J‘étais complètement à l’intérieur de la chatte. Elle a soufflé profondément, avant de monter et descendre. Accélérant peu à peu la cadence. Son vagin m’a arrosé, faisant dégouliner un flux constant de jus de chatte. Des flammes m’ont léché la verge à l’intérieur, me menaçant de me consumer totalement. Je n’en revenais pas, j’étais en train de me faire baiser par la fameuse Mercédès. Qui c’est transformé en chienne en chaleur, s’agrippant à mes épaules pour amplifier ses mouvements du bassin. Des larmes coulaient sur ses joues, alors qu’elle se martelait la chatte à l’aide de mon pénis. À un moment, elle a tendu les muscles de son estomac et a serré son pénis aussi fort qu’elle le pouvait. Cela a doublé l’intensité des sensations qui traversaient mon corps. Je pouvais sentir mon pénis bondir et rebondir en elle.
- C’est bon ! C’est bon ! M’a-t-elle lancé. Oh que c’est bon ! Jouissant à gorge déployée.
Dans l’instant, ma verge trempait dans un trou béant, bien juteuse. Mercédès s’est bien fourrée, faisant grincer les ressorts du divan, fortement. La coquine m’a fait jouir deux fois. J’étais vidé, fourbu, j’avais tous les muscles endoloris et mes couilles me faisaient mal.
- Au plaisir mon chéri, m’a-t-elle dit en me voyant franchir la porte d‘entrée, raccompagner que j’étais par Josiane. Tu viens me voir dès que tu veux. Je suis toute entière à ta disposition, pour de long moment de baise.
Sur le pas de la porte, Josiane m’a demandé de venir la rejoindre le lendemain…
- J’y avais bien l’intention ! Lui fis-je en descendant les marches…

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