Josiane (2)

Le lendemain j’étais loin de me sentir honteux en franchissant la porte de chez Josiane. Qui m’a reçut comme les deux jours précédents, souriante revêtue de son éternelle blouse. J’ai attendus qu’elle ferme la porte derrière moi pour lui tendre sa culotte qu’elle m’avait gentiment tendue la veille avant que je quitte l’appartement.
- Alors ? Me fit-elle. Ce tête à tête…
- Que du bonheur.
- Je vois ça. Tu as les yeux cernés. Tu as du forcer sur la
Chose ?
- Je confirme. À en avoir la queue douloureuse.
Cela la fit bien rire. Puis redevenant sérieuse, elle a ajouté :
- Aujourd’hui au programme, peinture…
- Comme tu veux.
- Je veux que tu t’occupes des plinthes, mais aussi du contour de la fenêtre moi du plafond. Cela te va ?
- C‘est toi le chef. Ai-je répliqué. Sachant très bien où elle voulait en venir.
- Tu ne vas pas le regretter, crois-moi… dit-elle, avec un sourire coquin.
- Je n’en doute pas un seul instant.
- Au boulot maintenant, ne perdant pas de temps…
Ma curiosité étant la plus forte, j’ai attendu patiemment qu’elle grimpe sur son escabeau pour jeter un coup d’œil sous sa blouse.
- C’est plus fort que toi. Tu n’as pas pu te retenir ?
- C’est devenu comme une drogue chez moi.
- Je vois cela. Et alors, tu l’as trouve à ton goût ?
- Vivement ce soir que je reparte avec.
- Parce que tu crois que je vais te laisser partir avec elle ?
- Non ! J’en suis certain.
- Petit prétentieux ! Il va falloir pour la gagner, que tu sois plus créatif que hier.
- Tu me lances un défi là ?
- Va voir ! Cela la fit de nouveau s’éclater de rire.
Puis nous nous sommes mis au travail. Cela ne l’a pas empêché de poser quelques questions, et moi d’y répondre le plus franchement possible. J’ai profité d’être près d’elle pour à nouveau jeter un coup d’œil sous sa blouse.
- Tu es vraiment incorrigible.


- Cela t’ennuie ?
- Pas le moins du monde, tout au contraire, cela m’excite. Tellement que j’ai envie de me dévoiler chaque fois un peu plus à tes yeux.
- Là tu vois, en prolongeant mon intéressement sous ta blouse je devine aisément la forme de ta chatte sous le nylon. Je n’ai encore jamais connu une jeune fille qui m’exhibe son slip comme tu le fais Josiane. Je ne te remercierais jamais assez pour être aussi cochonne avec moi.
- Cochonne ! Rien que ça, comme tu y vas là.
- Oh je m’excuse, Josiane… L’excitation me pousse à dire des mots que je ne pense pas…
- Je reconnais que là, tu mérites bien une petite punition.
- Si tu veux. Dis-moi et je l’exécute.
- Pour la peine j’aimerais que tu me relate ton tête à tête avec ma culotte.
- C’est ça ta punition. Répondis-je un peu déçu.
- Oui… tu t’attendais à quoi ? Une fessée ?
- Pourquoi pas ?
- Peut-être pour plus tard, mais pour l’instant je t’écoute.
- Tu permets au-moins que je reste là à reluquer sous ta
Blouse ?
- Si cela peut de motiver à raconter ce que je te demande, pourquoi pas !
- Alors, une fois dans mon lit, dans le noir, j’ai pris dans une main ma queue dans l’autre ta culotte. Je ne m’étais encore jamais aperçu que ma verge pouvait devenir aussi dure tant j’étais excité par les effluves qui se dégager de ta culotte. Au point d’atteindre un diamètre qui m’a même étonner.
- À ce point ? Me fit-elle.
- Oui je pense que j’aurais dû la mesurer, pour…
- Continue de me raconter ta soirée. Me coupa-t-elle. Ne t‘arrête pas… J’aime… Dis-moi comment tu as branlé ta belle bite toute raide. Je suis un peut-près sûr que tu vas me faire mouiller. À en avoir la culotte aussi trempée qu‘une serpillère…
Effectivement, j’ai remarqué une petite tache se formait au niveau de sa fente, que le nylon mouillé faisait briller.
- Qu’est-ce que tu attends ? Continue ! Je suis impatiente de connaitre la suite.

- Les premiers mouvements de pompe sur ma queue me firent tourner la tête. J’ai tout de suite senti une immense bouffée de chaleur m’envahir. En plus, des images emmagasinées dans ma mémoire lors de mes nombreux coups d’œil sous ta blouse conjuguée à celle de la fragrance que dégager le sous-vêtement allait inéluctablement me conduire très vite à éjaculer.
La tache au centre de sa culotte s’était comme par magie élargit. Elle a désuni ses pieds, pour poser le droit, trois barreaux plus haut, ouvrant par ce geste le compas de ses cuisses. Ce faisant, le nylon est venu se plaquer contre sa fente. Plus que jamais mon regard s’est rivé sur son slip. Qui s’humidifiait de plus en plus. Les lèvres comprimées par les mailles de la culotte.
- Et après ? Aller Alain, j’attends la suite…
Excité comme jamais, j’ai poursuivis mon récit. Mais alors que je lui relatais mon deuxième orgasme, elle a glissé sa main sous le blouse. Pour promener son majeur le long de sa fente. En me regardant, avec des yeux humides de plaisir, elle me m’a tendu le doigt luisant de mouille. Venant d’elle ce geste m’a surprit encore plus. Jamais je n’aurais cru qu’elle était capable de ça.
- Le cœur t’en dit ? Fit-elle en gardant le doigt tendue.
J’ai lentement approché ma bouche grande ouverte à la hauteur du majeur, et je l’ai gobé avant de le sucer.
- Tu ne peux pas savoir à quel point tu me bouleverses. Me fit-elle de son perchoir. Tu es un merveilleux conteur. Tu sais me faire jouir rien qu’avec tes paroles. J’aime vraiment ça. Je veux être encore plus salope rien que pour toi.
- Moi aussi Josiane ! Fis-je en libérant le doigt. Pour en finir avec mon histoire, allongée sur mon lit, je n’avais plus qu’une seule envie, c’était de me faire jouir encore et encore. Alors, j’ai continué à me masturber, encore et encore, de plus en plus vite, en serrant ma queue de plus en plus fort, pour y arriver. M’astiquant avec frénésie, à en perdre haleine.
J’ai sentis à chaque fois une immense bouffée de chaleur m’envahir. Et cela des pieds à la tête. Comme j‘ai sentis mes couilles bouillonné avant de laisser échapper mon plaisir d’une longue giclée de sperme qui s’est écrasée sur ma poitrine. Soulagé par cette éjaculation mais encore terriblement excité, je me mis sur le côté et me suis branlé encore plus rapidement, de plus en plus vite, à m’en faire mal. La troisième jouissance m’a laissé complètement épuisé. À moitié inconscient de plaisir.
- Allons dans le salon, veux-tu ?
- Mais la peinture ?
- Elle attendra, aller viens-vite. Me fit-elle
Je n’étais pas mécontent de la suivre. Je sentais qu’il allait se passer quelque chose de super. Comme pour me donner raison, Josiane a tout de suite prit possession du divan. En s’y allongeant sur le dos. Sans que quitter des yeux, elle a frotté de nouveau doucement ses doigts contre sa petite culotte en nylon.
- Alors tu ai d’accord avec moi, la peinture peut attendre ? Fit-elle, en glissant le majeur dans sa fente. Faisant pénétrer avec lui le fin nylon.
- Tu ne réponds pas ? Ajouta-elle.
- Oui… oui… bien sûr qu’elle peut attendre.
Puis elle a sorti son doigt pour mieux le plonger l’instant d’après. Pour recommencer plusieurs fois la même opération. Les yeux mi-clos. Gémissant du plaisir qu‘elle se donnait. Quand elle a rouvert ses yeux, ils pétillaient de bonheur.
Lorsqu’elle a éloigné son doigt de son intimité, il était brillant de mouille. Le slip quand à lui, est resté enfoncé au plus profond de sa chatte. Mettant à nu un peu plus de poils sur les côtés et même un peu de la peau des lèvres.
Mon excitation était à son comble. À en avoir la bite qui me faisait horriblement mal. Je me suis saisi de la main de Josiane et je l’ai approché de ma bouche. Puis j’ai tété le doigt souillé.
- J’aime ton goût. Fis-je, en le recrachant.
- Je vois que nous avons les mêmes besoins. Les mêmes plaisirs.
Heureusement que tu es beaucoup moins timide que moi sinon je n’aurais jamais connu ce bonheur.
- Moi aussi. Fis-je en posant mes mains sur ses jambes, pour les caresser.
- Bon ! Bon, calmant nous un peu, veux-tu.
- Mais je n’y tiens pas ! Ai-répliqué en massant sa cuisse.
- Moi j’y tiens. Fit-elle en repoussant mes mains. Il se fait tard, et je dois me rendre chez le traiteur, si tu veux manger ce midi.
- Tu veux que je t’accompagne.
- Pas question. Toi tu bosses pendant ce temps là. Tu as assez pris de retard comme ça, tu ne crois pas ?
- Mais… mais c’est toi qui ?
- Et d’ailleurs tu n’ai pas présentable. Me désignant du menton la bosse que faisait mon érection sous mon pantalon.
À son retour, elle m’a appelé pour déjeuner. Nous nous sommes confortablement installés sur le divan, devant la télé. Pendant toute la durée du déjeuner nous avons discuté de cul. Pour être plus à son aise elle s’est même retirée ses ballerines. Tout en tenant la discussion avec moi, elle se massait les pieds sous mon regard envieux.
- Cela à l’air de te plaire ?
- J’adore !
- Ah ? Intéressant. J’aime beaucoup aussi mes pieds. Je les entretiens tous les jours. Comment tu les trouves ?
- Très… très beaux. Comme d’ailleurs tout chez toi.
Sourire aux lèvres elle a posé ses deux petons en appui sur mes cuisses. Instinctivement mes mains se sont posé dessus, m’empressant de les lui masser.
- Tu ne peux pas savoir le bien que cela me fait ! J’adore ça. Dit-elle. Je pourrais me faire masser les pieds toute la journée !
- Cela ne me dérange pas plus.
- Je m’en doute, petit cochon… pour mieux voir sous ma blouse… aller finissant de déjeuner, que le travail nous attend après.
Le retard emmagasiné depuis notre petite récréation du matin, a fait que nous sommes resté sage tout l‘après-midi. Pourtant ce n’était pas l’envie qui nous manqué. Je me suis même abstenu de regarder sous la blouse, pour ne pas être poussé à la consommation, pour le plus grand désarroi de Josiane.
D’ailleurs elle ne s’est pas gêné à plusieurs reprises de m’en faire le reproche. Par contre j’ai attendu de finir le dîner pour lui demander de pouvoir à nouveau masser les pieds.
- Ah oui, pourquoi pas ! Fit-elle, en faisant glisser son pied le long de mon pantalon et cela jusqu’à ma ceinture.
- C’est moi qui te fais cet effet là ?
- Non ! Tes pieds.
Avec de petits mouvements de frottement, elle s’est servie de son peton droit pour me caresser le torse. Puis elle me l’a présenté comme si elle me faisait une pointe dans la figure. À ce moment là mon cœur s’est fait violence. Je me suis saisis du pied par la cheville pour le porter jusqu’à ma bouche, où je me suis mis à lécher son gros orteil. Il en est sorti un goût acidulé. Pas de forte odeur de pieds, juste une odeur corporelle musquée. J‘ai sucé le gros orteil longuement comme je l‘aurai fait avec une queue. J’ai pris les autres orteils. Les léchant l’un après l’autre. Pour passer par la suite sur la plante lisse, pour le plus grand bonheur de Josiane. Je l’ai même entendu laisser échapper un gémissement. Puis ce fut au tour du talon d’être câliner. J’ai porté pour cela de gros coup de langues lourds. Elle a fermé ses yeux. J’ai pris cela pour un encouragement, alors j’ai continué à lécher, à manger, à mordiller.
- Alors qu’en dis-tu ? Lui ai-je lancé après avoir écarté le pied, luisant de salive.
- HUUuummmm !
- On te la déjà fait ?
- Comme ça… jamais. J’adore les sensations que ton léchage me procure. Tu n’ais pas à ton premier essais ?
- J’avoue honteusement qu’il m’est arrivé de masser ceux de maman. Mais je n’ai jamais osé les embrasser et encore moins, les lécher.
Le fait qu’elle m’a parlé de façon très naturelle m’a mis nettement plus à l’aise et cela m’a permit de lui avouer des choses que je n’aurais encore jamais osé dire à personne.
- Par contre j’ai mâchouillé ses bas qu’elle venait de retirer. J’adore le nylon. En fait, je reconnais être un fétichiste des pieds et des collants. J’ai toujours eu un faible pour ça, surtout s’ils ont déjà été portés, leur douceur, leur odeur, … ça me plaît beaucoup.
- Il y a vraiment aucune frontière dans ta perversion. Je me demande encore comment tu peux être encore puceau ?
- Un choix…
- Disant ça.
Elle m’a présenté son autre pied. Je fus pris d’un vertige d'euphorie. D’une décharge d'adrénaline. Affolant mes sens. Le sang me battait aux tempes, tandis que ma verge se tendait à tout rompre et bosselant insolemment mon pantalon. Mes doigts se sont s’insinués entre les orteils parcouraient la cambrure du coup de pied sans jamais m’aventurer au-delà du mollet. Elle ne disait rien, s’abandonnait à mon jeu. Elle a respiré profondément. Avec un grand regard d’ émerveillé par le cadeau que je lui offrais.
J’ai mouillé sa plante avec une grosse quantité salive. Puis j’ai lui ai fait plié ses jambes, jusqu’à faire venir les deux petons à la hauteur de mon sexe. Que j’ai libéré de sa cage. Puis je l’ai calé entre les deux petons. Que j’ai empoigné à pleines mains pour les resserrer sur mon pénis. Elle a laissé échapper une plainte lascive. Les lèvres entrouvertes sur de petites quenottes bien blanches.
De haut en bas dans un rythme régulier, je me suis branlé à l‘aide de ses pieds. C’était merveilleux. Je pris un rythme régulier. Quand cela devenait un peu sec, je me remettais à lécher les pieds maladroitement pour les enduire de salive. Mais de manière très agréable à en croire Josiane, par ses gémissements. Puis j’ai repris mon branlage. Donnant des coups de reins. Fasciné par mon gland qui apparaissait, et disparaissait sous mes va-et-vient. Je lui ai alors annoncé :
- Je vais jouir.
Et soudain j’ai giclé. Elle fut surprise que ça aille aussi haut. Qu‘elle s’est prise de plein fouet sur le visage. Elle ne put s’empêcher de pousser un petit cri de surprise. Quel divin plaisir !

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