Josiane (3)

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

C’était avec une énorme envie de sucer une bonne chatte odorante que j’ai quitté l’appartement de Josiane. Me haïssant de n’avoir pas provoqué la chance qu‘il m‘était donné. Parce que j’en étais sûr, Josiane n’aurait pas était contre une bonne léchouille à l’endroit où ça fait du bien.
Si seulement je pouvais constater Brigitte, ma voisine, et pas moins maîtresse, et ça depuis quelques mois. Pour pouvoir avec elle assouvir ma soif sexuelle. Mais hélas pour moi, à cette heure tardive elle devait être tranquillement devant la télé en compagnie de son mari. Et pareille pour Bernadette, la voisine du haut. Et toujours cette putain envie de sucer qui me taraude l’esprit, à me rendre fou.
Enfin j’arrivais devant la porte de mon hall. Heureux de pouvoir aller rejoindre ma chambre. Un de mes lieux préféré de débauche. Où j’allais m’autoriser une nouvelle récréation. Moment d’intense volupté. Un petit tête à tête avec la culotte de Josiane qui m‘avait aisément tendu, alors que je quittais son chez-elle. À seulement au toucher elle était plein de promesse.
J‘ai poussé la porte, et je suis entré dans un hall qui était plongé dans le noir. À tâtant, j’ai atteint le bouton poussoir, dont j’ai appuyé, et la lumière fut. Et là j‘ai sursauté en découvrant qu’une femme était assise sur les marches d‘escalier. La tête dans ses mains.
- Madame ! Ça ne va pas ? Ai-je dis, en posant mon regard sur son entrecuisse. Que sa jupe courte permettait l’accès. Pour la petite histoire, elle avait omis de se passer une petite culotte. Ce qui était loin d’arranger mon cas. Mais elle c’était tout de même enfiler un collant, qui comprimait ses lèvres.
- Quoi… quoi… fit-elle en levant la tête. Aux pupilles qui se dilataient et se rétractaient à cause de la lumière.
J’ai tout de suite reconnu Mireille. Elle habitait le bâtiment jumelé au notre. Elle était comme à son habitude, ivre.

Je crois sans me tromper, qu’elle était aussi surprise que moi de me trouver ici.
Jadis c’était une femme qui ne me laisser pas indifférent. Me faisant même fantasmer. Au point de devenir la principale héroïne de mes séances masturbatoires. Je l’imaginais trompant son mari outrageusement avec moi. Une époque où elle était munie d’une de ses paires de nichons. Qui agressait le regard. Il m’arrivait même de surprendre lors de nos rencontres dans le quartier ses regards amusés. Comme si elle avait découvert que je me branlais en pensant à elle. Alors elle restait là, à me déshabillait du regard. Comme si elle avait une irrémédiable envie de me bouffer tout cru. Mais c‘était un autre temps, une autre époque, aussi. Comme c’était une période où la Madame faisait attention à sa personne. Ce qui n’était plus le cas à présent. Gonflant à vue d’œil. La disparition de son mari, en était pour beaucoup.
- Ça ne va pas Madame ? Lui ai-je de nouveau questionné.
- Qu’est-ce… que… que ça te foutre… t’es…t’es docteur ?
Elle s’est exprimée de façon très hachée. Pas besoin de ce demandé où elle avait passé son après-midi. Sans aucun doute, dans le café du quartier.
- Vous désirez que je vous aide madame ?
- Ta gueule ! J’ai… je n’ai pas besoin de… toi…
- C’est que vous n’êtes pas dans votre hall, ici…
- Comment ça… pas dans mon hall… tu… tu veux plai…plaisanté ga…gamin…
- Vous habitez l’autre bâtiment.
- Je… je ne suis pas… pas au 42...
- Non Madame ! Vous êtes au 32.
- Mais… mais, ce n’ai pas… pas chez moi… a…alors ?
- C’est-ce que j’essaye de vous faire comprendre, Madame.
- A… alors il faut que… que je… je rentre au 42...
- Oui Madame. Mais je ne pense pas que vous serez capable de le faire seule, dans l’état où vous vous trouvez. Je vais pour ça vous donnez un coup de main.
- Pas… pas besoin… je… je vais me… a-t-elle marmonné avant de se redresser, titubant sur ses mules à talons, avant de trébuché et tomber dans mes bras.

- Qui es-tu toi ? M’a-t-elle lancé, en se débattant.
- Un copain de votre fille, mentais-je.
- A bon ! De… de ma fille. J’ai gentil de… de t’occuper de moi. Je lui dirai.
- J’espère bien.
- Comment tu… tu t’appelles ?
- Alain, Alain Delon.
- Alors merci, Alain Delon… oui… oui, il me semble que…que j’ai… J’ai entendu parler de vous !
Et ce fut après ces quelques mots que nous sommes sortis du 32 pour aller rejoindre le 42. Une route à traverser et quelques marches à grimper. Heureusement il n’avait pas âmes qui vivent dehors. Pour se faire, elle avait prit appui sur moi. Elle portait un parfum, que je désignerais de doux et odorant. Alors qu’on grimpait les paliers les uns après les autres, elle m’a rappelé qu’elle n’avait pas eu d’amant depuis longtemps. Depuis la mort de son mari pour être précise. Et que cet aspect de la vie lui manquait énormément, au point de combler ce manque par la boisson.
Arrivés enfin, en face de la porte de son appartement, je me suis mis en quête de sa clef. Maladroite dans ses gestes, elle a renversé une bonne partie du contenu de son sac à main sur le paillasson. Où était inscrit « Bien venu ». Pour sa sécurité, je l’ai appuyé contre le mur, et je me suis empressé de remettre les objets éparpillés sur le carrelage dans le sac, sauf bien sûr le trousseau de clé. Dont je me suis servi pour ouvrir la porte.
J’ai allumé la pièce principale. Et je l’ai de nouveau prise en mains pour lui faire franchir le pas de la porte. Tout de suite elle s’est affalée de tout son long sur le divan en velours.
- Bon madame, vous êtes arrivé à bon port, je vais vous laissez là.
- Bisous… faite-moi bisous…
Je pris cela pour un dédommagement pour l‘avoir conduite jusqu‘à chez elle.
- Si vous y tenez, pourquoi pas…
Elle en tenait vraiment une bien bonne. Je me suis approché jusqu’à elle. Je me suis penché au-dessus de sa joue, que j’ai baisée.
Elle s’est accrochée à mon cou, et m’a volé un baiser. Sa bouche empestait l’alcool.
- Oh, j’avais… j’avais envie ! m’a-t-elle avoué, tout en poussant
Des gloussements de femme soûle, avant d‘ajouter :
- Je crois que… que j’ai envie de faire pipi… avec tout ce que j’ai bu, ça… ça ne m’étonne pas… pas.
- Vous voulez que je vous aide ?
- Dépêchez-vous, je… je vais plus pouvoir me retenir.
Je l’ai repris dans mes bras et elle m’a guidé jusqu’au lieu souhaité. L’ivresse la rendait tellement maladroite, que j‘ai dû la soutenir alors qu‘elle fourrait ses mains sous sa jupe pour faire descendre son collant jusqu‘à ses chevilles. Puis elle s’est laissé tomber sur la dinette du bidet. Elle n’a même pas attendu que je ferme la porte pour se soulager. À gros bouillon. En poussant des gémissements de soulagement. J’ai attendu qu’il n’est plus de bruit pour ouvrir la porte et l’aidé à ce relever.
Tout cela était loin d’apaiser mon envie de sucer. Tout au contraire, même cela l’activer. Surtout qu’elle a voulut que je l’emmène jusqu’à sa chambre.
Une fois au-dessus du lit elle s‘est laissée tomber dessus. Avant de s’immobiliser, les yeux clos, comme si elle dormait. Dans la chute sa jupe s’était retroussée haut sur ses cuisses. Exhibant son ventre bombée, ainsi que son sexe touffu de poils poivre et sel. J’étais dans un état d’excitation pitoyable.
- Vous dormez ?lui ai-je lancé, sachant très bien qu’elle n’allait pas me répondre. Alors j’ai ajouté :
- Vous voulez un verre ?
Pour ne pas plus de réponse. Un dilemme s’est alors posé. Soit je partais, soit je profitais de l’occasion qui m’était donné. Et ainsi apaisé mon incitation à sucer. J’ai fixé son entrejambe. Sans hésitation j’ai pris l’initiative de lui retirer le collant qui entravait encore ses chevilles. Passivement Mireille ouvrait de temps à autre les yeux pour voir ce que je faisais. J’ai pris alors un plaisir pervers d’humer son collant devant son regard témoin.
Puis je me suis saisi du pied le plus proche pour l’approcher de mes lèvres. Il était moite. Cela ne m’a pas empêché de le lécher. Ça faisait si longtemps que j’en avais envie de le faire. Que je n’allais pas me l‘interdire maintenant. J’étais comme fou de voir cette femme, toute à ma merci. Bien sûr, je m’en suis voulu un peu de profiter de l’occasion qui m’était donnée. Mais c’était terriblement excitant. Je bandais à la seule idée de réaliser mon envie de lécher une chatte. Et celle de Mireille. Un rêve qui se réaliser, enfin. Je ne sais pas le nombre de fois que je mettais branlé en imaginant l’odeur et le goût de cette chatte. Et là maintenant elle était à moi. J’avais bien l‘intention de lui rendre hommage. J’y posais mon nez dans les poils qui sentait fort la transpiration et la pisse. Que c’était bon de sentir cette odeur. J’ai exploré la vulve en profondeur et un peu de mouille grasse commençait à suinter. Passais ma langue sur toute la longueur de la raie, et cela jusqu’à l’anus, où l’odeur était beaucoup plus épicé, plus forte aussi. Je l’ai reniflé à mon faire péter les poumons. J’ai séparé, l’instant après les bourrelets de la moule, et j’ai lapé toute la mouille qui coulait de la fente béante. J’étais dans mon élément ! J’ai passé ma langue sur les contours du vagin. Le clitoris avait la couleur d’une myrtille. Assommée par l’alcool, et pour mon plus grand plaisir, Mireille se laissait faire. J’ai profité de son inaction pour passer un long moment à besogner sa chatte avec ma langue, avant de m’occuper de sa petite entrée étoilée. Faisant pénétrer ma langue le plus loin possible dans l‘orifice serré. Dans le même temps, j’ai aventuré mon majeur dans sa fente. La branlant. Malgré son sommeil lourd d’alcool, Mireille a émit de petits gémissements révélateurs de son bien être. La mouille a coulé abondamment de sa cavité. Terriblement excité, je n’ai pas pu résister de plonger un second doigt dans l‘orifice. Fouillant le vagin pour le plus grand plaisir de la femme. Qui a réagit à mes attouchements, en me tendant sa chatte. Elle a miaulé comme une chatte en chaleur. Il m‘en a pas plus pour me rendre complètement fou. À activer la cadence à mon branlage. Mes doigts étaient luisants de son foutre. Le même qui coulait jusqu’à
Son anneau foncé. Qui faisait briller les petits monticules de chair brune. J’ai humecté mon annuaire avant d’aller titiller la rondelle plissée et brune. Puis j’ai enfoncé ma première phalange. Je l’ai fait aller et venir avant de l’enfoncer complètement. Fouillant furieusement l’intérieur. J’étais au summum de mon excitation. J’ai retiré mon doigt pour écarter les deux fesses, et d’y poser ma langue au contact de l‘ouverture de son cul. Que j’ai inondé de salive chaude. Mireille, malgré son état, avait l’air d’apprécié ce que je lui faisais. Me le faisant savoir en tortillant involontairement des hanches.
Quand j’ai jugé que son trou du cul était assez dilaté pour
Me recevoir, j’ai fait tombé pantalon et slip, et j’ai posé mon gland à l'entrée de son trou du cul. J’ai poussé, j’ai pressé pour que sa rondelle s'ouvre enfin et accueille la tête de ma verge. Qui dure comme du béton, a cheminé à l'intérieur du fourreau. Elle a laissé échapper un long râle. J’ai senti les parois de son rectum se déformer au passage de ma queue.
J’avais du mal à croire que j’étais en train d'enculer mon fantasme de jeunesse. J’allais défaillir. J’avais là, devant mes rétines, le spectacle de son anus retourné à l‘intérieur. Je me suis alors déhanché, donnant de violents coups de reins pour m’enfoncer au plus profond d’elle. Après une courte inactivité, j’ai balancé mon bassin d’avant en arrière, et d’arrière en avant. De plus en plus vite, de plus en plus fort, la pistonnant consciencieusement, de toute ma longueur. Faisant frapper mes cuisses contre ses fesses. Il y eu des claquements de peau, des bruits secs, des bruits mouillés. Soudain je me sentis partir. Suite à une intense vibration, ma raideur s’est figée dans son anus avant que ma semence quitte mon méat pour se déverser dans l’anus de Mireille. Mais alors que je savourais les derniers spasmes du plaisir, je l‘ai entendu me dire :
- Salop… tu… tu m’as violé… Tu… tu as profité de mon ivresse… pour…. pour r de mon corps.
- Oui, je suis d’accords avec vous, et je m’en excuse. Il est temps pour moi de quitter le lieu. Mais sachez tout de même Madame que j’ai pris du plaisir.
J’ai quitté le lit et j’ai enjambé mon pantalon.
- Attends… attends, je… m’a-t-elle lancé.
- Oui, je vous écoute.
- Non… non rien…
- Vous avez envie d‘en reprendre un coup ? C’est ça ? Et vous n’osez pas me le dire ?
- Non… pas du tout… où vas-tu chercher cela ?
- Vous en voulez encore. Je le lis dans votre regard.
- Alors si… si c’est que tu lis dans mon regard, c’est surement que c’est vrai. Alors pourquoi ne pas remettre ça ?
J’ai laissé tomber mon pantalon et j’ai sauté sur le lit.

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!