La Vieille Prostituée (2/2)

un peu moins poète mais plus cochon ?
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Cette fois-ci, je ne déambulais pas. J’avais passé toute la semaine à penser à cette vielle prostituée. M ‘avait-elle envoûté ? cela y ressemblait en tout cas. En arrivant dans la rue, je tentais de me frayer un chemin au travers de sollicitations toutes plus alléchantes que les autres. Enfin je la vis.
• Hé ! comment tu vas chéri ? me fait-elle
• Bien. Tu te souviens de moi ?
• Bah oui ! je n’ai pas beaucoup de jeune comme client. Et en plus, j’ai vraiment apprécié notre petit rendez-vous. On remet ça ?
• Oui fis-je. J’en ai très envie
On se retrouve dans la chambre. Je sors le gros billet et m’approche d’elle. Je lui glisse dans l’échancrure de son bustier. Ce simple geste me fait déjà bander. Elle approche ses lèvres des miennes. Je les pose et l’embrasse. Nos langues se touchent, je frémis, elle soupire.
Elle défait ma chemise tout en continuant à m’embrasser mes lèvres, mon torse, mon ventre. Elle attaque ensuite la boucle de ma ceinture. Mon pantalon glisse sur mes chevilles.
• punaise! cela a l’air bien gonflé dans ton boxer.
• euh oui! Tu m’excites beaucoup.
Elle saisit le boxer et le fait rouler sur mes cuisses, libérant mon engin déjà en érection plus qu’honorable. Elle se met à genoux et pose ses lèvres sur mon gland. Elle me regarde et fait disparaître mon gland dans sa bouche.
• elle en connait un rayon ! me dis-je intérieurement
Ses lèvres enserrent ma verge qui disparaît lentement dans sa bouche. Elle commence à faire coulisser mon engin qui devient dur. La voir faire m’excite autant que le contact de ses lèvres chaudes.
Après m’avoir mis bien en forme, elle se redresse
• Tu me déshabilles chéri ?
• Oui !
J’entreprends son effeuillage. Je suis tellement excité que son soutien-gorge me résiste. J’y arrive finalement découvrant sa grosse poitrine tombante.

Je saisis ses seins à pleines mains pour les caresser.
J’attaque la jupe qui tombe par terre et m’agenouillant je fais glisser sa culotte sur ses cuisses. Je suis pile en face de sa matrice. Je pose ma bouche sur sa chatte et lèche le clitoris. Elle frissonne, pose ses mains sur ma tête. Je continue et glisse ma langue dans sa chatte. Hummm, elle mouille. Je continue mes douces caresses, elle gémit.
Je me redresse, la pousse sur le lit et l’embroche d’un seul coup.
Punaise ! Sa chatte est à point ! Je manque de jouir mais je sais que je ne vais pas résister longtemps
Elle croise ses jambes dans mes reins pour m’inviter au plus profond de son ventre. Je pousse mon sexe au fond de sa chatte. Elle me serre fort contre elle. Elle gémit doucement. J’en peux plus, je vais jouir, je pousse un grognement. Je gicle au fond d’elle. Elle frissonne et me caresse les cheveux.
Le silence se fait. Juste des tressaillements de nos corps trahissent notre plaisir.

Elle finit par me libérer presque à regret. Elle me regarde et me dit "tu es un dieu". J’ai encore envie de toi. Elle approche de mon sexe et entreprends de lui redonner de la vigueur
Elle le lèche, me suce, me fait voir toutes les facettes de son art. Je ne tarde pas à réagir. Quand mon sexe est redevenu dur, elle se couche sur moi. Elle me regarde dans les yeux, saisit ma queue et la positionne en face de sa rondelle.

T’inquiètes pas, il n’y a pas de supplément ! J’en ai trop envie

Je sens ma queue enserrée fortement dans un fourreau plus serré que d’habitude. Je réalise ce qu’elle voulait dire. Elle pousse des petits cris comme pour exorciser ce mélange de douleur et de plaisir. Elle engloutit mon sexe et marque une pause. Son plaisir est plus fort, je le vois dans ses yeux
Elle commence un mouvement de va et vient avec son bassin. Je l’accompagne en lui tenant ses larges hanches. Je tente de résister aux vagues de plaisir qui se propagent depuis ma queue et qui me prennent entièrement.
Ses gémissements raisonnent en moi, j’en peux plus. Elle continue.
• Je vais jouir
• Oui mon chéri ! vas-y en redoublant d’effort
J’explose dans un grognement, ma semence chaude dans sa rondelle la fait sursauter. Elle s’écroule sur moi essoufflée. Je me vide.
Je sens son cœur battre, son souffle, son odeur de femelle satisfaite, l’odeur de l’amour physique, l’odeur de foutre et cyprine mélangée.
De longues minutes s’écoulent. Elle se lève et file dans la salle de bain. Elle revient peu après nue. Je ne comprends pas ce qui m’arrive : vielle, obèse, la beauté fanée, des bourrelets, de larges hanches, des seins tombants, la peau ridée mais j’ai encore envie d’elle.
• C’est une sorcière me fait-je comme réflexion. Je ne vois que cela ! Ou ma faiblesse ?
• Eh mon chéri, il faut s’arracher
Je me rhabille machinalement et sort de l’hôtel. Elle m’embrasse comme une midinette et s’éloigne en ondulant des fesses dans la rue à la recherche d’un nouveau client.

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