La Vieille Prostituée (1/2)

un peu moins poète mais plus cochon ?
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Je déambulais perdu dans mes pensées. Le travail, ma femme, le sexe. Je flottais littéralement. Sans m’en rendre compte, j’étais dans la rue du faubourg Saint-Denis, rue réputée pour être un haut lieu de prostitution. Les sollicitations de ces dames me fit revenir sur terre si je puis-dire
• Tu montes chéri ?
• hé le beau gosse ! tu ne veux pas me faire un câlin ?
Ces dames rivalisaient de provocations autant visuelles que verbales pour amener le chaland que j’étais à succomber à leurs charmes. Leur poitrine généreusement exposée, leur cuisse largement découverte, leur parfum bon marché me faisait tourner la tête et j’avoue que mon corps réagissait. J’avançais tant que bien que mal quand une dame âgée me lança
• Si tu veux une salope avec de l’expérience mon beau, je suis à toi !
Presque étonné de voir cette dame âgée m’interpelle ainsi, je la dévisageais. Elle était vielle, sa beauté était fanée, Elle avait des formes opulentes, ses yeux bleus tentaient de capturer mon regard mais celui-ci était focalisé sur une poitrine débordante. Mon état d’excitation monta en flèche. J’en avais mal au ventre.
• Combien ? soufflai-je
• 30 euros mon cher. Prix d’amie !
J’acquiesçais. Elle me montra le chemin. Je la suivi et paya la chambre
Elle prit la clé et grimpa devant moi. Je voyais son cul qui dandinait devant moi et j’apercevais sa culotte. Punaise, j’ai la trique.
Elle entra dans la chambre et se retourna. Elle était la devant moi. Elle s’approcha de moi, tendit ses lèvres et pose sa main à mon entrejambe. Je l’embrassai. Mon cœur s’emballa. Elle rompit le baiser et dit
• Tu penses à mon cadeau ?
• Oui bien sûr.
• Tiens glisse entre mes seins !
Elle disparut dans la salle de bains. J’entendis couler de l’eau puis elle revint. Sa jupe et son haut avait disparu.

Elle avait gardé sa lingerie noire. Elle s’approchera de moi. Elle fit
• Je ne suis pas la plus belle mais tu vas prendre ton pied. Tu aimes les grosses ?
• Oui répondis-je impressionné par ses formes généreuses.
Elle posa sa main sur mon entrejambe. Mon sexe gonfla instantanément. Je l’embrassais en lui pelotant les seins.
• ils te plaisent mes gros seins ?
• Oui répondis-je dans un souffle
• alors enlève-moi le soutif !
Je m’exécutais dans un état second. Je caressais la peau si douce de ses gros seins tachetée de tâches de rousseurs. La peau était flétrie mais la douceur de sa peau m’enchantait. Je saisis un de ses seins pour lui sucer le téton. Celui-ci durcit instantanément. Je jouais avec ses seins, goutant avec mes lèvres ses seins qui ballottaient devant moi, ses tétons durs de désir
• Tu aimes mes gros seins dit-elle en riant. Mais collant sa poitrine sur mon torse, je sens sa chaleur de femelle au travers de la chemise.
• Tu ne te déshabilles pas, chéri ?
Joignant le geste à la parole, les boutons sautent à tour de rôle et en un mouvement, Elle colle sa grosse poitrine sur mon torse désormais nu. Elle me glisse « C’est pas mieux ? Elle m’embrasse goulument puis ses lèvres glissent sur mon torse et sur mon ventre.
Elle déboutonne le pantalon en écarte les pans. Elle entrçoit mon sexe tendu. Elle me regarde, ses yeux brillent. Elle saisit mon sexe et pose un baiser sur mon gland.
• Punaise ! tu bandes bien chéri !
• Bah oui tu me fais de l’effet
Ses lèvres parcourent ma verge, la langue chaude lèche mon membre. Je suis comme fou. A ce rythme je vais éjaculer avent de l’embrocher. Mon sexe disparaît entre ses lèvres et entreprend e me sucer. Quel pied ! Mon sexe disparaît et réapparaît. Elle me caresse les testicules. Je lui dis d’arrêter. Je veux te prendre
Fébrile, je me débarrasse de mon pantalon et mon caleçon. Pas le temps pour les chaussettes !
Je l’embroche direct sans coup férir.
Mon pieu disparaît dans sa chatte brûlante et baveuse. Je la besogne. Je ne me contrôle plus. Je pousse un grognement et je jouis.
Elle s’éclipse dans la salle de bain et réapparaît peu après
• Eh bas ! tu as été généreux !
Elle saisit mon sexe et le nettoie avec une lingette. Elle la passe délicatement sur mon gland encore sensible, nettoie la verge et délicatement
• Je suis tout propre fis-je en riant
• Oh oui ! en plus tu as l’air de reprendre des forces !
• Euh oui !
• J’ai envie de te chevaucher mon beau !
• Oui répondis-je
Elle se penche sur ma verge et passe sa langue sur ma queue qui a commencé à reprendre vie. Lentement sur les lobes de mon gland, puis sa langue sur mon méat.
Je la regarde faire complètement subjugué. Elle me montre tout son art. Elle me regarde, ses yeux brillent. Son regard me fait frissonner. Elle se redresse et glisse mon sexe dans le sien. Elle s’empale dessus. Elle l’engloutit, Elle me chevauche, ses seins dansent devant mes yeux. Mon sang bouillonne, mon sexe est en feu, mon esprit tourbillonne. J’essaie de contrôler la montée de ma semence mais mon sexe est si bien dans sou fourreau humide que j’explose en elle sans crier gare.
Elle lâche un cri, s’écroule sur moi. Je la serre dans mes bras, toujours enfoncé en elle. Mes saccades la font tressauter. Le silence se fait. De longues secondes s’écoulent
Elle se redresse et file dans la salle de bains. Je me rhabille, vidé au sens propre comme au figuré. Elle sort de la salle de bains, fraîche. Elle s’approche de moi et me dit
• Tu reviendras me voir chou ?
• Oui en lui volant un baiser

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