La Vieille Fille...

J’étais assis sur les marches d’escaliers, très centralisé sur le magazine que je tenais entre mes mains. Que je parcourais divinement quand je me suis fait surprendre par une voisine.
- En voilà des manières, jeune C…
Elle ne m’a jamais appelé par mon prénom. Mettant jeune devant le nom de famille. Marie-France de son prénom, était une vieille fille proche de la soixantaine, revêche, avare de sourire malgré sa belle bouche pulpeuse. Toujours habillé de vêtements sombres. Je me suis toujours demandé si elle avait eu un amant.
Elle me prit le magazine des mains et se mit à le feuilleter.
- Eh bien ! Tu as de drôle de lecture jeune C… ! Tu devrais mieux d’aller chercher du boulot.
J’étais très gêné de m‘être fait surprendre. Surtout par cette Marie-France. Qui au contraire de moi, cette péripétie semblait l’amuser.
- Si vous connaissez quelqu’un qui cherche un employé, ne vous gênez pas pour me le communiquer.
Elle referme le magazine et dit :
- J’aurais bien un petit travail pour toi.
- A oui !
- Si je te le dis. Passe chez moi dans l’après midi, et tu verras.
Elle a rebroussé chemin, remontant les marches.
- Eh madame ? Fis-je.
- Oui, jeune C… fit-elle en se retournant.
- Pourrais-je récupérer mon magazine ?
- T’inquiète. Tu le récupéreras quand tu viendras chez moi. À tout à l’heure.
L’après-midi comme prévus je fus au rendez-vous. J’ai bien sûr toqué à la porte. Elle n’a pas prit la peine de se déplacer pour m‘ouvrir, elle m’a seulement invitée à voix haute de venir la rejoindre. J’ai passé le pas de la porte, et je me suis avancé jusqu’à la pièce où elle se trouvait. Elle était simplement d’une combinaison de soie.
- Il fait chaud dans ces appartements. Tu ne trouves pas ?
Il se trouvait sur la table deux verres multicolores.
- Prends place jeune C… Je t’ai préparé un petit breuvage pour te donner des forces.

Il est composé de jus de légumes.
Elle avait arrangé ses cheveux avec un bandeau et avait dans ses pieds des escarpins. Elle ressemblait ainsi à une pute recevant son client. Elle a attendu que je finisse mon verre. Très bon soit dis en passant, pour me sommer de la suivre, d’une voix un peu plus rauque qu‘à l‘accoutumer.
Elle m’a entraîné jusqu’à la chambre. Balançant un peu trop ostensiblement ses hanches convexes. Elle s‘est écartée pour me permettre d’entrée dans une pièce rectangulaire. Hormis le lit, une armoire, une coiffeuse et des tables de chevets les murs étaient encombrés de tableaux. Elle m’a désigné un carton appuyé contre le mur.
- C’est un meuble en kit. Tu peux le monter ?
- Je ne garanti rien, mais je peux toujours essayer. Il me faudrait pour cela des outils.
- J’ai fit-elle en s’avançant jusqu’à l’armoire qu’elle ouvrit avant de se pencher. Sans paraître remarquer que sa combinaison en soie s’est retroussée assez haut sur ses cuisses. J’ai sentis ma queue se dresser dans mon slip à la vue de ces fesses rondes. Elle a semblé même y prendre plaisir à s‘exhiber ainsi. Prenant son temps pour se saisir d‘une trousse d‘outil. Il flottait dans cette pièce surchauffée, une atmosphère étrange qui sans cesse, m’obligeait à penser au sexe.
- Je pense que je vais pouvoir. Bafouillais-je. Alors qu’elle se redressait.
- J’en suis certaine, fit-elle en me tendant la trousse. J’espère que tu auras tout ce que tu as besoin.
Je l’ouvris et fis l’inventaire.
- Je vais faire avec. Au pis je peux toujours monter jusqu’à chez moi, prendre la caisse à outil à mon père. Fis-je en prenant un couteau dans la trousse pour ouvrir le carton.
- Bon ce n’est pas que je m’ennuie avec toi jeune C…. Mais j’ai autre chose à faire. Je te laisse. Si tu as besoin de moi je me trouve devant la télé devant mon émission préférée.
Rester seul, j’ai découpé l’emballage sur son haut. J’ai tout de suite eu accès au plan.
Je l’ai scruté un instant avant de faire l’inventaire du contenu de la boîte. Puis je me suis attaqué au montage. De temps à autre Marie-France faisait de courte apparition pour voir si je m’en sortais et elle repartait aussi vite qu’elle était venue.
Le meuble montée, je suis allé jusqu’à elle, pour lui annoncer la bonne nouvelle. Pour me récompenser elle m’a invité à prendre en sa compagnie, un goûté. J’en ai profité pour lui parler du magazine.
- Je pense que je vais le garder encore un peu si tu veux bien… Jeune C…
- C’est que madame… il appartient à mon frère et s’il venait de s’en apercevoir je passerai un sale quart d’heure.
- On t’a déjà fait une fellation, m’interrogea-t-elle. Changeant de sujet tout en tartinant une tranche de brioche de confiture à la fraise.
- Oui ! Répondis-je.
Qu’est-ce qu’elle croyait. Bien sûr que j’avais déjà connu des expériences sexuelles avant ce jour. Et en nombre assez impressionnant pour un si jeune âge.
- Avec la jeune G…,
- Vous voulez sans doute parler de Muriel ?
Elle prit son ton le plus sucré pour répondre.
- Oui, c’est bien d’elle que je parle. Je vous ai à plusieurs fois surpris en train de vous bécoter sur les marches, devant ma porte. Et elle comme toi, donné l’impression d’aimer cela. Comme le jour où…
Le sourcil froncé, les lèvres pincées, elle énuméra les diverses fois où elle m’avait pris en faute, sans que je le sache. J’étais tout bête, alors qu’elle avait eu un rire cynique, avant d’ajouter :
- Alors tu aimes ? Je voudrais l’entendre de ta voix ?
Elle a croisé ses jambes assez hautes. Sa combinaison est montée haut sur ses cuisses, me permettant de voir sa culotte. Rebondie par sa motte. Aussi c’est furtivement que j’ai regardé son petit joyau. Je ne sais pas ce qui me retenait subitement de me jeter dessus. Pour le parcourir de ma langue. Une intense émotion m’a envahi et j’ai senti des picotements agréables dans tout mon bas-ventre.

Mais ça, elle ne le savait pas. Croisant et décroisant ses jambes sous mon nez. Il m’a semblé que sa culotte était auréolée à son centre. Où c’était mon imagination qui me jouer des tours.
Elle a replié une jambe sous elle et ses cuisses se sont s’écartées, alors qu’elle braquait ses yeux dans les miens.
« Oh ma cochonne, pensais-je, qu’est-ce que j’ai envie de te la lécher »
- Ce besoin de trouver le plaisir. Fit-elle, il est…
- Permanent, madame…
D‘un coup, elle ne riait plus. Bien au contraire, elle était rouge et respirait plus vite.
- Oui, madame. Je dirai même incessant si vous voyez ce que je veux dire.
- Et à cet instant…
- Plus que jamais.
- Ah oui ! Répliqua-t-elle en avançant sa main jusqu’à mon bas-ventre. Comme pour s’en convaincre. Après avoir soupesé mes testicules, elle a remonté plus haut, évaluant la taille de ma queue. Un grognement lui a échappé.
- Elle ne te fait pas mal ? Fit-elle d’un air innocent.
- Oui, madame. J’en souffre même, à vrai dire…
Elle s’est agenouillée devant moi et s’est mise à palper la braguette. J’ai senti qu’elle me déboutonné mon pantalon, et qu’elle zippait la fermeture Eclair de ma braguette. Puis elle mit ma verge en érection à l’air libre.
Elle s’est amusée, pendant un moment qui me parut interminable, à masser mes testicules et ma hampe, du bout de ses doigts. Son jeu a duré un assez long moment. J’ai senti le sang battre à mes tempes. J’avais hâte qu’elle aille plus loin. Mais pour le moment, sa caresse était extrêmement lente, presque intolérable de douceur.
J’ai bien tenté de la toucher. Mais elle a repoussé mes avances. Limitant ainsi à ses mains le trait d’union entre nos deux.
Puis elle a encerclé la base avec le pouce et l’index, en serrant un peu. Ce qui a augmenté encore la dureté de mon érection. Mon cœur battait très fort. Ma respiration était saccadée. J’étais entièrement sous la domination de Marie-France.

- Je suis certaine que cela te plairait de mettre ton sexe dans ma bouche ? Minauda-t-elle, tout en branlant ma verge.
Pour toute réponse j’avançais mon bassin pour pousser ma verge dans sa bouche.
- Petit cochon, fit-elle à voix basse. Je n‘ai pas dit que je te le ferais.
- Je suis sûr que vous en mourez d’envie.
- Ah oui ! Et qu’est-ce qui te fait dire cela ?
- Ma queue…
- Parce que ta queue pense, jeune C…
- Oui… surtout en cet instant.
Elle cueillit du bout des lèvres la petite goutte qui suintait de mon méat. Puis elle a passé sa langue sur le frein.
- Tu aimes ?
- Continuez, s’il vous plaît !
Ma queue fut secouée de spasmes rapides, incontrôlable. Chaque tressaillement provoquait chez moi un élancement de plaisir. De toute la largeur de sa langue, elle a léché ma verge. Depuis mes couilles jusqu’au gland, et du gland jusqu‘aux couilles. Puis elle a enserré ses lèvres sur l’extrémité de ma verge avec une extrême lenteur avant de les faire glisser vers le bas. Faisant disparaître centimètres après centimètres ma verge dans sa bouche. Qui exerçait sur elle, une pression douce ferme, continue, comme si elle voulait me la manger. Elle m’a sucé comme une reine. Je n’aurai jamais cru qu’elle était capable de faire ce genre de chose. Joues creusées, langue infatigable. La coquine sentant que j’étais proche de la conclusion, me recracha. Et contre toute attente, elle aller se rasseoir sur sa chaise, me laissant sur ma faim. Mais pas le temps de me morfondre sur mon sort, qu’elle s’est saisi de ma main pour la guider jusqu’à l’intersection de ses cuisses
- Tu as déjà touché le sexe d’une femme. Je ne parle pas de celui de ta copine.
- Non madame. Mentais-je.
- Alors je te permets de toucher la mienne.
Sous mes doigts, j’ai senti que sa culotte était mouillée.
- Je peux vous l’ôté ?
- Je préfère le faire de moi-même si cela ne te dérange pas.
Alors qu’elle faisait glissé son sous-vêtement le long de ses jambes, d’une main rendue maladroite par le désir, j’’ai empoigné le pot de confiture posé sur la table. J’y ai plongé mes doigts, ramenant une bonne quantité de confiture dont j‘ai badigeonné l‘intimité de la femme. Celle-ci eut un petit rire chatouillé :
- Qu’est-ce que tu fais, jeune C… ? C’est froid !
Sans répondre, je me suis agenouillé entre ses cuisses et enfouis en geignant de volupté mes lèvres dans la forêt de poils flamboyants, barbouillés de confiture. Je l’ai entendu pousser un profond soupir. Je l’ai léché jusqu’au dernier gramme de confiture. Prenant l’initiative de lui enfoncer mon index dans l’anus. Un réflexe chez moi. Il était tellement mouillé que mon doigt s’est enfoncé sans difficulté. Elle a remué son bassin sous la langue qui la léchait, sur le doigt qui la branler.
- Mets un deuxième doigt, jeune C… et pousse bien !
C’était bien ce que je m’attendais de faire. Vue que mon index flotté dans son orifice.
- Tu es vraiment un gros cochon, jeune C… Fit-elle d’une voix étouffée. Tandis que j’enfonçais mon deuxième doigts dans son orifice anal. Et que je titillais son bouton du bout de la langue.
Elle a ondulé, tout en poussant des gémissements de plus en plus haletants. De plus en plus bruyants.
- Je sens que je vais… oui jouir ! Je jouis putain ! Je joui… oh ! Que c’est bon.
Elle eut un dernier frisson, avant de se dégager. J’en es profité pour porter les doigts à mes narines. J’ai beaucoup aimé l’odeur poivrée qui s‘en dégagée.
Pendant ce temps là, Marie-France s’est installée sur la table. Remontant ses genoux vers sa poitrine. Avec le beurre qui se trouvait pas loin d’elle, elle s’est enduis le trou du cul. Elle m‘a demandé que j‘en fasse de même avec ma queue. Ceci fait, elle a posé ses mollets en appui sur mes épaules,
- Qu’attends-tu me la fourrer dans le cul, jeune C…
D‘une main, elle m‘a guidé. J’ai poussé mon bassin en avant. Le petit bourrelet anal s’est effacé complètement, repoussé d’un coup dans l’anus par ma verge. J’ai poussé en donnant de petits coups de reins. Ma verge a disparu lentement dans le derrière de la vieille fille. J’ai marqué un temps d’arrêt. Je n’avais d’yeux que pour la couronne de chair autour de ma verge. J’ai entamé un va-et-vient prudent. D’abord à l’étroit, ma queue a coulissé bientôt plus aisément, au fur et à mesure que l’anus s’est relâché. J’ai donné par la suite des coups de reins en peu plus poussé pour aller au devant d‘elle. Accélérant même le rythme. Elle s’est agitée sur ma queue. Faisant plonger ma queue au plus profond de son fion. Elle a râlé, murmuré des mots sans suite, avant de libérer un grand cri ventral qui mourut dans un sanglot. En jouissant, son cul s’est contracté autour de mon gland. L’étranglant agréablement
Tout de suite après, j’ai tressaillis sous la charge du plaisir, comme ce fut son cas. J’eus l’impression même qu’elle allait s’évanouir. Les yeux révulsés. Le visage cramoisie. Tout le corps parcouru de spasmes. Elle m’a envoyé encore quelques coups de reins avant de se laisser retomber sur la table, s’immobilisant sur le plateau.
Bien plus tard, alors qu’elle me raccompagnait jusqu’à la porte elle m‘a lancé :
- Demain, je reçois un autre meuble, jeune C… Je peux compter sur tes services ?
- Le matin, ou l’après-midi ?
- Pourquoi pas à l’heure du goûter. Fit-elle en riant bêtement.
Par la suite Marie-France est devenue une femme sur lequel j’ai pu tenter sans crainte, les expériences les plus audacieuses.

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