La Vie De Famille 2

Tétanisée, je n'ose pas bouger.
Albert me fixe toujours, et dit :
« je vois que tu es sexuellement très active jeune fille, et gourmande. C'est les toilettes de ton bahut ? Tu fais souvent ce genre de choses ? »
Je n'ose pas répondre, j'ai honte et peur en même temps.
« et ta mère qui pense avoir élevé une gentille fille innocente… » en disant ça il se caresse l'entrejambe.
« cela dit ce n'est pas étonnant, ta mère est une vraie salope, elle adore la bite et le sperme, tu tiens d'elle de toute évidence. »
Je sens l'excitation de mon beau papa monter, et je ne peux m’empêcher de mouiller. L’idée d’être à cet instant à la merci de mon beau père me fait oublier ma peur.
_« on fait quoi maintenant Pap’s ? Tu vas le dire à maman ? »
_ « non. Il y a quelques temps déjà que je veux avoir une conversation avec toi. Les parents parlent tu sais, j’ai beaucoup d’amis parmi les pères de tes copains et copines, et le proviseur adjoint de ton lycée est un bon copain. Je sais que tu fais ça souvent, et que tu as la réputation d’être la meilleure videuse de couilles de ton bahut. Je sais aussi ce que Julien t’as fait hier soir.
Sache que dans ma famille, je suis le chef. On me dit donc tout. Et j’ai certains droits inaliénables qu’il va falloir que tu connaisse. Mes fils ont parfaitement compris comment fonctionne cette famille, ta mère aussi. Il est temps que tu apprennes.
En attendant, même si tu es jeune, je pense qu’il est temps que tu te passes un peu des bites d’adolescents et que tu découvre le sexe avec un vrai mâle. »
Il me tend son portable, une photo est affichée à l’écran. C’est la plus énorme bite que j’ai jamais vu, une main de femme tient la verge droite et dure, tandis qu’une autre main tient une bombe de laque juste à côté. La queue est presque aussi longue que la bombe, et encore plus large.
_ « il s’agit de mon sexe, un vrai sexe d’homme, puissant et massif, rien à voir avec les petites queues de puceaux que tu vides dans ta bouche de petite chienne.

Toutes les femmes qui intègrent ma famille doivent passer un test. Ton tour est arrivé. »
_ « qu’est ce que je dois faire Pap’s ? »
La spontanéité de ma réponse ne me surprend qu’une fraction de seconde. La vue de ce manche, et le ton autoritaire de mon beau père m’a plongé dans un état d’excitation tel que je ferai tout ce qu’il m’ordonne. Absolument tout.
_. « Tu vas te mettre nue, à genou devant moi. »
Je m’exécute, retirant mon mini short et mon débardeur. Je me met ensuite à genou jambe écartées sur le carrelage froid. Je sens que je mouille comme une folle, et je suis subjuguée par la voix et le regard de mon Pap’s. Je comprends qu’il est le maître, et que je suis à sa disposition.
_ « touche toi. »
Je me met alors deux doigts dans la chatte en passant par derrière tandis que de l’autre main je me touche le clitoris. Le plaisir débarque, fulgurant, j’ai rapidement un premier orgasme, mais il m’interdit d’arrêter.
Il se lève et se place devant moi. Je remarque alors seulement qu’il est en boxer depuis le début. Il est tout près de mon visage, il écarte alors le tissu et d’un coup ma vue est obstruée, tandis qu’un poids lourd s’abat sur mon visage. Il vient de poser son paquet sur ma face, tandis que je me branle pour lui. Son sexe est rasé, chaud, et sent bon, un mélange d’odeur de savon et de mâle. Ses couilles sont énormes, dures chaudes lourdes et douces. Je les prend tant bien que mal dans ma bouche une par une tellement elles sont grosses. Sa bite est molle, mais titanesque. Je la sens palpiter sur mon visage. Même au repos, elle est plus longue que ma tête.
_. « mmh quelle beauté, je vais prendre des photos pour te montrer plus tard comme tu es belle. »
Un deuxième orgasme arrive, dévastateur, je sens un petit jet de cyprine qui s’échappe de ma chatte. Il atterrit sur le pied d’Albert.
_. « alors comme ça tu gicles comme une petite fontaine ? C’est la première fois ? »
Je hoche la tête, ce qui fait remuer son chibre à moitié bandé, mais je ne recrache pas ses couilles.
Je suis dans une sorte de transe, hypnotisée par sa voix, et la sensation de son sexe sur mon visage.
_. « t’es une bonne fille, je crois que l’heure est venue pour toi de me sucer. »
Il attrapé alors sa queue, et se met à me bifler. Le choc me fait mal au visage, et je prends enfin la pleine mesure de la bite qui est devant moi. Thomas avait une très grosse bite, celle-ci dépasse toutes les normes. Très longue, encore plus large, veineuse et surmontée d’un gland gonflé au maximum. Elle est enfin dure. Il m’att alors par les cheveux. Instinctivement j’ouvre la bouche au maximum. Il s’enfonce tant qu’il peut en moi, je met malgré moi les dents, mais il n’y fait pas attention, il doit avoir l’habitude.
J’ai l’impression d’ en me faisant écarteler la bouche, j’arrête de me toucher et je lui att la bite des deux mains pour essayer de réguler le rythme. Il se retire et me met une gifle magistrale sur la joue.
_. « ne t’avise jamais de m’empêcher de prendre mon plaisir salope, tu fais ce que je veux, c’est la dernière fois que je le dis. »
Il m’att par le cheveux et me lève, il me fait m’allonger de dos sur la table de la cuisine, et me fait pencher la tête dans le vide, à l’envers. Il m’ordonne de me d’étendre, et je vois arriver sa bite vers ma bouche. Dans cette position je ne peux lui résister, je ne peux qu’agiter les jambes dans tous les sens tandis qu’il s’enfonce dans ma gorge. Cette position lui garanti un accès libre jusqu’à mon estomac, et avec son pal il l’atteint presque.
Je manque de vomir à plusieurs reprises, et je bave comme jamais, ma salive ressort de ma bouche sous l’effet de piston de sa queue, et s’écoule sur mon visage, tandis que ses couilles frappent mon front. Il me tient par la nuque d’une main, et je suppose que de l’autre il se sert de son portable.
Il ponctue ce traitement de petites insultes « bouche à pipe, je vais te faire ça tous les matins, c’est trop bon salope ».
Tout à coup il se retire, fait le tour de la table et positionne son gland contre ma vulve.
Je redresse la tête et lui jette un regard paniqué.
Il est encore en train de me filmer, il me regarde et rigole.
_. « si tu voyais ta tronche, on dirait qu’un train t’es passé dessus ! Allez maintenant c’est l’heure de te démonter, gueule, tu gêneras personne ».
Il s’enfonce à moitié en moi. Je hurle, de plaisir surtout, je suis remplie complètement. Complètement ? Non, il s’enfonce encore plus profond, même Thomas est pas allé si loin. Je pars dans un orgasme dévastateur qui lui contracte tellement la bite qu’il jouit à son tour
Il ne se retire pas pour autant, et se met à me baiser violemment la chatte lubrifiée par son propre sperme. J’entre dans un nouvel orgasme qui dure jusqu’à ce qu’il jouissez à nouveau, 5 minutes plus tard. Quand il se retire je sens un courant d’air froid, bientôt suivi d’une sensation mouillée au niveau de mon petit trou du cul.
Il filmé encore avec son téléphone avant de me faire me redresser. J’ai les jambes tremblantes, sans force, et il me porte presque avant de s’asseoir sur la chaise qu’il occupait au début. Il me pose sur ses genoux.
Il me dit alors de regarder les photos.
Je me vois à genou nue avec son paquet qui cache mon visage. Il a prit des photos et des vidéos, sur ce qu’il à filmé on voit ma langue chatouiller ses couilles, et on entend mes gémissement de plaisir.
Ensuite je me vois étendue sur la table, offerte aux assauts de mon Pap’s. Sur la vidéo on voit sa bite se frayer un chemin dans ma gorge, tandis que je me convulse, supportant difficilement ce traitement.
Vient la baise, mes hurlements, mon visage souillé de salive, son énorme chibre qui distend ma petite chatte puis ses deux jouissances en moi. Vient enfin le gros plan de ma chatte dévastée, inondée de jus épais.
_. « je te félicite ma chérie, tu as bien pris soin de ton papounet. Tu es une bonne salope, et on va bien s’amuser. Dorénavant tu m’appartiens, tu feras ce que je dis. Tout ce que je dis. Tu verras que le plaisir est un point essentiel dans notre famille.
Pa vrai fils ? »
Surprise, je redresse la tête, et je vois Julien, en boxer lui aussi, bandé comme un âne, me fixer, hilare.
_. « ouais papa, et on est bien tombés avec elle ».
_ « tout à fait, et pour te récompenser d’avoir dévoilé cette petite pute, elle va te soulager maintenant. »
Il me fait alors me lever, et d’une claque sur le cul m’intime l’ordre de m’approcher de son fils. Je suis toujours nue, le visage couvert de bave séchée, les cheveux en vrac, et la chatte hypersensible et dégoulinante de foutre.
Je suis toujours dans un état second, et quand Julien me fait mettre à genou je ne résiste pas. Il sort sa queue, que je découvre enfin. Elle est loin d’été aussi longue que celle de son père, même si elle mesure un bon 18cm, mais elle est presque aussi large, d’où la sensation de m’être fait défoncer la veille.
Je me met alors à le sucer passionnément, je sais que Pap’s veut que je fasse ça bien. Je lèche sa queue sur la longueur, je titille et gobe ses couilles, je joue avec ton frein,, j’aspire son gland, et je le laisse me baiser la gorge.
Quand je le sens se raidir, j’ouvre la bouche, langue tendue, avant de recevoir plusieurs giclées de sperme chaud sur la langue, le visage et dans les yeux. Aveuglée, cela me déclenche quand même un dernier orgasme.
Alors que je récupère le sperme sur mon visage et que je l’avale, je finis par recouvrer la vue. Je m’aperçois alors que je suis seule, à genou nue au milieu de la cuisine, la chatte pleine du sperme de mon beau père qui s’écoule et forme une petite flaque sur moi, et le goût de son fils dans ma bouche.

Je vais prendre une douche, et quand je sors je vois que J’ai un texto d’Albert.
_. « J’ai laissé de l’argent sur la table pour que tu puisses acheter la pilule du lendemain. Et je t’ai pris un Rdv avec un gynéco cet après midi pour qu’il te prescrive la pillule. C’est un très bon copain, que tu vas être amenée à voir souvent. Sois très gentille avec lui. »

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