Une Histoire Inattendue 1

UNE HISTOIRE INATTENDUE 1 : début de vacances

Nous passons, avec ma femme Sandra, quelque jours de vacances au pays Basque. Nous avons réservé un appartement en air b’nb, En arrivant sur place, la propriétaire n’est pas présente. Heureusement, nous avons son numéro de téléphone, et nous l’avertissons de notre arrivée. Quelques minutes plus tard, une petite voiture se gare non loin. Et une jolie blonde en descend pour se diriger vers nous. Rapidement, elle se présente. Elle s’appelle Vanessa. Ses cheveux sont aussi blonds que sa peau est dorée. Sa longue robe dévoile largement ses épaules et traine jusqu’à terre. Je remarque alors qu’elle est pieds-nus.
Constatant que mon regard s’attarde sur ses pieds, elle sourit et nous précise :
-« J’étais à la plage quand vous avez appelé. Du coup, j’ai juste passé une robe pour venir vous accueillir, et mes chaussures sont restées sur le sable. J’irais les chercher plus tard. »
A ce moment, je n’ose imaginer ce que la jolie blonde porte sous sa robe ; ou plutôt si, je l’imagine. Sa robe est attachée par un lien à son cou, et on ne voit aucune trace d’attache de soutien gorge. La robe ample ne souligne pas ses formes, mais les mouvements font ballotter une poitrine qu’on devine libre sous le tissu.
Vanessa nous fait visiter l’appartement, moderne et bien décoré. Les baies vitrées sont immenses et donnent toutes sur une vaste terrasse ensoleillée qu’on peut ombrager grace à un store électrique. Le nécessaire en équipement est prévu et quelques provisions de base, sont à notre disposition. Nous faisons, tous les trois, le tour de la résidence, dotée d’un grand parc, avec piscine et plusieurs cours de tennis. A l’intérieur, salle de sport, bar, et possibilité de restauration. Après nous avoir souhaité la bienvenue, Vanessa nous remet les clés en nous précisant que nous aurons l’occasion de nous revoir, puisqu’elle vient régulièrement à la piscine.
Une fois la porte refermée, nous nous affairons à ranger nos affaires, en commentant cette entrevue.


-« Tu crois qu’elle était nue sous sa robe ? » me demande Sandra.
-« Elle venait de la plage, elle avait sans doute un maillot de bain ; enfin, le bas, car on voyait bien qu’elle n’avait pas de soutif. »
-« Si elle venait de la plage, il est plus probable qu’elle ait quitté son maillot avant de repasser un robe. C’est ce que j’aurais fait. »
-« Et tu viendrais, à poil, rencontrer des gens que tu n’as jamais vu ? »
-« On a rien vu de choquant, que je sache. Elle avait les pieds nus, c’est tout. Sa robe était assez longue pour rester décente. »
-« En tout cas, c’est émoustillant de penser qu’elle était nue sous sa robe. »
- « ça m’est déjà arrivé quelquefois. »
-« Et personne ne s’en est rendu compte ? »
- « Je ne sais pas. Probablement que si, mais les gens ne peuvent en être surs. »
- « Je suis persuadé que si. »
- « Tu pourrais te tromper. » me dit elle avec un sourire.
Nos affaires rangées, nous décidons de profiter un peu de la piscine. Au retour de baignade, Nous étendons nos serviettes sur la terrasse. Sandra enlève alors son maillot, et nue comme un ver va l’accrocher à l’étendoir.
-« hé, mais on pourrait te voir ! »
-« Les balcons alentours sont déserts. De toute façon, je ne voulais pas mettre de l’eau partout. » répond elle en s’allongeant sur un transat, après avoir passé une culotte.
Je ne peux résister à cette vision et je viens rapidement caresser ses seins, en l’embrassant. Mes mains courent sur son corps, longeant son ventre, courant sur ses cuisses. Elle se tourne vers moi et je commence à embrasser ses petits tétons, tandis que mes mains s’emparent de ses fesses, à peine recouvertes par le mince tissu. Sandra s’étire comme une chatte sous mes caresses. Je glisse mes doigts sous le tissu qui descend laissant apparaître la moitié de son cul voluptueux. Elle se dégage de mes bras et se dirige sers la chambre, abandonnant sa culotte sur le sol.
-« Je crois que pour la suite, il est plus prudent de rentrer, me dit elle en s’allongeant sur le lit.
»
Je la rejoins et nous faisons l’amour longuement, ce qui ne nous arrive plus si souvent depuis quelque temps.
Le soir même, alors que nous terminons notre repas, dans un petit restaurant sur le bord de mer, la conversation revient sur le même sujet. Sandra est vétue d’un simple robe de plage, longue, boutonnée sur le devant. Les fines bretelles de la robe ne laissent pas de place à celles d’un soutien-gorge. J’en fais la réflexion à ma compagne.
-« ce n’est pas difficile de voir que je n’ai pas de soutif, mais sauras tu deviner si j’ai une culotte ? »
La question ne me prend pas de court car je l’ai vue en enfiler une dans la salle de bain. Je réponds donc oui, sans hésiter. Un moment plus tard, ma chérie se lève pour se rendre au toilettes. Quand elle revient, le serveur a juste déposé les cafés. Je m’apprète à boire le mien quand elle me tend la main, et me donne un bout de tissu blanc que je reconnais immédiatement.
-« Tu as deviné. Tu l’as gagné. » me dit elle avec un sourire espiègle.
Le couple, à la table, à coté, nous dévisage. Je suis sur qu’ils ont compris.
Nous quittons le restaurant , et déambulons sur le front de mer pour rejoindre notre auto.
-« C’est facile de ne pas porter de culotte, quand personne ne peut s’en rendre compte » ne puis-je m’empêcher de commenter. Tout en marchant, elle défait trois boutons au bas de sa robe, qui s’écarte, sous le souffle du vent de mer, et dévoile sa nudité, juste parée d’un ticket de métro. Elle saisit les pans et les rabat, mais pas suffisamment vite pour échapper au regard de quelques jeunes, rassemblés non loin de là, qui la sifflent copieusement.
Une fois dans la voiture, elle se calfeutre dans son siege, en me disant.
-« Tu es content ? C’est ça que tu aimes ? tu aurais voulu quoi ? qu’ils me violent les jeunots ?
J’ai beau lui expliquer qu’elle dramatise et que tout ça est plutôt marrant, je n’arrive pas à la dérider. Dès que nous ariivons à l’appartement elle s’engouffre dans la salle de bain, et n’en ressort que pour se jeter sous les draps.
J’éteins la télé et vais la rejoindre, mais elle me tourne le dos, et dort, ou du moins, semble dormir.
Après les années de passion de nos débuts, à l’approche de la cinquantaine, elle est devenue plus distante. Oh , Sandra est une femme agréable à vivre, prévenante, et d’humeur assez égale, mais elle a perdu progressivement son gout pour les jeux du sexe, et nos relations sont de plus en plus espacées. Malgré tout, je l’aime toujours autant, et j’essaie de l’entrainer sur un terrain plus audacieux, mais il faut se rendre à l’évidence : Sandra n’aime plus le sexe. Le lendemain, après le petit déjeuner, j’ai réservé un tennis, et j’y retrouve un autre habitant de la résidence. Nous faisons rapidement connaissance. iL s’appelle Daniel, et habite ici à l’année . Malheureusement, il déplore de ne pas avoir souvent de partenaires pour le tennis. Je lui rétorque qu’il doit bien y avoir des femmes qui jouent également, mais il me répond qu’il a essayé, sans y trouver son compte, car, dit il, elles ont rarement le niveau. Nous commençons à échanger des balles et je me rends vite compte que, malgré quelques années de plus que moi, Daniel, est un bien meilleur joueur, très endurant de surcroit. Après deux heures d’efforts, je mets un terme à la partie en le félicitant. Il me propose d’aller nous rafraichir à la piscine, après cette bonne suée, ce que j’avais anticipé. Je passe rapidement par les toilettes pour passer un maillot de bain, et nous nous retrouvons à la piscine. Tandis que je profite de la douche pour récupérer, je jette un œil sur les plages, peu occupées autour du bassin, et j’ai le plaisir d’y reconnaître notre propriétaire. Vétue d’un maillot une pièce noir, très sport, elle plonge dans le bassin et enchaine les longueurs en changeant régulièrement de nage. Je plonge à mon tour dans la piscine, ou seuls, quatre baigneurs barbotent, avec moi. Je m’aperçois que Daniel est bien moins bon nageur que tennisman, il se contente de nageoter. Par politesse je lui tiens compagnie un moment, puis je pars pour quelques longueurs de crawl, un peu de dos, et finis en brassa, les muscles un peu douloureux.
Daniel est parti. Je sors de l’eau et j’att ma serviette avant de me diriger vers Vanessa qui est étendue à plat-ventre, le haut de son maillot roulé bas sur sa taille. Je la salue.
-« Ah bonjour ! bien installés ? » dit elle en tournant la tête vers moi
-« Oui, tout est parfait. Brigitte est restée pour profiter de la terrasse. »
-« Ici c’est bien aussi. Je viens nager tous les matins, avant d’aller travailler. »
-« J’ai vu. Vous nagez bien. »
-« L’habitude, vous ne vous défendez pas trop mal non plus » répond elle, prouvant qu’elle m’avait déjà repéré.
-« Merci, malheureusement je n’ai pas été aussi bon au tennis… »
-« Ah, vous avez rencontré Daniel ! Il est trop fort. J’ai joué contre lui une fois ; ça m’a suffi. »
-« Il est très fort, effectivement » dis-je en m’allongeant sur le transat proche du sien.
-« Il est connu de tous ici. C’est pour ça qu’il ne trouve plus de partenaires dans la résidence. Personne ne peut tenir sa cadence. » commente t’elle
-« Pas même vous ? «
-« Non moi non plus, je ne peux pas suivre…euh, je parle de tennis seulement. » complète t’elle
-« Oui, Vous êtes jeune, je suis sur que dans d’autres domaines, vous vous en sortez bien mieux. » osai-je
-« Pour ça oui ! » rit elle légèrement.
Je suis sur que Daniel n’a pas joué qu’au tennis avec elle.
Elle décide de se retourner sur le dos et j’encaisse le choc de deux obus, hauts, fermes, avec de larges aréoles, au-dessus d’un ventre plat et tonique. Elle a capté mon regard mais fait comme si de rien n’était et ferme les yeux.
-« Humm, ça fait du bien cette chaleur. C’est la meilleure heure de la journée. »
un quart d’heure plus tard, alors que je sommeille presque, elle se lève. Je me redresse sur un coude., et admire sa silhouette plantureuse.
-« Je vous laisse, je dois aller bosser. »
Elle s’essuie soigneusement et enfile la longue robe de plage déjà vue la veille. Puis, elle passe ses mains sous la robe et fait glisser son maillot de bain qu’elle enjambe. Elle va le rincer , l’essore et le fourre avec sa serviette dans un grand sac en paille.
_ »Bonne journée » lance t’elle avant de s’éloigner.
Pour ce qu’elle porte sous sa robe, je suis maintenant fixé.
Après son départ, je rejoins notre appartement, ou je trouve Sandra, en pleine séance de bronzage, avec un mini slip de bain, lacé sur les côtés. Les lacés sont dénoués pour laisser sa peau hâler sans marque, et il reste juste un petit triangle de tissu qui peine à recouvrir ses fesses rebondies. En m’entendant m’affairer, elle se redresse, et me dit
-« Je n’ai pas vraiment faim, mais tu as de quoi grignoter dans le frigo. » avant de se recoucher
Je mâchonne un sandwich en regardant les infos, puis je la rejoins sur la terrasse, en maillot, avec mes lunettes de soleil et un bon bouquin. Sandra n’a pas passé d’huile solaire, mais contrairement à moi, sa peau très mate lui épargne les coups de soleil.
Je bouquine un moment, mais le soleil tape trop fort pour moi, et je dois me replier à l’ombre. Elle se réveille et se retourne sur le dos. Evidemment le maillot délacé, ne suit pas, et elle se retrouve entièrement nue. Elle chausse ses lunettes de soleil et replace le petit triangle de tissu qui masque juste sa fente, laissant visible son ticket de métro. Puis elle se rendort. Elle émerge vers les 16h , et enfile une courte robe sur une culotte de soie blanche.
-« Je vais aller faire des courses. Tu viens avec moi ? »
Je n’ai pas trop envie d’aller déambuler dans des allées de supermarché. Je décide donc de rester à fainéanter.
Un peu plus tard, je fais un tour à la salle de sport, où je retrouve Daniel, bien occupé à soulever de la fonte. Je fais de même, et je me rends compte que j’ai un peu perdu en performance. A la suite de cette séance, nous nous retrouvons autour d’un apéro au bar. La conversation s’engage sur le sport, puis dérive rapidement sur les habitants de la résidence.
Au début cet ensemble a été conçu comme habitat pour des retraités aisés. Les appartements ont ensuite été revendus et une bonne partie est occupée par des familles, peu nombreuses, car les appartements ont peu de chambre. Comme ces familles partent souvent l’été, beaucoup d’appartements sont loués comme villégiature, à la semaine. C’est le cas de Vanessa, qui vit avec son fils, et loue son bien pendant l’été pour arrondir ses fins de mois. Daniel me confie qu’il aime bien voir arriver des vacanciers, qui lui amènent de la distraction. Certains, comme moi acceptent de jouer au tennis, alors que les permanents, un peu dégoutés de perdre, ne viennent plus se frotter à eux. Quand j’évoque Vanessa, son œil pétille.
-« Elle n’est pas si mauvaise au tennis, tu pourrais t’amuser avec elle. »
-« D’après ce que j’ai compris, ce n’est pas au tennis que tu t’es le plus régalé avec elle. »
Son regard se perd, soudain réveur.
-« Oui, tu pourrais bien t’amuser avec elle. »
Je n’en saurais pas plus. Nous nous quittons après nous être donné rendez-vous sur le court, demain matin.
Quand je rejoins notre home, Sandra est rentrée et range les aliments dans le frigo ou les placards. Je lui propose un verre, et nous prépare deux mojitos pendant qu’elle termine.
Elle me rejoint, et s’installe dans un fauteuil face à moi. Je lui tends sa boisson, et en me renversant dans mon siège, j’ ai une vue sur sa courte robe et sa chatte libre de tout vêtement. J’étais pourtant sur de l’avoir vue enfiler une culotte.
Je regarde ostensiblement son entrejambe, qu’elle resserre avant de me lâcher.
-« j’ai eu tellement chaud en faisant les courses , qu’en arrivant ici, je me suis déshabillée. J’ai juste remis une robe, car il y avait du monde sur les balcons, en face. »
Je suis un peu troublé par cette réponse qui ressemble à une justification.
Le soir, après diner, nous nous rendons dans un village voisin où est tiré, chaque année, un feu d’artifice renommé. Nous arrivons un peu en avance, et petit à petit nous retrouvons au milieu de la foule. La nuit noire se fait et le festival pyromusical commence. Captivé par les tableaux colorés que les fusées dessinent sur le ciel au rythme de la musique, je ne m’occupe pas de ce qui se passe autour, quand Sandra s’agrippe soudain à mon bras. Je me tourne vers elle, et me penche pour entendre ce qu’elle me dit.
-« Il y a un type qui se frotte à moi ! » me crie t’elle
Je change de place avec elle et elle passe à ma gauche. Le spectacle continue, et la pétarade enfle, couverte par la musique. Quelques minutes plus tard, ça recommence. Je jette un œil furax aux badauds derrière Sandra, mais impossible de savoir qui est le coupable. Ils ont tous les regards tournés vers le ciel, l’air innocent.. Sandra se cramponne à moi, et je sens qu’elle se fait secouer, ce qui n’a rien de vraiment étonnant dans un foule. Le bouquet final est magnifique et illumine le public pendant de longues secondes avant que le noir retombe. Jai eu le temps de voir, dans un flash, Sandra, bretelles baissées, un sein à l’air, tentant de retenir un bras qui s’enfonçait dans son décolleté.
Peu à peu, la foule reflue, dans le noir, et nous retrouvons notre liberté de mouvement. Sandra a rajusté sa robe, devant, mais quand elle se retourne, je devine le tissu relevé sur ses hanches, ses fesses maculées de trainées de foutre. Je rabats précipitament sa robe, masquant ce spectacle inattendu. Nous marchons de longues minutes, en silence. Puis les reproches m’atteignent en bloc.
-« Il y a des types qui m’ont tripoté et tu n’as rien fait ! »
-« Tu ne peux pas dire ça, je t’ai fait changer de place. »
-« Et ça a changé quoi, ? ensuite ils ont été plusieurs. Il y en a même un qui a essayé de me pénétrer. »
Ces reproches injustifiés commencent à m’agacer. Je lui dis vertement que si elle n’avait pas oublié de mettre des dessous, ça n’aurait pas pu arriver.
-« je ne vois pas ce que ça aurait changé. Ce n’est pas une petite culotte qui les aurait arrêtés. »
Nous arrivons à notre voiture et elle att une serviette dans le coffre. Elle s’essuie les cuisses et les fesses avant de rabattre sa robe. Arrivés à destination, elle jette sa robe dans la machine à laver, et se douche rapidement avant d’aller se coucher, en me tournant le dos, une fois de plus.

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