Une Histoire Inattendue 7

UNE HISTOIRE INATTENDUE 7 : Un épilogue surprenant

Le lendemain matin, je suis éveillé par une agréable sensation. Mon sexe, réveillé avant moi, est prisonnier d’une bouche qui l’aspire .Une langue inquisitrice s’enroule autour de mon mat, lèche mon frein, et vient même s’insinuer dans mon méat. Je découvre, entre mes jambes, Sandra qui, voyant que j’ai pris conscience, vient rapidement poser un baiser sur ma bouche avant de descendre longer ma hampe avec la pointe de sa langue, jusqu’à mes bourse qu’elle absorbe doucement, l’une après l’autre. Elle les relache et revient agacer mon frein de sa langue, tout en entourant mon sexe de ses cheveux. Je prends sa tête dans mes mains et la dirige vers mon vit qu’elle engloutit, et entame un va-et-vient. Saisissant sa tignasse, je baise sa bouche de plus en plus fort, venant buter au fond de sa gorge, provoquant parfois un haut-le cœur. Elle me presse les couilles, et me suit quand j’accélère la cadence. Je sens mon sexe gonfler dans sa bouche, et la jouissance monter de mes reins. J’explose d’un coup dans sa bouche, une belle salve qu’elle a du mal à avaler. Elle déglutit, et ouvre la bouche, dans laquelle je finis de me vider. Elle me prend en main et nettoie mon sexe, avant de s’enfuir vers la salle de bains.
Nous nous retrouvons sur la terrasse, ombragée car j’ai descendu le store. J’ai préparé le petit déjeuner, et je lui sers un café quand elle débarque, nue. C’est vrai qu’elle a perdu pas mal d’inhibitions, notamment en ce qui concerne la pudeur.
Aujourd’hui, est le jour du départ. Nous devons nettoyer le logement pour que tout soit nickel avant l’état des lieux qui se fera dans l’après-midi. Nous nous acharnons à nettoyer, balayer et laver jusqu’à ce que tout nous paraisse nickel.
Midi s’approche à grands pas, et je signale à Sandra que nous ne pouvons pas déjeuner sur place, au risque de devoir recommencer le nettoyage, mais elle me dit qu’elle a tout prévu et a réservé une table dans un restaurant.


Après une douche bien méritée, ma femme me précise qu’elle a choisi un restaurant un peu chic. Elle sort de la salle de bains, vétue de sa petite robe noire de cocktail, sexy à souhait. J’enfile un pantalon de toile écru, des mocassins bleu marine, et une chemise bleue en voile.
Nous quittons les lieux et , sous les indications de Sandra, je conduis notre cabriolet jusqu’à Biarritz, où nous avons un peu de mal à trouver une place.
Nous sommes accueillis dans un établissement réputé ,et étoilé. Sandra, confirme qu’elle a réservé, et que nous allons prendre l’apéritif au bar. Le maitre d’hôtel nous entraine dans des couloirs parquetés, vers un espace en demi cercle, de banquettes basses, entourées de haute fenêtres donnant sur la baie, et les vagues, qui viennent s’écraser à quelques mêtres, sur la plage en contrebas. Nous nous installons et commandons deux mojitos qui nous sont délivrés avec des amuses bouches finement cuisinés. Sandra s’est installée face à moi, et ses jambes fuselées tendent le tissu de la courte robe de dentelle, quand je me penche pour trinquer avec elle, les premiers boutons défaits de son haut, dévoilent l’arrondi de ses seins bronzés.
-« A ta santé » me lance t’elle « et j’espère que tu as quand même passé de bonnes vacances »
Je trinque avec elle, et je vois son regard s’échapper vers la gauche, je tourne légèrement la tête, pour découvrir une apparition que je n’attendais pas. Je ne peux masquer mon étonnement. Un léger sourire aux lèvres, Vanessa s’avance vers nous. Fini, la blonde naturelle, et les robes de plage. Elle est vétue d’une vertigineuse robe de coktail, très près du corps, au décolleté plongeant, noire, pailletée, qui, à chaque pas, s’ouvre jusqu’à la hanche, interdisant tout dessous. Ses yeux sont maquillés faisant ressortir le bleu de ses prunelles, et sa bouche pulpeuse est magnifiée par un rouge à lèvres carmin brillant sa chevelure attachée en un savant chignon.
Sans hésiter elle fait une bise à Sandra, et vient ensuite déposer un Smack sur mes lèvres, avant de s’asseoir à ma gauche.
En s’asseyant , la robe s’ouvre et dévoile sa jambe et la quasi totalite de sa fesse au galbe parfait. Elle me regarde en souriant. Face à moi Sandra a capté mon regard et sourit également.
Je suis un peu pris au dépourvu. Que se passe t’il ?
-« Comme on doit faire l’état des lieux, cet après-midi, je me suis dit qu’on pourrait déjeuner ensemble » explique Sandra, qui met la main sur le genou de Vanessa.
« c’est quand même plus sympa comme ça. »
Je me demande où veut en venir ma femme. Cette invitation est elle innocente, ou serait ce une provocation ? Aurait elle deviné la nature de ma relation avec Vanessa ? Je suis perplexe. La tenue de Vanessa est un aveu et n’importe quelle femme en piquerait une crise de jalousie, mais ce n’est pas le cas. Au contraire, entre la robe de coktail de Sandra, sous laquelle j’aperçois son string de dentelle, et la fente de la robe de Vanessa, qui s’est ouverte jusqu’à la taille, entre la dentelle déboutonnée laissant entrevoir les seins de ma femme et l’ouverture en V qui descend jusqu’au nombril de Vanessa, on dirait qu’elles ont décidé de rivaliser de sensualité. Pendant que nous buvons nos mojitos, elles papotent de choses et d’autres, mais Vanessa se penche vers Sandra et lui murmure quelque chose à l’oreille. Cette dernière opine du chef, et repose son verre. Elle se lève,
-« Je vais aller me repoudrer le nez, comme on dit. »
Je la regarde s’éloigner. Dès qu’elle a disparu, je me tourne vers Vanessa
-« Qu’est ce que tu fais ici ? »
Elle a une moue désaprobatrice.
-« Tu n ‘es pas content de me voir ? »
-« Bien sur que si, mais si tu ne l’as pas remarqué, il y a ma femme aussi. »
-« Et alors ? Je suis votre logeuse. Sandra et toi avez passé une semaine chez moi, et plutôt que de faire un bête état des lieux, elle me convie au restaurant, pour évoquer votre séjour et me donner votre sentiment sur mon appartement. »
-« Et votre tenue ? »
-« Tu n’aimes pas ? Moi, en tout cas, je trouve ta petite femme charmante, alors laisse faire, et profites ! »
-« On parle de moi ? « demande Sandra qui revient
-« Oui, ton mari se pose des questions, mais je pense qu’il va avoir la réponse.
»
Sandra s’est rassise face à moi. Vanessa saisit le bas de sa robe et la relève largement, me dévoilant le sexe nu de ma femme, qui écarte légèrement les cuisses. Elle jette sur la table un bout de dentelle que je reconnais sans peine.
Mes pensées se bousculent dans ma tête. Elles sont donc de mêche. C’est Sandra qui prend la parole.
-« J’ai remarqué, dès notre arrivée que tu avais flashé sur Vanessa, mais tu l’as compris, j’avais d’autres choses en tête. C’est quand nous nous sommes retrouvés à la piscine que j’ai compris ce que tu lui trouvais. Elle m’a donné son numéro et je l’ai rappelée un peu plus tard quand j’étais à la plage. J’ai été assez cash, et je lui ai demandé si elle avait une aventure avec toi, et elle ne m’a pas menti. Elle m’a dit que vous vous étiez rapproché et que vous étiez très… compatibles sexuellement, mais qu’en aucun cas, elle n’avait de vues sur toi. Je lui ai raconté un peu, ce qui se passait entre nous ; le désir qui s’étiole, la tendresse qui persiste mais qui ne parvient pas à maintenir la passion. Nous avons longuement discuté. Elle m’a donné des conseils pour réveiller la libido, et a été sans concession avec certains de mes tabous qu’elle qualifiait d’idiots ; ma pudeur excessive, mon recul devant certaines pratiques. Elle m’a expliqué qu’en amour rien n’est sale, si c’est librement consenti, et qu’il faut vivre en laissant exulter son corps, pour que celui de l’autre exulte également. »
A la fin de ces quelques mots, Vanessa a déjà sa main qui s’agite dans la fourche de Sandra. Dans notre coin personne ne peut nous voir. Vanessa, rabat le pan de sa longue robe, découvrant son fruit défendu. Elle écarte sa jambe nue en me provoquant du regard.
Je regarde ma femme qui sans quitter l’entrejambe de Vanessa du regard, me dit
-« Vas-y chéri, fais le . Je veux le voir. »
-« Je me décale un peu, et vais caresser légèrement le mont de vénus de Vanessa, avant de descendre sur son abricot qui aspire mes doigt irrémédiablement, provoquant un soupir de satisfaction de Sandra.
Pendant quelques minutes, nous nous caressons, échangeant des regards chargés d’érotisme, Les deux femmes sont carrément exposées maintenant, et halètent doucement. Le maitre d’hotel se dirige vers nous et , j’enlève ma main perndant que les deux femmes rajustent leur tenue. Il est temps de passer à table.
A table, une fois le personnel de service éloigné, je ne peux m’empêcher de questionner les deux femmes, en commençant par Vanessa.
-« Rien n’était prémédité, me dit elle. Quand je vous ai rencontrés j’ai tout de suite trouvé que vous faisiez un beau couple. Je pense que j’ai eu le déclic quand Sandra m’a passé de la crème solaire, au bord de la piscine. Ses mains étaient si douces sur ma peau. D’instinct, elle a su trouver les attouchements qui m’ont fait planer, et j’ai joui sous ses doigts. Je devais lui rendre la pareille, et je me suis aperçue qu’elle réagissait favorablement à mes caresses. »
-« C’est vrai que ça a été un très bon moment pour moi »confirma Sandra « Tu devrais d’ailleurs remercier Vanessa, car j’ai compris que si j’étais sensible à ses charmes, tu ne pouvais pas rester de bois. Cependant, ne vas pas t’imaginer des choses : il ne s’est rien passé, puisque nous ne nous sommes pas revues avant aujourd’hui. »
-« Mais, ce repas, vos tenues, ce n’est pas le hasard, tout de même ! »
-« Non mon chéri »continue t’elle « Sachant que tu avais une aventure avec Vanessa, et me trouvant des affinités avec elle, j’ai pris sur moi d’organiser ce repas pour nous réunir tous les trois. C’est en discutant au téléphone que nous avons décidé de te vamper un peu. »
-« Je reconnais que c’est moi qui ai poussé le bouchon. En voyant ta tête lorsque je suis arrivée » raconte Vanessa « Je me suis rendu compte que tu ne comprenais plus ce qui se passait .Ton regard allait de l’une à l’autre, visiblement inquiet, songeant à un piège. Pour désamorcer ton inquiétude, et te montrer que nous n’avions que de bonnes intentions, j’ai demandé à Sandra d’aller oter sa culotte…et aussi parce que j’en avais envie. »
-« N’importe qui m’aurait demandé ça, il y a quelque temps, aurait pris une baffe, mais venant de Vanessa, qui, tu l’as compris, ne porte rien sous sa robe, il s’agissait juste de me mettre a égalité avec elle. C’était aussi un défi pour moi, dans un tel lieu, et je ne pouvais m’y soustraire. Quand elle a remonté ma robe, j’étais pétrifiée de peur, et en même temps, je me disais que ça allait être excitant pour toi. Je l’ai donc laissée faire. »
-« J’avoue que je suis cueilli par ces révélations. Je suis charmé aussi et heureux de passer un si agréable repas avec vous deux. Qui pourrait avoir une épouse comme toi Sandra, et Qui pourrait rêver mieux que de la partager avec toi, Vanessa ? »
Le déjeuner fut succulent, et malgré la tenue de mes femmes, une de part et d’autre de moi, je m’efforçai de rester calme, car le restaurant était plein, et surtout, notre table, moins isolée que le bar.
Après le café et les mignardises, il fut temps de quitter les lieux pour aller faire ce fameux état des lieux. Pendant que Sandra, qui nous avait invités rêglait la note, je profitai de l’espace relativement discret de l’entrée, pour glisser une main sous la robe de Vanessa, et flatter son fessier, avant de faufiler un doigt dans sa fente, qui s’ouvrit pour m’accueillir.
Vanessa avait sa mini, et Sandra monta avec elle.
Une fois à l’appartement, Vanessa reprit son rôle de propriétaire des lieux et nous prépara des « expressos avant de nous rejoindre sur la terrasse. Nous bûmes nos cafés sans rien dire, mais l’atmosphère s’était chargée d’une tension érotique presque palpable. Qui allait déclencher les hostilités. Vanessa fit lever Sandra, et l’embrassa longuement. Elle déboutonna le haut de la robe, et fit tomber les bretelles, écarta la dentelle, en dévoilant les petits seins bien ronds de Sandra aux aréoles peintes en rouge sombre. Elle les caressa un moment, et continua son effeuillage, jusqu’à ce que la dentelle s’ouvre et devoile le corps bronzé de mon épouse, dont elle dessina les contours du bout des ongles.
Je m’étais approché doucement et je pris Vanessa par la taille. D’une main, je palpai sa poitrine lourde, par derrière et l’autre main, se glissant dans la fente, vint se planter dans son sexe, déjà humide. Nous restames ainsi un moment. Moi enfonçant mes doigts dans la chatte, puis dans le cul de Vanessa, tandis qu’elle faisait de même avec ma femme.
Vanessa écarta d’elle même, le pan de sa robe pour dégager son cul et le tendit vers moi, s’appuyant sur mon érection naissante dans mon pantalon. Je me hatai de me défaire du vêtement, et revint me coller contre elle. Sandra qui haletait sous ses caresses, se crispa et eut un orgasme. Elle dégagea les épaules de Vanessa, et la robe de celle-ci, dévoila ses seins, et finit par tomber à terre.. Nue dans ses stilettos, la belle envoya ballader la robe. Elle passa sa main derrière elle pour venir cueillir ma bite bien bandée dans mon boxer. Elle tira le slip vers le bas faisant apparaître l’objet de sa convoitise. Elle se pencha en avant, en s’appuyant sur Sandra et me guida en elle. Elle ondula sur ses jambes, son fessier venant au devant de ma bite qui coulissait en elle en douceur. Les yeux fermés, elle chercha les lèvres de Sandra, et les deux jeunes femmes s’étreignirent. Vanessa débarrassa Sandra de sa robe, et ses mains vinrent masser doucement ses seins. Sandra, plus petite eut juste à se pencher pour refermer sa bouche sur un sein, sa langue encerclant le téton en circulant sur l’aréole, puis pinçant la pointe erectile entre ses dents, arrachant un gémissement à Vanessa, qui , les yeux fermés s’immobilisa en se mordant les lèvres.
Je sortis, et invitai les jeunes femmes à se rendre dans la chambre, dont la baie vitrée était ouverte. J’avais, du coin de l’œil, détecté des mouvements sur des balcons proche, et, en pleine journée, je ne voulais pas déclencher de plaintes dans le voisinage.
Après avoir déblayé la table, et abaissé le store électrique, plongeant la terrasse dans l’ombre, pour éviter les regards des voyeurs, je rejoins les deux jeunes femmes. A mon arrivée, elles sont allongées, face à face : d’un Côté la brune Sandra à la peau mate, longiligne avec des attaches fines mais des muscles de sportive, des petits seins haut perchés, bien fermes, un ventre plat aux abdos bien dessinés, des fesses pommelées, hautes, et dures, et une fente étroite surmontée d’une bande étroite de poils noirs savamment taillée en ticket de métro.
De l’autre côté, Vanessa, longue fille toute en courbes à la peau dorée, aux attaches fines, le nez mutin et les yeux turquoise, avec une longue chevelure couleur blé tendre, qu’elle vient de détacher. Son cou gracile et ses épaules étroites, sont en opposition avec sa volumineuse poitrine aux seins lourds, en poire, aux aréoles larges et aux pointes sensuellement dressées. Son dos fait un angle avec la cambrure de ses reins, et ses fesses callypiges, qui se prolongent par des cuisses parfaites, son cul fait juste une échancrure, au bas du sillon fessier et laisse apparaître un fruit rond, fendu, un abricot juteux qui appelle la main et la bite. Comme chez Sandra, le ventre est plat et tonique jusqu’au mont de Vénus, glabre, légèrement renflé, la fourche de ses jambes juste avec une fente sans le moindre poil.
Elles se caressent, s’estiment du regard, se jaugent , si différentes l’une de l’autre. Les mains apprennent les corps, les bouches goutent les saveurs des épidermes, les doigts explorent les contours, des monts, ces vallées, des plaines et des cavernes, plus ou moins cachées, plus ou moins humides, plus ou moins offertes.
Vanessa fait basculer Sandra sur le dos, et vient se poser sur elle, tête-bèche. Sa langue darde vers le sexe de mon épouse, en écartant ses cuisses. Sandra a déjà enfoui sa tête brune dans le sexe offert de Vanessa. Pendant de longues minutes, je contemple ce spectacle hautement érotique de deux corps enlacés, les bruits mouillés et les gémissements de bonheur, comme seule musique. De petits soubresauts agitent le fessier de Vanessa qui jouit une deuxième fois. Elle s’écarte sur le côté et se tourne vers moi.
-« Occupes toi un peu de ta femme » dit elle.
Je viens me glisser entre les cuisses de Sandra, et je pointe ma langue sur son minou, qui est bien ouvert suite aux caresses de Vanessa. Je pousse mon nez dans sa vulve, renifle , et vais aspirer son clito entre mes lèvres. Je la connais. Le résultat ne se fait pas attendre et elle se met à couiner, en plaquant ma tête sur son sexe.
En même temps, je sens une main passer entre mes fesses pour venir flatter mes bourses. Je me relève sur les genoux en les écartant un peu. La main inquisitrice effleure mes couilles et s’empare de mon sexe pour le branler doucement.
Sandra envoie de fameux coups de reins au devant de mon visage. J’ai introduit deux doigts dans son con, et je l’astique énergiquement. Comme elle mouille abondamment, je récupère ses sécrétions pour aller assouplir son anneau froncé , qui se détend et laisse entrer une phalange.
-« Ah ! oui ! c’est bon ! » s’exclame t’elle dans un spasme..
Elle me tire vers elle, et écarte en grand ses jambes musclées, vers le plafond. Elle est tellement prête que je n’ai pas à chercher pour me planter en elle d’un coup. Je la ramone, sans ménagement et elle s’agite de plus en plus sous moi.
La main revient sous mes bourses et un doigt vient se planter dans mon anus, ce qui provoque ma jouissance.
Sandra décide d’aller se doucher et j’en profite pour faire une minette à Vanessa, qui se termine aussi par une feuille de rose, avant d’aller rejoindre ma moitié.
La douche italienne est spacieuse et propice aux ébats. La douche se transforme vite en un jeu, et Sandra a tôt fait de me faire reprendre forme.
Vanessa nous rejoint, pas étonnée de la tournure des évènements et nous raconte en riant qu’elle avait pensé à ce genre d’ébats quand elle a fait les travaux.
Elle prend les choses en main, et demande à Sandra de s’agenouille sur une paillasse qui prend tout un côté. Celle-ci s’exécute et s’appuie de ses mains sur le mur de faience.
Vanessa, derrière elle, lui caresse les seins et fait courir ses mains sur son corps luisant, avant d’aller explorer sa chatte qui s’ouvre vite sous ses doigts. D’une main, ma femme a saisi ma queue et entreprend un va et vient , rendu encore plus efficace par le spectacle auquel j’ai droit. Ma rigidité retrouvée, Vanessa att ma queue et me tire à elle, avant de s’effacer pour me positionner derrière Sandra. Je comprends , et pliant légèrement les genoux, je me redresse en investissant sa chatte bien chaude que je commence à limer. Mais Vanessa, après deux ou trois mouvements, me fait ressortir, et att ma queue, qu’elle vient présenter sur l’anus de ma compagne. Elle pousse et m’aide à pénétrer l’étroit orifice, puis elle vient se coller derrière moi et passant ses bras de chaque côté, att les hanches de Sandra, pour l’attirer à elle, ce qui, de fait, l’enfonce un peu plus sur ma queue.
Sandra qui a poussé une court plainte a mon entrée, hoquette sous mes coups de boutoir. Je suis bien ancré en elle et Vanessa lui triture les seins, pendant que mon, corps vient claquer sèchement sur son petit cul.
-« Vas-y, défonce la bien ! » m’encourage Vanessa
-« Oh, c’est bon ! mets la bien au fond ! « répond Sandra en poussant maintenant son postérieur à la rencontre de ma queue.
En foncé dans le cul de Sandra, Vanessa me tripotant les bourses, je finis par lâcher tout ce que j’ai , en me collant à ma femme. Nous nous embrassons tous les trois, et finissons par nous rincer, tout de même.
Nus, tous les trois, nous allons dans le cuisine, nous désaltérer. Il va falloir penser à partir, mais Sandra ne l’entend pas de cette oreille.
-« Avant de partir, tu vas la baiser une dernière fois. » dit elle
Après les efforts consentis avant, je ne suis pas sur d’y arriver. Les deux femmes m’entrainent dans la chambre , où je m’écroule sur le lit. Elles viennent alors, de chaque côté de moi et entreprennent, à tour de rôle de me redonner de la vigueur. Quand ce n’est pas une qui me suce, c’est l’autre. Quand l’une m’engloutit, l’autre me caresse les bourses, ou titille mon anus. Elles me lèchent à deux en me regardant de leurs grands yeux, Noirs, ou bleu turquoise, c’est selon.
Vanessa me prend entre ses seins plantureux, pour une branlette espagnole, tandis que Sandra capte mon gland dans sa bouche à chaque fois qu’il sort au dessus de la poitrine.
Petit à petit, le désir renait et mon sexe reprend une turgescence de bon aloi.
Ma femme transformée en organisatrice, repousse Vanessa sur le dos et m’invite à la prendre, pendant qu’elle l’embrasse, et lui pince les tétons.
Vanessa, sur le dos, les jambes sur mes épaules, se laisse faire en soupirant de plaisir. Elle jouit en criant.
Sandra la fait mettre à quatre pattes et m’intime de la prendre comme ça. J’approche mon sexe doucement, mais Sandra le prend en main et le dirige vers le petit trou de Vanessa.
-« Tu vas bien l’enculer, maintenant. Tu veux qu’il t’encule Vanessa, »
-« Oui. »
-« Dis le que tu veux sa queue dans ton cul ! »
-« Oui, je veux ta queue dans mon cul ! J’ai envie que tu me défonces avant de partir, J’ai envie de vous deux. »
Sandra guide mon sexe contre l’anneau plissé, qui résiste, mais finit par céder d’un coup
-« Aie ! Ahh, » se plaint la belle pendant que je m’enfonce inexorablement entre ses deux fesses magnifiques.
Sandra, me masse les couilles en regardant de près
-« ça rentre bien, tu vas tout prendre. C’est la première fois que je peux regarder. Tu verrais ça ma belle ! Tu dois bien la sentir.
Je commence un long va et vient coulissant dans ce conduit étroit qui me serre. Vanessa gémit doucement, ses seins volumineux se balançant au gré des mouvements.
Sandra se glisse sous Vanessa et lui lèche le clito, en lui mettant deux doigt dans la chatte qu’elle agite au rythme de mes coups de reins. Je sens bien ses doigts au travers de la paroi de chair, contre mon sexe. J’accélère et elle me suit. Vanessa lance une plainte qui ressemble à un hurlement de louve, qui s’amplifie alors qu’elle se démène prise par ses deux trous. L’intensité augmente.
-« Vas-y ma belle, viens ! » lui crie Sandra
-« Ahh, ça y est, je viens !!!!! » hurle t’elle tout à coup en donnant des coups de reins désordonnés. Son plaisir m’inspire, et je sens monter un geyser en moi que je ne peux réfréner. La prenant aux hanches, je lui imprime des coups de bassin bien sentis, et je gicle dans ses entrailles, avec un grognement rauque.
Il nous faut quelques minutes pour récupérer. Nous nous séparons. Sandra a le visage maculé de mouille et de sperme, Nous passons quelques minutes inertes, avant de nous décider à aller prendre une douche revigorante, et , un peu plus sage, cette fois-ci
-« Je n’avais jamais joui de la sorte » nous avoue Vanessa « Vous êtes des diables, mais de bons diables. »
-« Nous garderons un bon souvenir de ce séjour. Tu es une personne exceptionnelle, Vanessa » répond mon épouse. « Je te laisse nos coordonnées. Tu viens quand tu veux. »
Après avoir chargé nos bagages dans le coffre, nous retournons à l’appartement pour dire au revoir à notre hôtesse. Elle a repassé la même robe qu’au premier jour, et nous accompagne, pieds nus, jusqu’à la voiture. Je parie qu’elle est nue dessous.
Quand nous nous éloignons en lui faisant signe, Sandra me fait une déclaration qui me fait faire un écart sur la route.
-« Je crois que je pourrais te partager, avec une femme comme Vanessa. »
-« Tu veux dire vivre avec elle ? »
-« Oui, murmure t’elle réveuse, ça pourrait me plaire. Pas toi ? »

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