Une Histoire Inattendue 6

UNE HISTOIRE INATTENDUE 6 : Fin de parenthèse estivale



Après avoir déposé Vanessa, j’ai juste le temps de retourner à la plage de la chambre d’amour, pour y rejoindre mon épouse.
Quand j’arrive, je trouve la terrasse déserte, mais j’aperçois Sandra, à l’intérieur. En entrant, je me rends compte que son amant est là, lui aussi. Sandra porte une nouvelle robe, assez courte, à bretelles.
Alors que je m’approche, Thomas se lève. Il est un peu plus grand que moi. Il sourit, ce qui m’agace un peu, et m’invite à m’asseoir
Sandra me lance un sourire timide
-« Vous avez de la chance » commence t’il « Sandra est une femme merveilleuse. Malheureusement pour moi, elle a fait un choix, et aujourd’hui, je la perds » dit il en tournant la tête vers elle. « Je suis triste, bien sur, il a suffi de quelques jours pour que je m’attache à elle, mais, rassurez vous, c’est vous qu’elle aime. Pardonnez lui, comme je lui pardonne de me laisser, et rendez la heureuse. Adieu, ma jolie Sandra. »
Sandra lui caresse la joue, en murmurant « bonne chance » et se lève. Nous quittons l’établissement, laissant Thomas à sa table.
Une fois dans la voiture, Sandra s’enfonce dans son fauteuil. Je lui demande de me raconter ce qui s’est passé, mais elle reste muette. En arrivant au bout des parkings, au lieu de tourner à gauche je pars à droite. La petite route, contourne une pointe en longeant la mer, et passe devant un Hotel. Ensuite Il y a un grand parking, désert, à cette heure, qui mène à une plage. Arrivé tout au bout, je me gare face à la mer et coupe le moteur.
-« Tu as dit que tu me raconterais tout » je rappelle.
-« A quoi bon. » réponde Sandra.
-« C’était le deal, et tu l’as accepté »
-« Je reviens vers toi, N’est ce pas l’essentiel. »
Je sors de la voiture et vais m’asseoir au bord du capot, regardant l’océan. Après quelques instants, j’entends sa portière claquer et elle vient à côté de moi.

Son bras enserre ma taille et elle s’appuie contre moi. Nous restons immobiles. A l’horizon, le soleil rougeoie sur les vagues avant de plonger dans la mer. Sandra contemple le couchant, les cheveux dans le vent, la peau orangée par la lueur crépusculaire.
Je me tourne vers elle, et lui dis
-« Tu vas oublier cette histoire. »
-« Oui et toi aussi »me renvoie t’elle
Je caresse son visage, ses épaules et fais glisser les bretelles de la robe. Puis, en tirant un peu, je la fais glisser vers le bas, libérant ses seins. Je continue à descendre le vêtement qui après une hésitation sur ses hanches, finit par passer, et tombe à terre. Maintenant nue dans ses souliers, je lui saisis les mains et l’aide à enjamber le tissu pour se dégager. Elle n’a pas eu le moindre recul, mais je vois le questionnement dans ses yeux.
Je me baisse et ramasse la robe.
-« C’est un de ses cadeaux ? »
-« Oui » murmure t’elle.
-« Alors, on ne peut pas le garder » et je me dirige vers une poubelle pour y jeter l’objet.
Sandra, est restée debout, nue, et m’attend.
Quand je reviens, je dépose un baiser sur ses lèvres, et lui dis :
« Maintenant, on peut y aller. »
Elle me regarde, et sans rien dire, remonte en voiture.
Je démarre et prends la route de notre appartement. Elle a attrapé, dans son sac de plage sa tunique en voile et la passe rapidement, ce qui masque, à peine sa nudité. Elle fait le trajet, les bras croisés sur sa poitrine, le regard fixe, sans un coup d’œil aux piétons, deux roues, et autres véhicules, tous plus haut que le petit roadster, qui découvrent cette splendide jeune femme, quasi nue sur le siège passager.
A destination, il reste une épreuve. Elle sort du véhicule, et, pendant que je recapote pour la nuit, se dirige d’un pas décidé vers l’entrée de notre immeuble, son sac en bandoulière. La tunique volette autour d’elle et ne cache rien de ses fesses rondes. Elle croise un couple d’une cinquantaine d’année, qui s’arrête pour la regarder passer.
L’homme se retourne sur elle, mais sa femme le tire par le bras en le morigénant.
Nous rentrons et elle va rincer et étendre son maillot . Je fais de même pour le mien. Nous préparons une dinette et nous installons sur la terrasse à la nuit tombée.
-« Tu dois me raconter. » je rappelle
-« Tu y tiens vraiment ? »
-« Evidemment »
-« Bien. Quand tu m’a s déposée, cet après-midi…
-« AH non. Tu vas tout me raconter. Depuis le début »
Elle hésite un instant et se lance

SANDRA

-« Je t’ai déjà raconté comment j’ai rencontré Thomas. Il ne s’est rien passé le premier joue, mais j’avais accepté de le revoir le lendemain. Je t’ai raconté que j’allais voir mon oncle, car je savais que tu ne souhaiterais probablement pas venir. Je suis donc partie pour la plage, où il devait me retrouver. Nous nous sommes baignés, et sommes restés un bon moment à bronzer et à parler de nos vies. Je lui ai expliqué que j’étais mariée, mais bien que nous nous aimions, le plaisir sexuel et la passion avaient déserté notre relation. De son côté, il était célibataire, et propriétaire, avec son frère, d’une boutique de fringues, d’un restaurant, et de quelques appartements. Nous sommes allés déjeuner dans son restaurant, où nous avons continué à parler. Je me sentais bien. Il me tenait la main, l’embrassait, ou touchait mes genoux, caressant parfois ma cuisse. Nos échanges ont dérivé sur le sexe. Il m’a appris qu’il avait eu, quelques mois plus tôt une déception amoureuse, et depuis, ne voulait pas s’engager. Il avait quelques copines occasionnelles, mais surtout, il avait flashé sur moi dès qu’il m’avait vue. Je lui ai demandé si il avait la culotte que je lui avais confiée la veille, mais il m’a répondu qu’il la gardait puisque j’en avais une autre. Il me dit qu’à chaque fois que je porterais une culotte, il me la prendrait, car, rien n’est plus sexy qu’une femme nue sous une robe. En disant cela il avait posé ma main sur ma cuisse, et me caressait.
Il m’a demandé d’oter mon string pour le lui donner. Je me suis rendue aux toilettes , mais à peine y étais-je entrée qu’il me suivit et referma la porte derrière lui. Il m’étreignit et m’embrassa fougueusement, ses mains découvrant mes formes. Il se baissa et passa les mains sous ma robe pour faire glisser mon string qu’il mit dans sa poche, avant de revenir m’embrasser. Je me disais que n’importe qui pouvait entrer et nous voir, mais sa main entre mes cuisses me faisait tellement de bien que je m’abandonnais. Il retroussa ma robe à ma taille et vint me lécher le minou pendant de longues minutes, jouant avec mon clitoris, complétant sa caresse buccale avec les doigts qui entrèrent en moi et me firent jouir très vite. A ce moment là, moi qui pensais maitriser la situation, je me rendis compte qu’il allait me baiser. Il me retourna et retroussa ma robe sur mes hanches, m’accoudant sur le lavabo. J’entendis qu’il débouclait sa ceinture et je sentis bientôt son sexe brûlant contre mes fesses. Il dégagea mes seins de ma robe et excita mes tétons, massa mes globes, ajoutant à mon plaisir, puis il appuya sur mon dos, me plaquant sur le plan de la vasque. Quand je sentis sa verge contre ma chatte, j’ouvris les jambes et le laissai s’enfoncer dans mon vagin détrempé.. Il me lima doucement d’abord, puis plus vigoureusement, ma faisant gémir de plaisir, et je jouis une deuxième fois. L’excitation retombée, je lui demandais de ne pas éjaculer en moi, mais il me dit qu’il était à bout. Je me retournai donc, et à genoux, je pris sa queue bien dressée dans ma bouche. Il était tellement excité que je sentis son membre gonfler rapidement. Quand il a appuyé sur ma tête, je n’ai pas résisté, et il a joui plusieurs giclées épaisses. J’ai tout avalé, et j’ai continué de le sucer jusqu’à ce que son sexe ramollisse. Il s’est rajusté et est sorti. Je l’ai rejoint quelques minutes plus tard, après m’être rincée la bouche, et remaquillée.
Il m’a ensuite emmenée chez lui, une jolie villa dans la colline.
Je dois dire que j’étais un peu génée, car il a une jeep, assez haute, sans portière. A chaque fois que je montais, ma robe se retroussait. Quand j’étais assise, la robe prenait le vent et remontait, dévoilant mon intimité, ce qu’il m’a dit adorer. Le pire était à la descente, où je devais sortir une jambe après l’autre, exposant ainsi soit mes fesses, soit ma chatte. Je faisais donc attention que personne ne soit a proximité. Chez lui, j’ai découvert une grande villa, très moderne, à flanc de coteau, dont les vastes baies vitrées s’ouvraient sur une jolie Piscine Agrémentée d’un jacuzzi. Nous avons passé l’après-midi à nous baigner et à faire l’amour. Il était insatiable, et bien que je l’aie fait jouir plusieurs fois , avec ma main où ma bouche, mais jamais en moi, il retrouvait rapidement sa vigueur.
En début de soirée, Son frère est arrivé. (Tu as dû le voir au restaurant. C’est lui qui nous a accueillis) avec une jeune femme blonde, prénommée Diane, beaucoup plus jeune ; je dirais dans les 25 ans. Nous étions dans le jacuzzi, et un peu protégés des regards. Je m’inquiétais de la venue de ce couple alors que nous étions nus, mais Thomas me rassura, en me disant que nous étions entre nous. Le couple s’est rapidement mis nu, et ils ont plongé dans la piscine. J’avais eu le temps de voir Que Tony, le frère de Thomas, était un peu plus agé que lui, mais conservait un corps musclé, ce qui avait dû séduire Diane qui avait, elle, une plastique irréprochable . Grande et élancée, elle avait des seins en poire, très fermes, un ventre plat au dessus d’un sexe parfaitement épilé, et fessier, rebondi en marbre au-dessus de longues jambes élancées. J’en conçus quelques complexes et m’en ouvris à Thomas qui m’assura que le physique n’est pas tout. Il m’expliqua que rencontrer des filles jeunes de ce type était courant sur cette côte où beaucoup sont sportives et sculptées par la pratique du surf, mais qu’il préférait, quand à lui, le charme plus sensuel de mes formes, amplifié par quelques rides qui ajoutaient à ma personnalité. Pendant que nous discutions tendrement, le couple s’adonnait à d’autres jeux. Diane, debout dans la piscine, suçait avec application la verge de Tony, qui n’avait pas grand-chose à envier à son frère. Ils inversèrent leurs positions et la belle Diane, gémit de plaisir alors que la tête de Tony s’agitait entre ses cuisses.. Ils sortirent bientôt pour se diriger vers un grand lit d’extérieur qui nous avait reçu, un peu plus tôt. La fille se coucha sur le dos, et il la pénétra. Les deux faisaient l’amour devant nous. Je me mis à genoux, au bord du spa, pour les observer, et Thomas vint derrière moi, me trouvant ouverte et excitée par le spectacle. Je sentais son pieu aller et venir en moi, et je soupirais de bonheur, le regard planté dans celui de Diane, qui, jambes sur les épaules de son partenaire, exprimait son plaisir sans me lâcher des yeux.
Le couple se désunit après qu’elle ait joui en pleurant. Elle se retrouva à quatre pattes et le vit fier de Tony vint s’enfoncer en elle. Très vite, ils se mirent à copuler frénétiquement, le cul de la belle venant à la rencontre des coups de boutoir de Tony , la peau claquant sur la peau. Ce spectacle érotique était des plus excitant et notre rythme se calquait sur l’autre couple.
Tony ralentit sa cadence après que Diane ait joui en criant.
Il sortit son dard toujours érigé et vint le frotter contre l’anus de la jeune femme. Il recueillit sur ses doigts les sécretions de celle-ci pour en enduire son petit trou étoilé, et y faire entrer un doigt, qu’il agita, avant d’en mettre un deuxième. Son orifice étoilé se dilatait et absorbait les phalanges, en se tendant pour aider leur progression. Il prit alors la décision de remplacer ses doigts par son sexe, la tenant d’une main et guidant de l’autre son gland dans l’orifice déjà ouvert. Le gland entra d’un coup et elle se figea. Il entreprit alors de s’enfoncer dans son cul. Elle pleurait de douleur, et grimaçait mais ne fit pas un mouvement pour lui échapper. Tony se recula un peu et se projeta en avant, enfonçant d’un coup tout son membre, lui arrachant un cri perçant. Bien planté en elle, son pubis contre son cul, il coulissa dans son antre venant à chaque fois taper contre son cul qui était tellement musclé qu’il tremblait à peine. Il lui labourait les reins et ses cris de douleurs se transformèrent rapidement en cris de jouissance. Elle l’accompagnait en oscillant sur ses genoux, une main entre ses jambes, titillant son clito, et se mit à soupirer, puis à brâmer de plus en plus fort.
-« Oh oui !!!, vas y, Encules bien !!, plus fort. Encore !
Pendant ce temps je profitais aussi et Thomas, aussi chauffé que moi par le spectacle, me fit jouir encore avant de sortir pour arroser mon dos à grandes giclées.
Le grand parquet en teck possédait une douche d’extérieur qui nous lava de nos ébats. Le second couple qui avait joui à grands cris, nous relaya sous la douche. Tony alla passer un tabler de cuisinier et nous proposa un barbecue. Il fit griller des gambas pendant que Thomas, nous concoctait une salade revigorant avec des filets de magret et des dés de foie gras.
Diane se rapprocha de moi, et je la complimentai sur son physique. En retour, elle me félicita pour mes seins qu’elle effleura du bout des doigts. Je lui demandais si elle était avec Tony depuis longtemps, ce qui la fit rire. Elle me dit que Tony était un plan cul et qu’ils se voyaient de temps en temps, mais qu’elle ne voulait pas s’engager dans une relation sérieuse avec un homme qui était son ainé de plus de vingt ans.
-« Mais alors, pourquoi lui ? » osai-je
-« Parce qu’il a l’expérience, et me fait découvrir des facettes du sexe que je ne connaissais pas. Parce qu’il se concentre sur mon plaisir, et pas que sur le sien. Autant de choses qu’on a du mal à trouver chez un jeune. »
-« Comme la sodomie ? »
-« Ce n’est pas le même plaisir que baiser vraiment. Je l’ai découvert il y a peu. Quand Tony m’encule, le plaisir est plus cérébral. Je suis sa chose et je lui appartiens. La douleur doit faire aussi partie du jeu. C’est très différent, un peu transgressif aussi, mais la jouissance est aussi intense.
-« Le soucis, c’est que tu ne trouveras pas un jeune homme avec cette expérience. »
-« C’est vrai, mais le jour où je rencontrerais le bon, je lui apprendrais » me répondit elle avec un sourire.
Le repas prêt nous nous sommes attablés sous le dais, pour le partager, tous nus,
Après le repas, Diane se fit plus caline, se frottant à Tony, flattant son sexe de la main.
En caressant ses tétons qui pointaient, il nous dit qu’ils allaient se retirer. Ils se levèrent, et les voyant ainsi, lui, arborant une demi érection, bronzé et musclé, malgré ses cheveux blancs et sa calvitie naissante, et elle sculpturale, et impudique, je me dis qu’ils faisaient quand même un beau couple.
Nous sommes restés longtemps à nous caliner sur cette terrasse avant qu’il me raccompagne à ma voiture. Avant de me laisser partir il m’a embrassée et caressée, reveillant mon désir. Il m’a prise une dernière fois appuyée sur sa Jeep, et a joui sur moi, avant de rabaisser ma jupe. Ce soir là, je suis rentrée le plus doucement possible pour ne pas te réveiller car tu m’aurais découverte, la robe tachée de foutre, sans culotte. Heureusement tu dormais déjà. »
-« En fait je ne dormais pas, et j’ai bien vu que tu étais nue sous ta robe. » précise Steve.
A ce moment, je me rends compte que son bermuda est tendu par une bosse que je connais bien.
Il m’encourage à continuer.
-« Le lendemain, tu t’en rappelles surement, je t’ai proposé de venir avec moi à la plage, et, à ma grande surprise tu es venu. J’ai juste eu le temps de passer un message à Thomas pour le prévenir. Je sais que les séances de bronzette ne sont pas ton point fort, et tu es reparti au bout d’une heure et demie. J’ai envoyé un message à Thomas qui m’a rejointe. Il m’a demandé de m’accompagner, car il devait donner des consignes à la vendeuse de son magasin, avant la fermeture de midi. Nous sommes allés dans sa boutique, et pendant qu’il donnait ses consignes à sa vendeuse, je choisissais une robe, ne pouvant pas rentrer avec ma tunique uniquement. Puis il l’a congédiée, avant midi, et s’est rapproché de moi, me disant combien le temps lui avait paru long depuis la veille. Nous nous sommes embrassés longuement. Je ne sais si c’est son parfum, notre impatience à tous deux, mais je me suis agenouillée, pour défaire son pantalon et mettre au jour sa bite qui bandait majestueuse. Je l’ai sucé un moment, mais il m’a vite relevée, et m’a mise nue. Je lui ai fait remaquer qu’on pouvait nous apercevoir de la rue et il a dû fermer la grille. Il m’a fait entrer dans une cabine d’essayage, et m’a calée contre la paroi pour me prendre. J’étais folle. Nue dans un magasin avec une queue qui me défonçait ; je ne me reconnaissais pas. Les sensations ajoutées à la peur d’être surprise ont décuplé mon plaisir et j’ai eu très vite un orgasme. Il s’est retiré, juste à temps et m’a aspergée de son sperme. J’ai récupéré ma tunique pour m’essuyer un peu, et j’ai porté mon choix sur la petite robe vichy que tu connais. Nous sommes allés déjeuner dans son restaurant avant d’aller passer l’après-midi chez lui. Sa maison, et plus particulièrement l’extérieur, bien protégé des regards était une oasis enchantée, où se promener autrement que nus, aurait paru incongru. Nous avons passé de longues heures à batifoler dans l’eau, ou à nous aimer sur le grand lit à baldaquin qui trônait au bout de la terrasse. Je m’étais laissée emporter, la veille, aussi je lui ai demandé de me ramener assez tôt à la résidence. En entrant dans l’immeuble, je suis tombée sur Daniel, comme par hasard. Il a commencé par me demander où tu étais, et je lui ai dit que j’étais en ville et n’en savais rien. Tout en marchant dans le couloir qui mène à l’appartement, il m’a alors raconté qu’il m’avait aperçue vers la plage., la veille. Je lui dis que je n’avais pas le temps, mais il insista et me suivit quand je rentrais dans l’appart, en me disant qu’il avait quelque chose à me montrer. Là, il sortit son smartphone et je découvris horrifiée, des photos de Thomas et moi sans équivoque : Thomas en train de m’embrasser et de me caresser sur la plage, moi en train de descendre de sa jeep, sans culotte, etc.
Je ne savais plus quoi dire.
Daniel m’assura qu’il savait rester discret et que je pouvais compter sur lui, si en échange je me montrais compréhensive avec lui. Le message était on ne peut plus clair, et je compris que j’étais tombée sous la coupe d’un ignoble maître chanteur.
Je lui dis que j’avais compris et me mis à masser son entrejambe. Il me colla au mur et passa ses mains sous ma robe, fouillant mon sexe de ses mains. Pour échapper à ses caresses, je me suis agenouillée et ai sorti sa queue, avant de la sucer. Il m’attrapa la tête et empoignant mes cheveux imprima son rythme, baisant ma bouche, s’enfonçant, sans soucis de mes haut-le-cœurs. Il cracha rapidement sa semence dans ma bouche et , remballa son sexe ramolli. J’espérais encore m’en tirer, mais mes illusions furent de courte durée quand il me dit de le retrouver le lendemain matin dans le parking si je ne voulais pas qu’il t’envoies ces fameuses photos.
Comme je ne voulais pas que tu découvres ces images, car j’avais un peu peur de ta réaction, je suis allée le retrouver le lendemain matin dans le parking. J’ai eu beau le supplier, il me giffla et me fit retourner. Après avoir relevé ma robe, il m’a sodomisée violemment, et s’est essuyé sur ma robe avant de s’en aller, non sans m’avoir dit que je devais m’habi et que j’allais devenir sa pute. J’ai juste eu le temps de me doucher que tu arrivais. J’étais abasourdie par ce qui me tombait sur la tête, mais je ne pouvais en parler à personne.
Tu m’as emmenée déjeuner dans le restaurant de Thomas, et quand il s’est approché de notre table, je suis restée paralysée. J’avais très peur qu’il ne commette un impair. J’ai compris, depuis, que tu étais déjà au courant. J’ai encore une fois passé un après-midi sensuel chez Thomas, ce qui m’a permis d’oublier un peu cet horrible type. Je n’en ai pas parlé à Thomas ; à quoi bon ; ça n’aurait fait que compliquer les choses, mais quand il m’a déposée devant la résidence le soir j’ai été prise par une appréhension et un stress énorme. A ce propos, j’ai bien cru croiser la mini de Vanessa qui quittait le parking, et je me suis dit que c’était vraiment tard.
La suite tu l’as vécue comme moi. Quand j’ai appris que tu avais mis ce salopard hors d’état de nuire, j’ai été soulagée. Effrayée, car j’avis peur de te perdre mais aussi reconnaissante de savoir que malgré mon comportement tu n’avais pas hésité à me défendre. C’est pour ça et des milliers d’autres petites choses que je sais que tu es l’homme de ma vie. J’ai cependant été encore plus surprise quand tu m’as autorisée à passer une dernière journée avec Thomas .
-« Je n’ai pas été très cool ces derniers mois et, quand je l’ai appris, après la jalousie, je me suis souvenu de ce que nous vivions depuis quelques mois. Nous nous étions éloignés l’un de l’autre, inexorablement, et j’ai compris que tu avis trouvé quelqu’un qui t’avait remarquée, t’avait rassurée et t’avait apporté cette proximité charnelle qui nous manquait depuis quelques mois. Je dois bien t’avouer que j’ai connu un peu la même chose. Rencontrer une personne séduisante à un moment où on est vulnérable, peut nous laisser aller à se laisser faire du bien. La sensation de la nouveauté, de l’aventure, de se sentir désirable, peuvent nous amener à ces situations, mais l’essentiel est de ne pas perdre confiance dans l’autre. Je me suis longtemps demandé que faire. J’ai fini par me dire qu’il fallait te laisser aller au bout de cette histoire. Je savais que je pouvais te perdre à jamais, mais je savais aussi que si c’était arrivé, j’en serais en partie responsable. J’espère juste que tu n’as pas de regrets. »
-« Pas de regrets, mon amour, si ce n’est de ne t’avoir pas retrouvé plus tôt. »
-« Continues l’histoire. » m’intime t’il
-« Tu m’as donc déposée près de la plage, pour cette ultime journée. Avant toute chose, j’ai tenu à annoncer à Thomas que notre aventure prendrait fin, ce soir là. Il m’a dit qu’il respectait mon choix et me remercia de lui accorder cette journée. Nous sommes partis en voiture jusqu’au port, où j’ai découvert son bateau. C’est un bateau assez imposant, avec trois grandes cabines, une salle de bains, une cuisine, et un coin salon . La grande plage ombragée est équipée pour pouvoir y manger, au dessus du poste de pilotage, on accède au Fly bridge, ou se trouve le rappel des commandes du navire avec quelques sièges, et à l’arrière un grand Sun deck, avec un matelas immense. Après m’avoir fait visiter les lieux, Thomas a mis les moteurs en marche, et m’a expliqué comment détacher les amarres. Ce que j’ai fait à sa demande, avant de le rejoindre sur le fly Bridge, en maillot de bain. J’avais pris le deux pièces rouge, très mini. Thomas s’était débarrassé de son tee-shirt et contrôlait la manœuvre. C’est la première fois que je montais sur un tel bateau, et je dois avouer que le fait de se trouver en surplomb des autres bateaux, et de se faufiler entre les quais pour sortir du port donnait l’impression de voler. Une fois sorti du port, Thomas a mis les gaz, et le lourd bateau s’est trouvé propulsé au dessus des vagues de plus en plus vite, laissant derrière lui un sillage d’écume blanche. Thomas m’a conseillé de rester assise derrière le pare-brise pour profiter du soleil. J’avais les cheveux qui volaient dans le vent. J’ai oté mon soutif pour laisser le vent et le soleil caresser ma peau. Mes seins pointaient sous cette nouvelle sensation. Thomas m’a embrassé, et m’a dit que je n’avais pas besoin de mon maillot. Effectivement, nous ne croisions que peu d’autres bateaux, et avec notre position dominante, on ne pouvait apercevoir que mes seins, et encore… J’ai donc détaché mon maillot qui est tombé à mes pieds. Thomas, pour me montrer l’exemple, s’était dégagé de son bermuda, et pilotait le bateau, debout à la barre, les fesses musclée et bronzées .
Nous avons longé la côte, à distance et sommes passés en Espagne. De temps en temps Thomas incurvait la trajectoire du yacht pour nous rapprocher de criques ou de baies particulièrement jolies à découvrir. Nous sommes allés nous ancrer dans une petite crique rocheuse vers San Sebastian. Thomas m’a allongée sur le Sun deck où il m’a rejointe. Il s’est agenouillé et a glissé sa tête entre mes jambes. Il a embrassé l’intérieur de mes cuisses en remontant, puis mon pubis, en soufflant doucement sur mon minou.
J’attendais le contact de sa langue, mais il s’est contenté d’écarter mes jambes et j’ai senti son nez glisser le long de mon aine, avant d’aller effleurer mon périnée. Ses mains se sont glissées sous mes fesses, me soulevant légèrement. J’étais impatiente, et je me suis cambrée pour offrir mon sexe. Il a continué à m’agacer, me poussant à bout, avant de plonger sa langue sur mes lèvres ouvertes en remontant pour aller chercher mon clito qu’il a capté avant de l’aspirer. Il a relâché la pression sur mon bouton pour aller enfoncer sa langue dans ma vulve. Quand j’ai poussé mon bassin en avant, il a remplacé sa langue par ses doigts, sans cesser de me lécher, longeant la rigole qui sortait de mon sexe pour aller lubrifier mon petit cul qu’il explora aussi de sa langue avant d’y planter un majeur impérieux. Je n’en pouvais plus d’attendre et je fis ce qu’il attendait de moi :
-« Viens, prends moi » demandai-je
Il vint au-dessus de moi, et guidant son sexe d’une main, s’enfonça en moi d’un trait. Je poussai un cri de soulagement et de plaisir, en sentant mes muscles internes se détendre sous la poussée de son membre. Je nouai mes jambes sur ses reins, et me laissai besogner, profitant de chaque coup de boutoir. Il a , ensuite, roulé sur lui-même, me faisant passer au dessus de lui. Je pris appui sur mes jambes repliées et entamai un mouvement d’ascenseur, coulissant sur son membre. Sa queue venait profondément en moi, mes fesses tapaient sèchement sur ses cuisses de plus en plus vite. Sentant le plaisir monter, je me redressai, lui offrant mes deux seins à triturer pendant que je jouissais sans me retenir. Il me désarçonna aussitôt et se relevant, il vint saisir ma tête qu’il dirigea vers sa queue, que je pris en bouche, tout en massant ses bourses, jusqu’à ce qu’il explose dans ma bouche, son flot débordant sur ma poitrine.
Après cette étreinte, il me proposa d’aller se rafraichir et , enjambant le bastingage, sauta directement dans l’eau. Encouragée, je fis de même. Je fus saisie par la fraicheur de l’eau, et n’y restai que quelques minutes, contournai la coque pour remonter par l’échelle arrière. J’allai m’étendre sur le Sun deck pour sécher, et Thomas m’y rejoignit.
Il me proposa de me passer de l’huile solaire, et nous nous sommes retrouvés, les mains brillantes d’huile à nous masser et nous caresser exacerbant nos sens. »
Depuis un moment, je me rendais compte que mon histoire, au lieu de rendre mon mari furieux, provoquait une réaction érectile qu’il avait du mal à cacher. Je décidai alors de prendre les choses en main, au propre comme au figuré, et je m’attaquai à son bermuda, que je déboutonnai rapidement en lui disant
-« On dirait que mon histoire a un effet sur toi »
Comme je venais de baisser sa braguette, laissant jaillir un sexe bien bandé, il pouvait difficilement nier.
-« Je devrais être en colère et t’en vouloir, mais, assez curieusement, cette histoire a plutôt tendance à m’exciter, comme tu vois. »répondit il.
-« Tu souhaites donc que je continue ? » interrogeai-je, tout en branlant légèrement sa queue.
-« Continues ! » ordonne t’il en faisant passer ma tunique par dessus ma tête.
-« Nous étions seuls et nus sur ce bateau et nous nous sommes longuement cajolés. Je suis venue en 69 sur lui et je l’ai sucé longuement, pendant qu’il me donnait du plaisir avec sa langue. Une fois chauffée à blanc, je suis venue l’enfourcher, dos à lui, et me suis empalée sur sa bite. Nos corps ont trouvé immédiatement le bon tempo. Pendant que je me baisais sur lui, il caressa mon dos, et descendit ensuite pour écarter mes fesses, accentuant la pénétration. En même temps, il profitait de sa position pour titiller mon petit trou, le lubrifiant de gel, et y introduisant ses doigts. J’étais aux anges et je jouis intensément. A ce moment, n’importe qui passant à proximité aurait pu nous voir mais je m’en foutais. Dès que j’eus clamé mon plaisir, il s’ejecta de mon vagin, et présenta son dard, contre mon anus. saisissant mes hanches, il exerça une poussée de son bassin, en m’attirant à lui. Je sentis mon cul se dilater autour de son gland qui l’étirait douloureusement, et je criai ma douleur. L’instant d’après il était en moi. La poussée suivante, fut comme si il m’enfonçait une lame dans le ventre. Il se cala contre mes fesses, et je lui demandai d’attendre, laissant la douleur s’estomper. Il reprit progressivement un mouvement de balancier, son sexe se frayant un passage dans mes entrailles, m’infligeant une brûlure mélée de plaisir, les deux sensations se mélangeant pour n’en faire qu’une, nouvelle. La douleur s’effaça peu à peu devant le plaisir, Il le sentit et accentua ses amples mouvements, me limant le cul de plus en plus fort.
Il me fit mettre à quatre pattes, et revint aussitôt se planter dans mon cul, qu’il ramona vigoureusement, en passant sa main pour me chatouiller le clito en même temps. J’avais maintenant du plaisir par mes deux trous et je mouillais abondamment, en criant de plaisir. Je me figeai dans ce plaisir intense, emportée par un orgasme bruyant, m’écroulant à plat ventre sur le matelas. Thomas, sortit de moi, et m’aspergea de plusieurs giclées de sperme, avant de s’écrouler à son tour. Nous sommes restés, ainsi que nous étions tombés, l’un sur l’autre, récupérant de cet orage soudain.
Quand j’ai refait surface, Thomas était en train de préparer le déjeuner. Je decendis me doucher pour me débarrasser du sel et du sperme qui maculaient ma peau, et nous sommes passés à table. »
Pendant ce récit Steve, n’a pas cessé de passer ses mains sur mes cuisses, mes seins, mes fesses, et ma chatte, qui commence à suinter doucement
-« Nous avons partagé une salade composée aux fruits de mer, agrémentée de vin rosé très frais, et de pêches gorgées de sucre dont le jus nous coulait sur le menton, et dégouttait sur nos corps, ce qui nous donna l’occasion d’un nouveau jeu, en nous léchant mutuellement, pour récupérer le précieux jus. Après le repas, il était temps de lever l’ancre car nous avions un bon bout de chemin pour revenir au port. Thomas a repris sa place aux commandes, et je me suis étendue sur le matelas. Ivre de soleil, de sexe, et de rosé, je n’ai pas tardé à m’endormir. Quand je me suis éveillée nous approchions de notre port d’attache. Les bateaux étaient plus nombreux ici, et Thomas me conseilla de me préparer pour l’accostage au port. Je suis descendue sur le pont, pour récupérer mon maillot de bain, et ma tunique. Au passage, quelques plaisanciers qui m’avaient aperçue, ont fait marcher leur corne de brume. Nous avons amarré le bateau et rejoint la jeep pour retourner aux plages, où Thomas m’a fait cadeau d’une robe, que j’ai passée, à la place de mon maillot et tunique. L’heure des adieux étaient arrivée. Thomas a tenu à rester avec moi, jusqu’à ce que tu arrives. Peut-être craignait il une réaction violente de ta part. Il m’a remercié et m’a dit que si un jour je le souhaitais, je serais toujours la bienvenue. C’était impossible pour moi de répondre. Je quittais un homme merveilleux…pour un autre homme merveilleux. »
Mon récit terminé, je me penche sur mon mari et l’embrasse tendrement. Son sexe est bien dressé dans ma main, et les siennes parcourent mon corps. Il se léve et me pousse contre la balustrade. Il me retourne, dos à lui, Devançant son désir, je me cambre en écartant le compas de mes jambes. Il vient se frotter à moi, son sexe cherchant son chemin dans la fourche de mes cuisses. Je suis déjà bien ouverte et il ne tarde pas à trouver l’entrée de ma chatte. Il m’investit d’un coup et commence à me limer , en amples balancements, ses couilles claquant régulièrement sur mon fessier. Son élan est vigoureux, et je dois me cramponner à la ballustre en alu. Il profite de ma position pour empaumer mes seins, et en triturer les tétons. Je me fais houspiller sans ménagement, haletant sous la puissance de cet assaut. Je ne retiens pas mon plaisir et râle en remuant pour essayer de l’aider à me percuter encore plus. Il att ma chevelure et l’enroule autour de son poignet, et tire dessus, m’obligeant à me cambrer davantage, et en quelques coups de reins, finit par jouir en moi. Il vient se coller contre mon dos et me plaque contre la paroi de verre, empoignant mes seins qu’il fait pigeonner dans ses paumes. Je remarque alors, un bonhomme dans l’allée en bas, non loin d’un lampadaire, qui semble nous observer. J’ai un mouvement de recul, mais Steve ne bouge pas. Le bonhomme s’éloigne, mais j’ai l’impression qu’il a fait un signe vers mon mari.
-« Il y a un type en bas » fais-je remarquer
-« J’ai vu. C’est un peu tard pour se cacher, non ? » rétorque Steve
-« Mon chéri, j’étais extrêmement pudique, presque pudibonde, mais avec toi, j’ai si souvent montré mon corps, que je suis devenue plus à l’aise avec ça. Il nous a vus nus, il nous a vus baiser. Je ne le connais pas, et je m’en fiche. »
Après une douche méritée, nous allons nous coucher, et je passe une nuit où Thomas, Steve et quelques autres me font vivre une vie de débauche et de plaisirs.

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