Les Fantasmes De Sandrine 4

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

04 – L'AGRESSION 4
Le jour se lève et les rayons du soleil chauffent mes fesses. Doucement, la maison s'éveille. Quelques minutes plus tard, les trois hommes sont levés. Je les entends vaquer à leurs occupations. Soudain, la porte s'ouvre. Blanche Neige est là, bouchant le passage de sa carrure athlétique. Son sourire éclaire son visage. Je ne comprends pas immédiatement la raison de sa bonne humeur. Il me demande :
• Avez-vous bien dormi, gentille petite bourgeoise ???
Il avance dans la pièce et s'arrête au pied du lit. Il me libère de mes liens. Je constate que le drap a glissé pendant la nuit. Je suis à moitié nue sur le lit. Un instant tétanisée, je réagis et essaie de cacher mon anatomie avec mes bras. Mais cela est impossible de cacher entièrement mes seins et ma chatte. Je me trouve sur le côté pour tenter d'attr le drap qui gît sur la descente de lit. Blanche Neige profite d'une vue imprenable sur mes fesses. Il me complimente :
• Comme tu es belle !!
Il contourne le couchage et ramasse le drap chiffonné. Au lieu de me le donner, il s'assoit dur le bord du lit. Ses mains saisissent mes épaules. Il me tire vers lui. Je cède à sa pression. Puis brusquement, je lui résiste, me rebelle :
• S'il vous plaît, laissez-moi !… Je suis mariée, ne m'obliger pas à faire des choses…
Blanche Neige réagit. Ses grands yeux globuleux lui mangent le visage :
• Mais, hier soir… tu as déjà eu un amant noir… alors pourquoi pas ce matin ???
• Oui, mais hier, vous m'avez e et ce matin, je ne veux plus….
Il continue son mouvement d'approche et me retrouve collée à lui. Avant que sa bouche ne se colle à la mienne j'ai le temps de dire :
• Non, je ne veux pas… Attention je vais cri… !
La dernière syllabe se perd dans un grognement. Sa bouche prend possession de la mienne. Sa langue envahit ma bouche.

J'ai beau tenté de résister, ma résistance s'effondre. Blanche Neige constatant mon abdication s'enhardit. Il me colle contre son torse. Ses mains parcourent mon dos, le caresse. Puis elles changent de face et empaument mes seins. Il me repousse un peu. Son regard me déshabille encore plus. Ses yeux courent sur ma poitrine ronde, ferme tenue par le contact des deux paumes chaudes. Il me questionne :
• Combien fais-tu de tour de poitrine?
La question me surprend. Je ne m'attendais pas à ce genre d'interrogation de la part de cet homme. Je lui réponds:
• Un gros 90 C…
Ses mains serrent mes seins faisant saillir mes mamelons. Ses pouces pressent mes tétons contre ses index. La douleur me fait gémir, mais sa bouche se plaque contre la mienne. Sa langue envahit de nouveau ma cavité buccale, jouant avec ma langue. Ma rébellion est étouffée. Il me bascule doucement sur le lit. Je ne réagis plus, prête au sacrifice. A quoi bon résister ??? Je sais qu'il est plus fort que moi et que je ne pourrais pas lui résister. Alors, je préfère céder que de subir des assauts violents qui risquent de me déchirer. Je m'écroule sur le dos. Aussitôt, la masse imposante du noir se couche sur moi. Il est très lourd et je ne peux plus bouger. Son pubis se frotte contre le mien. Des poussées violentes et saccadées me prouvent son envie bestiale. Il me suce les seins. Une main se glisse entre nos deux corps. Sa cuisse se place entre les miennes me forçant à les écarter. Ses bras se glissent sous mes cuisses. Il se redresse sur les genoux. Mes jambes se retrouvent relevées, mes genoux contre mes épaules. Je suis à sa merci. Mon ventre est offert à sa concupiscence. Je tente de le raisonner :
• Non arrêtez Monsieur Blanche Neige… laissez-moi, s'il vous plaît…
Il se redresse et me regarde avec surprise :
• Pourtant hier soir, tu étais d'accord… et même, il me semble que tu as aimé… non ?
Et il se penche pour prendre entre ses lèvres lippues, mon téton droit.
Je ne peux résister plus longtemps à la caresse. Mon corps me trahi, mes reins se soulèvent à la rencontre du bassin de l'homme vautré sur moi. Conscient de ma réaction, il y voit un accord de ma part. J'essaie de résister encore un peu pour le principe.
• S'il vous plaît, pas ce matin…
Il reprend :
• Mais si, madame, vous avez encore envie de ma queue de noir, vous allez aimer, comme hier, comme toutes les "blanches".
Je ne donne aucune réponse. Il se positionne au-dessus de moi, s'installe pour me prendre. Déjà, il a libéré son sexe qui bat contre mon ventre. Il me maintient les cuisses écartelées et se régale du spectacle de ma chatte offerte, impudique. Il ne se prive pas de cette vue obscène. Honteuse, je tente de me libérer en me redressant. Mon regard se pose sur le sexe tendu et disproportionné. Un morceau d'environ 25 à 30 cm pour 5 ou 6cm de diamètre, toute noire veloutée, surmontée d'un champignon rose violacé. Au-dessous, des couilles, très grosses, velues et lourdes, pendent. Il voit mon regard se fixer sur son anatomie avantageuse. D'un coup de reins, il fait sauter sa queue et me lance :
• Alors Madame, elle te plaît ?? Tu vas l'aimer, je te le promets et après tu vas en redemander !
Je ne réponds pas à sa remarque. J'avoue surtout être anxieuse devant la taille de l'engin que ma chatte va devoir encore absorber. Mais hier soir, il a bien réussi à me la mettre, alors pourquoi pas ce matin…. Il s'allonge sur moi. Son gros machin pointe sa tête sur mon nombril. Il est très existé. Son gland laisse écouler du liquide de lubrification. En descendant sur mon ventre, il bave, laissant une trace gluante. Je sens le chemin parcouru par le gland. Blanche Neige continue à m'embrasser les seins. Ses lèvres gourmandes prennent ma bouche. Il se met sur ses avants bras et sur ses genoux. Son sexe glisse dans mon entrejambe, passe sur mon clitoris en pressant celui-ci, me générant une onde de plaisirs honteux. Son gland trouve la vallée de mes lèvres intimes.
Il pousse doucement. Le gland turgescent, d'une poussée lente, puissante et incontrôlable entre dans ma chatte. Son mandrin se fraie sa place dans mon vagin, distendant mes replis intimes. Je m'inquiète pour l'introduction complète de son engin monstrueux. Son envie est à la dimension de son sexe. Il va me fendre en deux, me déchirer, me trouer, me perforer. Une fois le gland passé, il reste en arrêt, en suspend. Mon sexe prend conscience de cette chose énorme qui entre, le dilate. Je constate, non sans honte, qu'une nouvelle fois, mon corps, mon sexe me trahit. Mon ventre s'ouvre facilitant l'intrusion. Il patiente quelques instants. Mon ventre s'habitue à l'énorme présence. Je souffle un peu, écarte largement mes cuisses, car la masse de Blanche Neige me force sur les hanches. Considérant ce geste comme une invite de ma part, il me pénètre d'un puissant coup de reins. La possession brutale provoque en moi une montée de plaisir. Je ne peux retenir un gémissement :
• Oh ! Oui... C'est bon…
Il agite lentement ses reins afin de s'habi à mon "antre" et la faire lubrifier. Je sens son sexe taper au fond de mon con et sur mon utérus. J'agite mes reins à mon tour, allant au-devant du mâle, m'empalant à fond. Je m’enhardis à glisser mes mains en dessous de ses cuisses et à caresser ses couilles, à sortir son sexe et à passer son gland sur mon clitoris turgescent et douloureux d'excitation. Je ne peux résister plus longtemps et me livre, esclave consentante au Sénégalais ravi.
• Oui vas-y à fond, bourre moi, cogne à fond ! Crache ton jus !
Je mets mes bras autour de son cou et mes jambes autour de ses reins, mes pieds calés sur ses fesses. Mais il veut profiter de moi à fond, il se retire, me retourne, et me prend en levrette, m'arrachant un cri, la pénétration étant encore plus violente et longue que sur le dos.
Sa main passe devant et caresse mon clitoris, prêt à exploser, je ne peux résister au traitement et me mets à jouir violemment, secouée de spasmes que je ne peux contrôler.
Il en profite pour me retourner et me reprendre sur le dos, avec des grands coups de boutoir et enfin épancher son plaisir en moi avec de longs jets chauds de sa semence que je sens éclater sur mon utérus. Il se retire de moi et s'allonge à côté, reprenant chacun notre souffle. Il me caresse d'une main pour affirmer sa possession, mais il ne semble pas vouloir me laisser et je crois qu'il en veut encore… Que pourrais-je faire ??? Au bout d'un moment, il me fait glisser sur lui et met ma tête sur son sexe :
• Montre-moi ce que tu sais faire avec ta bouche ?
Je m'exécute, par une savante fellation, sur le méat, la veine bleue (que je devine), le gland, la hampe, il redevient un homme ! Il ne résiste pas bien longtemps à mon savoir-faire et bientôt j'ai la bouche et la gorge remplies de sa liqueur, très abondante et chaude. Je continue le "massage buccal" jusqu'à tout nettoyer et avaler, ce qui lui permet de reprendre forme. Ses mains parcourent mon corps, se crispent sur ma tête pour enfoncer toute sa hampe de chair dans ma bouche distendue, il est" enfin à point". Je le mordille doucement, la lèche, en prenant le temps de l'humidifier avec la langue. Toute la verge devient luisante de salive. Je le caresse à la base des testicules et j'avale sa verge. Ses doigts se perdent dans ma chevelure. D'une main je lui saisis les couilles et il ne peut pas se retenir. Il me dit qu'il allait jouir et que je devais le laisser venir dans ma bouche.
• Tu vas sentir mon sperme jaillir ! Ta bouche sera inondée…
En effet, il éjacule et je sens le sperme se répandre dans ma bouche et sur ma langue.
• Maintenant tu me suces et tu nettoies tout... Fais-le doucement...
Il gémit par de petits cris de satisfaction. Je dois admettre que j'ai adoré faire une fellation à un homme sous ses ordres. Il me laisse, repue, épuisée. Je me suis rendue à la salle d'eau. J'ai pris ma douche. Comme ils me l'avaient demandé, je me suis habillée avec une tenue sexy : un top en lycra qui moule mes seins et une jupette en jeans. Elle est très courte, car Alexandre me l'a fait raccourcir. J'ai les fesses à peine couvertes. Je descends dans la cuisine. Les hommes sont là. Ils se sont préparés leur petit déjeuner. Des murmures de satisfaction m'accueillent :
• Tu es superbe, jolie bourgeoise !
Des mains s'égarent sur mon corps. Aucun endroit n'est épargné. Et là encore, mon corps me trahit. Je mouille presque aussitôt. Je suis complètement bloquée par ce qui m'arrive. Les hommes s'en aperçoivent et me questionnent :
• Que t'arrive-t-il belle bourgeoise ?
Je reste coïte. Je n'arrive pas à exprimer mon ressentit, mon mal-être. Le chef insiste :
• Dis-nous ? Que t'arrive-t-il ?
Je décide me de lancer. J'ai besoin de dire de crier ce qui se cache au fond de moi. Voyant que je vais parler, Blanche-Neige m'offre sa chaise. Je m'assois et prends une grosse bouffée d'air. Mais là, la réponse met un temps inhabituel à venir. Je suis bizarrement gênée. Devant leur insistance, je finis par me lâcher, lentement d’abord, puis avec une hardiesse croissante :
• Voilà, j’avais un fantasme inassouvi, et… je suis désolée, mais je ne pouvais pas l’assouvir avec mon mari. J'avais envie, je voulais me faire sauter, baiser, … niquer par des mecs très bien membrés, des noirs si possible… Faire l’amour ne convenait pas, il s’agissait uniquement de sexe, de baise, pas de sentiments. Avec mon mari, c’est merveilleusement tendre, mais j’aimerais, une fois, être prise comme une salope, comme une femelle en rut, comme un vulgaire vide-couilles. Et depuis hier, vous avez assouvis mon fantasme. Je nage dans le bonheur d'un côté et dans la honte de l'autre.
Les hommes restent sans voix. Un silence pesant stagne dans la pièce. Seules les respirations des hommes et la mienne, haletante, occupent la pièce. J'attends une réponse, une remarque de ces trois hommes. Et puis, c'est le Balafré qui me pose la première question :
• Qu'as-tu en tête ?
• Peut-être…
De nouveau le silence nappe la cuisine. Les hommes se regardent et réfléchissent un court instant. Le chef parle doucement :
• Comment refuser cela à une jeune et jolie femme ? Ton aveu nous étonne et nous surprend.
Je prends la parole :
• Je n'ai aucune condition. Je ne veux rien savoir à l’avance. Vous ferez comme vous l'entendrez, comme vous le souhaitez, comme vous le voulez. Je ne veux avoir aucun choix, aucune envie. Je ne souhaite que subir vos assauts, assouvir vos envies, toutes vos envies sans aucune exception, même les plus humiliantes, les plus avilissantes…
Le chef parle à nouveau :
• Bien, commence par déjeuner et ensuite tu montes dans ta chambre ! Tu nous attends ! Nous devons en discuter entre nous !
Mon thé vert est vite avalé, sans autre chose. Je monte dans ma chambre. Je m'assois sur le lit conjugal. Je pense à mon aveu. J'ai honte et très envie qu'ils acceptent ma demande. Il se passe un temps assez long. Je suis en train de vivre le syndrome de Stockholm. J'accepte tout de mes agresseurs, je leur pardonne tout ce qu'ils me font subir et même au contraire, je leur demande encore plus. Je n'ai pas la notion du temps qui passe. Pour passer ce temps, je viens dans la salle d'eau. Je sors mon épilatrice et me refais la bande maillot… enfin, je m'épile le sexe totalement. J'ai juste terminé qu'un appel du bas de l'escalier me sort de ma torpeur :
• La bourgeoise ! Descend !
Je sors de mon état de léthargie et prend l'escalier. En bas, Blanche-Neige m'attend. Il me saisit par le coude et me conduit fermement dans la cuisine. Le chef et le Balafré sont là, debout. Le chef parle :
• Nous avons discuté entre nous. Voilà notre décision. Nous avons choisis de répondre favorablement à tes attentes. A partir de cet instant, tu seras toujours disponible. Nous ne devrons même pas demander, tu devras t'offrir sans cesse. Tu devras soit nous sucer, soit nous donner ta chatte soit nous tendre ton cul ! Compris ?
Je ne réponds qu'un "merci" à peine chuchoté et accompagné d'un hochement de tête. Mon vœu le plus cher est exhaussé. Je n'hésite pas. Je m'avance vers le chef, tombe à genoux. Son pantalon s’orne d’une bosse de plus en plus visible. Je porte mes mains à sa braguette, la descend, cherche et extrait son sexe. Cette soumission l'a excité. Il bande fort. Je vois que sa verge est comprimée par le tissu. Je détache sa ceinture, libère sa queue qui déjà se dresse avec fierté. Comme elle est belle ! Voir cette chose qui ne bande rien que pour moi, je sens mon sexe s’entrouvrir et suinter de mouille.
• Merci Monsieur !
• De rien, bourgeoise ! Je sens que tu vas te régaler ! Prends-moi au fond de ta gorge !
Je la prends en main. Tous les sexes se ressemblent beaucoup, mais celle du Chef me semble légèrement plus longue et plus fine. Je suis aux anges. Tout en massant délicatement cette bite, j’approche ma bouche du gland, et, tendrement, l’effleure de mes lèvres. Il tressaillit légèrement et la hampe sursaute dans ma main. Ma langue parcourt ses bourses, puis remonte le long de sa verge. Puis, je relève ma tête et le regarde droit dans les yeux et, après lui avoir fait un beau sourire, je l’introduis dans ma bouche. J'en ai tellement envie que je l'avale jusqu'au fond de ma gorge. Mon envie est si grande que le gland touche le fond de ma gorge sans que j’aie de réflexe de nausée. Lentement, tendrement et de plus en plus rapidement, je lui administre la plus belle fellation de ma vie. Il doit apprécier car je sens son sexe gonfler et tressauter sous ma langue.
• Oh que c'est bon ! Tu suces comme une vraie putain !
Je ne peux pas m'empêcher de sortir la verge de ma bouche pour le remercier :
• Merci de votre compliment… Il me va droit au cœur…
Mais soudain, le Balafré s'approche, dézippe sa braguette, libère sa ceinture, baisse son pantalon et extrait sa queue. Il me tend sa verge. Je ne peux que le satisfaire. Je le suce. Sa queue gonfle. Elle est différente, massive et courte. Mais le chef me gifle de son gland. Il ne veut pas être en reste. Je passe d'une queue à l'autre, tentant de leur prodiguer une fellation de rêve. Le Balafré me complimente à son tour. J'alterne les gorges profondes et les branlettes rapides. Je fais courir doucement mes dents sur la peau douce et fragile de leurs sexes. Ils gonflent sous ma langue, c’est délicieux ! Je sens leurs excitations monter. Je suis fière de faire naître un désir incontrôlable dans leur bas-ventre. Mais je veux leur donner du plaisir. Le mien ne m'importe pas. Alors que je m’occupais de la bite du Balafré, le chef tire sur mon top. Il essaie de libérer mes seins. Je bouge les épaules pour favoriser la remontée du fragile rempart. La fermeté de ma poitrine gène l'accès désiré des mains du chef. Enfin, après quelques secondes de bataille, mes seins sont libres. Les deux mains du chef s'en emparent. Elles les pelotent, les soupèsent, jouent avec. Les pointes sont maltraitées, pincées, étirées. Les légères douleurs ne font qu'augmenter mon plaisir, mes envies de me donner, de me faire prendre, d'être un objet de plaisir entre leurs mains. C'est à cet instant qu'une main me flatte les fesses. Blanche-Neige ne veut pas être en reste. La main glisse rapidement entre mes cuisses. Je les ouvre pour faciliter l'accès à mon puits d'amour. Ses doigts jouent entre le haut de mes jambes. Je comprends qu'il ne me trouve pas assez ouverte. J'écarte encore mes genoux. La main glisse et découvre ma vulve. La peau lisse de mon pubis l’enchante :
• Je constate qu’on s’est bien rasé le minou, c’est très bien, jolie bourgeoise...
Pendant que j'ai de cesse de sucer les deux glands qui se pressent à ma bouche, les doigts de Blanche-Neige remontent doucement pour décalotter mon clitoris. Aussitôt ce dernier est titillé. Je me cambre et pousse un petit gémissement quand il glisse deux doigts dans ma grotte. Difficile de dire autre chose lorsque l'on a un sexe dans la bouche.
• Mais tu es toute mouillée ma belle ! Les copains, son jus coule jusqu’à son cul !
• Tu crèves d’envie d'avoir nos bites ?
La bouche occupée, je hoche doucement la tête en signe d'acquiescement.
• On ne va pas être méchant, on ne va pas te faire attendre !
La main de Blanche –Neige se positionne bien sur mon sexe. D'un seul coup, je suis soulevée. Mes pieds retrouvent le sol. Surprise, je lâche le sexe que je suce. Une main dans mes cheveux m'oblige à reprendre ma fellation. Un bruit de fermeture m'avertit de l'intention du grand noir. Un contact entre mes cuisses me ravit. C'est le gland énorme du sexe de Blanche-Neige qui pointe vers mon sexe. Blanche-Neige avance un peu et place ses pieds à l'intérieur des miens. Ses chevilles sont contre les miennes. Il les écarte doucement. Mon vagin s’ouvre avec un bruit incongru. Le gland m’effleure les lèvres. Je me cambre, facilitant le contact. Mais les deux acolytes ne veulent être en reste. Ils me présentent leurs sexes. Ne voulant décevoir ni l'un ni l'autre, j'ouvre largement la bouche pour les sucer ensemble. J'ai beau me décrocher la mâchoire, je n'arrive pas à les emboucher. Pourtant, une main impérieuse sur ma tête m'indique que je dois m'exécuter. J'ouvre encore plus ma bouche. Les deux hommes ont compris et forcent doucement. La commissure de mes lèvres me fait mal, mais ma bouche cède et je me retrouve avec les deux sexes dans ma cavité buccale. J'ai les deux queues en bouche. Je les suce avec avidité. La situation excite les hommes. Leurs envies montent et je sens les premiers spasmes de plaisir monter dans leurs hampes tendues. Soudain, malgré que je m'y sois préparée, ils jouissent presque ensembles.
Personne n'a besoin de me tenir la tête pour que j’avale tout. J'ai soif d’eux, de leurs semences. J'avale difficilement les flots de sperme. J'essaie de distinguer les goûts différents du chef et du balafré. Je les garde en bouche. De la langue, je recherche la moindre petite parcelle de sperme restant. Le Balafré ne peut se retenir d'une remarque salace qui génère en moi un sentiment de fierté :
• Eh bien dit donc, la bourgeoise, t'as tout bu ! T'es une gourmande !!
Doucement, ils se retirent. Je ne peux me retenir de leur octroyer une bise sur chaque gland. Je les saisis et commence une douce et lente masturbation. Les deux hommes ne repoussent pas cette offre. Mais pendant ce temps, Blanche-Neige n'a pas interrompu son manège. Son gland s'est insinué entre les lèvres grasses de mon sexe et à chaque avancée, il bute sur mon clitoris déclenchant une bouffée d'adrénaline stimulant mon plaisir. J’ai très envie de le sentir remplir ma chatte. Je cambre mes reins, mon bassin va à la rencontre de son pubis et mon sexe aspire littéralement sa queue. Blanche-Neige pousse en avant et son mandrin repousse tout sur son passage. Mes grandes lèvres sont entraînées en moi, créant une petite douleur. Mais ma lubrification annihile ce désagrément. Son gland percute ma matrice, déclenchant une douleur immédiatement suivie d'une onde de plaisir. Je m'efforce d'offrir au mieux mon sexe. Jouant de mes appuis de pieds, j'écarte mes fesses au maximum. Je m'applique avec mes muscles intimes à lui serrer au mieux cette queue qui me défonce, me pilonne et m'amène irrésistiblement à l’orgasme. Je ne peux me retenir de tenir des propos graveleux, de ceux que je n'aurai jamais osé prononcer il y a quelques jours. J'encourage, l'exhorte à plus de violence dans cette saillie :
• Vas-y, Blanche-Neige, n'hésite pas ! Baise-la ta petite bourgeoise ! Défonce-la ! Soit un homme, un vrai !
Ces encouragements surprennent aussi bien Blanche-neige que ses deux compagnons. Ils éclatent de rire. Blanche-Neige, lui n'hésite pas. Une puissance pénétration me propulse en avant. Il me saisit sur les hanches au niveau des fesses. Ainsi maintenue, il me fait comprendre qu'il a compris mon message. Il me pilonne fougueusement la chatte. Mon vagin bien lubrifié, épouse parfaitement le membre qui me défonce. Je suis ouverte, écartelée. A chaque poussée, le gland appuie sur mon utérus. Mais Blanche-Neige ne s'en contente pas. Il pousse un peu plus son avantage au mépris de la douleur engendrée. Il cesse sa poussée quand ses poils de pubis touchent mon cul. Je ne sais plus où j'en suis. Ce traitement me maintient dans un orgasme quasi-permanent. Je me cramponne aux deux autres sexes. Je cesse de les lécher et offre mon plaisir bruyamment. Je crie ce plaisir qui me comble. Blanche-Neige, conscient du bonheur qu'il me donne, ne résiste pas très longtemps. Quelques secondes plus tard, je le sens se raidir dans mon sexe. Je contracte plus fort mon vagin pour qu’il ne se dégage pas. C'est un moment très fort. Je ferme les yeux pour me concentrer sur le plaisir qui m'envahit. Mais, alors que je commence à savourer ce bonheur charnel, je n'ai pas le temps de profiter de cet instant. Je sens Blanche-Neige se reculer et quitter mon antre brûlante. Nageant dans une euphorie sexuelle, je me rends compte que c’est à mon petit trou que Blanche-Neige s'intéresse maintenant. Son gland s’appuie contre ma rondelle fripée. J'ai été depuis hier, à plusieurs reprises, sodomisée. Moi qui avais toujours refusé ce plaisir à mon homme, je cède à ces trois malotrus. Je me détends pour que mon œillet brun soit le plus souple possible. Blanche-Neige pousse alors son gland, doucement, mais fermement. Gras mes sécrétions, le gland étire le muscle. Je sens mon anus s'écarter. Une douleur aiguë et puis ça y est ! Le gland est rentré, le plus dur est fait. Blanche-Neige pousse encore. Il me fait profiter de chaque millimètre de son sexe. De nouveau les poils de son pubis entrent en contact avec mes fesses. Il est tout entier dans mon cul. Et je le sais ! Moi qui ignorais cela, je suis servie ! Sans beaucoup de lubrifiant, l'énorme sexe m’impose une douleur. Il se fait sentir. Blanche-Neige commence des va-et-vient rapides. C'est alors que je sens un liquide chaud tomber sur mon anus. Blanche-Neige me bave dessus. A chaque va et vient, sa queue s'humecte. Mon sphincter se dilate, s'assouplit. La douleur du départ, fait place à un plaisir intense. Chaque poussée provoque en moi une décharge électrique qui se propage tout le long de ma colonne vertébrale. Je crie de bonheur. Cette vague de plaisir me fait me relâcher. Mon cul se dilate encore plus. J'ai de nouveau envie de lui clamer mes envies de lui, mes envies d'être salope, mes envies d'être à eux, mes envies de satisfaire tous leurs caprices sexuels.
• Oui, vas-y Blanche-Neige ! Sodomise-moi ! Bourre-moi le cul ! J'aime que tu m'encules !
J'ai honte des paroles qui sortent de ma bouche. Le Balafré n'hésite pas et encourage son ami :
• Vas-y Blanche-Neige ! Ne te ménage pas ! Elle en veut cette salope et elle en redemande ! Elle jouit par le cul !
Blanche-Neige s’active ainsi un grand moment dans mon cul. Les poussées sont de plus en plus violentes. Il se raidit. Il sort presque de mon cul. Je gémis :
• Ne sort pas ! Vide-toi dans mon cul !
• Ne t'inquiète pas, petite bourgeoise !
En effet, il s'arrête. Son gland est juste au niveau du muscle en anneau. C'est à cet endroit que la douleur est la plus forte. Puis il éjacule. Chaque jet est ponctué d'un gonflement de son gland qui accentue la douleur. Mais c'est incroyablement bon ! La douleur génère un plaisir plus fort. Blanche-Neige halète et se vide dans mon cul. Combien de jets de sperme brûlant nappent mes entrailles ? Je n'en sais rien, mais que cela est bon ! Je ne me retiens pas. Je crie, je hurle mon plaisir. Mon mari doit entendre ma jouissance. Je jouis comme une bête. Blanche-Neige s'enfonce encore une fois au plus profond de mon cul, puis il se retire. Au passage délicat, il me donne une claque sur la fesse avec un compliment :
• Tu es une sacrée baiseuse !
Mon anus n'a pas le temps de se refermer, car le Balafré remplace Blanche-Neige entre mes fesses. Le sperme du grand noir tout juste déposé, favorise la pénétration. Il s'enfonce comme dans du beurre. Il ne se pose aucune question. Il s'agite comme un forcené, ne s'occupant que de son plaisir et nullement du mien. Pourtant, malgré le peu d'égards à mon encontre, il me conduit vite à un nouvel orgasme. Il me besogne aussi longtemps que Blanche Neige. Le résultat est identique. Je jouis. Mais il n’éjacule pas dans mon cul. Il ressort et se répand sur mon dos. Sa semence jaillit jusque dans mes cheveux. Ensuite, il essuie sa verge sur mes fesses. Je suis un peu frustrée. En effet, ma bouche et mon cul ont été honorés. Mais ma chatte est restée totalement ignorée. Aucun des trois hommes ne l'a prise. Devant moi, le Chef est toujours là. Je l'implore :
• Chef, mon amour, occupez-vous un peu de mon minou, s'il vous plaît ! Elle est en manque !
• Tu as encore envie ?
Ce qui m’étonne, c’est que, bien qu’ils m’aient labouré le cul pendant des heures et donné de nombreux orgasmes, bien que je les aie sucés, mon désir sexuel est toujours aussi grand. Encore une fois, je me surprends :
• Oui, c'est ma chatte qui veut de la queue ! Chef, venez me baiser, j'ai trop envie !
Mon ton se veut suppliant. Le Chef me relève. Je passe mes bras autour de son cou et enroule mes jambes autour de sa taille, m’abandonnant entièrement à lui. Sa queue trouve sans difficulté le chemin de mon vagin. Je l'y accueille avec plaisir. Je sens son gland entre mes lèvres intimes. Je tombe et m’empale entièrement sur son pieu. Je jouis presque instantanément. Il pose dans des baisers dans mon cou. Je frissonne. J’enchaîne les orgasmes, me menant au bord de l’évanouissement. Mes cris me font manquer d’air. Tout mon bassin était endolori. Ma chatte et mon cul sont très sensibles, au bord de la douleur. Un plaisir fulgurant me traverse. Épuisée, je reste accrochée au cou du Chef. Son sexe débande doucement dans ma chatte, me procurant des sensations d’une infinie douceur. Il me dépose sur la table. Je récupère. Je réalise un fantasme, mon fantasme secret : je ne suis plus qu’un trou pour vider des couilles. Je suis saillie comme une bête en chaleur. C'est ça mon fantasme, il se réalise au-delà de mes espérances. Je pense à ce début de matinée et je n'en reviens pas. Comment, moi femme mariée, mère de famille, ayant un travail à responsabilité ai-je pu me conduire ainsi ? Comment, moi si douce, si tendre, si aimante, si fidèle ai-je pu m'offrir avec une telle bestialité sans aucune honte, sans aucune pudeur, volontairement ? J'ai tout imaginé, tout envisagé. Je suis pourtant loin de la réalité. Cependant, deux sentiments montent en moi. Le premier est la grande fierté d'être cette femme merveilleuse, cette femme mariée, mère de famille responsable dans une grande entreprise. Le second est le désir fou, né des envies, de ces fantasmes. Je suis devenue une salope, une pute, un vide-couilles et j'y prends un plaisir inouï, malsain mais tellement grand !
C'est alors que le Chef me claque, lui aussi la cuisse :
• Va te laver cochonne ! Tu pues le sperme !
Doucement je me lève et remonte dans ma chambre. Une douche me fait le plus grand bien.

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