Les Fantasmes De Sandrine 11

11 – LE WEEK-END SUIVANT


Le lundi, la vie reprend son cours normal. J'ai dormi dimanche soir avec Alex. J'ai récupéré, plutôt.
J'ai repris mon job qui me plaît, avec un sourire et un plaisir différent ce matin. Je nage dans le bonheur. J'ai un Maître et mon mari s'entend parfaitement avec lui. Alex est en déplacement pour la semaine. Il rentrera vendredi soir.
Jeudi, en fin d'après-midi, je reçois un appel téléphonique de JP à mon travail. Je suis étonnée. Comment a-t-il su que je travaillais là ? Alex a dû cafter !!
• Bonjour Sandrine !
• Bonjour Maître !
• Je voudrais te demander une faveur…
• Accordée, mon très cher Maître…
• Merci ma soumise adorée… Vendredi, je passerai te prendre vers 19 heures. Tu seras vêtue en soumise, bien sûr : ton serre-taille, bas, escarpins. Tu te maquilleras soigneusement. Sur cela tu porteras aussi un long manteau… tu dois bien avoir cela dans ta garde-robe ?
• Oui Maître !
JP raccroche. Je suis très surprise. Alex est-il au courant ? Mais je suis la soumise de JP et Alex le sait, et j'ai une confiance aveugle en ces deux hommes, alors je m'exécuterai.
Vendredi arrive très vite. Je quitte mon travail. Il me reste 2 heures pour me préparer. Je suis nerveuse. Qu'a pu bien concocter JP ?
Dix-neuf heures approche. Un dernier coup de brosse à ses cheveux, un raccord maquillage, et enfin après une attente insoutenable, l'interphone du portail sonne. La voix de JP annonce :
• C'est moi !
Je réponds :
• J'arrive !
J'enfile mon long manteau qui me donne une silhouette de femme BCBG. Je ferme la maison et traverse le jardin. Devant le portail, le Porsche Cayenne noir est là. La porte s'ouvre.
• Bonsoir Sandrine… Tu es ravissante ce soir, comme toujours…
Je balbutie :
• Merci Maître !
JP dépose un baiser sur ma joue. Il démarre doucement. Les phares tracent le chemin.

Puis, il me regarde :
• Sandrine, as-tu respecté mes souhaits ?
J'ouvre les pans de mon manteau et m'exhibe.
• Très bien Soumise Sandrine…
Il pose sa main droite sur ma cuisse. Instinctivement, j'écarte mes cuisses pour laisser le passage à la main de mon Maître.
• Ne t'inquiète pas, Alex est au courant !
• Je m'en doute. !
• Et je suppose qu'il m'est impossible de connaître la suite de la soirée ?
• En effet… Tu es très curieuse, Sandrine… Fais-nous confiance !
La voiture roule doucement dans le petit chemin. La route est plus confortable. Le Porsche prend la direction de l'autoroute. Avant d'arriver au péage, JP me demande :
• Écarte le bas de son manteau !
Je refuse :
• Je ne peux pas m'exhiber ici ! Il est hors de question que les chauffeurs routiers découvrent ma tenue !
JP lui dit :
• Si telle est ta confiance en moi, autant faire demi-tour et terminer définitivement nos relations !
Je baisse la tête. J'ai honte. Je ne suis pas la soumise qu'il souhaite que je sois. Je le déçois. Alors doucement, je fais glisser les pans du manteau. Juste un peu, pour faire apparaître ma peau blanche au-dessus de la couture de mes bas. JP sourit. Nous roulons pendant une vingtaine de minutes. Ce soir curieusement, il n'y a aucun camion sur ce court trajet. Une sortie de péage. Depuis la remarque de JP, j'ai gardé la tête baissée. Je ne sais pas la direction que l'on prend. Il s'arrête au péage. A la cabine, deux personnes sont présentes : une jeune femme qui apprend et un homme qui la guide dans le fonctionnement. Aussitôt le regard des deux personnes se fixe sur mes jambes. La jeune femme, la bouche en rond, a l'air offusqué. L'homme, lui, est à la fête et ça se voit. Un large sourire se dessine sur son visage. D'un signe, il fait comprendre qu'il aimerait voir un peu plus haut. JP se tourne vers moi. Je n'ai toujours pas relevé la tête.
• Sandrine, fais plaisir à ce monsieur !
Timidement, je défais le premier bouton, et mon manteau s'ouvre jusqu'aux hanches, dévoilant ainsi mon ventre entièrement nu et glabre, l'absence de sous-vêtement et mes bas.
JP intervient :
• Bien Sandrine ! Lève la tête et dis bonsoir à ces messieurs dames !
Je relève les yeux vers le guichet. Mes jambes tremblent quand je croise le regard indigné de la jeune femme et celui égrillard du monsieur. JP, de sa main droite, écarte doucement mes jambes. D'une petite voix tremblotante je salue les préposés du péage :
• Bonsoir Messieurs, Mesdames…
Il dévoile à la vue des deux employés, mon sexe épilé, rose et humide. JP paie et démarre, mettant ainsi fin à cette exhibition improvisée. Rouge de honte, je ne dis rien. Je me contente de resserrer un peu les pans de mon manteau, laissant le haut de mes cuisses visibles. JP me demande :
• Serais-tu en colère, Sandrine ?
• Non, Maître…
J'essaie de sourire, mais c'est un sourire de circonstance. J'ignore totalement notre destination. Nous arrivons dans un petit village. Nous traversons des ruelles, puis nous ressortons du village. Plus loin, une grande allée d'arbres de découpe dans le faisceau des phares. JP l'emprunte. Au bout de cette allée, un grand portail métallique bouche la vue. JP s'arrête. Il se tourne vers moi :
• C'est le point de non-retour : Ou tu suis sans poser de questions, décidée à me faire confiance à chaque instant, ou tu renonces et nous repartons de suite sans que tu ne saches jamais le pourquoi de cette soirée.
Pétrifiée, je le regarde. Mon regard est hagard. Je chuchote :
• Je ferais ce que vous voudrez, Maître…
Un coup de klaxon bref, puis deux longs entraînent l'ouverture du portail. Une somptueuse demeure s'offre à nous. JP avance son véhicule et se stationne. JP descend, contourne la voiture ouvre la porte et m'intime de descendre. Je lui obéis. Il me pose mon collier, saisit ma laisse et me conduit comme un animal, comme une chienne. L'humiliation que cela me donne me comble de bonheur et d'un plaisir malsain. Nous nous dirigeons vers l'escalier à double entrée. Je regarde le sol gravillonné.
Je monte les marches, tenue par le coude par JP. Personne ne parle, pas de sourires, les visages sont fermés. Mon rythme cardiaque augmente en fonction de l'angoisse qui montre en moi. En face de la porte monumentale, je tente de me calmer en fermant les yeux. Je prends une longue inspiration. JP m'ordonne :
• Sonne !
D'une main tremblante je tâtonne le montant de la porte. Je saisis la poignée qui actionne la clochette. Un léger 'ding ding' se fait entendre. Les pas claquent sur le carrelage. Ma respiration se bloque lorsque la porte s'ouvre. Une voix féminine nous annonce :
• Bonsoir Messieurs dames ! Vous êtes attendus !
JP répond :
• Bonsoir soumise Rachel ! Tu m'as l'air en pleine forme !
• Quand vous êtes là, Maître JP, je suis transcendée…
• Flatteuse !
Je bouge un peu. Sans la connaître, je la déteste cette "Rachel". Je la regarde en catimini. Elle est plus petite que moi, plus ronde. Elle est vêtue de rouge, d'un serre-taille, de bas et de chaussures très hautes. Mais le plus drôle, sa chevelure très courte est elle aussi rouge. Ses seins nécessitent surement des bonnets D ou E. Mais ses tétons arborent un piercing horizontal. Un cordon enserre le téton derrière la barrette du piercing, passe dans un anneau fixé au collier et redescend sur l'autre téton. Les tétons sont tirés vers le haut. Chaque pas secoue et retient les seins. Cela doit être douloureux, mais cette petite salope se cambre au maximum pour faire admirer sa poitrine ainsi martyrisée. La taille est fine mettant en valeur un cul cambré. Elle se tourne vers moi :
• Donne ton vêtement !
Je suis interloquée. Comment cette servante me parle-t-elle ? JP me rappelle à l'ordre :
• Obéis !
Je me débarrasse de mon rempart et me retrouve dans la même tenue que Rachel. Mais elle ne parait pas en être offusquée.
• Venez !
Elle nous guide. Comme JP, je remarque que ses fesses ont subi une correction.
Des traces larges rouges ornent les rotondités de la miss. JP lui en fait la remarque :
• Rachel, pourquoi tes fesses sont-elles aussi rouges ?
• Mon Maître a pensé qu'elles devaient en harmonie de couleurs avec le reste de ma tenue…
• C'est une excellente idée…
Nous traversons le hall à sa suite. Sous l'escalier qui desserre l'étage, une porte massive est fermée. Rachel l'ouvre. Un escalier de pierre faiblement éclairé s'offre à nous. Nous descendons. En bas, Rachel nous ouvre une porte et s'efface pour nous laisser entrer. C'est un grand salon très stylé. L'ambiance est douce, feutrée. Si le sol est recouvert d'un épais tapis, les murs sont habillés de quelques tentures de velours rouge sombre. De petites lampes aux éclairages blancs créent cette ambiance un peu surréaliste. Au centre de la pièce, une table basse d'une taille impressionnante, trône. Tout autour, des fauteuils en cuir fauve sont disposés. Tous sont occupés sauf un. Le Maître des lieux nous accueille, enfin il accueille JP, me considérant comme quantité négligeable :
• Bonsoir JP ! Te voilà enfin ! Installe-toi !
JP s'assoit tranquillement. Je reste debout à côté de son fauteuil. En face de moi, Rachel se retourne et prend une bouteille de champagne qui attendait dans un seau d'argent. Je remarque que tous les invités ont un verre sur le guéridon près de leur fauteuil. Certains verres sont déjà vides et attendent qu'on les remplisse. Elle fait le tour de la table. Au retour auprès de son Maître, elle se penche et lui chuchote à l'oreille. Je vois un sourire se dessiner sur le visage de son Maître. Rachel se redresse et se cambre. Son Maître prend alors la parole :
• Mes amis, Rachel va nous présenter une requête !
Je vois Rachel se présenter devant mon Maître. Elle se positionne comme une vraie soumise, les bras croisés dans le dos, pieds écartées, cambrée à outrance pour faire saillir ses gros seins et son cul rebondit.
• Maître JP, cela fait maintenant presqu'une dizaine de fois que vous venez chez mon Maître. Mais, malheureusement je le regrette, jamais vous n'avez pris le temps de vous occuper de moi. Aussi ce soir, je vous demande de bien vouloir, en avant-première de cette soirée, de me corriger pour avoir eu l'impertinence d'effec cette demande.
Rachel pose sur les genoux de mon Maître, un martinet. Elle monte sur la large table basse qui trône au milieu des fauteuils. Elle s'agenouille et présente ses fesses à nos regards. Elle place ses mains sur ses fesses et les écarte pour faire admirer son anus.
• Maître JP, je vous demande de me donner une correction.
Un sourire se dessine sur le visage de mon Maître. Je le vois saisir le manche du martinet et se lever. Il s'approche de la table.
• Montre-moi tes fesses, cambre-toi, écarte tes cuisses là, comme ça oui ! Dis donc tu mouilles ? T’es une petite salope ! Tu as ta chatte trempée !
En disant ces mots, JP porte sa main entre les cuisses de Rachel et vérifie l’état de sa chatte. Effectivement, je peux voir sa chatte baveuse de sa mouille. Rachel ne proteste aucunement.
• Alors tu souhaites recevoir une vraie correction de ma part ? Sais-tu comment on punit les petites salopes comme toi ?
JP n’attend pas vraiment de réponse mais commence véritablement prendre goût à ce petit jeu dans lequel Rachel s’était engouffrée volontairement.
• Oui Maître JP !
• Tends tes fesses !
Rachel s’exécute et tend son cul large et rebondi. De sa main libre, il tâte le cul de Rachel. À peine a-t-il fini sa caresse, que son bras droit s'élève et retombe sur la fesse droite. Rachel ne peut retenir un cri. Les premiers coups pleuvent légers et souples ici et là sur ce cul cambré, disposé à être châtié comme il se doit. Mon Maître lui demande de compter les coups. Rachel obéit et prononce d'une voix chevrotante :
• Un…!
Alors JP ne se retient pas. Il cherche à faire crier Rachel pour que ce soit une véritable punition. Elle compte les coups en serrant les dents :
• Deux…
Et hoquet de douleur marque son élocution…
• Tr… trois !
La fessée devient de plus en plus forte et de plus en plus rapide. Et clac ! Le bruit divin des lanières de cuir sur sa croupe offerte ravit mon ouïe. Clac ! Un nouveau coup, plus fort, arrache un murmure à Rachel et laisse sur ses fesses une jolie marque rouge.
• Cambre-toi ! Je veux voir tes fesses offertes au fouet !
Rachel obéit et les lanières continuent leur danse magique. Sifflement des lanières dans l'air, bruit du cuir souple qui cingle la peau offerte, cris étouffés de douleur et de plaisir mêlés, fesses qui dansent et se marquent sous le fouet, et senteur délicate de l'excitation de Rachel, dont le sexe commence à ruisseler Je me laisse aller un long moment au plaisir intense de cette fouettée, de cette divine punition. Au lieu de crier de douleur, Rachel commençait à geindre de plaisir ! JP la tance :
• Mais tu es encore plus salope que je le pensais ! Une vraie petite dévergondée ! Ne bouge pas de là, je vais m’occuper de toi ! Tends bien ta croupe de salope ! Écarte tes fesses !
JP passe sa main entre les cuisses de Rachel et constate que sa chatte est brûlante et trempée. Rachel vibre déjà sous la caresse et grogne de plaisir. JP passe le martinet entre les cuisses béantes, frôlant le sexe humide. Il reprend la fessée.
• Quatre… Cinq… Six…
A chaque coup Rachel émet un gémissement, entre plaisir et douleur. Son excitation monte et excite aussi JP. Je suis jalouse, moi sa Soumise attitrée. Les larges fesses deviennent de plus en plus rouges. La fessée continue de plus belle, avec cette fois le bruit clair des claques qui tombent sur ses fesses rougissantes. La vision de ce gros cul qui danse impudiquement sous mes yeux, et les gémissements de Rachel qui présente de plus en plus docilement son postérieur à la correction m'excite encore davantage. Les lanières du martinet laissent de belles zébrures sur la peau blanche. JP vérifie une fois encore l’état de la chatte. Elle est de plus en plus mouillée. Il en profite pour prolonger sa caresse plus en avant. Il titille le clitoris de Rachel. Elle ne peut se retenir et la caresse lui déclenche de longs soupirs.
• T’es vraiment une salope, tu aimes ça hein la fessée ? Tu en veux encore ?
Et, sans attendre de réponse, JP reprend le martinet.
• Sept… Huit… Neuf…
Il distribue de nouveau quelques claques supplémentaires sur les fesses et sur le haut des cuisses, sur le pli entre la cuisse et la fesse.
• Dix… Onze… Douze…
Rachel gémit encore plus. JP cesse et sans prévenir assène un violent coup de martinet entre les cuisses largement ouvertes. Les lanières cinglent la chatte trempée ! Rachel ne peut pas se contenir et hurle. Son cri encourage JP qui lui octroie dix cinglées à la suite. Rachel geint. Son cul se tortille de douleur, d’excitation et de plaisir. JP, constatant que Rachel est au bord de la jouissance, s’arrête. Il saisit le martinet pat les lanières et présente l'extrémité ronde du manche à l'entrée du sexe de Rachel. Sentant le contact, elle se cambre offrant son sexe à l'objet. JP sourit et sans aucun ménagement, il enfonce le manche dans la chatte gourmande. Rachel accuse l'intromission pendant quelques secondes. Mais aussitôt, elle ondule de la croupe et se cambre plus encore. JP joue avec le martinet, le fait entrer et sortir, le fait tourner sur lui-même, procurant à Rachel des gémissements, soupirs et plaintes. Sans prévenir, il retire le manche d’un coup. Rachel crie sa déception de se sentir vide. Mais JP ne lui laisse pas le temps de s'apitoyer sur son sort. Il place le manche dégoulinant de mouille à l’entrée de son anus et commença à le caresser vicieusement en cercle concentriques. Pour la première fois, Rachel s'autorise à parler :
• JP non, pas ça, pas par là… Pas devant tout le monde !
JP, à la fois surpris de l'intervention de la soumise, laisse un moment de silence s'installer. Je vois son sourire éclairer son visage. Je me doute que cette Rachel que je déteste va subir un moment inoubliable de sa vie de soumise. Il commence à appuyer le manche poisseux sur l'anneau plissé sombre. Rachel râle et gémit. Le manche bien enduit de sa mouille et son anus très souple, il pénètre sans aucune difficulté le conduit anal.
Rachel hoquète son plaisir. Sa croupe ondule de la croupe, trahissant son plaisir. JP manœuvre le manche dans les reins offerts. Et lentement et sans aucun ménagement pour le fondement de Rachel, il introduit le manche tout entier. Rachel grogne et en tremble d’excitation.
• Mets-toi à quatre pattes maintenant ! Fais le tour de la table pour faire voir à tout le monde comme tu es bien fourrée !
La honte et l'excitation envahissent Rachel. Elle rougit comme une tomate mais obéit. Malgré la situation, elle obéit. Elle se redresse et pose ses genoux au sol. JP réagit rapidement :
• Les mains en avant !
Rachel remonte sur la table et se retourne et comme le ferait une chienne, elle descend les mains en avant. Elle effectue un tour de la table, faisant admirer à tous, son cul farci du manche du martinet.
• Cambres toi bien que tous profitent du spectacle du martinet planté dans ton cul !
Rachel finit son tour. Elle est à genoux aux pieds de mon Maître.
• Merci Maître JP de cette correction…
Mon Maître saisit Rachel par ses cheveux et lui lève la tête, l'obligeant à le regarder. Il l'interpelle :
• Et moi, je n'ai pas droit au plaisir ?
Rachel n'hésite pas une seule seconde :
• Dites ce que vous voulez et je vous obéirais !
JP lui annonce son désir :
• Suce-moi !
Je n'en crois pas mes oreilles. Je ne peux pas me retenir et crie :
• Non, pas elle ! Elle n'a pas le droit de sucer mon Maître !
JP, surpris, me jette un regard très dur. Il me dit :
• Toi, tu ne perds rien pour attendre ! Tais-toi !
Je me rends compte que mon Maître n'est pas content de mon intervention. JP se place devant Rachel et lui ordonne :
• Vas-y ! Respecte mon ordre !
Rachel s'attaque à la ceinture du pantalon de JP. Puis le pantalon tombe, JP apparait en slip noir. La bosse qui déforme l'avant de son sous-vêtement indique l'excitation que lui a procuré la fouettée de Rachel. Le salaud ! Il m'oublie ! Rachel accroche le slip sur les côtés et le descend sur les genoux puis au sol. Au passage des genoux, le sexe tendu de JP lui bat le visage. Rachel veut le saisir à pleine main, mais JP le lui interdit. Il s'assoit sur son fauteuil. Il prend la tête de Rachel entre ses deux mains et la guida entre ses cuisses. Il lui ordonne :
• Mains croisées dans le dos !
Rachel obéit. JP présente son sexe érigé à hauteur de la bouche de Rachel. Elle passe sa langue sur le gland, puis rapidement elle s’enhardit et sa langue explore la totalité de la hampe. Elle se régale et s’applique bien à lécher, grignoter, aspirer, sucer ce bâton de plaisir. JP prend son plaisir, il gémit sous la caresse. La tête coincée entre les cuisses de JP, Rachel s'active. Le spectacle est merveilleusement érotique : mon Maître, assis dans un fauteuil, avec une femme à quatre pattes entre ses cuisses, les reins cambrés avec un martinet planté dans le cul, lui suçant la bite à pleine bouche ! Malgré l'érotisme débordant de la scène, elle ne m'enchante pas. Je suis jalouse et très énervée par l'attitude de Rachel. JP bande dur. Rachel a quelques difficultés à avaler le sexe imposant de mon Maître. JP, une main toujours posée sur la tête de Rachel, lui donne un rythme lent, souple et profond. Rachel s’active de plus belle et JP râle de plus belle. JP interroge le Maître de Rachel :
• André, veux-tu en profiter ?
• Pourquoi pas ? Que veux-tu que je lui fasse pour prolonger sa correction ?
• Ses fesses zébrées de rouge et le cul investi, elle aime être traitée en chienne… Je me trompe ?
• Pas du tout !
Rachel continue sa fellation et suit la conversation des deux Maîtres. Elle attend sans crainte, l'envie des deux hommes. Elle sait qu'elle ne pourra que subir leur décision, leur verdict.
• Alors, qu'attends-tu ? Retire le martinet et prends-la !
André s’empare du martinet et le fait tourner sur lui-même pour dilater l'anus de Rachel. Il retire l'objet du cul de sa soumise. Un bruit de bouchon de bouteille retentit ! Quelques rumeurs parcourent l'assistance. J'ai honte pour Rachel. André se libère et s'agenouille derrière la croupe accueillante de Rachel. Il lui demande :
• Ecartes-toi bien les fesses, offres-moi ton gros cul de salope, que je l’encule !
Rachel est très obéissante. L'idée d'être livrée aux assauts de mon Maître lui plait, car sans ménagement, elle s’empare à deux mains de ses fesses. Elle les écarte largement découvrant son anus dilaté à souhait.
Je me régale de cette image. L'excitation monte en moi. Je prends conscience que j'aimerais être à la place de Rachel, et donnée à mon Maître en suçant un autre maître. André pointe son sexe sur le petit trou. Il le titillait doucement et l’introduit dans le somptueux gros cul de Rachel. Rachel crie. Elle pousse une plainte mêlant plaisir et douleur. JP excité par la situation, il demande à André de l’enculer bien à fond, à grands coup de reins. Maintenue par la main de JP crochetée dans ses cheveux, je constate que Rachel monte dans le plaisir. Elle ne va pas tarder à jouir. Quelques secondes plus tard, elle part dans un orgasme violent. Recrachant la bite de mon Maître, elle hurle son bonheur. Mon Maître se libère sur le visage de Rachel. Les giclées saccadées de sperme sur sa peau lui rappelle son obligation de soumise : elle essaie d'avaler les derniers jets de semence. Elle nettoie la queue de JP avec un acharnement incroyable. La queue de JP est propre comme un sou neuf !
JP tire sur la chevelure de Rachel :
• Relève-toi, soumise !
Rachel passe avec quelques hésitations sur les talons hauts. Elle titube légèrement. Face à JP, elle s'adresse à lui :
• Maître JP, je vous remercie de cette correction. Je la voulais, je l'ai eu. Je l'ai appréciée à sa juste valeur et vous serez éternellement reconnaissante. Merci !
Elle termine ses remerciements par une petite génuflexion digne d'une princesse. Elle regagne sa place auprès de son Maître. Heureusement qu'elle ne croise pas mon regard, sinon mes yeux "révolver" ne l'auraient pas épargnée.
Mais c'est à cet instant que je reviens sur terre. Mon Maître me dit :
• Sandrine, il me semble que durant cette correction, tu t'es permis d'émettre un avis !
Devant mon silence, il insiste :
• Vrai ou faux ?
Je balbutie et arrive à avouer ma faute :
• Vr... Vrai…
Maître JP insiste :
• Je n'ai pas entendu, Sandrine, répond plus fort à ma question !
Je sens que si la fête de Rachel est terminée, la mienne va commencer sans que je ne l'aie souhaitée. Je me positionne correctement, les pieds écartés, les bras croisés dans mon dos, cambrée pour mettre mes seins en offrande, la tête relevée mais le regard au sol.
• C'est vrai, Maître !
• Et quel est la punition que tu penses être la bonne pour réparer ta mauvaise conduite ?
Je ne dis rien, espérant que mon Maître sera indulgent.
• Bien, ton silence indique que c'est moi ou nous tous qui choisiront ta punition. D'accord Sandrine ?
La peur et la honte m'envahissent. Le rouge me monte aux joues. Je n'ai pas d'autre solution que de répondre par l'affirmative :
• Oui Maître ! Je sais que votre punition sera à la hauteur de mon inconduite !

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